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Réconfort et vieilles dentelles V. La pharmacienne. – Chapitre 2




Elle obéit sans discuter. Madame M. lui avait-elle raconté comment se déroulait la thérapie ?

En tout cas, la sage passivité de ma pharmacienne commençait à m’exciter sérieusement et faisait naître rapidement en moi des désirs coupables.

Mes mains glissèrent de sa taille jusqu’au haut de sa jupe pour s’attaquer à sa fermeture.

Elle ne broncha pas quand j’ouvris le zip et quand je saisis le haut de cette jupe pour la faire tomber à ses pieds : elle se contenta de frissonner.

Je constatai avec ravissement qu’elle portait en dessous un petit brésilien rouge très échancré, un slip assez sage, tout en dentelles, mais suffisamment sexy pour me plaire.

Puis mes mains montèrent au col de son chemisier blanc, et lentement mais sûrement, je défis un à un les boutons de celui-ci.

Puis très lentement, je pris les pans du vêtement désormais ouvert, et fis le glisser en arrière, par-dessus ses épaules.

Bien obéissante elle avait toujours ses mains sur ma table, alors, je pris ses mains fines, lui fis mettre les bras le long du corps le temps de faire glisser le chemisier jusqu’en bas et l’en libérer.

Je le jetai vers une chaise, juste à côté.

Mes mains se posèrent sur ses flancs nus et je sentis immédiatement sa peau chaude s’hérisser de chair de poule ; elles montèrent vers ses bras peu épais mais moelleux (ce qui me permit de faire rependre à ses mains la position prescrite.) Je caressai quelques secondes ses épaules douces, puis mes doigts glissèrent vers le haut de son dos où ils se saisirent des attaches du soutien-gorge qu’ils défirent l’une après l’autre.

Je fis glisser les bretelles et recommençai la même manouvre que lors de l’ablation du chemisier.

" – Hum, mais c’est qu’on a des mignons petits nichons, ma pharmacienne. Ils tombent un peu, ce qui est normal, mais ils sont encore souples" dis-je en palpant doucement les jolies petites glandes qui réagirent aussitôt, leur mamelon s’étant dressé.

Plus bas, ses fesses un peu creusées, qui allaient en s’épanouissant un peu vers l’extérieur, laissées libres par l’échancrure du brésilien, m’attiraient de façon émouvante.

J’y posai donc le plat de mes deux mains.

" – Hum, ma petite pharmacienne ne va pas tarder à se retrouver à poil au milieu de ma cuisine… Et j’avoue que j’aime ça !"

Elle ne bougeait pas, comme paralysée, et attendait.

Je ne lui laissai pas le loisir de s’impatienter. Je saisis délicatement le haut su slip et la déculottai lentement, descendant le joli sous-vêtement rouge sur le bas de ses fesses, puis ses cuisses, et il rejoignit la jupe encore en vrac autour de ses chevilles.

" – Alors, ma jolie petite pharmacienne", dis-je en empoignant dans ma main droite le mont de

Vénus rebondi qui saillait fièrement en avant, "je crois que ce joli fruit est un peu en manque de soins, non…? Je crois qu’il a besoin qu’on s’occupe un peu de lui…

— Ou…oui" gémit-elle, faisant onduler son bassin, et basculer en arrière sa petite tête contre mon épaule.

" – Et en plus vous avez une chatte totalement rasée, ce que je trouve particulièrement excitant.

On n’imagine pas, quand vous voit comme ça, vous qui paraissez être une femme mûre bien sage et bien rangée, que vous avez dans votre slip une motte toute lisse, propre à faire bander un mort, et que vous êtes une petite coquine qui cherche à exciter les mâles avec votre petite chatte prête à servir.

Allez, commencez par vous débarrasser de cette jupe et de cette culotte qui vous entravent et vous empêchent d’écarter les cuisses."

Comme je la maintenais appuyée contre moi, elle n’eut pas d’autre choix que d’envoyer valdinguer d’un mouvement du pied ces deux atours féminins, et sans que j’eusse besoin de le lui demander, elle écarta légèrement les cuisses ce qui permit au bout de mes doigts de glisser de son mont vers sa vulve : les pétales en étaient déjà tout entrouverts et tout soyeux, et même en proie à une certaine douceur humide.

" – Hum" fis-je avec un air gourmand tandis que les doigts de ma main droite patinaient sur des muqueuses douces et glissantes, "on dirait que votre corps réagit, que votre sève a coulé, ma chère."

Et d’un geste sensuel je levai la main, lui mit quasiment sous les yeux mes doigts tout brillants de mouille, et je les portai à ma bouche puis les suçai avec délectation.

" Oh murmura-t-elle, "quel diable d’homme êtes-vous ?

— Mais un homme, juste un homme" lui répondis-je après avoir fini de sucer mes doigts.

Ma main gauche lui pelotait le sein gauche, le pressant doucement avant de passer au sein droit, tandis que mes doigts droits étaient repartis en exploration, à l’orée de cette petite grotte douce et bien humide.

