(Histoire vraie quoique légèrement simplifiée au niveau des sentiments – elle aussi ressortie de mes précédentes publications sur un autre site forum)
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Je ne suis pas du genre à rendre service à mon prochain dès que loccasion se présente. Cest difficile à dire, mais jaime quon me fiche la paix. Cest donc sans le moindre enthousiasme que je me rendais chez Marie, pour laider à déménager. Ordre de mes parents. Même à 20ans, on nest jamais vraiment libéré de leur autorité. Et surtout, ils mont promis de largent de poche, argument non négligeable quand on souhaite faire customiser sa guitare, ce qui nest pas donné.
Marie, cest une femme que jadore malgré tout. Imaginez une jolie femme de 46ans, les cheveux dune couleur particulière, à mi-chemin entre le blond et le roux. De grands yeux verts, dune profondeur et dune intensité impressionnante. Environ 1m65 pour moins dune cinquantaine de kilos. De superbes seins et un joli fessier, toujours mis en valeur par un excellent goût vestimentaire, ni trop sage, ni vulgaire, témoignant dun réel attachement à rester sexy même à un âge où les femmes ont le tort de croire quelles ne plaisent plus.
Elle me connaît depuis mon enfance, quoique je ne la voie pas très souvent. Mais elle a toujours eu beaucoup daffection pour moi. Elle est une vague amie de mes parents, quoique ces derniers la trouvent un peu excentrique : outre son allure de femme libérée que les quadragénaires conservateurs qualifient de vulgaire, Marie na jamais caché être bisexuelle : ça ne plaît guère aux anciens. Pire, elle a toujours affirmé quelle adorait le sexe. Comme nous tous, me direz vous, mais ce genre de chose est confiné à la plus grande discrétion là où je vis ! Aussi ses blagues, parfois un peu scabreuses, ne faisaient-elles pas rire grand mondeà part elle et moi. Et chaque fois quelle parlait de sexe, même devant mes parents, elle aimait vérifier du regard que je lécoutais, comme si elle sétait mise en tête de faire mon éducation dans le domaine.
Elle était du genre à me demander comment ça se passait au lit, à quoi ressemblait ma partenaire, si javais besoin de conseilsParfois, quand jétais seul avec elle, elle nhésitait pas à me taquiner avec légèreté et complicité, en vantant la courbe de mon « joli petit cul » ou « la bosse qui se dessinait dans mon blue-jean à la vue dune jolie fille ». Elle était comme ça. Ça me gênait parfois, de peur quon lentende, mais en même temps, cétait plaisant dêtre complimenté par une femme qui, dès mon adolescence, a commencé à passer du statut de « nounou qui me gardait parfois quand jétais petit », à celui de « fantasme de la cougar bisexuelle ». Javoue. Au fond de moi, je me disais que la réciproque était un peu vraie : jétais habitué depuis lenfance à ce quelle me serre affectueusement contre elle. Mais au fur et à mesure que mon corps devenait celui dun homme, ses mains à elle descendaient. Elle me serrait par les épaules quand jétais petit. Depuis environ mes 16ans, elle menlaçait par la taille, laissant parfois ses mains descendre sur mes fesses, lair de rien. Je laissais toujours faire, avec, seulement en tête, la crainte quelle se rende compte de leffet érectile que provoquaient ses doigts caressant innocemment mon postérieur. Elle aimait beaucoup me toucher. Cest stupide à dire, mais la façon dont elle touchait mes cuisses parfois, où quand elle caressait ma « barbe de trois jours », prétextant quelle voulait vérifier que jétais bien rasé, ou encore, quand elle passait une main sous mon T-shirt pour vérifier mes « tablettes de chocolat »tout ça me paraissait plein de sous-entendus, sans que je puisse me confirmer que je mimaginais peut-être des choses, tout simplement.
Cest Marie. Point.
Et me voilà à sa porte, en train de sonner, résigné à passer cet après-midi ensoleillé à remplir des cartons et à bouger des meubles. Jentends ses pas derrière la porte, elle ouvre et maccueille dans un immense sourire. Elle est radieuse. Elle porte un jogging moulant, dont la fermeture éclair me montre la naissance de ses seins imposants, ce qui attire tout suite mes yeux.
