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Un certain samedi matin… – Chapitre 1




Dans le lit, une nouvelle odeur familière fit sentir son indésirable présence.

« Hum ! Qui a pété encore ? »

Une petite voix étouffée s’éleva sous les draps :

« J’pense que c’est moi… M’excuse !!

— Sophie, dit Catherine, prenant la parole à son tour, retiens-toi un peu. T’es pas toute seule dans le lit !

— Qu’on soit deux ou trois comme maintenant, ça ne fait pas de différence pour elle, fit remarquer Alicia en se retournant sur le dos, enveloppée de sa couette. »

Samedi matin, enfin le week-end ! Les trois filles flemmardaient dans le lit Queen des tourterelles, celles-ci ayant invité Catherine à se joindre à leurs ébats de la veille. Malgré les vapeurs émanant des entrailles de Sophie la péteuse, personne n’était motivé à poser un pied par terre.

« Tu pètes tout le temps quand on se gouine ! la réprimanda Catherine.

— Oh, laisse-la faire, elle est comme ça, répondit Alicia prenant la défense de sa conjointe. Rappelle-toi au Resort, mes pets sentaient ben pire que ça.

— Ben vous savez, les filles, Ya qu’un moyen d’arrêter ça chez moi, voulut préciser Sophie.

— On le sait, approuva Catherine. C’est de t’enculer bien à fond et de te ramoner le porte-crottes jusqu’à ce que tu fondes de plaisir !

— Bon ben, qu’est-ce que vous attendez ? fit la coquine rouquine en soulevant ses draps, exposant sa nudité complète et en adoptant la position de levrette.

— Et voilà, c’est reparti ! annonça Alicia qui rattachait son gode au harnais qu’elle avait gardé fixé sur elle pendant sa nuit de sommeil. »

Sophie, à quatre pattes, vint se placer au-dessus d’Alicia toujours sur le dos et s’approcha d’elle pour un baiser alors que Catherine, son propre gode-ceinture bien fixé à sa taille, s’agenouillait derrière la jeune psychologue, prête à la réintroduire de nouveau.

« T’es rien qu’une petite péteuse et une petite salope, Sophie Durocher, réprimanda faussement la fille aux cheveux couleur d’ébène avant de replonger sa langue dans la bouche de l’autre. »

Alors que les deux gouines s’embrassaient, Catherine approcha son visage du cul de Sophie qui se trémoussait devant elle dans une folle expectative. Posant ses mains sur les hanches afin d’immobiliser les mouvements de la petite excitée, la blonde se remit à lui chatouiller la rondelle avec la langue, histoire de valider la lubrification adéquate des muqueuses qui l’appelaient encore fébrilement. Catherine goûta de nouveau au gel parfumé et légèrement sucré qui avait tapissé toute la région périnéale et le minou de la fille, ayant séché partiellement sur la petite repousse pileuse de la fille qui avait laissé de côté son rasoir depuis quelques jours. Ayant refourré son organe lingual loin dans l’anus chaud et sucré, la blonde se retira promptement :

« Tes petits gaz annonçaient de la visite, chérie, annonça-t-elle à la rouquine qui faisait toujours valser sa langue avec celle d’Alicia. Allez ! Va faire ton petit tour à la toilette !

— Oh zut alors ! fit l’autre en se relevant. OK, d’abord, on va y aller, mais gardez ma place, je vous surveille de loin ! »

Alors que Sophie s’éloignait de ses compagnes de jeux sexuels en continuant de pétarader discrètement, Catherine s’approcha d’Alicia pour lui fourrer, à son tour, sa langue dans la bouche humide et chaude. Les deux filles s’enlacèrent. Les mains de Catherine quittèrent le cou de l’autre pour aller caresser des seins tièdes dont les mamelons érigés étaient enduits de salive séchée des ébats passés. Sétant défaite de son gode-ceinture, Alicia écarta ses jambes, replia les genoux et invita la blonde à reprendre possession de sa chatte aux poils noirs et drus.

« Allez, garde Blondin, simulant le contexte du milieu du travail, veuillez répondre promptement à la libido de votre patiente par des stimulations bien ciblées et adéquates !

— Vous voulez dire, docteur, que vous voulez que je vous fasse jouir comme une cochonne ?

