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Les aventures d'un étudiant en lettre – Chapitre 6




Le temps des cours est revenu, mes souvenirs me hantent, mon sexe en veut toujours plus.

Les heures paraissent interminables et ma copine a ses règles, je nai même plus ce petit plaisir quotidien, nous sommes le 17 mars et je me sens mal.

Tout aveuglé par ma quête du plaisir sensuel, jen oublie mes études, jy pense à longueur de jour et de nuit, le sexe ma envahi lesprit. En ce mercredi, je navais rien prévu de laprès-midi quand Chloé, une amie qui est à la fac me propose une séance de shopping. Elle avait besoin de se remonter le moral après que son copain leut plaquée pour une autre. Pourtant elle est jolie, Chloé, avec son mètre 80, ses longs cheveux auburn attachés par un crayon de papier, sa petite poitrine et son corps sportif. En effet, elle pratique le badminton depuis très longtemps, ce qui lui donne des cuisses de rêves.

En fac de droit depuis 2 ans, elle semble toujours triste, pourtant Chloé, elle a un si joli sourire. Ce jour là, on se retrouve en face de la gare, elle arrive avec une petite jupe bleu marine et un débardeur clair surmonté dune veste noire. Ses bottes rythment ses pas.

En sapprochant je remarque un maquillage non négligeable, rouge très vif, ses yeux sont soulignés par un coup de crayon bleuté. Le tout créé une harmonie sublime, un réel effet densemble structuré. Elle a toujours su shabiller.

La bise, et cest parti pour des heures dans une multitude de magasins pour trouver son bonheur. Du rouge, du bleu, du vert, du mauve, les couleurs défilent et me font chavirer, elle essaye, achète à une vitesse folle. Mes bras sont déjà chargés de paquets de toutes marques. Ne pouvant plus porter, ni elle, ni moi, nous avons décidé de confier ces trésors à la consigne du centre commercial avant de repartir dans les folles aventures du monde de la mode.

Peu après nous entrons dans une boutique à la vitrine large. Elle commence et choisit une bonne dizaine de vêtements, du soutien-gorge au pantalon en passant pour le débardeur.

Une fois de plus, elle rentre dans la cabine dessayage. Je remarque que les rayons sont bondés de badauds qui ne prêtent guère attention à moi, jen profite pour me faufiler à lintérieur de la cabine.

« Qu’est ce que tu fais là ? sécria-t-elle

-Je mennuyais dehors, je suis sur que tu en as pour une plombe, autant resté avec toi

-Mais hésita-t-elle, je dois essayer des soutifs et des culottes

-Je fermerai les yeux ! »

Elle savait pertinemment que je mentais mais ne fit rien pour me faire sortir. Je profite du temps où elle se déshabille pour vérifier quil ny ait de caméra de surveillance, puis je me mets à lui caresser la hanche, attiré par un instinct bestial grandissant. Elle ne bouge pas et se contente dun regard mi-offensé, mi-amusé. Entraîné par sa réaction ou plutôt par son manque de réaction, je décide de faire glisser mes mains sur son petit cul. Au même instant, elle enlève sa jupe pour essayer un pantalon, son string noir transparent me donne un aperçu de toute son anatomie : un pubis bien taillé en triangle, une belle fente et je remarque même une petite tache de mouille. Pendant quelle essaye son article mes mains baladeuses frôlent ses petits seins ; la tache de mouille sest agrandie. Puis viens le tour des soutien-gorge, elle laisse à lair libre ses seins à forme de noisettes, il nen faut pas plus que ma queue décide de me rappeler sa présence par un durcissement remarquable. Je ne sais pas si elle sen est rendu compte, mais elle continue sans laisser paraître aucune trace dexcitation. Puis vient le tour des culottes, alors la narguant dune voix étranglée je lui lance :

«Tu vas pas les essayer alors que tas plein de mouille sur la chatte quand même ?

Surprise elle rétorqua :

— Tas quà venir me la nettoyer si tes si malin !»

Sans la faire attendre, jétais déjà agenouillé dans la cabine dessayage, ma langue dans sa moule bien ferme et bien juteuse. Elle gémit légèrement puis ajouta : « cest bon elle va être propre maintenant ». Je retirai ma langue avec douceur, et elle recommençait son manège de tissus à mon grand désarroi. Devant ma mine défaite elle me rassura : « tinquiètes on reprend après ». Mon sang pulsa dans mes veines et tout mon corps ressenti une chaleur immense. Les parfums de son sexe me parvenait et renforçait encore davantage cette excitation malgré le lieu incongru. En effet il y a peu despace, un grand miroir et une petite planche de moi le long dun des murs. La peur dêtre découvert me fit hésiter, mais le désir de ce triangle du bonheur me conforta dans mes primes intentions.

Dès quil ny eut plus détoffes à essayer, je repris mon travail, une jambe contre un mur elle ouvrait la voie pour ma langue vicieuse. Très rapidement elle a émit des petits couinements brefs saccadés. Ayant peur dattirer lattention des passants, elle préféra me tailler une bonne pipe. Courbée elle léchait avec application mon gland, le but était simplement de faciliter la pénétration à venir, le lieu à lui seul nous procurait un plaisir incommensurable. Prenant appui face au miroir, elle se penche et me supplie de la faire vibrer avec ma queue. Jexécute son ordre et nous voila imbriqués lun dans lautre au cur dune cabine dessayage. Le miroir me montrait son expression de bonheur, la bouche ouverte, les yeux mi-clos, elle tentait de ne pas faire de bruit. Le résultat fut pire que mieux, car les sons quelle émit alors semblait être un accouplement de dauphin et de chihuahua. Je ne saurai dire si elle a joui pendant ce laps de temps très réduit qui nous était offert. On change de position, elle, adossée contre le mur, les bras et les jambes enlacés autour de mon corps, moi debout la soutenant et enchaînant les va et vient avec force et détermination. Je ne voulais pas lenculer de peur quelle ne criât trop fort, mais jaugmentais le volume des coups de queue jusquaux claquements. Elle poussa, un hurlement bref, très aigu qui mindiqua son orgasme, son visage sétait contracté, son corps avait pris une teinte rougeoyante et son sexe liquéfié me mouillait le pubis. Je remarquai une petite éjaculation, quand je décidai de me retirer, elle sagenouilla et me branla dune force inimaginable, si bien quen quelques secondes javais répendu un nuage de sperme frais sur tout son corps, surtout ses seins, le liquide encore tiède lui coula le long de labdomen, longea ses reins et vint se lover dans ses poils pubiens. Nous avons nettoyé comme on a pu à laide de culotte et de débardeurs avant de filer méticuleusement vers la caisse laissant derrière nous une cabine souillée par de la mouille et du sperme, dans une odeur de dessous de couette un lundi matin.

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