-Bonjour mon Tom, tu es en avanceça tombe bien il ny a que toi pour maider !
-Pas de problème, tu me connais !
-Bon, cest par là.
Elle me désigne son salon où trônent déjà des dizaines de cartons plus ou moins remplis. Elle marche devant moi, et chacun de ses pas crée un mouvement dair apportant son délicat parfum à mes narines. Elle se retourne et me dit :
-Jai déjà fait la plupart des cartons, mais il faut déplacer des meubles et les apporter au garage pour les charger dans le camion qui arrivera demain matin. Si tu arrives à descendre les meubles de ma chambre à létage, tes un as ! Et si tu arrives à me descendre la commode de la salle de bain, là, crois moi, je te récompense !
Lespace dun instant, je trouvais cette idée de « récompense » fort ambiguë. Allons Tom, me dis-je, on se fait pas de film, et on bosse. Elle me fixe un instant de ses grands yeux, puis retourne à ses cartons tandis que je me mets en devoir de déplacer les plus petits meubles pour commencer.
Et mon après-midi se déroule au rythme de mes allers-retours entre la maison et le garage. Écrasé par la chaleur, je me mets torse nu ce qui, bien sur, me vaut les sifflements admiratifs de la belle, qui sempresse de me demander « si elle peut toucher ?». Je lui réponds par un sourire confus, et elle se contente de glisser une main en travers de mon torse au moment où elle passe pour aller au garage. Jen ai la chair de poule.
Je reprends mes esprits difficilement lorsquau retour, elle me demande de laide pour déplacer son sofa. On se place chacun à une extrémité, et elle se penche amplement pour soulever le meuble, moffrant une vue plongeante dans ses seins. Elle relève la tête et voit mon regard ébloui par ce spectacle :
-Tu joueras avec eux plus tard ! Dabord on déménage le sofa ! dit-elle sur un ton autoritaire que seul son sourire trahit.
Jen reste bouche bée. Je soulève machinalement cette antique pièce de mobilier, me demandant si jai bien entendu ce quelle a dit. Non cest impossible. Elle ne parlait pas de ses seins. Ou alors elle disait ça avec humour. Cest bien dans son genre !
Je décide de moccuper des meubles de létage une fois le sofa déplacé. Prenons nos distances ! Et tout le reste de laprès-midi, je déplace le mobilier par lescalier en colimaçon donnant sur son salon. A chaque fois que je monte et à chaque fois que je descends, je la regarde furtivement. Je la désire. Nous échangeons parfois un sourire complice. Je démonte les plus gros meubles, notamment son vaste lit, dans lequel je rêve de faire des choses peu orthodoxes. Puis viens le tour de la fameuse commode. Lépreuve finale. En repensant à la perspective dune récompense, je me motive pour retirer chaque vis, et je descends chacune des lourdes planches qui composent le vieux meuble par lescalier. Marie me regarde avec admiration.
-Tu es vraiment un homme, un vrai ! dit-elle en souriant. Jadore te regarder travailler. Ton torse tout luisant, ça me donne des envies. Crois moi, je te lai promis : tu vas être gâté, je vais me préparer.
-Te préparer ? Tu vas où ?
Elle ne répond pas. Elle grimpe lescalier, me donne un baiser sur la joue au passage et monte dans sa chambre où elle senferme. Je renonce à comprendre. Ou peut-être que je préfère ne pas comprendre. Ou peut-être que jai déjà comprisJe continue à descendre les planches et les petits éléments de la commode, puis je vais à la porte de sa chambre, où je toc timidement.
-Marie ? Jai terminé ! Tu as besoin dautre chose ?
Elle ouvre la porte, vêtue seulement dun string et dun soutien gorge. Les bras men tombent. Elle me laisse la regarder quelques secondes et lâche avec un grand sourire
-Non, je nai besoin de rien, javais laissé mes cartons de sous-vêtements, mais je saurais bien les descendre demain matin. Pour linstant, je vais toffrir le réconfort après leffort.
