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Un mariage réussi – Chapitre 6




CHAPITRE 5 – ESCLAVE ! (SUITE)

A la fin du repas, Julien étonne encore sa famille en nous envoyant, nous ses belles-filles, dans notre chambre. Les protestations de Joseph n’y font rien, son père reste inflexible.

— Un peu de jeune sexuel ne te fera pas de mal.

Le regard de mon beau-frère en dit long sur sa rancour. Il me tient pour responsable de ce chamboulement de leurs habitudes. Ce n’est pas cela qui va m’attirer ses bonnes grâces ! Jacques ne dit mot à son habitude. On dirait que rien ne le touche. Laure, elle, est ravie.

— On peut dire que ta venue est bénéfique, me dit-elle pendant que nous expédions la vaisselle. Une soirée tranquille, il y a longtemps que ça m’était pas arrivé !

Elle m’emmène dans la chambre que nous partagerons les nuits où nous ne rejoindrons pas nos époux. Tout de suite elle ôte sa robe grise et s’enferme dans la cabine de douche. Celle-ci est assez vaste pour nous contenir toutes les deux, je la rejoins.

— Oh ! Que fais-tu ?

— Tu veux pas que je te frotte le dos ? Tu me rendras la pareille.

Elle n’ose pas refuser.

— Si… si tu veux…

Au début mes attouchements sont chastes. Je ne dois pas la brusquer et puis mon expérience en amours féminins est récente. J’ai peur de l’effaroucher. Je frictionne le dos, les reins. J’abandonne l’éponge et passe le plat de la main sur les rondeurs fessières, l’arrière des cuisses. Laure ne bouge pas lorsqu’en remontant j’effleure l’entrejambe, tout juste un tremblement qui me semble plein de promesses.

— Tourne-toi.

Sans le secours de l’éponge qui est tombée dans la cuvette, je frotte les seins, m’amusant à sentir sur ma paume la pointe douce des tétons que ma caresse excite. Ma main glisse sur le ventre, le pubis. C’est vrai que c’est agréable un Mont de Vénus lisse. Laure veut m’empêcher d’insinuer le doigt dans sa fente. Il est temps de mettre les choses au point. J’écrase sa bouche de mes lèvres. Ma langue force le passage. La résistance de ma jolie belle-sour ne dure pas. Elle s’abandonne au baiser.

— Oh ! Que… qu’est-ce que tu fais ? quand après nous être séparées à bout de souffle, je recherche du doigt son clitoris. Oooh !… que… Aaah !

Elle vacille, je la maintiens par la taille.

— Retiens-toi aux robinets.

Elle m’obéit et me laisse user de son corps, tout émue de découvrir des sensations inconnues.

— Aaaah !… Aaammmhh !… Aaarrgghh !

Elle s’affaisse. Je la soulève. Elle passe les bras autour de mon cou, incapable de se maintenir droite toute seule.

— Qu’est-ce qui m’est arrivée ?

— Tu ne sais pas ?

— Non, c’est la première fois que cela se produit.

Je la regarde étonnée. Ne connaît-elle pas la jouissance à vingt ans passés ?

— Tu as aimé ?

— Oh oui !

— Frotte-moi à ton tour.

— Où est l’éponge ?

— T’as pas besoin d’éponge.

— Ah ! Bon !

Elle comprend tout de suite où je la conduis et me caresse la poitrine. Elle sourit lorsque les tétins s’érigent. Elle s’amuse à les triturer entre les doigts.

— Embrasse-les !

— T’embrasser les seins ?

— Oui, s’il te plait…

Elle baisse la figure et en prend un entre les lèvres.

— Aah !

— Je fais bien ? s’inquiète-t-elle.

— Continue !

Elle tête alternativement les deux tétons. Que sa bouche est douce. Je n’y tiens plus. J’attire sa figure et nos lèvres s’unissent pour un autre baiser.

— Sortons, j’ai froid.

J’entraîne Laure hors de la cabine. Nous nous essuyons mutuellement et nous réfugions sous les couvertures, face à face, mains dans les mains.

— Embrasse-moi, supplie-t-elle.