Elle ondulait sensuellement des reins, habitée par le désir, et elle avait passé son bras gauche en arrière, attrapant et caressant ma nuque.

Mes doigts, dans leur mouvement de glisse, montaient et descendaient en allant à chaque fois de plus en plus bas, et s’insinuèrent dans sa chatte.

Elle accueillit cette intrusion avec force soupirs et petits gémissements. Ses yeux étaient à demi-fermés.

Ma main gauche faisait rouler ses mamelons durcis entre pouce et index, tandis que de ma main droite, l’index et le majeur effectuaient maintenant des mouvements de va-et-vient, cherchant à aller le plus loin possible, ce qui n’était pas tellement évident dans cette posture.

Soudain, je la lâchai, et je posai mes deux mains sur son cul, appréciant la chaleur et le moelleux de ses deux fesses de femme mûre. Elles étaient encore bien galbées malgré son âge, et pas encore affaissées, ce qui ne fut pas pour me déplaire.

" – Vous savez que vous avez un beau cul, Madame Dubuis !? Je le trouve particulièrement bandant. On ne s’imagine pas quand on vous voit, habillée derrière votre comptoir, que vous avez un corps encore franchement appétissant."

J’étais en train de le caresser, le masser, le palper de façon de plus en plus appuyée.

Elle me laissait faire en silence, ayant l’air d’apprécier le traitement.

Puis, soudain je lui lâchai :

" – Vous savez que vous mériteriez d’être fessée pour ce que vous m’avez dit toute à l’heure ?"

Elle tenta de protester.

Je l’interrompis :

" – Vous avez parlé de me dénoncer. Vous m’avez menacé. C’était presque du chantage puisque vous vouliez faire pression sur moi pour que je vous prodigue mon "traitement"…

— Oh vous savez que ça n’était pas le cas, vous savez bien que je n’en aurais rien fait…

— Silence !" lui criai-je en lui assénant une claque sèche sur la fesse droite. "Vous allez apprendre que pour ce traitement fasse effet il faut se soumettre à moi sans broncher…!"

Elle sursauta, fut surprise tant par la claque sur sa fesse que par le ton de ma voix devenu brutalement véhément.

Est-ce que Madame M. lui avait raconté toute notre séance par le menu, et lui avait-elle conté que je lui avais administré une fessée en règle ? J’en doutais un peu, mais malgré tout elle devait savoir à quoi s’attendre.

Néanmoins, cette petite souris n’avait pas un corps aussi plantureux, aussi voluptueux que Madame M., et elle ne me donnait pas sincèrement envie de la punir comme j’avais fait pour la première.

Non pas que son derrière ne fut pas assez charnu pour encaisser une bonne fessée à plat ventre en travers de mes genoux. Mais son attitude ne me mettait pas en tête un désir de fustigation.

Il ne me venait pas l’envie de lui faire mal. La façon dont elle était venue se donner à moi, sans faire de manières, me touchait plutôt ; et si j’avais envie de jouer un peu avec elle, elle m’inspirait plutôt de la tendresse et du désir.

Ou bien était-ce simplement mon humeur ? Je ne savais pas. Il y a des jours comme ça.

" – Hummm…" lui murmurai-je avec un air gourmand, "quelle bonne petite chienne."

Et je rajoutai en caressant avec délice son cou gracile, frêle et à la peau si douce, qui donnait d’elle une terrible impression de fragilité :

"J’aimerais beaucoup emprisonner ce joli cou dans un collier de cuir, un collier de chienne soumise, emprisonner ce corps dans un carcan pour mieux le posséder, pour le sentir tellement mien…"

J’avais envie de la dominer, ça c’était certain, mais je n’avais pas grand-chose à faire pour ça, tant elle se montrait déjà docile et obéissante, tant elle semblait avoir un penchant naturel et spontané pour la soumission.

D’ailleurs elle ne protestait pas, ne cherchait pas à répondre à mes mots provocateurs, ni à se défendre, et n’exprimait pas non plus une quelconque crainte. Elle semblait finalement en confiance avec moi, semblant trouver du plaisir à se laisser guider là où je l’emmenais, comme si elle y trouvait ce qu’elle cherchait.

Aussi, je me contentai de lui ordonner :

" – Penchez-vous en avant sur ma table. Oui, c’est ça, encore plus. Et écartez bien les cuisses. Oui comme ça.

Ah Madame Dubuis, vous m’offrez une vue imprenable et ravissante. Je n’ignore plus rien de votre anatomie, à présent. Vous n’avez plus de secret pour moi.

Quelle vue sur votre corolle bien ouverte, quelle vue sur votre anus ! Et je trouve vos petits nichons de souris bien excitants, comme ça, tout pendouillants et tout pointus, presque à toucher ma table !

Dans cette position vous êtes parée pour la levrette. Et on devine que vous êtes faite pour ça !

Mais vous êtes aussi dans la posture idéale pour recevoir un lavement.

Hummm, administrer un lavement à une pharmacienne, quelle bonne idée, quelle perspective excitante !"