Je nai pas le temps de dire quoique ce soit. Elle menlace et plaque sa bouche sur la mienne. Je sens sa langue se lier à la mienne. Et elle tournoie, va et vient, refait un autre tour et se retire lentement. Ses lèvres dévorent les miennes et finissent ce divin baiser par quelques petites morsures sur ma lèvres inférieures. Quand son étreinte se libère finalement, jarticule timidement :
-Cest ça, la récompense ?
-Non, me dit-elle, ça cest parce que jen ai envie depuis trop longtemps. Maintenant que tu es seul chez moi, et que tu es à mon service pour la journée, je ne vais pas men priver. Mais si tu tiens à ta récompense, je vais te la donner tout de suite.
Elle me repousse contre le mur et sagenouille devant moi. Elle dégrafe mon jean très lentement et lâche, avec des yeux gourmands :
-Je vais enfin voir cette bosse de plus près. Tu sais que ça fait longtemps que ça me démange ? Tu le sais ça ?
-OuOui, dis je dans un bégaiement
Elle tire mon jean dun coup sec et le fait tomber jusquà mes chevilles. Mon caleçon est effectivement courbé par une bosse dont le volume me rend assez fier. Elle pose doucement ses dents dessus en me regardant avec un appétit presque carnassier. Elle mordille le gland à travers le tissu et donne des coups de langues à lemplacement de mes testicules. Elle passe ses doigts à lintérieur du caleçon, et labaisse dun coup sec. Ma verge jaillit comme un ressort dressé. Elle lattrape dune main, la serrant si fermement que jai peur quelle lécrase. Elle me dit alors, avec un regard où se mêle hystérie et désir :
-Maintenant, elle est à moi ! Je vais te manger ! Je te dévorer tout cru ! Les petites minettes de 20ans avec qui tu couches, je vais te les faire oublier. Moi ça fait un bout de temps que je te veux, alors crois moi, jen ai pas fini ce soir.
Elle me fait presque peur, je ne réponds même pas, je la regarde, ébahi. Je rêve. Oui cest ça je rêve. NON, une sensation bien réelle me ramène sur terre. Une sensation incroyable. Celle de sa bouche qui enserre mon sexe juste en dessous du gland. Ce dernier, libéré de la peau qui lentoure dordinaire, se retrouve noyé dans la salive de ma partenaire, qui fait rouler sa langue autour. Sa main gauche vient masturber la base de mon sexe, tandis que la droite vient malaxer mes boules. Si le Paradis existe, il ressemble surement à une version éternelle de ces quelques minutes de bonheur. Je suis tiraillé entre le désir de renverser ma tête en arrière pour savourer chaque parcelle de sensation que moffrent cette bouche et ces mains expertes, et lenvie de regarder la belle saffairer sur mon sexe. Elle en fait ce quelle veut. Tantôt elle le garde longuement dans sa bouche pour le titiller de sa langue. Tantôt elle le laisse sortir et en lèche chaque contour comme sil sagissait dune glace en train de fondre. Elle recule brièvement tout en le masturbant avec une incroyable vigueur qui me place entre douleur et plaisir, puis, sa main lempoigne à la base subitement, le maintenant dirigé vers la bouche de ma partenaire qui, avec un regard confiant et aguicheur, approche lentement et enveloppe mon sexe de ses lèvres, descendant encore et encore. Et, alors quelle semble à son maximum, elle continue plus profondément. Je ressens la chaleur de sa gorge tandis que son nez vient frôler mon bas-ventre. Mon sexe, dont la taille ne ma pourtant jamais complexé, est entièrement englouti. Et la belle reste ainsi pendant quelques secondes, elle a lair sur le point de vomir, elle sétouffe, je me met à avoir peur pour elle. Cest stupide mais je panique tout en soupirant de plaisir. Elle se retire finalement en essuyant dun revers de la main la salive qui dégouline sur son menton. Ma verge elle-même en est inondée, et Marie sempresse de lessuyer en faisant aller et venir sa main. Elle me lance, fièrement :
-Tu navais jamais visité la gorge dune femme, non ?