Elle y prend goût ! Pendant que nos langues s’affrontent, mes doigts cherchent le petit bouton sensible, le trouvent. Je ressens le tressaillement qui la parcourt lorsque je commence à jouer dessus.

— Aaaah !

Ma bouche glisse le long du cou, de l’épaule, de la clavicule avant d’épouser la rondeur d’un sein et de sucer un téton tout fripé d’excitation.

— Aaaah !

Je délaisse la poitrine, rend visite à l’estomac, le ventre, j’introduis un bout de langue dans le nombril.

— Hi ! … Tu me chatouilles !

Lorsque j’atteins le Mont de Vénus, je le lèche avec plaisir. Qu’il est doux ! Je sens à peine le début de la repousse des poils. Demain je te rase ma jolie belle-sour !

— Oh ! Que fais-tu ?… Non, pas ça ! s’écrie-t-elle quand j’écarte des doigts et de la langue les lèvres de son sexe… Aaah !… Noooon !… Pas çaaaa !… Aaaah !

Elle me tient par les cheveux m’empêchant de me redresser si j’en avais eu envie. Elle gémit sans discontinuer. Il ne faudrait pas que ses cris alertent la famille. Malgré ses mains j’arrive à me redresser un peu.

— Chut ! Tu vas attirer du monde !

— Excuse-moi, je ferai attention.

C’est une invitation à continuer si je ne me trompe ! Je serre le clitoris entre mes lèvres.

— Mmmmh !

Du bout du doigt je tourne autour de l’entrée de sa grotte. Il s’en échappe un filet de cyprine. J’enfonce l’index.

— Mmmmh !

Je joue de la langue et des doigts.

— Mmmmh !… Mmaarrh !… Arrggrrhh !

Ses cuisses se resserrent sur mes joues. Elle jouit ma jolie belle-sour, Elle jouit comme je suis sûre qu’elle n’a jamais joui auparavant.

Nous reposons dans les bras l’une de l’autre. Je décide que pour ce soir la leçon est terminée. Un autre soir je lui apprendrai à me rendre la pareille. Je caresse ses cheveux, son dos.

— Dis… c’est pas mal ce que nous venons de faire ?

— Rien n’est mal quand l’amour et l’amitié sont sincères.

— On pourra recommencer alors ?

— Autant que tu veux… C’est donc vrai que t’avais jamais joui auparavant ?

Cela me turlupine, c’est tellement invraisemblable.

— C’est la première fois que je j’embrasse une fille, je t’assure.

— Je te crois, mais t’as rien ressenti de semblable avec Joseph ?

— Oh non alors ! J’ai mal dans tout le ventre quand il en a fini avec moi !

— et avec Lu… Père ?

— Oh ! Avec lui j’ai pas mal, c’est même agréable mais…

— Mais tu n’as jamais ressenti un plaisir semblable à celui que tu viens d’éprouver.

— Non… euh… enfin si… presque…

— Ah ? Avec Père ?

— Non… euh… Tu le diras à personne dis ?

— Crois de bois, crois de fer, si je mens je vais en enfer !

Cela la fait sourire.

— Avec le docteur, me confie-t-elle… Oui, c’est le seul qui m’écoute en ville.

— Tu peux compter sur ma discrétion.

Cette promesse clôt notre confidence. Elle s’endort dans mes bras. Elle n’est pas aussi oie blanche que je le croyais, la petite Laure. Elle a su trouver hors de la maison la tendresse nécessaire à son équilibre. Tant mieux, les secrets partagés sont le gage d’une amitié sincère.

Le lendemain, tout rentre dans l’ordre, à la satisfaction de Suzanne ! Tout d’abord, avant de partir travailler, Julien ordonne de nettoyer le carrelage de la cuisine et de la salle de bain. Ma belle-mère distribue les rôles et nous affecte un surveillant : la cuisine et Jules à Laure, la salle de bain et Simon pour moi. Me voilà à pied d’ouvre avec un seau, une brosse en chiendent et une serpillière.

— Je compte sur vous Simon pour surveiller son travail.

— Vous pouvez me faire confiance, madame.

