Voici une histoire vrai qui m’est arrivée. Tout a commencé par un après-midi à la piscine. J’avais mis mon bikini favorie laissant voir plus du 3/4 de mes gros seins(j’aime voir la réaction des gens en me voyant comme cela). Je plongeai donc dans la piscine avec élégance. Il y avait deux beaux sauveteurs qui surveillaient et une sauveteuse. J’eue un phantasme. Je me laissai donc coulée vers le font, il ne fallu pas trois secondes pour les deux sauveteurs virent me chercher. Il me remontèrent à la surface pour me faire le bouche à bouche, alors qu’il me le faisait, je sortis ma langue. Il compris tout de suite où je voulais en venir. Les deux sauveteurs m’amenèrent dans le local des sauveteurs. Ils refermèrent la porte et la barrèrent. Je les voyait déjà se masturber sous leur maillots. Je leur fis signe de venir. Le premier un peut moins gêné m’embrassa sans tarder tout en détachant mon haut de bikini. Il découvrit mes seins, ornées de jolies petites anneaux, lentement pour profiter du spectacle au maximum et me dis:’ Ils sont encore beaucoup plus gros qu’ils n’en ont l’air.’ Je descendis alors à la hauteur de sa verge d’où je l’extirpai avec hâte et avidité. Je déposai un baiser sur sa verge toute gonflé qui doubla de volume. Je commençai à lui masser les couilles tout en pompant avidement son pieu bien dressé. Je le lui siphonnait tellement fort qu’’il hurlait de bonheur. C’est alors qu’il me dit qu’il allait giclé, je lui pinçai avec mes longs ongles le boyau pour couper la venu du liquide. Je continuai mon travail, je commençais à lui mordiller les couilles, il adorait ça, je l’est ai pris dans ma bouche tout en les ’mastiquant’. Je lui dis alors vas-y tu peux me gicler dessus. Ce qu’il fis sans attendre. Je me suis recouvert de sperme. Je me lichais du mieux que je le pus. Le deuxième s’étant dégêné un peu s’approcha de moi et commença à me têté le bout de mes seins, il tirait sur mes anneaux et les suça. Je lui dit alors assez , bourre moi, fourre moi. On était debout. Il me pénettra sans attendre. Me donnant des coups de butoirs avec vigueur. C’est alors que je sentis le pieu de l’autre tenté de se frailler un chemin dans mon cul. C’était sublime, je levais de terre à chaque coup de pieu de mes deux ’héros’ je criais, je criais. J’étais pris de convultion jamais ressenti. Oui, Oui plus fort!!!. L’orgasme arriva en même temps pour tout le monde. Ils giclèrent en c?ur . C’est alors qu’on frappa à la porte, c’était la sauveteuse qui avait fermé la piscine. On lui débarra la porte, la première chose qu’elle dit: Vous auriez pu m’attendre!!!! Mais ça, c’est une autre histoire??..
Mathilda