C’est ma première histoire…

Et c’est aussi celle que je raconte à toutes mes conquêtes ces derniers temps. Parfois après la première nuit, je cherche à les exciter dans des situations les plus inconfortables : travail, dîner en famille, sport

Jai rêvé de toi cette nuit….

Nous somme partis en voyage tous les deux. Je ne sais pas où nous sommes mais il fait beau, et on est au bord de la mer. Les plages que nous bordons sont soulignées de grands palmiers qui parfois, effleurent leau presque tranquille. Nous revenons des douches extérieures suivant un bain deau salée délicieux. Nous sommes détendus.

Avant de nous préparer pour finir notre journée dans le restaurant que tu as repéré, plus haut, sur le promontoire qui domine locéan, il faut rejoindre la voiture de location. Une Bentley cabriolet aux sièges en cuir beige sable qui est garée dans un parking où nous nous dirigeons. Tes pas sont légers. Tu sembles glisser sur les pavés. Et tu portes ce maillot que jaime. Celui à rayures bleues et blanches qui met tes formes en valeur. Noué sur ta poitrine, un paréo blanc, transparent, flotte au rythme de notre avancée vers notre carrosse. Tu baisses la tête, songeuse, puis la relève avec un sourire en me regardant, la bouche entre-ouverte pour appeler un baiser. Je relève mes lunettes de soleil. Les mets sur ma tête. Et fais de toi une petite chose entre mes bras en répondant à ton appel par un long baiser. Nos langues se mélangent et nos lèvres sabsorbent. Nous avons interrompu notre retour à la Bentley par une étreinte imprégnée de désir. Tu chuchotes à mon oreille de nous ramener à lhotel avant daller manger. Je te prends par la main et nous nous dépêchons de rejoindre la voiture.

Le parking est tranquille et tellement neuf que lon croirait une grande clinique impeccable. Je fais clignoter les phares avec la télécommande et nous apercevons la Bentley dans la pénombre, à quelques mètres. Cest une voiture spacieuse et suffisamment confortable pour que lon sy installe à notre aise. Assis, nous paressons petits et je nai pas de mal à me mettre sur le côté en mavançant vers toi pour reprendre notre baiser.

Tu dénoues ton paréo et te laisse quelque peu glisser dans ton siège. Ma main passe par le haut de ton maillot pour atteindre ton sein dont le téton pointe déjà. Tu la regardes faire en écartant très légèrement les jambes pour me faire comprendre que tu as envie de moi. Dune main jactionne la manette du siège, et de lautre, je te propulse en arrière. Je mimmisce entre tes jambes, à tes pieds, je suis là pour toi…

Ma bouche remplace ma main et je prends le bouton de ton sein entre mes dents. Tes cuisses se relèvent et sécartent jusquà ton âme. Mes doigts cherchent une ouverture près de ta culotte et je sens ton sexe humide à travers son tissu. Quand jarrive sur ta chatte avec ma main habile, elle est ouverte et toute mouillée. Ma bouche est maintenant refermée sur ton cou et je tête ta peau comme un animal. Tu nen peux plus et me pousse. Jai le dos contre la boîte à gants. Tes genoux forment un X pour mieux te débarrasser du bas de ton maillot. Une fois fait, tes mains attrapent tes deux jambes pour reprendre cette position doffrande et mon premier coup de langue te fait frémir et soupirer de plaisir. Mes mains écartent ta chatte pour mieux prendre à pleine bouche ton clitoris que je chatouille, tantôt avec ma langue, tantôt avec mes lèvres. Je joins mes deux doigts que jenfonce dans ton sexe dégoulinant et je te regarde dans les yeux pour ne rien perdre de ton plaisir. Je sens que tu vas jouir et me concentre sur tes spasmes. Tu as pris tes seins entre tes mains qui les malaxent et les font rouler. Ma bite est dure comme jamais et je limagine au fond de ta gorge. Je sens les décharges électriques qui te traversent quand lorgasme tenvahit. Tu jouis très fort entre mes lèvres. Mes doigts sont plus profonds encore.

Je nen ai pas fini avec toi…

Jouvre la portière arrière de la voiture. Tassois sur la banquette. Sors mon sexe de mon caleçon et lenfonce dans ta bouche. Mes deux mains sur tes cheveux rythment tes vas et viens. Tu as une main sur mes couilles et lautre sur mes fesses. Je te regarde faire et jadore…Maintenant je ne peux plus attendre….

