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Renée et Odile ou la cinquantaine merveilleuse – Chapitre 2




Le premier chapitre se terminait le lundi dans la soirée et comme la suite de cette journée fut riche en événements, en plaisirs ( et afin de suivre certains conseils de lecteurs, je vais réduire la longueur de chaque chapitre )

Ainsi donc ce deuxième chapitre sarrêtera à une heure avancée de la nuit de lundi à mardi . j’espère qu’il vous plaira .

On se dirigea vers la salle de jacuzzi et je refermais la porte derrière nous.

— Comment je m’installe Pierre

— C’est simple, tu t’allonges sur la table de massage en te mettant sur le ventre

— Oui mais j’enlève ma robe de chambre ?

— Si tu veux que je te masse, il vaut mieux, oui.

Elle se retrouva en quelques secondes simplement vêtue de sa chemise de nuit et le spot allumé derrière elle me révélait, de l’endroit où j’étais, tout son corps en ombre chinoise

Je restai là, n’osant pas bouger pour ne pas rompre le charme mais Renée me ramena à la réalité

— On y va Pierre ?

— Oui ; allonge-toi

Je relevais sa chemise de nuit au dessus de ses genoux et commençais le massage du bas des jambes, en allant depuis la plante des pieds jusqu’en haut des mollets.

Je pris un tabouret et m’assis au bout de la table, c’était plus facile pour moi et en plus aurais-je peut-être l’occasion de découvrir quelques trésors cachés

En arrivant à la lisière des genoux, j’imprimais insensiblement un mouvement en forme de V pour que ses genoux se détachent l’une de l’autre. je commençais à avoir une vue sur l’intérieur de ses cuisses mais mes mains restaient soigneusement sur la partie à traiter.

— Alors Renée, comment ça va

— C’est divin, ça relaxe drôlement, je m’endormirais presque .

— Tu peux t’assoupir si tu veux, de toute façon il n’y en a plus pour très longtemps

Oh non, continue, je t’en prie

— Ah, mais ce ne sera pas le même prix !

— Ne t’inquiètes pas, j’ai de quoi payer ces soins .

Je pris ces mots pour une invitation

— Dans ce cas, alors je te fais le massage longue distance. Mets-toi sur le dos maintenant et laisse-toi faire

Elle se mit comme demandé et je relevais sa chemise de nuit jusqu’en haut de ses cuisses. >Je m’enduisis les mains d’huile parfumée et je commençai à les faire remonter de ses chevilles à ses genoux que je massais délicatement et une main, une seule partit sur sa cuisse. Je la palpai doucement, faisait jouer ses muscles sous mes doigts et redescendis ma main entre ses deux cuisses et là je commençai un léger mouvement de haut en bas

La peau est très fine et très sensible à cet endroit et Renée ne disait rien. Je continuai tous mes mouvements et sa respiration devint plus saccadée. Je remontai encore un peu plus et j’étais tout près de son sexe, mais pour l’instant, je n’insistai pas pour aller plus haut.

Dans ce mouvement ma main avait relevé sas chemise de nuit et je pouvait maintenant voir qu’elle n’avait pas mis de culotte. Une toison claire était visible sous le tissu et une sourde envie de plaisir se mis à poindre au plus profond de moi.

— Comment ça va Renée, tu ne dis rien ?

Un sourire répondit à mes mots, et je sus que c’était gagné

Je relevais alors sa chemise de nuit sur son ventre et mes deux mains s’emparèrent de son sexe. Je lui écartai les deux jambes et commençai à caresser ses lèvres, puis son clitoris. Dès que je leus touché, elle se cambra comme sous l’effet d’une décharge électrique et cria

— Oh oui, oui

Je finis alors de lui enlever sa chemise de nuit et son corps nu fut livré à l’avidité de mon regard, de mes mains et de ma bouche.

Ses seins, j’avais raison, étaient plus petits que ceux d’Odile mais semblaient plus fermes et ils très réactifs aux caresses.

Pendant que ma bouche s’occupait de ses mamelons, deux doigts de ma main gauche fouillaient l’intérieur de son vagin.

Puis je ressortis un de mes doigts que je posai alors sur sa rosette et imprimai un lent mouvement circulaire sur son muscle anal. Sentant une belle résistance et bien que Renée ne s’opposa pas à cette caresse très localisée, je délaissai momentanément ses seins et de ma main droite, je versai un peu d’huile de massage sur son périnée.

Mon doit glissa avec facilité maintenant et il s’insinua lentement dans l’anus.

Renée poussa de petits cris sous l’effet conjugué de toutes ces caresses et je bandai à en souffrir.

Je n’avais qu’une envie, pouvoir jouir.

Je pris Renée dans mes bras et la déposai sur le clic-clac qui était derrière la table de massage puis abaissai son dossier.