-Tu es incroyabledis-je en me trouvant ridicule de navoir que ça à répondre
Elle continue à me sucer frénétiquement, glissant une de ses mains entre ses cuisses pour se donner du plaisir. Je caresse ses cheveux et ses joues. Son visage où se dessinent quelques rides est dune beauté sans nom. Moi qui crois être au summum de lexcitation, je deviens totalement fou quand elle se met à jouer avec mon sexe en le caressant de ses joues et de son menton.
-Je te montre où viser quand tu vas jouir ! dit-elle en apposant un petit baiser sur mon gland. Mais dabord, tu vas me baiser comme il faut.
Elle se relève, retire son string et son soutien gorge tandis que je finis moi-même de retirer mes vêtements, et elle sadosse au mur opposé, les cuisses écartées. Je viens vers elle à 4 pattes et, posant des baisers en remontant le long de sa cuisse droite, je lèche délicatement son clitoris déjà gonflé par ses propres soins. Jadore ce goût amer qui vient envahir ma bouche. Je pose un long baiser sur son sexe et le lèche en allant et venant de son anus à son clitoris. Je titille chaque rebord de sa vulve et de ses lèvres gonflées. Jai faim delle ! Jinsère ma langue dans son sexe et lagite en tous sens. Elle pose une main sur ma tête pour mordonner de continuer, mais ne dit cependant rien dintelligible tant elle jouit. Et pendant de longues secondes, qui deviennent des minutes, je lèche son sexe, y glissant un doigt, puis deux. Ces longs doigts de guitariste qui vont et viennent dans son sexe en visitant chaque recoinMa salive se mêle à sa cyprine qui dégouline sur ses cuisses et que je mempresse de lécher. Puis je remonte, passant une nouvelle fois sur son sexe que jembrasse comme si cétait une bouche, puis sur son nombril. Et jarrive à ses seins, énormes, que je prends à pleines mains.
Elle attrape ma tête à deux mains et mamène à sa bouche pour membrasser fougueusement. Sa langue pénètre férocement dans ma bouche tandis que sa main droite descend insidieusement empoigner mon sexe et linsérer dans le sien. Dun coup de rein brutal, je la pénètre fermement. Jempoigne ses fesses, que lâge a rendu volumineuse sans pour autant en altérer la fermeté, et la soulève entre le mur et moi pour la placer à hauteur de mon bassin. Je lui donne de véritables coups de boutoirs, qui font trembler le mur en poussant des soupirs proches du râle bestial. Elle jouit en gémissant, ses chevilles viennent se nouer dans mon dos, ses cuisses se crispent autour de mes hanches. Mes coups de reins se font lents et profonds, je mapplique à prendre de lélan à chaque fois, comme si son vagin était un trou sans fond que je cherchais à combler. Lorsque le manque de confort de notre position vient finalement à bout de mon énergie, elle repose ses pieds à terre, me repousse un peu et sallonge à même le parquet.
Je viens au dessus delle, glissant ma verge dans son intimité. Elle menlace la nuque et membrasse, doucement cette fois, remuant légèrement son bassin. Je lembrasse dans le cou tout en la pénétrant doucement. Je me surprends à dire à cette femme de 46ans, qui me gardait jadis quand jétais enfant, que je suis fou delle. Je marc-boute sur mes bras pour la pénétrer à un bon rythme. Elle me regarde avec un sourire en poussant de petits soupirs, je lis dans ses yeux une forme de contentement. Je suis en train de lui donner quelque chose quelle désire depuis longtemps. Et tandis que je la prends dans cette tendre position de missionnaire, elle caresse mon visage, mes têtons, elle griffe doucement mon dos et mes fesses. Je plonge mes yeux dans les siens, ces deux immenses yeux vert, tandis que je sens ses deux gros seins frôler mon torse au rythme de mes mouvements de bassin. Cette femme a 46ans, et elle est sublime. Jai envie de la contempler tout en lui faisant lamour. Je lui murmure :
-Viens au dessus, jai envie
-Mon bébé je vais temmener au ciel me répond-elle en se retournant tout ne mentrainant dans son mouvement.
