Par une belle journée d’été, nous étions plusieurs amis à nous diriger vers le centre commercial régional à l’occasion du premier mercredi des soldes. Lors d’une précédente visite, nous avions pu effectuer un repérage et sélectionner des articles qui nous intéressaient.

Mathias avait en vue un caleçon de grande marque mais j’étais sûr qu’il ne pouvait pas se le payer ! Avec Gustave, nous l’avons suivi dans un magasin de sous-vêtements. Chacun de nous examinait les articles. C’est Gustave qui fit un premier achat, un petit slip très étriqué qui fit réagir Mathias :

-Il est encore trop grand pour toi, Gus !

Gustave n’a pas répondu, se contentant d’un regard de dédain, comprenant que Mathias faisait allusion à la petite taille de son sexe.

Pour ma part, j’avais sélectionné un caleçon assez long. Et Mathias, après une longue hésitation, a pris un caleçon bon-marché.

Après le passage à la caisse, nous n’avons même pas fait attention à l’alarme qui avait retenti. Mais le vigile nous a fait signe de revenir : nous avions bien les tickets de caisse mais cela ne lui suffisait pas.

Il nous a emmené dans un petit local et s’est mis à nous fouiller. N’ayant rien trouvé lors de la palpation, il nous a dit :

-Désolé, les gars, il va falloir tout enlever.

D’abord nous avons enlevé nos shorts et nos T-shirts. Il nous a fait signe de continuer.

Alors un peu honteux, j’ai commencé à baisser mon caleçon, suivi par Mathias et Gustave. Et on lui a donné les caleçons qu’il a examiné avec attention. Soudain, il a poussé une exclamation : un slip de grande marque se trouvait dans un des caleçons. En fin de compte, Mathias n’avait pas pu résister et l’avait chouravé !

Je commençais silencieusement à le maudire. Il nous avait mis dans de beau draps. Car à coup sûr nous allions être accusés de complicité de vol.

Je m’attendais à ce que le vigile nous donne nos caleçons pour qu’on puisse se rhabiller : au lieu de cela il est sorti du local probablement pour discuter avec le directeur.

Nous avions quelques secondes pour prendre une décision. C’est Mathias qui a décidé pour le groupe :

-Vite ! Prenons la poudre d’escampette.

il a attrapé le tas de vêtement et s’est dirigé vers la sortie. Une fois dans les travées, nous nous sommes mis à courir comme des dératés. Les passants nous regardaient d’un air amusé. Certains semblaient choqués.

Lorsque j’ai baissé le regard, j’ai vu ce qui amusait tant le public : ma bite oscillait d’avant en arrière à chacune de mes foulées !

En slalomant entre les gens, j’évitais de justesse une femme âgée. Elle en était quitte pour une belle peur, ayant failli se prendre ma teub en plein visage.

Gustave semblait au comble de la honte. Il tentait de cacher ses parties intimes avec ses mains tout en courant ; on l’entendait pleurnicher.

Mathias semblait le plus à l’aise, pas du tout gêné alors même qu’il bandait à moitié.

Puis alors que nous frôlions trois jeunes filles blondes, j’ai clairement entendu :

-Il est bien monté, cet Adrien !

C’était la voix de Julie, une amie avec qui je bavardais souvent. Mathias attirait lui aussi sur certaines parties de son corps de nombreux commentaires admiratifs.

Les allées du centre commercial nous paraissaient interminables. Dans notre course effrénée, les obstacles se multipliaient : mobilier divers, panneaux d’affichage qu’il fallait contourner. Nous étions presque arrivés à la sortie quand Mathias a obliqué sur la droite et est entré dans un magasin de vêtements féminins, suivi par Gustave et par moi.

Les vendeuses semblaient surprises. L’une d’elles a reconnu Mathias :

-Que se passe-t-il, Mathias ? Que fais-tu à poil ici ?

-Vite, Élodie, pas le temps de discuter ! Peux-tu nous cacher quelque part ? Les vigiles sont après nous !

-Oui ! Entrez là !

Nous nous trouvions dans un local réservé au personnel. Une autre vendeuse était en train de se changer. Vêtue d’un simple string, elle s’est approché de Mathias :

-Alors, jeune homme, on a oublié de mettre un slip ce matin !

Elle mit ses tétons sous le nez de Mathias, qui sentait sa teub se raidir encore plus, et en était quelque peu gêné. La vendeuse s’éloigna en disant :

-Désolé, je dois aller bosser, sinon je t’aurai fait une petite gâterie !

Mathias avait posé le tas de vêtements dans un coin : Gus s’est précipité pour enfiler son slip. Mathias et moi, nous nous sommes assis sur un banc. Nous étions anxieux car les vigiles pouvaient arriver d’une minute à l’autre. Non seulement nous avions volé, mais aussi nous avions exhibé nos parties intimes à tous les clients du centre commercial !

Élodie est venue nous dire que plusieurs jeunes filles nous cherchaient. A la description, j’ai compris qu’il s’agissait notamment de Julie. A ma demande, Élodie m’a emmené dans une cabine d’essayage où Julie m’a rejoint :

-Comment ça va Adrien ! Désolé, je n’ai pas pu résister ! J’ai vu ta … euh …. ta teub en passant et je voulais la regarder d’un peu plus près ! Elle est vraiment très impressionnante ! Tu as de la chance ! Est-ce que tu permets que je la touche ?

