Jai 46 ans je suis marié a Souad, depuis 16 ans. nous habitons la capitale Alger. Souad a sa jeune sur Meriem âgée de 28 ans qui sest mariée, il y a deux années de ça, elle nhabite pas loin de chez nous. Un jour, elle appela sa sur, elle est sortie faire des courses et au retour chez elle, elle nest pas arrivé a ouvrir la porte de son appartement, la clé reste coincée. Souad, mappela, et me dis si je pouvais aller, pour laider, car le mari de Meriem, est en déplacement dans une autre ville.
Je pars en direction du logement de Meriem.
Elle habite un petit immeuble, au 3eme etage.je la trouve avec ses courses devant sa porte, la clé est coincée dans la vachette de la porte dentrée. Jessaye de dégager la clé, et je sens quil faudrait huiler un peu, je descendis pour chercher quelques outils de ma voiture. Apres un bon moment jarrive à décoincer la clé et en insistant jouvris la porte. Meriem, rentre a la maison et minvita à rentrer. Elle me dit quil faudrait se laver, javais les mains un peu sales, car jai mis un peu dhuile dans la serrure pour débloquer la clé.
Je rentrai dans la salle de bain, je jetais un coup dil, je voyais dans un coin une corbeille a linge, ou était entreposé du linge sale. Je voyais un string au dessus du couvercle de la corbeille. Cest celui de Meriem, je le pris, je le mis sous mon nez, je sentais lodeur, naturelle de Meriem, une odeur, de mélange de sperme, de cyprine et de mouille. Cette situation mexcitait tellement que jai bandé, mon érection était tellement forte, que la bosse formée sur mon pantalon était visible.
Le fait de tarder, Meriem mappela, pour me dire, si je navais pas des problèmes, je dis à haute voix, « non »
Je rejoignis Meriem, au salon, elle sest changée, très vite, elle portait une robe dintérieur, qui met en évidence ses gros seins. Elle me dit de minstaller sur le fauteuil et quelle aller moffrir une rafraichissant. Je décline, en lui disant que je dois partir. Elle me dit, si je pouvais rester quelques moments, elle a envi de discuter avec moi. Elle me dit quelle sest rendu compte de mon érection, et quelle aussi était en manque depuis longtemps. Son mari se fatigue trop dans ses déplacements, et naccordait pas une importance a ses désirs sans cesse croissant.
Javais le souffle coupé. Elle se leva se rapproche de moi, elle sasseyait a mes cotés. Je lui ai dis Meriem ; «tu sais tu es ma belle sur, je ne peux faire ça à Souad », sans répondre, elle approche son visage, et me plaça un baiser sur mes lèvres. Je répondis, elle embrasse bien. Je lembrasse langoureusement en passant ma main sur visage, et lautre main je la pénétrai dans léchancrure de la robe à la recherche des seins. Je les palpe, les masses au dessus du soutien. Elle me dévora les lèvres, elle émettait des gémissements. Je passai maintenant la main sur ses jambes bien gabées au dessus de sa robe. Je la fis lever je lui enlevais sa robe, elle était debout en string et soutien. Je la fais coucher sur le canapé. Je dégrafe son soutien et libère tes seins. Ils se tenaient bien droits, orgueilleux et fiers. Elle avait déjà les tétons gonflés montrant son degré d’excitation. Je pose mes mains sur sa poitrine et me mis à masser les globes. Elle se cambre en arrière et son pubis vint au contact du mien. Elle met ses mains sur mes épaules.
Elle avait un petit string qui cachait à peine les poils de son pubis. Après avoir enlevé le petit morceau de tissus je mis à l’air son entrejambe et découvris les lèvres de son vagin en lui écartant les cuisses.
Je me mis à la lécher, puis à aspirer son clito en le prenant délicatement dans ma bouche. Elle sentait bon la femme qui à envie de baiser. Une odeur de mouille fraiche se dégageait delle.
Plus je la suçais, plus son clitoris gonflait.
Elle commençait à gémir de plus en plus fort. Tout en continuant à agacer son clito, je faisais rouler tes tétons entre mes doigts. Son orgasme se déclencha subitement. Elle déclame des mots sans suite, comme si elle délirait.son corps se mit à trembler et elle serra ma tête entre ses cuisses.
Pendant tout le temps que dura sa jouissance, je continuais à aspirer son clitoris et à masser sa poitrine. Elle hurle puis se détendit. Pendant quelle est immobile allongée les bras en croix, je défis mon pantalon, enlevais mon slip, et pris ma bite pour la présenter à l’entrée de ton vagin. Je passais doucement mon gland entre les grandes lèvres pour mélanger ma mouille avec la sienne. Poussant à peine, je fis entrer le gland dans son orifice. Je me mis à la baiser.
Elle est tellement croquante, croustillante, que l’orgasme que j’ai eu, ma vidé de ma semence; je tire mon sexe de son vagin, le présente à sa bouche, elle le suce et elle lèche le sperme tout chaud quelle avale avidement.
Je métends un peu à son coté.
Je me lève, je mhabille rapidement, je prends mon portable qui ne cesse de sonner, cest Souad, qui appelle, je lui dis, que cétait régler.
Meriem toute nue, vient se coller a moi, elle me dit, elle navait jamais baisé comme ça. Que cétait très bon. Elle me dit quil faudrait quon refasse ça, je lui dis pourquoi pas.