— Je sais, mais attention ma nouvelle fille est une rusée, ne vous laissez pas entraîner, ce serait désastreux pour vous si vous outrepassiez les limites fixées qui sont les mêmes que pour mon autre fille, compris ?

— Oui madame, je n’aurai garde d’oublier ce que je vous dois.

— Bien, je viendrai contrôler tout à l’heure si tout se passe selon mes instructions.

— On commence dans ce coin, m’indique Simon… tu dois te mettre à genoux pour bien frotter le sol… attention, pas sur ta robe, tu vas la salir… attends, je vais la relever pour qu’elle ne traîne pas.

Il la noue sur mes hanches avec les deux petits cordons dont je n’avais jusqu’ici pas vu l’utilité. Il recule pour admirer mes fesses.

— Commence à frotter que je vois si tu t’y prends bien… Pousse sur la brosse… plus loin… Oui, c’est ça, approuve-t-il quand ma poitrine touche presque le sol, reviens en arrière maintenant… oui… recommence… tu dois écarter les genoux… encore plus… N’est-ce pas que tu es mieux pour travailler ? (Travailler mieux ? Mon oil ! En position de me faire enculer ouais !) …T’as un beau cul, tu sais, continue-t-il en flattant mes fesses qui se balancent devant lui, ce serait dommage de ne pas en profiter. Si tu es gentille avec moi tu le regretteras pas.

Je me redresse toujours à genoux.

— Oh ! Madame fait la mijaurée ? Je suis pas assez bien pour madame ?

Je pose la brosse et prends la serpillière.

— Je rince ces carreaux que j’ai lavés avant de passer à un autre coin. C’est pas comme ça qu’il faut faire ?

— A la rigueur… Bon, suffisamment mouillé. Tu sais, il est préférable de brosser toute la salle de bain avant de rincer, tu iras plus vite, déclare-t-il en fouillant ma raie.

On dirait que le doigt qui tourne autour de mon oillet est trempé de salive. Il ne veut pas ma mort le bougre !

— Je vais suivre votre conseil.

— C’est bien… écarte encore un peu les genoux… c’est bon, on va pouvoir travailler.

Je devine qu’il s’agenouille derrière moi. Je frotte consciencieusement balançant ma croupe d’avant en arrière.

— Ne bouge pas !

— Ouch !

Il est habile ! Il s’est enfoncé d’un seul coup sans tâtonnements, l’expérience avec Laure sans doute. Il ne m’a pas trop fait mal, c’est supportable.

— Continue de brosser !

Je fais tout le travail ! Mon cul s’avance et recule sur la queue immobile. Toutes les quinze à vingt secondes, nous changeons de place, sur de nouveaux carreaux. Le frottement dans mon intestin commence à m’émouvoir. Je ne vais pas jouir quand même, ce serait le comble ! N’empêche ! Des ondes bienfaisantes parcourent mon corps. J’apprécie cette curieuse façon de faire le ménage. Peut-être en est-il de même pour Laure dans la cuisine ? Mes mouvements se font plus amples. Dans mon dos Simon halète, il me caresse les flans, je devine qu’il va bientôt venir. Il est temps, nous sommes arrivés au bout de la pièce…

— Alors ? Comment cela se passe ici ?

L’irruption de Suzanne rompt le charme. Plus question de jouir ! Je remarque qu’il en est de même pour Simon dont la verge diminue de volume dans mon cul sans perdre sa raideur.

— Bien madame. Votre fille n’a pas fait de difficultés. Nous finissons de brosser… (J’aime bien le ’nous’ !) …et nous nous apprêtons à rincer avec la serpillière.

— Très bien. N’oubliez pas la baignoire et la cabine de douche.

— Ce sera fait madame.

Avec regrets, il quitte mon cul. Cela fait un petit Plop ! Suzanne fronce les sourcils à la vue de la verge droite. Simon s’empresse de l’enfouir dans son pantalon.

— Bon, je vous laisse. Ne traînez pas !

Une fois la mégère partie, Simon exhale un gros soupir. Nous nous regardons. Je lui rends son timide sourire. Il fait un geste d’impuissance comique. Nous nous comprenons. Lui aussi n’apprécie pas ma belle-mère, malgré les avantages dont il bénéficie.