J’écartai un petit moment ses fesses souples, examinai son cul sur toutes les coutures, palpant, attouchant, pelotant, pinçant les chairs offertes à ma vue, passant le bout de mon doigt sur l’anus borgne, en appréciant la douceur, entre-écartant les lèvres intimes, fines et roses comme du papier de soie, matant l’orifice rond et tout perlé de rosée, qui semblait si accueillant et n’attendre que moi.

Puis, je lui annonçai :

" – Ma petite Madame Dubuis je vais vous bouffer le cul !"

Je m’accroupis et ma langue fit son office, passant et repassant à maintes reprises sur le petit cratère tout rond et déprimé, tandis que mes mains maintenaient les hémisphères écartés.

Elle émit force soupirs, tandis que ses mains s’étaient posées bien à plat sur la table, et elle s’offrait de façon bien émouvante, appuyée sur les avant-bras, tandis que ma menteuse et ma bouche honorait son petit temple si secret.

Je fis durer cette feuille de rose plus que de raison, lui léchant également les fesses qui sentaient bon le parfum d’un savon délicat, voire, peut-être, une eau de toilette (jusqu’où la coquine n’avait-elle pas poussé la coquetterie ni affuté ses armes de séduction), et le pourtour des grandes lèvres.

" – Relevez-vous !" lui ordonnai-je, "cuisses bien écartées ! Et les mains dans le dos, comme une parfaite soumise !"

Elle s’exécuta avec zèle, se mettant presque au garde-à-vous, les joues très rouges.

Je la contemplai quelques instants, ses yeux étaient troubles et brillants derrière ses petites lunettes à monture fine et dorée, regardant au loin, manifestement bien décidée à jouer jusqu’au bout son rôle de soumise obéissante.

C’est moi alors qui glissai à genoux, mes mains descendirent sur ses cuisses nues et douces, et je me plaçai entre ses jambes ouvertes.

Ma bouche monta jusqu’à la source des plaisirs. La corolle était bien ouverte, les fines pétales écartées et gonflées par le désir, d’un rose bien vif : j’entrouvris la bouche et la collai contre cette autre bouche, chaude et douce. J’aimai immédiatement le goût musqué que j’y trouvai et la suavité de ce fruit exquis.

Ma langue se mit à parcourir toutes les anfractuosités à sa portée, glissant en des mouvements répétitifs, tantôt circulaires, tantôt montants et descendants.

La belle, bien obéissante, résista au besoin de se tenir, de poser mes mains sur mes épaules, et gardait, telle une bonne élève qui a compris la consigne et se fait un devoir de la suivre jusqu’à nouvel ordre, ses bras derrière elle, ses mains tenant ses avant-bras.

C’était à peine croyable, elle avait dû avoir pour livres de chevet des romans polissons.

Par contre, elle gémissait de plus en plus douloureusement, les yeux à demi-fermés, et ses genoux fléchissaient en cadence, flageolant à demi.

Mes bras s’étaient tendus vers ses seins que j’avais saisis à pleines mains et que je pelotais rythmiquement.

Elle commença à pousser des "AHHH" brefs et de plus en plus incontrôlés, tentant de se mordre les lèvres, sans doute pour réprimer ses plaintes.

En réaction, je plaquai mes mains sur ses fesses, pressant son bassin contre moi, la dissuadant de fuir, d’échapper à ma langue et à ma bouche avide.

Je décollai une seconde mes lèvres de ses muqueuses pour lui lancer :

" – Ne vous retenez-pas, n’essayez pas de résister au plaisir, laissez-vous aller, jouissez sans gêne ni entrave !"

Elle se détendit, sembla se laisser aller, lâcher prise, puis dans un long hululement qui monta de plus en plus fort, elle jouit tout son soûl, se libérant d’un coup et ce fut comme un barrage qui céda : je reçus un petit jet de cyprine dans la bouche, et je me mis à la téter de plus belle, tout en caressant sa rosette du bout de mon doigt.

Quand son long orgasme prit fin, je me relevai et prit sa bouche. Elle me rendit ce baiser avec passion, sa langue semblant se déchaîner. La marée n’avait pas fini de monter.

Moi, j’étais bien excité, et j’avais un bâton bien dur dans mon slip.

Je posai alors ma main sur sa fesse et l’entraînant vers l’escalier, je lui dis :

" – Viens, ma chérie, montons à l’étage. J’ai envie de te baiser. Mon lit est toujours prêt pour accueillir une salope comme toi."

Elle tourna la tête vers moi avec un air offusqué, mais ma main gauche la saisit par la vulve et je lui roulai une nouvelle pelle pour la faire taire. Elle se laissa aller à ce baiser profond et passionné.

Quand j’abandonnai sa bouche, je lui assénai une bonne claque sur le cul et la poussai un peu brusquement :

" – Je vais bien te baiser. Crois-moi, tu ne regretteras pas."

Et lui glissant deux doigts dans sa chatte bien humide :

" – Allez, avance !"

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