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mariée, soumise à ma maitresse – Chapitre 1




Bonjour, je suis Sylvie et avant d’en venir à l’histoire que je vais vous raconter et qui a changé ma vie, je pense important de faire une petite description de moi et de ma vie.

Je suis une femme de 50 ans mariée depuis 19 ans à Marc. Jai toujours aimé le sexe et entre la perte de ma virginité à 15 ans et la rencontre de Marc, qui allait devenir mon mari, à 26 ans, jaimais changer damant. Sauf une fois avec 2 hommes qui mavaient prise en sandwich, mes parties de "jambes en l’air" se sont toujours faites en duo. J’étais jolie fille et avait une réputation de coquine, mais j’avais la fierté de toujours choisir moi-même mes amants et de ne pas dire oui à ceux qui, trop vulgaire ou trop pressant me traitait comme une fille facile. J’avoue que ça ne m’empêchait pas d’avoir entre 10 et 15 amants différents par année.

La rencontre avec Marc a été le début d’une "fusion", une entente rare, l’amour avec un grand A qui continue toujours. Je rêvais de cet amour mais ne le concevait pas sans fidélité.

Petit à petit, nos jeux sexuels ont évolué vers une domination de ma part sur lui. Il trouve un grand plaisir à jouer les soumis alors que, dans la vie il est plutôt le contraire. Et moi j’avoue être très excitée par cette situation. Depuis quelques années, il m’a avoué avoir le phantasme d’être non seulement soumis, mais aussi cocu. Pour moi il n’en était pas question, mais à force d’en parler je me suis mise à fantasmer la dessus. Je m’imaginais entre les mains de bel inconnu avec qui je me comportais en fille facile, mais Entre phantasme et réalité il y a un pas que je ne pensais pas franchir.

Si les années ont quelques peu vieilli mon corps, je suis restée une belle femme brune, 1.67 mètre pour 57 kilos avec une poitrine de 90 cm et des bonnets de soutien-gorges B. Pour finir ma description, je précise que je me fais régulièrement épiler intégralement à la cire par mon esthéticienne. Même si je ne me suis jamais considérée comme bisexuelle, j’avoue que ses mains sur mon corps lisse me font sortir de chez elle mouillée. Je ne l’ai, bien sur, jamais laissé apparaître.

L’histoire qui a changé ma vie a commencé assez banalement, je me suis retrouvée en même temps qu’une jeune femme dans la trentaine à vouloir faire 10 minutes de solarium. Nous avons fait connaissance et quand je suis ressortie du solarium elle m’attendait pour me proposer de boire un café.

Nous avons beaucoup discuté et le feeling a tout de suite été bon. Elle me troublait plus que je ne voulais me l’admettre. Comme je lui ai dit que mon mari ne rentrerait pas de bonne heure et que j’avais envie d’aller me faire une séance de cinéma à 16h00, elle m’a proposé de m’accompagner. Nous voilà donc en route pour le ciné

Vu la météo un peu maussade, j’avais mon manteau de pluie par-dessus un top à fines bretelles et un jeans. Il y avait peu de monde à cette heure ci. Aurélie m’a entraînée à la 2ème rangée me disant qu’elle aimait être devant et que nous serions plus tranquilles. Jusqu’à ce moment elle ne m’avait pas fait de proposition particulière. Pourtant je me sentais comme une adolescente à son premier rendez-vous. Je ne savais pas ce qui allait se passer, mais cette femme me troublait et, pour la première fois de ma vie j’avais l’impression d’être incapable de contrôler la situation.

En attendant le film, nous parlions lingerie et elle me dit :

— Avoir la bretelle de ton soutien gorge, tu aimes la dentelle.

— Oui et j’ai un mari adorable qui m’en offre souvent.

— Tu me le montre?

J’ai regardé autour de nous. Les premières personnes étaient 5 rangées derrière nous. Un peu hésitante je l’ai laissé passé les bretelles de mon top sur mes bras. Je me suis même un peu avancé pour qu’il glisse à ma taille.

— Il est superbe et tu es une très belle femme. Je te félicite.

Je redoutais et espérais en même temps qu’elle me caresse la poitrine, mais elle n’en fit rien. Elle m’a demandé :

— Tu as le string assorti?

— Oui, mais la c’est le shorty que je porte.

— Ça doit te faire un joli cul. Tu me le montre aussi?