Elle pose ses mains sur mon torse, assise à cheval sur moi, et amorce un mouvement de balancier avec ses fesses. Je suis plaqué au sol tant elle sappuie sur moi pour prendre son élan lorsque son bassin remonte. Et il redescend violemment, ses fesses viennent claquer sur moi avec un bruit caractéristique. Et elle renverse sa tête en arrière, poussant des cris de jouissance, en me chevauchant comme une monture de bataille. Ses énormes seins ballottent de haut en bas et je mempresse de les lui agripper. Partout sur son corps apparaissent les imperfections liées au temps, rides et cellulitemais ça la rend incroyablement belle. Et dans cette position où je me retrouve soumis à elle, son âge lui confère toute la noblesse et la grâce de lexpérience. En cet instant précis, où je suis emprisonné entre ces cuisses, elle est une déesse pour moi. Je soulève mon bassin du sol pour accompagner son mouvement et je la pénètre avec force. La jouissance approche. Elle le sent :
-Ça monte ? dit-elle de façon crue entre deux soupirs de jouissance
-Je crois
-Je vais te faire jouir comme jamais, dit elle en se retirant.
Elle sagenouille et maide à me relever, debout face à elle. Puis elle empoigne mon sexe et lamène entre ses seins. Elle les resserre lun contre lautre, coinçant mon sexe entre eux avec une force insoupçonnable. Moi qui nétais pas grand amateur de cette pratique, je suis en train den devenir dingue. Je pose une main sur son épaule et fais des va-et-vient dans cet étroit fourreau. Je trouvais que son vagin était serré, mais là, cest incroyable. Jai presque du mal à glisser. Elle lâche un peu de salive sur son entre sein pour le lubrifier, et fais elle-même un mouvement daller-retour en serrant sa poitrine. Lorsque mon gland se risque hors de cet étroit canyon, cest pour recevoir un coup de langue de ma belle partenaire.
-Ça te plaît dêtre entre mes seins ? Ten a rêvé, hein ?
« Oh oui jen ai rêvé », ai-je envie de dire, mais avant quune réponse ne vienne à ma bouche, je sens des spasmes animer mon sexe. Je commence à soupirer fortement, puis à pousser des gémissements. Elle relâche son étreinte, empoigne mon sexe dans ses deux mains et le secoue vigoureusement en le pointant vers son visage. Elle ferme les yeux en me masturbant comme si sa vie en dépendait. Je ne peux plus me retenir.
Un premier jet part sur sa joue droite, un second sur sa bouche légèrement entrouverte et un troisième sur son menton, tandis que la dernière goutte vient couler sur ses seins. Elle rouvre ses grands yeux et me regarde fixement toujours en tenant mon sexe, quelle vient lécher quelques instants, effectuant quatre succions sur le gland comme pour le nettoyer. Elle me relâche et me regarde sans mot dire. Elle ne sessuie même pas le visage et bien au contraire, me dit :
-Jai ta semence. Je peux te dire que je lai voulue, celle la ! Et tu ne mas pas déçu !…Ca te plaît de voir ton sperme sur mon visage ?
-Tu estu es incroyablelui dis-je timidement, ne sachant pas quoi répondre en contemplant son visage souillé par mon fluide. Un filin se forme sous son menton et coule juste entre ses seins.
-Je vais messuyer, dit-elle en se relevant. Mais je reviens tout de suite : je te lai dit : je nen ai pas fini avec toi ce soir !
Elle sort de la chambre en fermant la porte derrière elle. Jentends ses pas aller dans la salle de bain, et leau du lavabo couler. Lespace dun instant je ne sais pas trop quoi penser. Sorti de leuphorie provoquée par ce moment, je réalise quand même que je viens de coucher avec une personne qui me lisait des histoires étant petit. Mais cette séance de sexe et son aspect immoralquelle excitation ! Je ne médite guère plus longtemps, Marie me parle depuis la salle de bain, et sa voix étouffée par la porte fermée me lance :
-Remet ton soldat au garde à vous, jarrive !