— Je vous laisse passer la serpillière, me dit-il en tendant un balai, je reviens dans une minute vous aider à nettoyer la baignoire et la douche.

M’aider ? J’en doute, mais je n’ai pas l’intention de me dérober. Je me suis peut-être fait un allié.

Il me rejoint lorsque penchée sur le bord, je nettoie le fond de la baignoire. Je n’ai pas dégrafé ma robe toujours accrochée autour de mes reins. Il caresse mes fesses, geste plus câlin que possessif.

— Que voulais dire ma bel… euh… Mère quand elle parlait de limites à ne pas franchir ?

— Euh… Comment vous dire, hésite-t-il… Vous avez constaté qu’elle a rien dit pendant que… euh… je m’occupais… euh… avec vos fesses…

— Que vous m’enculiez ! N’ayez pas peur des mots, je ne suis plus une oie blanche.

— Oui, continue-t-il en tournant autour de l’anus, j’ai l’autorisation de vous enculer…

— Et de vous faire sucer. J’ai vu le jour de mon arrivée.

— Oui, me faire sucer, mais…

— Mais ?

— Mais, j’ai pas le droit de pénétrer là, dit-il en plaquant sa main sur mon sexe… euh… ni même de toucher d’ailleurs…

— Ce que vous faite !

— Pardon. Vous êtes fâchée ? s’inquiète-t-il sans ôter la main.

— Parce que vous m’avez enculé ?

— Euh… oui.

Ce n’est pas à ça qu’il pensait ! Encouragé par ma passivité, il glisse le doigt entre les lèvres.

— Comment vous vouloir ? Vous étiez en service commandé !

— En… euh… en effet, balbutie-t-il pendant que le majeur s’introduit dans ma grotte.

Je le laisse s’amuser quelques instants. Ses doigts sont habiles, il doit sentir que je mouille comme une fontaine.

— Faîtes attention, ELLE pourrait nous voir.

Il se relève en vitesse.

— Vous avez raison. Nettoyons la douche s’il vous plaît. Si vous voulez, je peux dénouer votre robe.

— Euh… Je crains qu’elle se salisse.

Il sourit à ma réponse. Cela lui plait de contempler mon cul et mon ventre lisse.

— Vous avez raison, c’est plus prudent de la laisser ainsi.

Il m’accompagne à la cabine de douche la main entre mes fesses. Je veux nettoyer les robinets.

— Non, je m’en charge, propose-t-il, occupez-vous de la douche.

Après, une seconde d’étonnement, je comprends. Je dois pour l’atteindre me soulever sur la pointe des pieds et Simon en profite pour placer le gland sur ma rosette.

— Vous pouvez vous baisser quand vous serez fatiguée.

— Aaah !

La verge pénètre sans douleur dans le trou pas encore rétréci. Les mains sur mes hanches, il aide à me soulever pour que j’atteigne le pommeau. Je donne un coup de chiffon et je redescends. Le jeu m’excite. Lui aussi. Sa main rampe timidement vers mon ventre.

— Je… Aah !… Je peux ?… Aah !

Je ne dis ni oui ni non. Ses doigts caressent le mont de Vénus. Ils apprécient l’absence de poils ! Ils s’insinuent dans la fente et atteignent le clitoris.

— Aaah !… Mmmh !

Je n’ai plus besoin de me retenir de jouir, nous savons tous les deux ce qu’il en est. L’orgasme monte. Tout à coup je réalise que si ma belle-mère nous surprend ce serait la catastrophe.

— Ôtez… Aah !… votre main… Aah !… c’est pas prudent.

— Vous… Aah !… avez raison.

Il attrape mon bassin et me fait monter et descendre sur sa verge.

— Vous en mettez du temps !

La voix de Suzanne dans le couloir nous fait l’effet d’une douche froide. Simon retire son dard. Quel dommage ! Juste au moment où j’allais jouir.

— Juste un dernier coup de rinçage et c’est terminé Mère, je lance à la cantonade tout en masturbant énergiquement la queue frémissante.

