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Mon mari m'offre à d'autres mâles. – Chapitre 1




Franck me délaissait depuis quelques temps. Il n’était plus aussi assidu au plumard que lors de nos premières années ensemble, qui remontaient à dix ans.

Il était masseur dans un centre thermal où je faisais un job d’été. Cela avait été un coup de foudre. Il faut dire que c’est un géant de presque deux mètres, fort et blond aux yeux bleus.

J’étais tombée raide dingue dès le premier jour.

J’avais une petite chambre sous les combles. Le soir, seule, je pensais à lui. Soudain on avait frappé. J’avais ouvert la porte et c’était lui. En fait, il m’avait suivie mais avait hésité longtemps avant de venir…

Il n’avait eu que le temps de dire salut… je l’avais fait entrer et aussitôt, comme j’étais déjà en peignoir, je l’avais ouvert.

"ah ouais direct "? avait-il dit.

— Je sais ce n’est pas romantique, mais j’ai juste envie de toi. Tu es trop canon !

Il avait ouvert sa braguette. Il ne portait pas de slip. Son sexe était très gros. J’eus tout le temps d’en mesurer l’harmonie plus tard, 17 par 17 de circonférence. Ile bandait formant un angle de 90° avec le pubis très poilu et remontait très légèrement à la fin de la hampe vers le gland énorme, tout rond, sans relief.

J’avais aussitôt sucé le gros nud puis il m’avait couché sur le lit et sans préliminaires m’avait enfilée. Il m’avait sautée en missionnaire. Au moment de jouir, il s’était retiré et allongé sur le dos. Je m’étais vite mise au dessus de son visage pour qu’il me bouffe la raie le temps que je l’achève à  la main.

Il éjacula comme un taureau. Ce fut une fontaine à sperme. Le geyser monta très haut m’éclaboussant les seins, retombant en une pluie abondante sur les cuisses, les poils, la pine.

 Nous n’eûmes rien d’autre à dire. Nous fûmes amants dès le premier jour. Les vacances finies, il me rejoignit dans la banlieue parisienne où nous élûmes domicile immédiatement après notre mariage.

Pendant les premières années, la baise fut au menu de tous les jours et même plusieurs fois par jour.

Le soir c’était de longues séances chaudes où il se montrait très endurant; parfois, le matin, quand j’étais nue dans la salle de bain il me prenait par derrière pendant que je me tenais au lavabo et me niquait rapidement. Je m’aidais alors de mes doigts sur le clito pour venir en même temps que lui. Cela durait cinq minutes et le soir il me reprenait plus lentement et dans toutes les positons. Quand j’avais mes règles, il me prenait dans le cul.

Bref, nous avions une vie sexuelle très épanouie.

Mais depuis quelques mois il était beaucoup moins demandeur. Je lui avais demandé s’il y avait une autre femme. Il m’avait répondu : "Non Lydie, rassure-toi, c’est juste un peu de fatigue".

Mais cette fatigue durait beaucoup trop à mon goût. Je soupçonnai une maîtresse, une double vie, que sais-je encore…

Ce fut un samedi soir que tout se décanta.

D’habitude, nous sortions, au ciné, chez des amis, au resto… mais ce soir là j’avais vraiment envie de me faire prendre. Il ne m’avait quasiment pas baisée de la semaine et j’accusais un manque. J’avais donc prétexté le mauvais temps (il pleuvait des cordes) et une tonne de linge à repasser pour rester à l’appart. Après le diner, Je m’étais déshabillée et avait enfilé ma nuisette la plus transparente et la plus courte, sans aucun sous-vêtement pour exciter mon mari. Puis je m’étais installée dans notre petit salon, et je m’étais mis au travail. Franck s’était assis en face de moi, sur le canapé, et il avait ouvert l’ordi pour regarder un match de foot de ligue 1. pour le moment, le subterfuge ne marchait pas. Autrefois, rien que de me voir si peu vêtue, il se serait jetée sur moi et m’aurait niqué longuement….

Tout à coup, on sonna à la porte.

"Tu attends quelqu’un "?

— Non ? Et toi ?

— Non. Tu vas voir mon chéri ?

— J’y vais.

