Un soir ou nous étions tous les quatre devant la télé, une scène de sexe assez crue dans le film nous mis, ma sur et moi, en émois. Nos parents s’en rendirent rapidement compte et avant que nous n’ayons pu songer à nous soulager, ils dirent :
— Bon les enfants, on a pu se rendre compte que vous étiez sacrement curieux, et même un peu coquins, dis mon père en riant
— Et pour être honnête, nous sommes souvent bien plus excités quand vous venez nous voir faire l’amour, ajouta ma mère.
— Si vous en avez envie, votre mère et moi, on pourrait vous donner des cours à propos du sexe.
— On a déjà appris beaucoup de choses en vous regardant, dis ma sur
— Pourtant, on ne vous a jamais vraiment expliqué comment prendre du plaisir avec quelqu’un. Si vous voulez on pourrait essayer de faire ça de manière un peu plus "éducative", dis mon père en faisant les guillemets avec ses mains.
— C’est à dire ? en expliquant ce que vous faites ? ou en nous faisant participé ? Interrogeais-je avec des étoiles dans les yeux.
— On pourrait d’abord commencer par un cours illustré, et on pourra peut-être envisager des travaux pratiques, répondis ma mère
Je me tournais alors vers ma sur, ses tétons étaient fixés vers le plafond, et on distinguait clairement l’humidité de son entrejambe luisante. De mon côté je bandais comme un taureau. Nous avons acquiescé en même temps sourires aux lèvres. Mon père entreprit alors d’éteindre la télévision. Ma mère ouvrit ses jambes et entreprit de nous détailler en nous montrant avec ses mains, l’anatomie féminine de manière très scolaire.
— Commençons par les seins, leur taille varie d’une femme à l’autre, il y a l’aréole, et au centre le téton, dis t’elle en pinçant légèrement ceux-ci. Certaines femmes sont très sensibles et aiment beaucoup qu’on leur caresse les seins, d’autre moins. Même si j’apprécie qu’on me les caresse ce n’est pas ce que je préfère.
— Moi j’adore me caresser les tétons, dis ma sur, en pinçant légèrement ceux-ci.
— Passons au sexe de la femme, la chatte, la foune, la fente, je ne pense pas que je vais vous apprendre tous les noms qu’on lui donne. L’extérieur s’appelle la vulve en langage scientifique. Il y a les grandes lèvres, joignant le geste à la parole elle les caresse. Lorsqu’une femme est excitée, elles s’ouvrent pour dévoilées les petites lèvres, elle ouvrit alors de deux doigts ses grandes lèvres qui étaient déjà bien ouvertes. Au sommet des petites lèvres, il y a le clitoris. C’est l’organe du plaisir, il est très sensible, elle le caressa rapidement. Un petit peu plus bas, il y a le méat, on ne le voit pas bien car c’est un tout petit orifice, c’est par là que les femmes urinent, font pipi. En dessous, c’est le vagin. Elle fit coulisser un doigt dans celui-ci. C’est par là que rentre le pénis quand on fait l’amour, mais c’est aussi par la que sortent les bébés. Quand une femme est excitée, il s’humidifie en sécrétant de la cyprine dont le but est de le lubrifier le conduit. De cette façon le pénis coulisse bien à l’intérieur. Et comme vous pouvez le voir je suis plutôt excitée par la situation, dit-elle en souriant. Mais il peut aussi se dilater pour laisser passer un bébé. C’est une sensation très agréable quand il est pénétré. Je crois que tu as déjà découvert que c’était agréable, je t’ai vu y faire coulisser un doigt plusieurs fois.
— Oui mais je n’ose pas aller trop loin.
— C’est normal, quand une fille est vierge ça veut dire que l’hymen, une fine paroi ferme l’entrée du vagin, quand elle fait l’amour pour la première fois, l’homme brise cet hymen, ça peut saigner et être un peu douloureux, mais ensuite c’est très agréable on peut même jouir juste par la pénétration. Enfin tout en bas c’est l’anus. Chez certaines femmes c’est une zone très sensible, chez d’autres non, ça peut être très agréable d’être caresser ou même pénétrer par là. C’est une sensation très intéressante, et combinée à d’autres caresses j’aime beaucoup cette sensation.
Après avoir caressé son anus du bout du doigt, ma mère cède alors la place à mon père qui bande visiblement très fort.
— Alors chez les hommes c’est un peu plus simple, explique mon père. Vous avez la verge, avec au sommet le gland. Moi je suis circoncit. Ça veut dire qu’on a enlevé la peau du prépuce. Toi fiston tu dois décalotter pour qu’on voit ton gland.
— Comme ça, dis-je en joignant le geste à la parole en jouant l’élève modèle.