Cette formulation me fait rire. Mais je mexécute et me masturbe, nayant guère de mal à penser à des choses stimulantes. Elle revient, toujours entièrement nue, le visage nettoyé de ma semence. La vision de son corps est un pur délice. La pénombre de la fin daprès-midi semblait sublimer ses formes. Une femme a toujours lair plus belle après lamour. Cétait infiniment vrai dans son cas. Elle sapproche de moi et empoigne mon sexe naturellement, prenant le relais de mon mouvement. Tout en secouant ma tige dun geste bien cadencé, elle sapproche de mon oreille.
-Dis-moi ce que tu veux. Tu veux ma bouche ? Mes seins ? dit elle dune voix chaude
-Je te veux toi, lui dis-je, surexcité
Elle pose un baiser sur ma bouche
-Ça ne me dit pas ce que je vais faire de ton joujou, là ! dit-elle en ricanant.
Elle réfléchit un instant et son visage prend une expression indescriptible, terriblement excitante, annonciatrice dune idée qui lui passait dans la tête et quelle allait me dévoiler avec satisfaction
-Tu veux mon cul ?
-Tu veux que je te sodomise ? répondis-je instantanément, fougueux dessayer cette pratique aussi fantasmée quinconnue
-Oui, dit-elle en se moquant de mon empressement soudain, ça te plairait ? Jai de quoi me lubrifier dans un des cartons. Attend 2min je vais tâcher de le retrouver.
Elle ressort de la chambre, me laissant nu avec mon érection. Je lentends remuer des cartons en bas, puis après quelques minutes qui mont paru bien longues, elle revient, un tube de gel lubrifiant à la main. Elle me dépose un petit baiser sur la bouche en passant devant moi pour sinstaller sur le petit lit de camp quelle avait installer pour passer sa dernière nuit dans cette maison. Elle sy pose à 4 pattes, les coudes sur le matelas, me présentant son sexe comme une fleur quil ne reste quà cueillir. Je ne résiste pas à lenvie de dévorer une vulve si bien présentée.
Je mapproche et donne des coups de langue sur ses fesses avant de lécher son sexe par petits à-coups. Je rentre ma langue dans ce trou si merveilleux, encore élargi la pénétration de mon sexe quelques minutes avant. Elle pousse de longs soupirs de contentement. Jaime lexciter de la sorte, mais il me prend lenvie de la surprendre réellement, et malgré une légère révulsion quant à cette idée, je passe ma langue sur son anus. Je ne pourrais pas dire quil y avait un « goût » particulier, déjà largement imprégné du goût de son sexe sur ma langue, mais cest en dépit de mon dégoût que je dépose de timides baisers sur ce petit trou. Jy risque timidement ma langue, qui entre de quelques millimètres. Lidée dinsérer mon sexe dans un endroit aussi étroit me rend fou. Je lèche plus hardiment son anus, en parcourant le contour. Elle perçoit bien tout à la fois mon dégoût et ma volonté de bien-faire.
-Tu es vraiment adorable, mon petit bébé, dit-elle comme pour mencourager.
Elle se retourne, mettant fin à cet anulingus de débutant et me dépose un baiser sur la bouche, suçant mes lèvres comme pour les laver de sa salive. Elle sécarte un peu et passe du gel sur son anus, elle insère un doigt dedans pour lubrifier doucement lintérieur, puis elle laisse couler un filet de gel sur mon sexe qui frétille à ce contact froid. Elle lâche la bouteille à terre et revient en position de levrette. Sans mot dire, je magenouille derrière elle et place mon gland à lentrée de son postérieur. Et je pousse lentement mon sexe vers lintérieur. Elle a de petits gémissements évoquant plus la douleur que le plaisir.
-Continuetout doucementcomme çacontinuedit-elle avec une voix pleine dappréhension.