— Ici?

J’ai rougi en disant ça. Elle m’a dit :

— Si tu te mets à genoux et que tu baisse ton pantalon, personne ne peut te voir.

J’hésitais, regardais derrière, elle m’a dit :

— Vas-y, tu ne risques rien et je ne vais pas te violer, on est entre femme.

Ma tête me disait de dire stop, mais mon corps n’obéissait plus. Un peu tremblante je me suis mise à genoux, mon top a glissé jusqu’à mes genoux. A l’abri des regards, j’ai baissé mon pantalon sur mes cuisses. Elle m’a fait me tourner et m’a dit que j’avais un joli cul. Pour la première fois de ma vie je me sentais dans la peau d’une soumise. J’étais troublée et mouillée.

La salle s’assombrissait à ce moment. C’était le début de la projection. Elle m’a dit :

— Plus personne ne va venir, tu peux rester comme ça. Je te trouve superbe.

Sans oser protester, je me suis assise sans me rhabiller. Sans qu’elle ne me le demande, pour être plus à l’aise j’ai complètement enlevé mon pantalon et mon top.

Le film a commencé. J’avais presque oublié ma tenue quand, j’ai senti sa main sur ma cuisse. Je me suis raidie. Elle m’a murmuré :

— Laisse tes mains sagement sur les accoudoirs et laisse toi faire

Sa voix était douce et autoritaire en même temps. La garce était en train de marquer son territoire et de vouloir me montrer que j’étais sa soumise. Je devais réagir, protester. Mais les protestations sont restées dans ma tête. Mon corps lui était déjà soumis, mes jambes se sont écartées lorsque sa main a glissé à l’intérieur de mes cuisses. Après quelques minutes, sa main était sous mon string. C’était la première fois qu’une femme me caressait. Elle a su me tenir excitée, proche de l’orgasme mais sans que je l’atteigne. Ça a duré jusqu’à l’entracte. Quand la lumière s’est rallumée, elle m’a fait un bisou sur les lèvres en me demandant :

— Tu as aimé?

J’ai avoué qu’oui. Elle me dit :

— J’ai envie de continué à m’amuser avec toi. Je suis sur que tu va prendre beaucoup de plaisir à te laisser guider. Mais je veux que tu sois 100 % consentante, sans la moindre hésitation. Je te donne la garantie que ta vie privée et ton amour pour ton mari seront préserver. Maintenant c’est à toi de choisir. Je vais aller chercher quelque chose à boire. Si tu acceptes de devenir mon jouet, tu restes comme ça, sans te rhabiller. Ici tu ne risque rien. Si quand je reviens tu es rhabillée, je ne t’en voudrai pas et nous pourrons rester amies.

Sans me laisser le temps de répondre, elle s’est levée et est sortie de la salle. L’idée de me rhabiller ne m’a pas vraiment effleuré l’esprit. Mais j’ai tout de même pensé à mon mari. Je me suis dit que je réalisais son fantasme et qu’il allait être cocu si je restais comme ça. J’ai décidé de l’appeler. Une fois que je l’ai eu au téléphone, j’ai pris mon attitude de dominatrice qu’il aime tant. Je lui ai dit que j’étais au cinéma puis j’ai précisé :

— J’ai fait connaissance avec une jeune femme qui me drague. Tu as toujours envie d’être cocu, même si c’est avec une femme?

Après un moment de silence, il me dit :

— Si je te dis que je bande et que j’aimerais que tu te laisses draguer et que tu profites de t’amuser tu me crois.

— Je t’aime

— Moi aussi, amuse-toi bien, tu verras nos retrouvailles après n’en seront que plus intenses.

— D’accord, mais toi interdiction de te branler

— Bien madame, je t’obéirai.

— Je ne lui dirai pas que tu es au courrant. Ce sera notre secret. Je t’embrasse.

J’ai raccroché, le cur battant et j’ai attendu le retour d’Aurélie. Elle n’est revenue que lorsqu’une sonnette annonçait la reprise du film. Elle a souri en me voyant en sous-vêtement. Elle m’a dit :

— Mets-toi à genoux et envoie un sms à ton mari pour lui dire que tu passe la soirée avec une amie et que tu rentreras tard.