Je me déshabillai au plus vite et la rejoignis sur le lit ainsi formé et l’embrassai avec fougue. Tout de suite dans un râle et me rendit mon baiser et attrapa ma bite qu’elle caressa de haut en bas.

— Attends un peu Renée sinon tu vas me faire jouir, je voudrais trop que tu me fasses une pipe.

Je me lovais contre elle sur le coté en position de 69 et nos bouches s’occupèrent chacune du sexe de l’autre.

Renée s’arrêtait de temps en temps pour reprendre sa respiration et moi, j’avais ma tête enserrée entre ses cuisses et collée sur son sexe. C’était extraordinaire, je croyais rêver

Ha,ha

Je ne pus retenir plus mon plaisir, c’était impossible. Je commençai à jouir dans sa gorge .Sous l’effet de la surprise,Renée retira sa bouche de mon sexe et le reste de mon éjaculation tomba sur ses joues et son cou

— Ah Pierre, j’en ai avalé !

— Pardon, je n’ai pas pu me retenir Renée.

Je repris mes caresses buccales sachant que désormais, mon plaisir pris, je ne pourrai pas la pénétrer avant un moment. Je passai avec délectation ma langue sur son clitoris et me tournant je me mis sur le dos avec Renée sur moi et son sexe toujours collé sur ma bouche. Ma langue explora toute sa grotte et je mis en même temps deux doigts dans son anus avec des mouvements de va et vient

L’effet fut quasiment immédiat

Renée poussa des cris de plaisir ; elle ne se contrôlait plus et soudain, un feulement sorti de sa gorge retentit dans pièce. Elle était devenue une lionne en chaleur.

Heureusement la pièce n’était pas sous les chambres car Odile et Chantal auraient pu tout entendre et alors, j’aurais personnellement été très gêné.

De longs spasmes secouèrent son corps toujours collé au mien, ses jambes se raidirent et elle enfouit sa tête dans mon bas-ventre ce qui étouffa un peu ses cris.

Les spasmes progressivement se transformèrent en ondulations du bassin puis ce fut le calme absolu.

Nous restâmes ainsi quelques minutes puis je la soulevai avec douceur et vint m’allonger à ses cotés en passant mon bras sous son cou.

Elle tourna sa tête vers moi et m’embrassa doucement sur tout le visage.

— Oh mon dieu, quel moment merveilleux tu m’as offert. Il y a bien longtemps je ne n’avais pas participé à une pareille fête et pour une fois, j’en ai été une actrice active. Pierre, oh, comment aurais-je pu deviné chez toi un tel savoir-faire ?

— Savoure ce moment.

Je l’embrassai longuement, ma langue pourtant épuisée joua encore avec la sienne et lui dit

— Renée, promets moi que nous recommencerons ici ou ailleurs, j’en ai trop envie, j’ai envie de ton corps

Elle se mit sur le coude, me fit face et répondit

— Je suis à votre disposition, Monsieur, je ne suis pas prête de te repousser avec tout ce que tu m’as fait. C’était trop bon; mais il me manque quand même quelque chose..

— oui ?

— Avoir ta bite dans ma chatte .. et oui, je sais aussi parler comme vous les hommes .. j’espère que tu n’es pas choqué par le langage de ta vieille amie Renée, au moins ?

— Je n’ai pas envie de monter dans ma chambre, Renée, je voudrais rester ici avec toi cette nuit, mais c’est aussi impossible. Imagine toi qu’elles nous cherchent et nous découvrent ici dans cette tenue ?

— Moi aussi mais il faut être raisonnable. Il vaut mieux pour nous deux retourner discrètement dans nos chambres et ne pas éveiller les soupçons. Et après tout, j’ai encore cinq jours à passer chez toi et puis Reims n’est pas si loin d’ici, non..?

Nous nous levâmes et remontâmes au premier. En passant devant la chambre de Renée, je la laissai non sans lui avoir donner un dernier baiser léger accompagné de ma part d’un

— Bonne nuit ma belle créature et à demain

Elle entra dans sa chambre et moi de même.

J’aillais vite prendre une douche et je sentis l’odeur de son eau de toilette sur mes bras, mes épaules; bref elle devait être partout sur mon corps jusqu’au bout de mon sexe, mais n’étant pas contorsionniste, je n’ai pas pu le vérifier. Ma barbe courte de quelques jours était encore toute humidifiée par ses sécrétions intimes et je me passais doucement les mains dedans puis les sentis pour retrouver ce merveilleux moment.

Je pris ma douche, regardai le réveil . Ouille plus de deux heures du matin et moi qui doit me lever à six heures un quart pour préparer le déjeuner et tout nettoyer, ça va être plutôt dur.

La journée du mardi sera le troisième chapître ………

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