Simon soupire fort, des jets blanchâtres jaillissent du méat. Je les efface d’un coup de douchette pendant que mon surveillant retrouve sa respiration et remballe son attirail.

— Merci, me souffle-t-il, je te revaudrai ça… Mais fais gaffe avec Jules, c’est un faux jeton.

Nous rejoignons Laure. Il est visible que cela ne s’est pas aussi bien passé que pour moi. Elle a pleuré la pauvre petite.

— Allez-vous doucher dans votre chambre. Profitez-en pour la ranger. Je vous attends dans une heure pour préparer le repas.

— Mère ? Est-ce que je pourrai raser les poils de Laure ?

— Evidemment ! A l’avenir abstiens-toi de me poser une question stupide.

Je soutiens ma petite belle-sour dans l’escalier qui mène à notre chambre. Elle s’effondre en pleurant sur le lit.

— Oh ! J’ai mal… j’ai mal…

— Laisse-moi voir… si je t’assure ça vaut mieux.

Je soulève la robe grise et écarte les fesses pour contrôler l’état de son anus. Il est congestionné. Le dénommé Jules n’y est pas allé de main… pardon… de queue morte !

— Excuse-moi, je vais te faire peut-être un peu mal.

J’enfonce délicatement l’index jusqu’à la deuxième phalange, puis le retire. Laure gémit.

— Là, c’est fini.

Pas de trace de sang, ouf ! Elle s’en sort bien.

— Une bonne douche te fera du bien.

Elle se laisse déshabiller. Je l’entraîne sous l’eau qui ruisselle. Je la frictionne avec douceur. Elle est si fragile cette petite, c’est criminel de la brutaliser ainsi.

— C’est Jules qui t’a fait si mal ?

— Ou… oui, renifle-t-elle. C’est toujours pareil quand c’est lui qui surveille mon travail.

— Et quand je fais ça ? dis-je en caressant le pourtour de l’anus et l’entrée du vagin, ça va mieux ?

— Ou… oui. J’aime bien… Tu sais… je devrais pas le dire… mais avec Joseph, c’est pire quand il met sa queue dans le faux trou.

Pauvre fille, mariée à un sadique.

— Viens, sortons, dis-je en l’entraînant sur le lit… N’essuie pas entrejambes, je vais te raser.

Je badigeonne son pubis de mousse. Le rasoir changé la veille est encore neuf. Il coupe la repousse sans difficultés. Laure ronronne, je lui fais du bien.

— Soulève les fesses que je nettoie derrière.

Elle obéit. Je rase les grandes lèvres et autour de l’anus, plus un poil, elle est lisse comme une petite fille. Sous prétexte de contrôler la bonne exécution je caresse le sexe exposé, m’attardant sur le clitoris.

— Aah ! J’aime bien que tu me rases… Aaah !

— A charge de revanche ma jolie.

Je poursuis mes attouchements… Un peu de douceur dans un monde de brute…

L’après-midi, Suzanne nous fait repriser les chaussettes de ses hommes. C’est nouveau pour moi. Chez nous quand une chaussette est trouée, on la jette.

— Tu apprendras ma petite que c’est du gaspillage. L’argent ne se gagne pas si facilement qu’on peut le jeter par la fenêtre.

Je dois m’y reprendre à plusieurs fois pour raccommoder le petit accroc dans une chaussette de Jacques. Laure par contre est une virtuose. Elle a fini cinq paires le temps que j’en termine une avec peine. Suzanne n’est pas contente et me le fait savoir.

— Toute une éducation à refaire ! On verra ce soir ce qu’en pense mon mari. C’est bien beau de parler anglais mais ce n’est pas ce qui aide à la tenue d’une bonne maison.

Compris, j’aurai droit à mes coups de cravache !

Ça ne loupe pas ! Au tribunal du soir, la sentence tombe : Trois coups pour Laure, cinq pour moi. Figure de malcontent de Joseph ! Le nombre n’est pas bon pour lui, il devra faire ceinture. Jacques par contre reste absent. Il n’ose pas me regarder.

Suzanne nous emmène dans la salle aux supplices comme je l’appelle. Simon nous y attend.

— Où est Jules ? s’informe Suzanne.