J’ai obéis sans rien dire. Pendant que je pianotais sur mon téléphone, elle a décroché mon soutien-gorge et baissé mon shorty. Je me suis rassise nue alors que le film reprenait. Ses caresses ont repris, mais elle veillait à ne pas me faire jouir et m’a ordonné de ne pas bouger lorsque j’ai voulu aussi la caresser.

Ça a duré jusqu’à la fin du film. Pendant le générique, alors que la salle était toujours sombre, elle m’a dit :

— Enfile ton manteau directement sur ton corps nu.

J’ai obéis puis j’ai voulu ramasser mes habits. Elle m’a arrêté :

— Non, on laisse tout ici. Ca fera fantasmer ceux qui les trouveront. Et j’ai cru comprendre que tu n’étais pas à quelques habits prés.

J’ai bien compris qu’elle me testait et qu’elle ne s’opposerait pas à ce que je désobéisse. Je l’ai regardée, son regard me défiait. Je n’ai pas voulu la décevoir. Mes habits sont restés dans le cinéma.

Dans la rue, elle me dit :

— Tu sais, je préfère les hommes aux femmes, mais j’aime m’amuser avec les femmes, les diriger et les ammener au plaisir comme je le veux.

Je n’ai rien répondu, elle a continué :

— Je vais t’amener dans un endroit un peu particulier ou tu pourras etre baisée sans voir le visage de celui qui te pénètre. Je choisirai ton amant et le guiderai pour être sur que tu prennes du plaisir.

Elle avait dit ça sur un ton assez ferme. Elle ne me demandait pas mon avis, elle m’informait. Je ne me reconnaissais plus, j’acceptais ça comme si mon corps ne m’appartenait plus. J’ai simplement dit :

— C’est comme tu veux

Elle a souris et m’a dis :

— Depuis le premier regard j’ai deviné que tu étais faite pour m’obéir. Dorénavant, tu va me vouvoyer et tu me diras Madame.

J’ai baisé les yeux :

— Bien Madame. Mais vous me promettez que je resterai une inconnue pour les autres.

— Tu doute de moi?

— Non Madame, pardon pour cette question.

— Je t’ai dit, tu ne verras pas ton amant d’un soir et en plus personne ne te connaît la ou je t’emmène. Tu ne risque rien.

On est arrivé vers un pub. Elle me dit :

— Vient, on commence par aller boire un verre, tu dois avoir soif et ça te détendra.

Je l’ai suivie, la salle était à moitié pleine, elle m’a entraîné à une table au fond de la salle. Elle a commandé deux boissons qu’elle m’a dit de payer tout de suite sans me demander mon avis, elle a ensuite sorti une racine de gingembre de son sac, elle en a épluché le bout et m’a dit :

— Je vais le frotter contre ton clitoris et tes petites lèvres. Tu verras c’est surprenant, mais surtout après tu n’auras qu’une envie : jouir.

Elle a discrètement passé sous mon manteau alors que j’écartais les jambes. D’abord froid, c’est transformé en une chaleur indescriptible. Insupportable, mais bonne en même temps. Elle a du me frotter l’entrée du sexe pendant 10 minutes. Lorsqu’elle l’a enlevé, j’étais soulagée, mais la chaleur ne s’estompait pas. Elle me dit :

— Tu va la sentir pendant 20 minutes. Suit moi c’est le moment de te préparé à recevoir le sexe qui va te soulager de cette chaleur.

Nous avons marché une centaine de mètre avant d’entrer dans un bâtiment et de descendre dans une cave ammenagée. Elle m’a mise en position est attachée penchée en avant sur un chevalet plutôt confortable. Une planche à la hauteur de mon cou, sur et sous le chevalet cachait ma tête. Pour finir de me cacher, une planche était aussi sur ma tête. Mais elle avait une large fente fermée par un tissu. Aurélie m’explique :

— Cette fente permet à ton amant de venir se faire sucer. Sa tête sera plus haute que la planche et ainsi tu ne pourras pas le voir.

Mon visage était éclairé et il avait un illeton qui ressemblait à une caméra sur la paroi en face de moi. Je lui demande :

— C’est une caméra la devant moi?

Elle était derrière moi et me claque fortement les fesses.

— Comment tu me parles? Demande l’autorisation avant de me parler.

— Pardon Madame, puis-je vous poser une question?

— J’aimerai que tu me le demandes en disant "Madame, la petite pute que je veux devenir peut-elle vous poser une question?"

