Le lendemain, je me rendais en cours, toute émoustillée par ce qui sétait passé la veille. Pendant tous mes cours, je ne pus m’empêcher de me remémorer les sensations. Nous étions vendredi et le week-end approchait à grands pas. Et je comptais bien en faire profiter Christian. Enfin arrivait le cours de technologie, ma classe et moi-même entrions dans la classe. Je me mis à ma place habituelle, croisant le regard plein de désir de mon professeur. Il nous demanda de nous installer ainsi que d’ouvrir nos sessions sur les ordinateurs. Bien sûr, j’étais encore seule au premier rang. Alors que les élèves s’affairaient à l’exercice, Christian s’approcha de moi.
-Voyez-vous, Océane, fit-il pour donner l’impression que j’étais une élève lambda. Il vaut mieux glisser ce paquet de bits dans cet emplacement….
Il choisissait précisément ses mots afin de me mettre les feux au bas ventre. Pendant ce temps, il écartait ma culotte, puis mes grandes lèvres, pour m’insérer dans mon intimité, un objet dont je ne connaissais pas encore la nature. Il me fit son fameux sourire pervers, et me caressa une dernière fois mon minou avant de retourner à son bureau, d’un air satisfait. Je fronçais les sourcils, jusqu’à ce qu’il me montre une petite télécommande.
Il appuya sur le premier bouton.
Je sursautais. Il avait glissé un uf vibrant dans mon intimité et il venait de l’activer. Les vibrations me faisaient tellement de bien. Elles étaient à la fois tendres et lentes. Elles ne faisaient que m’exciter davantage.
Le cours se déroulait plutôt bien, jusqu’à ce que, à la fin de la première demi-heure, où il mit la barre au-dessus. Les vibrations étaient plus abruptes, plus soudaines, et plus saccadées. Je mettais toutes mes forces à ne laisser s’échapper aucun gémissement, aucun petit signe pouvant trahir mon état d’excitation. Cependant, j’étais quasi sûre que toute la classe avait pu remarquer les rougeurs sur mes joues. Soudain, le principal déboula, avant de nous demander, un par un, de sortir dans le couloir, pour nous faire un compte rendu général de notre année. J’étais la première de l’alphabet. Lorsque le proviseur m’appela, ce ne fut que pour d’apostropher, pendant environ deux minutes. Mais, au lieu de retourner en cours, il me fit savoir que Christian avait besoin de moi pour ranger la salle pour la réunion de ce soir, car j’étais déléguée en chef. J’acceptais avec joie, espérant que je puisse enfin retirer cet oeuf qui me mettait à la torture depuis quarante minutes. J’aurais très bien pu l’enlever avant, mais il aurait fait un horrible bruit de vibration, que j’aurais eu du mal à expliquer à mes camarades.
Bref, je montais au deuxième étage, avec difficulté tant ma vulve se contractait, rejoignant mon amant dans la salle de permanence.
Il s’approcha de moi. Je sentis mes tétons se durcirent, plus qu’ils ne l’étaient encore, et je mordis la langue tant j’étais excitée. Il s’approcha de moi et m’embrassa langoureusement avant de me questionner:
-Mon cadeau te plait?
-Je… Ôte-le je… J’en… peux plus…
-Humm… Attends un peu….
-Christian, tu me mets à la torture! Enlève-le je… Prends-moi, ça fait je ne sais combien de fois…que je me retiens de jouir…
-Mais tu n’es pas obligée de te retenir, dit-il en souriant coquinement et me poussant vers une grande table.
-Mais je… Bégayais-je en m’asseyant dessus, mes jambes tremblant.
-Attends, je vais t’aider, me dit-il en sortant de nouveau sa télécommande, avant d’appuyer sur un nouveau bouton.
-Ahhhhhhh! Christian!!! Oui oui oui !!! Vas-y oui fait moi venir, je n’en peux plus!!!!
Je vis son sourire et son regard lubrique alors que j’écartais inconsciemment les jambes, succombant aux plaisirs interdits. En plus, mon tortionnaire s’amusa à faire rentrer doucement puis à retirer le sextoy.
-Ça y est….Oui!!! Oui!!! Ouiiiiiiiiiiiiiii!!!!
Je jouis en un grand cri. Une fois, deux fois trois fois.
-Christian! Enlève-le!!
Il l’ôta alors que je jouissais pour la quatrième fois.
-Enfin… Haletais-je. Tu…as voulu… Me mettre à.. La torture?
-Non. Simplement te voir avec tes multiples orgasmes. Tu es plus que parfaite.
-Plus? Attends, je vais te montrer…
Je marchais aussi vite que mes jambes secouées par l’orgasme pouvaient me permettre. Je me mis à genoux devant lui et sortit juste le membre imposant. Je le pris entre mes seins et commença à le masser. Je sentis mon Christian traversé par un spasme de plaisir.
-Oh….Océane c’est bon… Oui…
Je récupérais un peu de mouille de mon vagin pour l’étaler avec distinction dessus, récupérant également l’uf délaissé.
Si quelqu’un entrait, il aurait été surpris par le spectacle. Je le mis dans une joue, continuant mon massage, et pris le gland en bouche. L’uf vibrait sur le bout de l’aine de mon professeur, le faisant se tordre de plaisir. Il ne lui fallut que quelques minutes avant d’exprimer sa montée au septième ciel en éjaculant fortement dans ma bouche.
Je reçus le liquide blanc et l’aspirai. Je me relevais, laissant ma langue se balader sur son corps crispé, avant de l’embrasser.
À ma grande surprise, son membre ne s’affaissa pas trop, et je n’eus qu’à lui faire quelques massages, vas et viens longs et sensuels, avant qu’il ne redevienne droit comme un roc. Il titilla mon bouton gonflé quelques minutes.
-Christian! protestais-je. Tu crois ne pas m’avoir fait attendre assez longtemps?!
Mon empressement le fit rire, mais me fourra immédiatement, m’arrachant un cri de bien-être intense. Il ne donnait que de grands coups de butoir et moi, je n’arrêtais pas de me cambrer pour qu’il aille toujours plus profond. Mes parois se contractèrent, mes muscles se tendirent et je me laissais aller, avant de quitter la terre pour le septième ciel, main dans la main avec Christian. Nous quittâmes alors la salle de réunion, témoin de nos ébats.