— Vous l’avez envoyé faire des courses, il est pas encore rentré.

— Ah ! C’est vrai, j’oubliais. Vous serez seul ce soir pour terminer la punition de Sylvie qui doit recevoir cinq coups de cravache, mais commençons par Laure. Mon mari a été indulgent avec elle, trois coups seulement. Aidez-moi Simon, maintenez-là sur le lit.

— Je veux pas… je veux pas, pleurniche ma belle-sour.

— Taisez-vous ! Vous devriez pourtant savoir que cela ne sert à rien et que vous recevrez la correction promise.

Laure se couche sur le lit les bras en avant. Simon soulève la robe sur les fesses roses et passe de l’autre coté pour attraper les mains.

— Vous la tenez bien, Simon ?

— Oui madame.

— Aouuuuh ! hurle Laure au premier coup.

Elle tortille du cul pour échapper à la cravache.

— Non, s’il vous pl… Oooooh ! Ça fait mal !

Après le deuxième coup Laure tente de s’arracher à la tenaille des mains de Simon.

— Han ! exhale Suzanne qui frappe de toutes ses forces.

— Aïe ! Aïe ! Aïe ! … J’ai mal… j’ai mal.

Trois gros traits rouges barrent le joli cul.

— Cessez de pleurnicher, petite douillette et passez sous la douche… A nous deux maintenant, mettez-vous en position comme Laure.

Je m’aplatis sur le lit après avoir soulevé ma robe à la taille, évitant à Simon de se déplacer. J’espère que ce geste me vaudra son indulgence pour la suite. Il me serre les mains.

— Avant de te punir, je dois t’expliquer les usages de la maison. Pour les fautes vénielles, Père ne fait infliger que trois coups de cravache et demande à la fautive de le rejoindre dans sa chambre pour lui administrer… euh… un sermon. En cas de manquement plus grave à la discipline de la maison, la fautive reçoit quatre coups et le sermon de Père est complété par celui de Joseph et dans ton cas, ton mari aura après la charge de contrôler que tu as bien compris (Pauvre Jacques qui passe derrière son père et son frère !). Enfin pour les cas graves comme pour toi aujourd’hui… (Qu’ai-je donc fait de si extraordinaire ?) …qui méritent cinq coups de cravache, j’autorise Jules et Simon à s’amuser un peu. Ils ont le droit de faire ce qu’ils veulent, sauf, et là je serai intraitable, de te faire un bébé. Si jamais je vous prends à forniquer ensemble, c’est le renvoi immédiat pour le domestique et une correction que tu ne seras pas prête d’oublier pour toi, bien compris ?… Je n’ai rien entendu !

— Oui Mère.

— Bon, je commence. Compte les coups… Allez !

— Euh… Un… Aoummmh !

Je serre les dents, pas question malgré la douleur, de supplier comme Laure.

— Deux… Mmmmh ! … Trois… Aïiiimmmh !

C’est intolérable ! Je ne peux m’empêcher de me tordre sur le lit. Simon m’adresse un pauvre sourire.

— Quatre… Hiiimmggh !

Je respire fortement, penser à autre chose !

— J’attends la suite, ordonne la mégère.

— Ci… cinq… Aourrggmmmh !

— Tu vois, ce n’est pas si terrible que ça !

Je me promets in petto de lui faire subir un tel supplice dès que j’en aurai la possibilité. Elle verra si ce n’est pas grave !

— Bon, je conduis Laure à la chambre de Père. Je te laisse entre les mains de Simon, c’est un spécialiste. Je reviendrai pour voir comment tu te comportes. En plus aujourd’hui, tu as de la chance, Jules est absent.

— Ôtez votre robe, et mettez-vous à genoux devant moi ! m’enjoint le domestique.

— Obéis Sylvie ! ordonne Suzanne du pas de la porte comme j’hésite à me déshabiller.

Je fais passer le vêtement par-dessus la tête. Je suis complètement nue. Je m’agenouille.

— Sortez mon sexe !

Je descends la braguette. Suzanne sourit et sort de la pièce sans refermer la porte.

— Excuse-moi pour le ton de commandement, mais je suis obligé, murmure Simon en bloquant mes mains au moment où j’extrais une verge encore molle.