Dire ça n’était pas facile. Pourtant, la gorge un peu serrée j’ai demandé :

— La petite pute que je veux devenir peut-elle vous poser une question?

— Oui tu peux

— Est-ce une caméra devant moi Madame?

— Oui, pour qu’on puisse voir ta tête, il y en a une deuxième sur le coté pour te voir sucer

— Vous m’aviez dit qu’il ne me verrait pas.

Je reçois une nouvelle claque sur les fesses

— Pardon?

— Madame, la petite pute que je veux devenir peut-elle vous poser une autre question?

— Oui

— Ne m’aviez vous pas dis qu’il ne me verrait pas, Madame ?

— Non j’ai dit que toi tu ne le verrais pas. Ça te dérange qu’il te voie?

— J’ai un peu peur d’être reconnue Madame.

— D’abord le risque est quasi nul, ensuite les hommes qui viennent ici sont des libertins trop contents de pouvoir de temps en temps baiser une femme mariée pour aller en parler à ton mari. Je te garanti que tu ne risque rien. Tu me fais confiance?

— Oui Madame

— Alors je peux brancher la caméra?

— Oui Madame

Celui qui rentrerait dans la cave me verrait offerte, jambes écartées. La chaleur provoquée par le gingembre me faisait encore mouiller. Aurélie me dit moqueuse :

— Je vois que ma petite pute a envie, ta mouille fait briller tes lèvres. Ne t’inquiet pas je ne laisserai jamais personne seul avec toi. Le patron du pub est mon complice. Il sait que je vais aller chercher un amant, il a déjà préparé quelques candidats et je n’aurais plus qu’a choisir. Tu te réjouis?

— Oui

— J’ai pas entendu

— Oui Madame.

Elle a rigolé et est sortie. J’étais terriblement excitée et inquiète en même temps, Je devais bien m’avouer que, en lui disant que je me réjouissais, je ne mentais pas.

Après de longues minutes ou mon imagination a continué à me faire mouiller, j’ai entendu du bruit, elle revenait et n’était pas seule. J’entendais des pas, mais pas une parole. Jusqu’à ce qu’elle dise :

— Je te présente ma femelle. C’est la 26ème femme mariée qui teste mon chevalet. Elle n’est plus toute jeune puisqu’elle a 50 ans, mais tu peux voir à son sexe brillant que c’est une mouilleuse qui attend avec impatience d’être baisée. Elle en est au début de sa formation de femelle, alors vas-y avec doigté pour la faire bien jouir. Elle n’est pas juste une vide couille, en tout cas pas encore.

Elle rigole est continue :

— Tu peux caresser son cul, même y mettre un doigt, mais rien de plus, tu ne l’encule pas. Tu peux aller devant elle, mais en gardant la tête sur la planche si tu veux te faire sucer. Pas besoin de préservatif pour la pipe, mais interdiction de juter dans sa bouche.

Il a commencé par venir se faire sucer. J’ai eu devant moi un homme qui avait bien 15 kg de trop. Son sexe était bien plus gros que celui de mon mari. Je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il soit bien dur. Il est allé derrière moi, un moment s’est écoulé. Je suppose qu’il mettait un préservatif, puis je l’ai senti contre mon intimité. Je me suis cambrée et ai gémis en l’accueillant dans mon sexe. Aurélie lui dit :

— Tu viens de faire une nouvelle femme adultère et un nouveau cocu

Ses allé et retour m’ont assez vite fait jouir. Mais il ne s’est pas arrêté. Ça a duré longtemps, du moins bien plus longtemps qu’avec mon mari. J’ai eu deux nouveaux orgasmes avant de sentir mon amant se raidir et éjaculer.

Lorsqu’il se retire, Aurélie lui dit :

— Tu peux aller te faire nettoyer le sexe par sa bouche si tu veux.

Il ne s’est bien sur pas fait prier et est revenu devant mon visage, le sexe à moitié débandé avec une goutte de sperme au bout. Je ne suis pas une fan de sperme, mais je n’ai rien osé dire et je l’ai pris en bouche pour le nettoyé. Malgré sa bedaine, il avait de la ressource car ça a eu pour effet de le faire rebander. Il dit :

— Humm c’est trop bon, je rebande la

— Petite pute continue à le sucer, il t’a bien fait jouir, il mérite bien ça. Et avale tout quand il éjacule.