— C’est ça, garde Blondin. Prescription ouverte. Et stat, ma garde ! »

Ayant pouffé de rire, l’infirmière s’attarda à peine sur les nichons de sa patronne et concentra son activité dans l’introduction de son gode luisant dans le vagin bouillant et glissant qui réclamait son traitement’. De doux va-et-vient profondément dirigés dans la grotte d’amour de la grande noire eurent tôt fait de tirer d’elle ses premiers gémissements de plaisir :

« Oui, vas-y Cathy. Encore, plus fort ! Pousse à fond sur le col, ça résonne partout dans le ventre. OUI, OUI, OUI, OUI ! Ah, salope ! T’es rien qu’une salope, Catherine Blondin, je t’adore ! »

Tout en se mettant à couiner de plaisir, la doc connut une transe de jouissance pendant laquelle Catherine sentit le serrement opéré sur l’instrument qui glissait plus difficilement dans le vagin de sa compagne. Adoptant une cadence plus lente, la blonde se rapprocha de celle qui était maintenant dans les vap’ et l’embrassa sauvagement de nouveau, les deux filles bavant l’une sur les joues de l’autre dans une étreinte qui ne fit qu’un de leurs deux corps.

Sophie revint au lit sur l’entrefaite, complètement propre et les intestins vidés.

« Vous avez gardé ma place, comme j’avais demandé ?

— Euh, on a rien fait ! affirma Alicia, sourire en coin.

— Ouais, ouais, j’suis pas sourde, imaginez-vous donc ! Laissez-moi voir ça ! »

Sophie écarta les jambes de sa conjointe qui était demeurée sur le dos et vint fourrer sa langue dans sa grotte dégoulinante de mouille et de lubrifiant :

« Ouais, fit-elle avec une moue. C’est tout chaud encore ce trou-là. C’est tout juste si ça ne fume pas tellement ça a chauffé ! Approche ton gode, Cathy ! »

Enveloppant l’instrument de ses lèvres et se mettant à le sucer profondément, Sophie en vérifia la saveur et la température :

« Pis vous me dites qu’il s’est rien passé ! »

Sophie s’agenouilla, entourant Alicia de ses genoux, et lui présenta l’anus au visage tout en faisant face à Catherine qui trônait au pied du lit.

« Pour ta pénitence, Mademoiselle Ali, ordonna la rouquine, tu vas de nouveau me préparer le trou de cul avec ta graisse de babine !

— Oh ! Mademoiselle s’est non seulement nettoyé, mais s’est aussi parfumé son beau petit derrière ! fit une Alicia amusée qui s’était attelée à l’agréable tâche.

– Envoye, grouille, femme infidèle ! reprit Sophie. Lèche-moi bien le cul qui va cette fois-ci se faire prendre par ton amante ! »

Elle leur tira aux deux ostensiblement la langue, puis :

« Vous êtes toutes deux des infidèles ! »

Puis, avec un sourire et une voix plus douce :

« Mais je vous adore ! »

Ce disant, la rouquine offrit à Catherine ses lèvres pour un autre baiser passionné et pervers.

De nouveau en levrette, la jeune qui s’était fait abondamment lubrifier la rondelle par sa conjointe, attendait fébrilement la reprise des manuvres amoureuses de Catherine dans son petit derrière en chaleur.

« T’es prête, mon amour ? demanda-t-elle à celle qui allait la sodomiser. Allez, défonce ! »

Catherine apposa une langue coquine sur les chaudes fesses de Sophie. Le mouvement de léchage prit naissance sur le papillon tatoué sur la fesse droite, remonta jusqu’en haut de la raie et descendit sur cette dernière en contournant une rondelle luisante et chaude mais momentanément déçue pour atterrir sur des petites lèvres humides et un clito à moitié décapuchonné. Sophie effectuait malgré elle des mouvements de cambrure pendant ces préliminaires, poussant de légers gémissements à l’occasion. Alicia se tenait sous elle, agrippant ses nichons de ses lèvres pulpeuses pour les sucer et en titiller les tétons de sa langue.

« Ah, ça, ça sent bon ! dit Catherine, satisfaite de l’hygiène que venait de subir le cul qui s’offrait à elle. Rien de tel qu’un derrière qui sent les fesses de bébé propres et non pas le C-A-C-A !

— Allez, fit Sophie, perdant un peu patience. Attends pas de rencontrer mon souper d’hier soir ! Défonce, que je te dis ! »

Sans plus attendre, ayant gloussé de rire devant cette dernière exhortation, Catherine fit sentir la lourdeur du gode à l’entrée de l’anus de la rouquine qui se remit à soupirer de désir et de plaisir.

« Pousse, pousse à fond, bébé. Je veux te sentir jusque dans la gorge !