Je me laissais faire. Sa longue chevelure blonde et sa poitrine avantageuse n’étaient pas pour me déplaire. Julie a laissé ses doigts glisser le long de ma tige.

-Puis-je te décalotter ?

Elle a fait coulisser mon prépuce puis s’est approchée et a commencé à me lécher le bout du gland.

Puis elle a entrepris de me sucer jusqu’à ce que je bande. Malheureusement, à cet instant, Élodie nous a prévenu que la police arrivait devant le magasin. Julie est sortie de la cabine.

Moins de 30 secondes plus tard, un policier est entré sans prévenir : il m’a aperçu et m’a fait signe de le suivre tout en  me menottant dans le dos. J’ai rejoint Mathias qui, comme je l’ai su plus tard, s’était fait sucer comme moi. Gustave s’était rhabillé et avait discrètement quitté le magasin.

 Les policiers nous ont mis à chacun une chaussette pour recouvrir nos sexes en érection.

 Au cours de la marche, j’ai cessé de bander et ma chaussette est tombée, dévoilant ma longue tige aux passants. Quand à Mathias, malgré sa chaussette, on voyait clairement qu’il bandait fortement. En nous croisant, la plupart des gens avaient un large sourire mais pour nous, c’était un calvaire.

Parmi eux, il y avait de nombreuses personnes de connaissance, des amis. Nous étions donc soulagés d’arriver au poste de police. Nous avons été immédiatement présentés devant le juge, Madame Belpère.

Sa première préoccupation a été de nous examiner : elle ne s’est pas privée de regarder à la loupe nos parties intimes ! Puis elle a fait entrer différents témoins.

L’un d’eux m’a désigné :

-Ce jeune homme a bousculé ma mère !

-C’est faux ! Je suis passé à au moins 1 mètre d’elle !

Un autre a accusé injustement Mathias :

-Celui-ci s’est masturbé devant ma femme et mes enfants !

-C’est faux ! J’ai eu une érection incontrôlable !

Madame Belpère a enfin prononcé son jugement : Mathias était coupable de vol et nous étions ses complices. De plus, j’étais coupable de coups et blessures sur mineur et Mathias d’exhibition sexuelle. Nous pouvions nous attendre à une sanction très lourde mais Madame le juge a fait preuve de clémence :

-Je ne vous mets aucune condamnation ; toutefois je vais mandater le président de votre université pour appliquer la sanction de son choix.

Nous étions inquiets car celui-ci était capable d’inventer une sanction tordue.

En attendant, nous avons pu nous rhabiller et rentrer chez nous. J’étais couché quand on sonna à la porte : Julie m’avait fait une surprise en venant. Elle m’a dit :

-Ou en étions-nous ? Je crois que je te suçais !

Nous nous sommes déshabillés tous les deux et nous avons continué ce que nous avions commencé. Elle m’a sucé la teub pendant que je lui bouffais la chatte. Puis nous avions tellement sommeil que nous nous sommes endormis.

Le lendemain matin, l’amphi de la fac était comble. Le président a prononcé une petite allocution :

-Ces trois étudiants ont gravement attenté à l’honneur de notre université. Ils ont volé des vêtements dans un centre commercial. Puis ils se sont exhibés dans les travées du centre commercial. La punition sera exemplaire.

On a ouvert le rideau et deux étudiants nus sont apparus montrant leurs fesses au public : c’étaient Mathias et moi !

Le président a demandé quelle punition ferait plaisir aux camarades. On entendait le mot "fessée" qui revenait très souvent. Il a répondu :

-OK. Mettez-vous en position. A quatre pattes.

Tout le monde était mort de rire. Nous étions morts de trac. Il s’est repris :

-Comme vous le savez, les châtiments corporels sont interdits dans l’enceinte de l’université. Donc pas de fessée malheureusement !

Puis après un temps de silence, il a ajouté :

-Vu comme ils tremblent de tous leurs membres, ils y ont vraiment cru !

Puis s’adressant à Mathias et moi :

-Levez-vous et rhabillez-vous ! Vous êtes libres.

Mais une dernière épreuve nous attendait : nos vêtements étaient restés dans le vestiaire du gymnase et nous avons dû traverser des couloirs pleins de monde.  Au passage, j’ai senti d’innombrables mains me frôler la peau. D’abord on m’a touché le dos et le ventre puis les fesses. On m’a comprimé les couilles, tiré sur la teub, écarté les fesses. Des doigts inconnus m’ont tâté comme pour me faire jouir. Je ne souhaitais qu’une chose. Que ça s’arrête ! Mais ça continuait encore et toujours. Ces caresses mal placées me rendaient très mal à l’aise. Soudain, l’impression a été comme inversée lorsque j’ai senti l’extase arriver !

Puis je me suis réveillé ! J’étais dans mon lit ! Je pensais que j’avais fait un  rêve érotique et que tout ce que j’avais vécu n’était que le fruit de mon imagination : et pourtant, en ouvrant les yeux, j’ai aperçu Julie qui dormait bien paisiblement à mes côtés, et son triangle d’or, brillant sous un mince rayon de soleil, semblait le signe du bonheur qui nous tendait les bras.

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