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Comment, à 18 ans, j'ai été perverti – Chapitre 4




Sous la douche, Roger se comporta normalement, aucun attouchement, aucune allusion à ce qui venait de se passer, juste 2 hommes qui se lavent, sans aucune excitation palpable.

Pourtant, dans ma tête, des millions de questions se télescopaient… Que vais-je devenir ? Est-ce que c’est fini avec les femmes (ça n’avait pas vraiment commencé mais bon, c’était quand même jusqu’à présent le centre de mes préoccupations sexuelles) ? Étais-je définitivement devenu ce qu’on appelle une tapette ? Aurais-je autant de plaisir avec une femme ? Pourrais-je me comporter "normalement" en présence d’un homme ? Etc.

Roger sentit peut-être mon trouble.

Lui : "Eh beh ! Ça turbine dans ta tête on dirait !"

Moi : "C’est vrai, je, je…"

Lui : "Ça te fait peur tout ça ?"

Moi : "Ouais, un peu… Je ne pensais pas que c’était possible, je ne l’avais jamais imaginé en fait !"

Lui : "Tu as une copine ?"

Moi : "Non, mais j’adore les femmes !"

Lui : "Tu as déjà couché ou fait des trucs avec une femme ?"

Moi : "Pas vraiment, si ce n’est des attouchements avec quelques copines, surtout les seins, que j’adore voir et toucher, mais je n’ai jamais été plus loin avec une femme…"

Lui : "Pourquoi ? Pas eu l’occasion ?"

Moi : "Oui, c’est ça ! J’aimerais bien connaître ça, coucher avec une femme !"

Lui : "Tu sais, moi, j’aime les femmes aussi, j’ai été marié pendant 25 ans et j’ai même des enfants !

J’ai aujourd’hui des maîtresses et des amants, et je peux choisir à la carte !"

Moi : "Ah bon ?! C’est possible ça ?"

Lui : "Bien sûr ! Tu sais, tu as le temps, tu verras bien… Mais maintenant, tu es fort de savoir ce que c’est que d’être pénétré, tu peux imaginer un peu ce qu’une femme ressent, même si ce n’est pas pareil, parce que nous ne sommes pas faits de la même manière, mais tu connais la sensation d’envahissement d’une queue en soi, par la bouche et par l’anus."

Avec cet argument, il venait de me convaincre que tout ça pouvait être bénéfique pour ma vie future, peut-être à tort mais en tout cas, ça me rassura.

Lui : "Viens voir, j’ai des choses à te montrer…"

Après nous être bien séchés, il m’entraîna dans une salle au fond d’un couloir. 

C’était une sorte de bureau mais sans fenêtre, avec des fils tendus d’un mur à l’autre.

Lui : "Tu as dû remarquer que ma boutique était audio ET photo je suppose… ?"

"J’ai une passion pour la photo et comme j’ai mon propre laboratoire, je peux développer moi-même mes clichés, tu vois ce que je veux dire ?"

Je ne voyais pas vraiment, innocent que j’étais, mais je n’allais pas tarder à comprendre….

Lui : "Ces fils, c’est pour faire sécher les photos, ces bacs, c’est pour les développer, et tu vois ces étagères derrière ? Ce sont tous mes albums "spéciaux" ou "privés" si tu préfères…"

Soudain, ma curiosité fut réveillée…

Lui : "Tu veux voir ?"

Moi : "Euh, ouais, pourquoi pas…"

Lui : "J’te préviens, ce que tu vas voir, je ne le montre quasiment à personne et ça doit rester secret, ok ?"

Moi : "Ok"

Il me tendit un album sur lequel était écrit "Yann & Françoise Mars 79"

J’y découvris des clichés exclusivement en noir & blanc.

On y voyait d’abord un couple, Yann et Françoise je suppose, attablés dans le salon de Roger, en tenues plutôt classe, devant ce qu’on pourrait croire être un bon repas, si on s’en réfère aux couverts et à l’ambiance chandelles. Le couple, très souriant, pose volontiers.

Puis, au fur et à mesure que les pages avancent, les tenues deviennent de plus en plus légères, enfin, surtout celle de Françoise qui se retrouve en petite tenue alors que Yann est encore habillé de son pantalon de smoking.

On y voit ensuite Françoise prodiguer une fellation en gros plan à Yann dont la queue est juste sortie de la braguette du pantalon.

Ce couple avait dans les 45 ans je dirais, au moment des prises de vues.

Moi : "Purée ! Mais comment tu as pu faire ça ? Ils on l’air d’aimer se montrer en tout cas !"

Lui : "Oui, et ce ne sont pas les seuls ! Vas-y, tourne les pages !"

Je fus stupéfait… Les clichés devinrent rapidement plus chauds… On y voyait Françoise attachée sur un lit, les membres en croix et les yeux bandés, puis une série sur son sexe largement ouvert dans lequel divers objets y étaient introduits, de plus en plus gros.

Ensuite suivirent des clichés en plans plus larges où Yann pénétrait Françoise, toujours attachée, aussi bien par la bouche que la chatte.

Les plans devinrent fixes, certainement pris depuis un pied dont l’emplacement avait été bien choisi pour son angle de vue. Cette fois-ci, Roger apparaissait sur les clichés, en même temps que Yann. Françoise était maintenant détachée et pénétrée de toutes parts, même par l’anus, et finissait en double pénétration, possibilité que je n’avais jamais imaginée. 

Mais il y avait un détail troublant, c’était la proximité entre Yann et Roger durant ces scènes.

En effet, régulièrement, on pouvait voir Roger toucher clairement Yann au niveau du sexe ou des hanches.

La suite expliqua ces détails : Roger pénétrait Yann en train de se faire sucer par Françoise !

Je n’aurais jamais imaginé qu’on pouvait envisager de telles combinaisons ! Ainsi, hommes et femmes pouvaient cohabiter dans une sexualité tous azimuts…

Lui : "Tu vois ?! Ça reste ouvert ! Tu peux très bien avoir des relations avec des femmes et des hommes, on appelle ça être bisexuel. Je le suis et tu l’es peut-être aussi, c’est l’avenir qui te le dira."

J’étais stupéfait !

Lui : "Tu veux bien poser pour moi ?"

Moi : "Heu… Ouais, pourquoi pas. Là ? Maintenant ?"

Lui "Tu es pressé de partir ? Tu as un rendez-vous avec une copine ?"

Et il se mit à rire à gorge déployée… Mais il redevint très vite sérieux.

"Oui, là, tout de suite, j’ai envie de te prendre… en photos…"

Cette idée me fit tressaillir et surtout, bander.

"Ah, je vois que l’idée te plait !"

J’avais même oublié que nous étions encore nus, tellement j’étais captivé par ce qu’il venait de me faire découvrir.

"Tu as un corps superbe ! Tu es très photogénique ! Dommage que je sois obligé de garder tout ça pour moi… Ça ferait le bonheur d’amateurs qui paieraient à prix d’or des clichés de ton corps juvénile !"

Soudain, je pris conscience de l’érotisation de mon corps, que s’il n’attirait pas forcément les filles, du fait de ma petite taille, des hommes pouvaient flasher dessus et vouloir le posséder.

Je bandais à me faire mal.

Roger se saisit d’un appareil photo qui me paraissait énorme à côté des Kodak Instamatic que j’avais pu déjà utiliser, pris un pied en passant, sortit de son atelier photo et se dirigea vers un escalier.

Lui "Tu viens ? On monte à l’étage."

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