— Faudrait que je mette des rallonges, plaisanta la blonde, mais on va essayer ! »

Sophie accueillit par un long râlement l’introduction du faux pénis dans son petit trou. L’agression, aussi douloureuse que plaisante, se fit par d’habiles à-coups dirigés par la blonde qui avait parfaitement acquis la maîtrise de la technique depuis les timides mouvements qu’elle avait affichés dans l’histoire du Resort. La rousse sentit avec volupté les mouvements profonds du sex-toy qui s’était emparé d’elle, alors qu’elle s’abandonnait également aux caresses buccales et linguales qu’Alicia, positionnée en 69 et la tête entre ses cuisses, lui faisait sur son bouton d’amour.

La rouquine demeurait insatiable et continuait de réclamer à grands cris violence auprès de la blonde qui la pilonnait de son mieux. Maintenant dans un état second, Sophie était déconnectée de la réalité, son corps entier enveloppé de tressaillements de plaisir sans fin. Voyant l’épuisement la guetter, Catherine fit un signe discret à Alicia tout en continuant doucement ses mouvements :

« On le fait ? demanda-t-elle à celle qui s’affairait sur le clito de l’enculée.

— Je crois qu’elle est mûre, annonça l’autre. Elle est vraiment insatiable, la petite salope !»

Sans dire un mot et à l’insu de Sophie qui continuait, la tête dans les nuages, de se trémousser dans sa position de sodomisée, Alicia fit un 180 degrés de rotation sous sa conjointe, se trouvant maintenant face-à-face avec cette dernière, et approcha le gode qu’elle portait de nouveau à la ceinture de celui que Catherine tenait bien enfourné dans le cul de la rouquine. Dans sa jouissance, Sophie ne tint pas compte de la nouvelle présence de l’instrument qui lui chatouillait le périnée. Alicia guida doucement son faux pénis généreusement lubrifié entre le gode enfoncé par Catherine et la muqueuse périnéale de la rouquine qui maintenait ses mouvements de cambrure. Sophie sentit alors un tiraillement tissulaire la prendre entre l’entrée du vagin et l’anus, tiraillement allant en s’amplifiant et intéressant résolument le sphincter anal externe.

« Hey ! Qu’est-ce que vous faites, les filles ?! Ça tire ben trop asteure !

— Pousse fort, ma biche ! fut la seule réponse adressée à la candidate à une double anale. Pousse de toutes tes forces, maintenant ! »

Parvenant à réprimer un léger mouvement de défense, la rouquine obtempéra, réalisant qu’elle se faisait maintenant doublement pénétrer dans une sodomie débridée. Alicia et Catherine, celle-ci gardant son instrument stabilisé dans le cul de Sophie, entendirent cette dernière grogner bruyamment de douleur alors qu’elle sentait son anus se dilater comme jamais sous les poussées dirigées par son gros minet qui lui servait une double portion d’enculage. Le gode numéro deux maintenant bien à fond dans le derrière de la rouquine, toutes s’allouèrent une pause-adaptation.

« Comment ça va, ma biche, demanda Alicia à sa conjointe ?

— Qu’on ne me demande jamais de courir après le bus amanchée de même ! fut l’unique réponse. »

Abondamment lubrifiés, godes et anus purent doucement recommencer à se frotter les uns contre les autres, Sophie ayant repris son souffle. La douleur chez la fille céda sa place à une bizarre sensation alliant plaisir et sensation de captivité totale, tout mouvement de sa part lui rappelant qu’elle appartenait maintenant à deux filles qui lui déchiraient avidement le cul à l’aide de leurs instruments.

« Arrêtez maintenant, s’il vous plaît ! Elle est plus capable, la fille, implora la rouquine, épuisée.

— Tiens, tiens, fit remarquer malicieusement Alicia, on vient d’atteindre le niveau du principe de Peter ! ajouta-t-elle en se retirant. »

Catherine se retira à son tour, puis, voyant la béance anale se présenter à elle, pouffa de rire :

« Hey, viens voir ça, Ali ! On dirait que son trou de cul nous parle !

— T’as raison, il essaie de marmonner quelque chose, on dirait ! En tout cas, si tous les trous de cul se présentaient à nous de la sorte, les vendeurs de spéculum ne feraient pas beaucoup d’argent !»

Alors que Sophie, immobile et haletante, conservait sa position de soumise, Alicia la surprit en apposant ses lèvres autour du sphincter encore grand ouvert et en lui insufflant le contenu de ses poumons, provoquant un bruit de gargouillement interne accompagné de la vive réaction de la fille :

« Hey, arrêtez ça, vous êtes en train de toute me ballonner !

— T’as pas fini de péter, ma belle ! fit coquinement la blonde, éclatant de rire devant ce spectacle inusité.