Je ne pouvais pas vraiment protester. Même si ça ne m’enchantait pas, je l’ai sucé de longues minutes jusqu’à sentir son sperme chaud dans ma bouche. Je ne me reconnaissais plus. J’ai accepté ça facilement alors que je l’ai toujours refusé à mon mari.

Quand j’ai repris mes esprits, le local était silencieux. Aurélie finissait de me détacher et m’a fait asseoir sur un canapé. Elle m’a pris dans ses bras, m’a embrassé en me disant :

— Tu as été une bonne pute, tu as bien jouis, je suis fière de t’avoir fait découvrir ta vocation.

Elle m’a servit à boire puis m’a dit :

— C’est le moment de me dire merci. Mets-toi à genoux devant moi

J’ai obéis, elle s’est déshabillée et, pour la première fois, j’ai sucé et fait jouir une femme. J’ai aimé son goût. Instinctivement, après son orgasme, toujours à genoux par terre, je lui dis :

— Merci Madame.

Elle m’a permis de prendre une douche. Lorsque je suis revenue, elle était habillée. J’ai mis mon manteau et nous sommes retournées boire quelque chose au pub. Nous avons discuté un moment. Voici les principaux extraits :

— Tu as aimé?

— Oui Madame, je vous avoue que ça fait longtemps que je n’avais plus jouis comme ça grâce à un sexe d’homme.

— Celui de ton mari n’est pas performant ?

— Ça va, mais il n’est pas particulièrement bien monté et pas aussi endurant. Alors souvent j’utilise sa bouche ou mes doigts pour me faire jouir.

— Tu utilises? Tu le domines?

— Oui Madame.

— Intéressant, je suis en train de transformer en petite pute une femme qui domine son mari!

— Tu reviendras me voir?

— Sûrement Madame

— Je te sens hésitante.

— C’est nouveau pour moi Madame, mais j’ai aimé et j’aurai envie de recommencer.

— Tu as remarqué que ton amant n’était pas un très bel homme. Sache que les beaux males, je les garde pour moi. Mes soumises sont la pour servir les autres hommes. Mais tu as vu que ça ne les empêche pas de mieux baiser que ton mari. Tu es prête a devenir une petite pute pour les hommes de 2ème et 3ème catégories?

— Oui Madame

— Si tu veux me poser une question, tu peux.

— Vous avez dit à mon amant que j’étais la 26ème femme mariée a passé sur le chevalet. C’est vrai?

— Oui, les soumises que je drague et fait venir dans ma cave, comme toi, sont toujours des femmes mariées. C’est mon plaisir de dévergonder des femelles qui sont des femmes "comme il faut" dans la vie. Tu es la plus âgée et celle qui a le plus d’années de mariage. Les autres avaient 21 et 42 ans quand elles sont venues la première fois. Elles avaient entre deux semaines et 10 ans de mariage. Ça fait 5 ans que j’ai ce chevalet.

— Elles reviennent toujours vous voir?

— Celle que j’accepte oui. Si tu reviens, tu seras ma 3ème soumise actuelle. Je n’en prends pas plus à la fois. Mais toi tu as un bon potentiel, je suis donc prête à te garder. On t’a déjà traité de fille facile dans ta vie?

— Non Madame.

— Pourtant tu es une fille facile. Il ne m’a fallu que 2 heures avant d’avoir ma main dans ton sexe. Ça ne m’était jamais arrivé.

Au moment de nous quitter, elle me dit :

— Appelle-moi pour me dire que tu as envie de continuer ton éducation!

Sur le trottoir elle m’a roulé une pelle. C’était doux et excitant.

— Je compte sur toi. Au revoir petite pute

— Au revoir Madame.

Marc m’attendait. Je me suis jetée dans ces bras, on s’est embrassé très fort et très amoureusement. Je lui dis :

— Va m’attendre dans la chambre, je prends une douche et je viens tout te raconter.

Heureusement qu’il a docilement accepté. Je ne voulais pas lui montrer que j’étais nue sous mon manteau.

Lorsque je l’ai rejoint, je lui ai raconté une version édulcorée où on avait fait une partie à trois sans parler de ma soumission. Je ne voulais pas passer pour une soumise à ses yeux. Il Bandait. Nous avons ensuite tendrement fait l’amour. D’être cocu l’excitait réellement beaucoup. Il a éjaculé assez rapidement, mais j’ai tout de même eu le temps d’avoir un petit orgasme.

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