Je textirpe de ta place et te mets en position de petite chienne, ton cul offert dans lentre-bâillement de la porte. Tu te tournes légèrement pour me voir, mon sexe est droit, et tu me demandes de te baiser. Avec ma main jécarte une de tes fesses comme si jouvrais une pomme et moffre lobjet de mon désir. Je te pénètre, et, comme soulagée, tu poses tes épaules contre le cuir froid pour cambrer un peu plus…Mes mains ne lâchent plus tes hanches et jenfonce ma queue au plus profond que je peux. Jaccélère, jaccélère, jaccélère… Je vais jouir et tu me demandes dattendre de lavoir en bouche. Tu me branles devant tes lèvres ouvertes. Tes yeux me fixent pour ne rien manquer, et mon sperme gicle sur ta langue. Je suis en extase.

Comme je sens que tu nes pas rassasiée de ta jouissance clitoridienne, je tiens à te faire comprendre que les choses ne sarrêtent pas ici. Il est temps pour nous de rejoindre notre table, celle que tu as réservée dans ce joli restaurant.

La première occasion pour moi sera la bonne. La Bentley démarre et nous prenons la route du promontoire qui domine cette large baie où nous passons nos vacances. Lentrée de ce restaurant est marquée par un grand portail en fer forgé démesurément beau et gigantesque. De grands pins parasols, que lon croit taillés par un coiffeur, à la remarque que tu me fais, ornent le terrain de cette magnifique propriété. Nous sommes attendus et accueillis par le maître dhôtel de ce que lon peut appeler un « domaine ». La lumière du coucher de soleil donne une teinte ocre à lensemble de la bâtisse. Je devine un peu plus, à travers ta robe, les ombres qui dessinent la forme de tes jambes. Et je ne peux mempêcher en te laissant passer, à lappel du maître dhotel qui nous conduit à notre table, de descendre ma main qui a commencé sa course du haut de ton dos pour finir sur tes fesses. Je maperçois que tu ne porte pas de culotte…

Lambiance est feutrée. La pianiste joue un morceau de Miles. Le parfum des fleurs disséminées de lentrée aux quatre coins de cette belle salle enivrent nos sens. Le sommelier au service, une bouteille de Petrus à la main, te dévisage subjugué par ta grâce et ta sensualité. A ton sourire je suis sûre quil ne te laisse pas indifférente. Cest un homme élancé, brun, son regard est profond et il semble dire quil est au courant de ce que nous venons de vivre dans ce parking. Sans plus attendre, alors que nous venons dêtre attablés, jappelle le sommelier pour quil nous amène la carte de ses meilleurs vins. A constater sa démarche dune table à lautre, je pense quil est espagnol, ou italien. Seuls les latins expriment ce genres de choses. Je te suggère de commander un Puligny Montrachet 2002, très bon, liquoreux, sec et fruité, comme tu les aimes. Tu mets ta chaise de côté, relève ta jupe pour quil voit, une fois arrivé à notre table, la moitié de tes cuisses. Lorsquil revient avec la bouteille que tu as commandée, je lui demande de te faire goûter ce nectar. Il est suffisamment proche de toi et dun hochement de tête, tu comprends mon souhait et ta main remonte juste derrière sa jambe la plus proche, jusquau rebondi de ses fesses. Il ne tressaille pas dun poil et continu son service. Langle de notre table nous masque de nos voisins. Et en le fixant dans les yeux, tu portes ton verre à tes lèvres et dégustes ce breuvage incomparable. Tu hoches la tête à ton tour pour lui signifier bien des choses. Dabord que tu approuves ton choix pour quil remplisse nos verres, et puis quil comprenne que tu peux être sienne. Le sourire du coin de sa bouche, le pas quil fait vers toi, et ta main maintenant sur ses couilles à travers son pantalon le font acquiescer. Quand il repart soccuper des autres clients, tu portes une de tes mains près de ma bouche en signe de tendresse, et mets le doigt qui vient de quitter ta chatte déjà humide, dans ma bouche, pour que je te goûte. Je bande immédiatement. Nous passons un repas fait de jeux, de séduction et dexcitations. Chaque fois que nos verres sont vides, il revient nous les remplir. Tu le regardes avec plus denvie encore, et soupire à chacun de ses départs. Tu lobserves terminer son service et lorsque son regard croise le tien, tu lui montres du menton la direction de la salle du fond qui accueille les toilettes. Je te regarde… et je te sens stressée, impatiente, et aussi légèrement rouge de honte, de peur de te donner à quelquun que tu ne connais pas. Je te dis : « Vas y ! ». Tu te lèves en me regardant, ajustes ta robe, pousse ta chaise près de la table et te dirige pour rejoindre ce joli sommelier espagnol. « Rejoins moi… » me dis tu dune voix suave. Et je bascule sur le dossier de ma chaise, satisfait, en épiant chacun de tes pas qui te guident vers linconnu. Tu es belle et mets en valeur cette robe qui devient quelconque quand tu ne la portes pas. Tes hanches roulent, tes épaules maintiennent un port de tête admirable et tu me fixes une dernière fois avant de te dérober derrière cette porte. Seule une de tes mains dépasse encore pour me faire signe du doigt, "viens me rejoindre".

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