Franck se leva, sortit du salon et ouvrit la porte. J’entendis la conversation. C’était Sébastien, notre jeune voisin étudiant qui louait le petit studio d’en face et avec qui nous avions un peu sympathisé.

"Salut Franck, j’te dérange pas "?

— Non.

— Tu peux me rendre un service ? J’ai une fuite sous mon évier. Tu aurais du matos à me préter.

— Pas de souci. Je vais chercher ma boîte à outils et je suis à toi. Tu suis le foot ?

— Ouais mais à la radio.

— Ok ça me va… Chérie? Tu as entendu? je vais chez Sébastien.

— OK.

Au bout de quelques minutes, comme j’en avais marre d’entendre les commentaires du foot, je choisis d’aller sur l’ordi pour mettre de la musique.

Le match se déroulait plein écran et je dus le réduire pour accéder à mon application. C’est alors que je remarquai qu’une autre fenêtre était ouverte. Il y était écrit : "gang bang creampie".

J’ouvris.

Je tombai sur une page d’un célèbre site porno où un film battait son plein. Le petit salaud ! Il écoutait le match tout en regardant un film de boules dont il avait coupé le son.

Je n’étais pas fan du porno moi-même, c’est vraiment plus un truc de mec. Cela ne me faisait rien que Franck en regarde même si c’était une surprise car je ne m’en doutais pas. Ce qui me chagrinait c’était de voir qu’il préférait mater du X plutôt que de me baiser.

La fille, sur l’image était en train de se faire prendre en missionnaire. De pus, elle avait une bite dans chaque main et une dans la bouche. Ses gros boobs étaient couverts de sperme et elle en avait aussi sur le visage et les poils de la chatte. Au bout de quelques secondes, le mec qu’elle suçait se vida les couilles sur elle.

Je n’allai pas plus loin. J’avais compris le principe. Je choisi d’explorer le site.

En haut de la page à gauche, il y avait l’avatar de mon mari. C’était juste une photo de moi, sans le visage, nue, allongée, les jambes bien écartées et les nichons nappés de jute. Je me souvins qu’il y a avait quelques mois, après une chaude séance, il avait pris son téléphone et m’avait photographiée par surprise. Je lui avais demandé de l’effacer…

Je regardai ses playlists : "Gang bang, sharing my wife, femmes enceinte…."

Comme le dépannage de plomberie durait chez Sébastien, je me mis à lire les commentaires qu’il avait postés sur les films de cul où des femmes se faisaient déboiter par les amis de leurs maris : "J’aimerais bien offrir ma femme comme cela.. C’est mon fantasme… Si je pouvais faire la même chose…". Les commentaires étaient les mêmes avec les gang bangs : "ça me fait bander grave… j’aimerais que ma femme se fasse prendre par des potes ou des inconnus…". Bref, chaque scène était assortie par ce type d’expressions où j’étais mise en avant.

Il avait aussi noué des dialogues avec d’autres internautes. L’un lui demandait : "Tu veux pas venir baiser ma femme avec d’autres potes ?" ce à quoi il avait répondu : "Non, ça ne m’intéresse pas. Ce que je voudrais ce n’est pas baiser une autre femme, c’est que ma femme soit baisée par d’autres".

Le mec répondait : "suis open pour venir baiser ta femme"

— ça va pas être possible.

— Pourquoi ?

— Je ne lui en ai jamais parlé.

— Elle est coincée ?

— Non, mais j"ai jamais osé.

— Et c’est un bon coup ?

— Ah, vachement, une super affaire au lit. Les mecs regretteraient pas je t"assure.

— Elle est vraiment bonne ?

— A fond !

— Putain, dommage… Si un jour tu arrives à la lancer, dis-moi, je viens…

Il y avait plein d’autres commentaires. Il y avouait ce fantasme de me voir prise par d’autres hommes. Il disait que c’était devenu une telle obsession de me regarder jouir et faire jouir un autre homme que cela avait affecté sa libido. Par contre, il avait toujours refusé toutes les propositions pour aller sauter des chaudasses. Il disait qu’il me resterait fidèle car il m’aimait à la folie mais qu’il souhaitait juste avoir ce type d’échanges à plusieurs, soit en matant soit en participant.