— Si je dois la réanimer, blagua alors Alicia à Catherine, rappelle-moi à quelle extrémité du tube digestif je dois faire mes insufflations ! »

Puis s’approchant du visage de sa bien-aimée :

« As-tu bien joui, ma chérie d’amour ?

— Ben certain que j’ai joui ! J’ai juste été un peu surprise au début, mais j’ai connu des sensations de vraie salope ! Mais je vais quand même me plaindre à l’APTCV ! ajouta-t-elle en émettant une première flatulence sonore.

— L’APTCV ? demanda Catherine.

— Oui : l’Association des propriétaires de trous de cul violentés ! Je vais adresser ma plainte en ligne. Que quelqu’un m’apporte ma tablette sans tarder ! »

Toutes pouffèrent de rire en s’enlaçant tendrement les unes les autres. Ces derniers ébats à trois poussèrent Alicia, qui s’était reculottée, vers la cuisine, accompagnée de Catherine qui, portant toujours son gode à la ceinture, réservait une surprise à sa compagne. Affamée, la doc entreprit de préparer à chacune un café. S’approchant par derrière, sur la pointe des pieds, de celle qui s’affairait sur la Keurig, la blonde déculotta rapidement la fille qui poussa un cri de surprise et lui fit sentir, entre les fesses, son gode glissant prêt à la sodomiser à son tour.

« Cathy ? C’est quoi ça ? Tu veux me prendre ici, comme ça, sur le comptoir ?

— T’as tout compris, ma chère ! fit l’autre en commençant à forcer la rondelle de celle qui avait couché sa poitrine nue sur le comptoir, les deux bras repliés, appuyant la tête sur ses mains. Avoue que tu aimes ça, toi aussi, te faire cochonner. Allez, avoue !

— Ou… oui, j’avoue ! J’avoue, maîtresse ! Enculez-moi à fond, mon cul vous appartient ! Oui, poussez, poussez à fond que je le sente bien me défoncer ! »

Les coups de butoir se faisaient entendre de l’autre pièce. Flic-flac, flic-flac, le bruit des chairs se frappant attirèrent une nouvelle participante dans cette orgie de plaisirs débridés et interdits. Par derrière, Sophie s’approcha doucement du couple en plein coït anal, perdu dans sa bulle de plaisir, lubrifia abondamment le pénis qu’elle venait d’accrocher à sa ceinture, et présenta son arme rigide entre les cuisses de Catherine qui continuait de pilonner Alicia sans retenue, alimentant les vifs cris de jouissance de cette dernière. D’un geste décidé, la rousse redressa son instrument et l’enfonça d’un coup à l’entrée de l’anus de la blonde tout en poussant la fille dans le dos afin de la faire pencher sur Alicia. D’un seul coup, le sphincter de la fille se fit traverser par le long objet cylindrique et envahissant. Surprise le temps d’un instant, Catherine stoppa ses mouvements dans le cul d’Alicia qui n’avait pas encore conscience de l’agression que l’autre subissait.

« Oh, Sophie, c’est bon ! se contenta de chuchoter Catherine. »

Alicia était analement possédée par Catherine qui à son tour était maintenant solidement enculée par Sophie. C’est à ce moment que Sophie amorça de doux mouvements dans le derrière de la blonde, histoire de lui permettre de s’adapter à son nouvel envahisseur. Accentuant par la suite ses poussées, la rouquine força sa possédée à pilonner plus profondément les entrailles d’Alicia qui s’abandonna ainsi aux mouvements combinés des deux filles qui la possédaient, dont une indirectement. Ce train anal improvisé s’étira sur une douzaine de minutes, arrachant à chaque fille des halètements mêlés de soupirs qui évoluèrent rapidement en plaintes, gémissements et cris de plaisirs exprimés librement. Sophie se sentait en plein contrôle de la situation, chacune de ses poussées se répercutant dans les entrailles d’Alicia après avoir traversé celles de Catherine. C’est d’un accord tacite que les trois femmes se séparèrent, gardant leurs positions respectives et terminant la séance par des stimulations linguales dans des anus libérés, Sophie titillant la rondelle béante de Catherine alors que celle-ci ramassait de la langue les sécrétions anales d’Alicia.

« Ouf, les filles, fit Alicia en prenant la parole. Elle était quelque chose, celle-là !

— Tu nous as bien eues, Sophie, ajouta Catherine en s’essuyant les fesses à l’aide d’un essuie-tout. T’es bonne pour recevoir mais également pour donner, ma cocotte !

— C’était ben le fun, approuva la rouquine. Alors, un bon café tout le monde ? Je m’en occupe ! Allez vous reposer les filles, sinon, de quoi aurons-nous l’air lundi au boulot ? »

FIN

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