Quand je suis installé en elle, mon sexe serré à lextrême, jentame un va et vient timide. Mes mains viennent se poser sur les hanches de Marie, qui gémit à chacun de mes coups de reins délicats. Elle mencourage néanmoins à y aller plus fort, et je mexécute peu à peu. De plus en plus vite, en allant de plus en plus profond, je ne tarde pas à imposer une cadence denfer à la belle, qui crie à pleine voix son plaisir autant que sa douleur. Car elle est bel et bien tiraillée entre les deux. Mais elle me demande de continuer. Je me sens devenir animal. Prenant appui sur ses hanches, je dévaste son arrière-train comme si cétait mon objectif. Jamais je nai entendu une femme pousser des cris comme elle le faisait. Elle semblait en transe. Lorsque je la pénètre un peu moins fort, cest elle qui vient empaler son anus dun geste du bassin sur mon sexe. Ce dernier, serré comme jamais il na pu lêtre auparavant, ne demande quà exploser, cest une question de minutes.
-Arrêteme dit-elle, arrête ça commence à me faire mal. Change de trou.
A la frustration de couper court à ma toute première sodomie succède immédiatement la joie de prendre en levrette ma partenaire. Je me retire de son anus et passe directement un peu en dessous, dans son vagin si accueillant. Et les coups de boutoir reprennent de plus belle. Cette fois elle jouit sans aucune douleur sous-jacente. Je ne résiste pas à lenvie de lui mettre une fessée.
-Ouch, fait elle entre deux gémissements de plaisir. Tu veux vraiment me faire mal toi ! Fais attention, je peux être méchante aussi!
-Ah oui ? Lui dis-je en lui claquant une deuxième fois les fesses
Je redouble de vigueur, sentant mes forces samenuiser. Elle jouit de toute la force de sa voix, narticulant plus rien de compréhensible si ce nest quelques « Oui ! Oui ! Encore ! » au rythme de mes boules claquant sous elle. Elle passe une main entre ses cuisses pour me les agripper et les malaxer tandis que je reviens à une cadence plus douce en soupirant daisance sous leffet dune telle caresse. Je reste même un moment immobile, mon sexe au fond delle, la laissant caresser mes bourses à loisir. Mes jambes sont crampées et ruisselante. Elle est comme abasourdie par les sensations que je viens de lui donner, et retombe lentement du petit nuage sur lequel un puissant orgasme lavait mené. Elle retire mon sexe du sien en se penchant en avant, se retourne et se met en devoir de me sucer, allongée face à moi, qui reste à genoux sans réagir. Cette bouchejen suis dingue.
-Tu es fatigué mon bébé ! Tu veux que je te finisse comment ? Tu veux encore mes seins ? dit-elle en donnant de léger coups de langue à mon sexe.
Ce nétait pas vraiment une question. Sans que je réponde quoi que ce soit, elle se lève, puis agenouillée au pied du lit, me tire par les jambes pour que je massoie au bord, mon sexe à hauteur de sa poitrine. Elle my insère, resserrant ses seins de ses deux mains, maintenant mon sexe entre eux en formant une barrière avec ses deux doigts. Et elle fait aller ses deux lobes de haut en bas. Elle sapplique ardemment, posant parfois un baiser sur mon ventre. Je la regarde saffairer, écartant de mes mains ses cheveux pour pouvoir la regarder me faire jouir entre ses seins. Au moment où je commence à pousser des soupirs prononcés, elle accélère le mouvement de sa poitrine, en me murmurant :
-Oui, cest bien, viens sur mes seins ! Viens sur mes seins ! Cest bien
Et elle ne tarde pas à être exaucée, ma semence partant en un jet dans son cou qui retombe sur ses seins et sur mon gland, et deux autres jets viennent finir dinonder son buste. Elle rit.
-Tu ne résistes pas à ça, hein ? Ça fait tout chaud sur ma peau.
Elle saisit un filet de mon sperme et le porte à sa bouche, suçant ses doigts longuement. Puis elle se relève sur moi pour venir membrasser. Et par ses lèvres, je goûte ma semence, tandis que ses seins couverts de cette glue blanchâtre en étalent sur mon torse en se frottant à moi. Elle membrasse longuement, partageant mon sperme avec moi, et vient lécher celui qui se trouve sur mon torse tandis que je reste allongé, contemplant le plafond blanc en savourant la chaleur de sa bouche récoltant ce nectar sur ma peau. Quand plus aucune goutte na échappé à sa langue, elle vient à mon oreille et me dit :
« Je taime »