J’en étais là, rassurée tout de même sur le fait qu’il n’y avait pas une autre meuf, quand il revint.

"Tiens, tu regardes le foot"?

— Non, je regarde tes commentaires sur ton site de cul.

Il se tut. Il avait l’air très gêné.

Je lui demandai : "Tu n’as rien à me dire"?

— Ecoute… c’est que des films de cul… Rien de mal…. ça te choque ?

— Non… en fait c’est tes commentaires. C’est sérieux tes fantasmes ?

— Bof, tu sais… j’écris ça comme cela… c’est pour rire.

— Te fous pas de moi! Tu dis que ça te paralyse quand tu me fais l’amour car tu te fais ce type de plan dans ta tête et cela t’empêche de te concentrer…et tu me fais moins l’amour, comme tu le dis… C’est pas tant des conneries que cela. Tu es sérieux ?

— Ouais, moyen… c’est vrai que j’y pense…

— Pourquoi tu m’en as jamais parlé ?

— De quoi ?

— De tes fantasmes. Pourquoi tu m’as jamais dit que tu aimerais me voir prise par un autre mec?

— Comment tu veux dire ça toi… j’avais peur que tu me prennes pour un gros porc… Avant tout, je tiens à toi. Je ne veux pas te perdre pour des trucs de cul.

— Oui, mais en attendant, on baise moins et je me pause des questions…

— Excuse-moi.

— Tu aimerais vraiment me voir faire l’amour avec un autre ?

— Ben… j’y pense… en fait, je sais pas si cela me rendrait jaloux ou si cela m’exciterait. Quand je te prends en levrette par exemple et que je caresse tes seins, je regrette toujours de ne pas voir la scène, ton visage quand tu jouis, ton corps qui bouge sous moi….

— Il ya le miroir.

— C’est vrai mais on ne voit pas tout et le fait de te grimper m’empêche de me concentrer sur tes réactions. C’est cela que j’aimerais voir. Je voudrais te regarder faire, te voir avec une bite dans la bouche, une dans le cul, voir le foutre dégouliner sur toi… tu es tellement belle quand tu fais l’amour que je ne peux pas profiter de tout quand je pratique moi même.

— Tu veux vraiment essayer ?

— Tu ferais cela ?

— Ça dépend, faudrait sélectionner les mecs, mais je veux bien essayer une fois.

— Vrai?… oh tu es trop cool. Putain, on va s’organiser ça.

— Faudrait faire vite… tant que je suis d’accord. Je ne sais pas si je ne vais pas revenir sur mon choix.

— Ouais, ok, ok… attends, on va voir si un mec est dispo un de ces quatre.

— Tu as personne, là maintenant ?

— Maintenant ?… oh bordel, ce serait trop cool.

Il regarda parmi tous ses contacts. Mais soit les mecs n’étaient pas connectés, soit ils étaient trop loin, soit ils n’étaient pas dispo. Franck commençait à se désespérer.

"Merde, c’est pas possible… aucun de ces bâtards n’est disponible" !

— Et parmi tes potes…

— Là au pied levé, ça va être dur.

— Et Sébastien ?

— Sébastien ?

— Oui, le voisin. Il est bien foutu, il est sympa… ça pourrait le faire.

— Ouais, ouais…pas con… mais est-ce qu’il va vouloir?

— Si on lui demande pas… Il faisait quoi là quand il t’a demandé de réparer sa fuite ?

— Je crois qu’il bossait.

— Tu vas le chercher. Tu le ramènes. Tu lui expliques. Si il résiste en me voyant à poil…

— OK, OK… j’y vais ?

— File. Je vous attends… laisse les portes ouvertes que je vous entende.

Franck sortit. Je me mis dans l’entrée. J’entendis la sonnette à la porte d’en face. On était lancés, le retour en arrière n’était plus possible. Si le jeune voisin sexy acceptait notre proposition, dans quelques minutes je me retrouverai en train de faire l’amour avec un autre homme devant mon mari… Cette pensée m’excitait… Il fallait absolument que cela marche et je résolus de mettre tous mes atouts dans la balance pour vaincre le jeune mâle s’il résistait…

A suivre.

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