— Oui voilà, à la base du gland il y a le frein, c’est une zone très sensible, même si le gland en général est très sensible c’est ce qui nous donne du plaisir. Au-dessus, c’est le méat, c’est l’orifice par lequel sort l’urine, mais aussi le sperme. Les frottements sur les parois du vagin, de la bouche, dans une main, ou à l’intérieur de l’anus, dans le le rectum, provoque beaucoup de plaisir qui se termine, lorsque l’homme jouis, par une éjaculation. En dessous, c’est les testicules, c’est une zone sensible mais fragile, c’est le centre de production des spermatozoïdes. Les caresses douces dessus sont très agréable, mais peuvent être douloureuse si elles sont trop violentes ou maladroites. Et enfin comme chez les femmes, il y a l’anus. C’est une zone qui peut être très sensible chez les hommes aussi, et certains aiment qu’on leur caresse. Pour ma part j’apprécie ce genre de caresses de temps en temps.
— Comme vous avez pu le comprendre le sexe ce n’est pas juste la pénétration vaginale, dis ma mère. Le but c’est de prendre du plaisir, à deux ou parfois plus. L’important c’est que tout le monde soit d’accord. On verra plus en détail diverses pratiques plus tard. Une dernière chose, que j’aimerai que vous compreniez, c’est que faire l’amour et faire du sexe, ça peut être différent. Quand on s’aime, on fait l’amour : c’est un moment de complicité, d’intimité. Mais le sexe ça peut aussi être juste deux personnes consentantes qui veulent prendre du plaisir, on n’est pas forcément amoureux. Je pense que si vous voulez vraiment passer aux travaux pratiques, il faut bien comprendre la différence. Même si en pratique ça se ressemble, l’intention, le contexte n’est pas le même et le jour où vous serez amoureux de quelqu’un, vous ferez l’amour avec lui. Si ici, on vous apprend des choses en pratique, c’est du sexe, mais pas de l’amour, enfin on aime sa famille, mais je pense que vous comprenez ce que je veux dire.
— Oui maman, comme dans les pornos, les gens c’est des acteurs qui font du sexe mais ils ne sont pas amoureux, dis ma sur.
— Quand c’est des vidéos amateurs ils sont peut-être vraiment amoureux, ajoutais-je.
— Peut être fiston, mais la plupart du temps ce qu’ils montrent c’est du sexe, pas leur amour, dis mon père. Vous comprenez ?
— Oui je pense, dis-je.
— hum hum, dis ma sur en hochant la tête de haut en bas.
Nous écoutions et regardions attentivement, en vérité nous n’apprenions pas grand-chose, à l’heure d’internet, rien de tout cela n’était secret. Pourtant nous écoutions patiemment, attentivement leurs explications. Nos parents savaient très bien que nous savions déjà tout ça, mais le fait de le démontrer "sur pièce" était très intéressant, et surtout très excitant, aussi bien pour eux que pour nous. Ils nous expliquèrent ensuite chacun leur tour la masturbation en joignant les gestes à leurs explications, ils prirent bien soin de caresser toutes les zones évoquées précédemment, ma mère finis par jouir en terminant sa démonstration par la pénétration de son anus du bout de son doigt. Mon père caressa également son anus avant de jouir abondamment
– Et donc voici du sperme, dis ma mère en en récoltant un peu sur ses doigts. C’est le liquide qui contient les spermatozoïdes, qui fécondent l’ovule, etcetera. Bon dans celui de votre père il n’y a plus de spermatozoïde, il a fait une vasectomie, il y a quelques années pour que l’on n’ait plus d’enfant, c’est une opération vous chercherez si vous voulez savoir comment ça marche. Ça sent un peu fort, et c’est un peu sucré.
– Une fois j’ai goûté le sien sur un mouchoir c’est pas mauvais, dis ma sur en me pointant du doigt
– Ah bon ? dis mon père surpris
– Décidément tu vas être une sacrée coquine toi, dis ma mère en souriant. Tu veux goûter celui de papa, ajouta-t-elle en tendant ses doigts vers ma sur.
Celle-ci s’avança et suçotât les doigts de ma mère de manière très sensuelle avant de se reculer en décrétant que le mien était meilleur
— Il faudra que je goûte alors, dis ma mère en riant. Il y a d’autres choses que vous avez à nous dire ?
Une fois, elle m’a laissé toucher ses seins, répondais-je un peu penaud.
Un après-midi ou je masturbais dans ma chambre, elle était entrée pour me demander de réparer son ordinateur. Je ne me suis pas vraiment formalisé de cette intrusion car nous nous amusions déjà régulièrement dans le salon. Elle m’a demandé si elle pouvait rester. J’avais accepté, et elle était venue s’asseoir contre moi, et avait commencé à se faire plaisir elle aussi, après quelques minutes elle m’avait demandé timidement :
— Tu veux toucher mes seins ?
— Vraiment ?
— Oui, avait-elle répondu en souriant
J’avais alors maladroitement caressé sa petite poitrine, en titillant ses tétons. Nous avions tous les deux jouis très fort cette fois-là. Mais la peur d’être pris nous avait dissuadé de recommencer l’expérience, d’ailleurs toute récente. Ma sur avait raconté toute l’histoire spontanément.