— Je comprends, mais tu ne veux pas de mes caresses ?

— Aah ! gémit-il quand je tire sur le prépuce.

J’embouche le gland. Il a la bonne taille, je peux tourner la langue autour.

— Aaah !… Ouiii !… Que c’est bon !… Tu lèches comme une déesse.

— Chut ! Pas de compliment, elle pourrait t’entendre, dis-je en souriant avant de poursuivre ma fellation.

— T’as raison… Aah !… Sucez, madame !… Mieux que ça !

Je ne me fais pas prier. Il a une belle queue. Je m’en doutais après l’avoir reçue dans le cul ce matin. Comme je n’ai pas à me plaindre de lui, je le gratifie d’une sucette mémorable. Il en bafouille de plaisir.

— Aaah !… Je… je… jamais je… Aaah !

— Tu veux décharger dans ma bouche ?

— Ouiii !… euh… non, non, non ! Il est préférable que tu me prêtes ton cul, il me sera plus facile de faire croire que je te force.

Il me fait monter à quatre pattes sur le lit et se place derrière moi.

— Utilise ma mouille pour lubrifier s’il te plait.

— Euh… tu crois que je peux ? s’inquiète-t-il peu rassuré.

— Fais vite, il n’y a personne.

Il trempe le doigt dans mon vagin. Je frémis. Ah ! S’il pouvait me baiser au lieu de m’enculer. Il tartine autour de l’anus. Sa verge est encore luisante de ma salive, cela devrait suffire.

— Ouch !

— Je t’ai fais mal ?

— Non, ça va.

— Tu sais, murmure-t-il avant d’entamer ses coups de rein, je préfèrerais te baiser, te faire l’amour.

— N’y penses pas ! C’est trop dangereux… dommage… Aaah !… Oh ! Pitié !… Aah !… Vous me faites mal !

— Je te fais…

Il s’arrête brusquement en apercevant Suzanne que j’avais surprise nous espionner.

— Prends ça espèce de salope !… Han !… Et encore ça !

— Aaah ! Non… s’il vous plait !… Aaah !… A-a-rrêtez !

Difficile de feindre la peur et la douleur quand la jouissance s’empare de vous !

— La prochaine fois, menace Suzanne un sourire sadique aux lèvres, vous réfléchirez à deux fois avant de faire des bêtises. Continuez Simon ! Ne vous laissez pas influencer par ses pleurs.

— Oui… Tu peux pleurer… tout ton soul… Aah !… Cela ne m’empêchera pas… de défoncer… la rondelle de ton… petit cul… de bourgeoise.

— Aaah !… Non, je veux pas… Aaaah !… Je veux pas… Aaaah !

— Siiiiiii ! me répond-il en lâchant sa semence… Aaarrgghh !

— Je veux paaaa-aa-aa-aaas !

Nous nous effondrons sur le lit, terrassés par la jouissance. Suzanne n’y a vu que du feu.

— Félicitation Simon, vous avez su lui river son clou ! Que cela vous serve de leçon, Sylvie ! Prenez une douche et rejoignez Laure à la cuisine pour servir le repas du soir.

Simon s’enfuit, il a trop peur de ne pouvoir jouer la comédie plus longtemps.

A la fin du repas, Julien m’emmène dans son bureau. Il a des lettres à me faire corriger. Nous y passons deux heures. Ensuite, il me fait signer un tas de papier, des procurations m’explique-t-il, pour ne pas venir à chaque instant m’importuner pour des basses considérations matérielles indigne d’une jolie fille comme moi ! Procurations ? Pourquoi faire ? Je regarde les entêtes des documents. Il semble qu’il m’ouvre un compte à la banque locale. Ma foi, s’il ne m’oblige pas à virer l’argent de ma banque de Nice, je n’ai rien contre. Une fois ces questions administratives résolues, il consent à déclarer qu’il est satisfait de mon travail. Pour me remercier, il m’envoie rejoindre mon mari. Pauvre Jacques ! Sa joie de me revoir fait plaisir à voir. Nous passons une bonne partie de la nuit à faire l’amour.

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