Cela semblait avoir réveillé l’érection de mon père. Ma mère pris alors la parole :
— Et bien ça pourrait être le premier TP, caresser les seins correctement. Votre père va vous montrer différente manière de caresser des seins, et fiston, tu essayeras ensuite sur ta sur, qui devra nous dire ce qu’elle a préféré.
A vrai dire nous étions un peu déçus, nous espérions plus dès le début, je mourrai d’envie de parcourir de mes doigts une vulve, et ma sur de sentir un pénis dans ses mains. Mais nous étions tout de même très excités. Mes parents chuchotèrent quelques instants et ma mère finis par tendre sa poitrine à mon père. Elle nous décrit ce qu’on pouvait faire, et mon père l’exécutait sur sa poitrine.
— Tout d’abord un petit massage, dis ma mère, pendant que mon père massait tendrement les deux globes de chairs. Ensuite toujours sur les deux en même temps on peut caresser les têtons du bout des doigts. Ma mère poussa un petit gémissement quand mon père entreprit d’agacer ses tétons. Bon pour la suite, on se concentre sur un sein à la fois, mais on recommence de l’autre côté, pas de jaloux, ajoute-t-elle en souriant. Les caresses sur l’aréole tout autour du téton, font monter le désir. Mon père entreprit alors de tracer le contour des tétons de ma mère du bout de ses doigts, d’abord à gauche, puis à droite. Maintenant il peut faire rouler, pincer très légèrement, tirer très légèrement sur mes tétons, ça c’est très agréable.
— Mais on peut aussi caresser les seins avec sa bouche, dis mon père en nous regardant avec un grand sourire.
— Et c’est encore plus agréable dis ma mère. On peut lécher l’aréole et le téton, mon père commença donc son travail sur le sein droit, puis sur celui de gauche. On peut aussi les sucer, mon père lui goba chaque téton en aspirant d’abord doucement, puis plus fort. Moi c’est ce que je préfère, dis ma mère. Enfin, on peut les mordiller, tout doucement.
— A votre tour maintenant, dis mon père en nous regardant.
Après une petite seconde d’hésitation, ma sur se tourna vers moi, me tendant timidement sa poitrine. Timidement je commençais à lui masser les seins, elle gémit doucement. Elle avait l’air d’apprécier, et c’est avec un peu plus d’assurance que je reproduisais, ce que je venais de voir. Au moment de poser ma bouche sur ses seins, j’ai cru que j’allais jouir sans même me toucher tant la situation était excitante. Ma sur gémit encore plus fortement, quand je lui aspirais les tétons, un mini-orgasme venait de la traversée.
– Alors qu’est-ce que tu as préféré ? demanda ma mère
– Je pense que c’est quand il les a sucés, mais j’ai aussi beaucoup aimé qu’il les mordille.
– Je pense que vous avez bien mérité de pratiquer la première chose qu’on vous à montrer, vous pouvez vous faire jouir les enfants, mais je veux que vous caressiez partout, comme nous l’avons fait, c’est important de connaitre son propre corps.
Sans attendre j’attrapais mon sexe, en prenant bien soins de caresser mes bourses, et mon anus du bout des doigts. Ma sur quant à elle testait également les sensations anales, et jouit fortement en insérant son index lubrifié de cyprine dans son fondement.
— Wow, je ne pensais pas que je pouvais prendre du plaisir en touchant mon anus, c’est pas un peu sale ?
— Non ma chérie, si tu as pris une douche, et que tu n’as pas envie d’aller aux toilettes ce n’est pas sale, mais évite quand même de te caresser devant avec la même main sans la laver.
Dans la précipitation, je n’avais pas prévu de mouchoir pour ne pas éjaculer partout, et me voilà avec les mains pleines de sperme, sans rien dire ma mère pris mes doigts en bouche avant d’annoncer :
— C’est vrai qu’il n’est pas mauvais, en faisant un clin d’il à ma sur. Bon aller, c’est tout pour aujourd’hui. Toutes les bonnes choses ont une fin. Si ça vous a plu, on recommencera, et on verra d’autres choses. Pour l’instant, aller vous nettoyer un peu, et au dodo.
— Avant de partir vous allez devoir me promettre une chose, nous dis mon père d’un ton plus sérieux. Je vous interdis d’aller plus loin que ce qu’on voit ensemble. Désormais, si vous en avez tous les deux envies, les caresses sur les seins sont autorisées, mais rien de plus d’accord ?
— Oui papa, en cur ma sur et moi.
— Au fur et à mesure, si vous le souhaitez nous vous apprendrons d’autres choses, qui s’ajouteront à ce que vous pourrez pratiquer d’accord ?
— Vivement la prochaine fois alors, dis ma sur.
Après un passage à la salle de bain, je m’allongeais la tête encore pleine de ces images.
