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Réaliser son fantasme de plan à trois – Chapitre 1




 Il fait bon, il fait tellement bon sur cette terrasse de café ! Je savoure le soleil de fin de journée -celui qui donne une lumière tellement belle sur les façades colorées du nord de l’Italie-, et la douceur qui a supplanté la chaleur un peu trop intense de l’après-midi. Je savoure également ces premières vacances avec la femme que j’aime à la folie, Luna. Elle est là, les yeux mi-clos, assise à mes côtés, à profiter des derniers rayons du soleil. Son cocktail est presque terminé, les glaçons fondent et noient l’alcool restant au fond de son verre. 

 Avec sa jupe courte relevée sur ses cuisses, son fin débardeur, et rien au-dessous, car elle a dû tout ôter après son bain de mer pour ne pas mouiller ses vêtements, elle m’excite. Enfin pour être honnête, elle m’excite quasiment en permanence. Entre ses tenues sexy, son appétit -que je partage, bien évidemment- pour le sexe et les bonnes choses de la vie, et la période dorée du début d’une relation, j’ai l’impression d’être continuellement en érection. Et le moment présent ne déroge pas à la règle, et comment le pourrait-il, avec la vue de ses seins qui pointent à travers le tissu et de ses cuisses dénudées qui enflammeraient l’imagination de tout hétéro normalement constitué ?

 Le silence qui nous unit dans cet instant parfait permet à mon esprit de vagabonder, et c’est tout naturellement que je me souviens de l’un de ses fantasmes : faire l’amour à trois, si possible avec deux hommes. Cela ne fait pas longtemps que nous sommes ensemble, quelques semaines, mais bientôt deux ans que je connais ses fantasmes. A cette époque, lorsque nous nous sommes rencontrés, nous étions tous les deux en couple. Le flash a été immédiat, mais nous sommes restés fidèles. En revanche, nous sommes devenus rapidement amis intimes et nous nous sommes tout dit, ou presque : les anciennes aventures, les fantasmes, les meilleurs moments au lit, les torrides, les ratés, les incongrus… déjà à l’époque nous étions excités en permanence, délicieusement frustrés et pourtant heureux. Nos couples ont échoué, nous réunissant enfin.

 Les vacances sont un moment propice au sexe et aux expérimentations, et je crois qu’il est temps d’assouvir son fantasme, ou au moins d’essayer. Je me penche sur son oreille, et mon souffle brûlant l’éveille délicieusement :

— Tu vois le jeune homme au bar, en face de toi ?

 Elle ouvre les yeux.

— Celui avec le t-shirt moulant ?

— C’est ça. Il te plaît ?

— Pourquoi tu me demandes ça ?

— Parce que toi, tu lui plais beaucoup !

 Sa petite moue exprime ses doutes.

— Comment tu peux savoir ?

— Crois-moi, je sais. Rien qu’à la façon qu’il a de te manger des yeux depuis déjà un bon quart d’heure. Et je le comprends, tu es irrésistible dans cette lumière.

 Je la sens sourire et rougir, mais elle ne répond rien. Je crois qu’elle le jauge.

— Oui, il est pas mal…

— Parfait. Ça te dirait de réaliser ton fantasme ?

— Quoi ?

 Elle a l’air sincèrement surprise, mais pas complètement inintéressée. 

— Sous conditions, parce que je ne suis pas sûr d’être prêt à tout accepter, mais un petit plan à trois…

— Sérieux ?

 Ma main effleure sa cuisse, et je me mets à mordiller son oreille tout en lui expliquant mes limites : caresse, baisers, sexe oral, mais pas de pénétration, et je décide quand tout s’arrête. Elle gémit doucement et je prends ça pour un assentiment. Je me lève, et rejoins notre cible d’un pas décidé. Il se tortille sur son tabouret en me voyant arriver, sans doute pour cacher maladroitement son érection, ou peut-être par peur de reproches ?

— Bonsoir.

— Euh… bonsoir ?

— J’ai vu que ma copine te plaisait…

 Silence. Il ne sait pas quoi répondre. 

— Ça te dirait un plan à trois ?

 Cash. Le direct au foie, sans sommation.

 Passée la surprise, je vois son regard fuir et se poser à nouveau sur Luna. J’imagine son esprit se projeter, j’en profite pour embrayer :

— C’est moi qui fixe les limites : pas de pénétration, tu ne touches qu’elle et quand je te dis de partir, tu pars.

 Il la dévore maintenant des yeux.

— Deal ?

— Deal.

— Tu es motorisé ?

— Scooter.

— Parfait. Suis-nous.

 Sans un mot de plus, je rejoins une Luna interloquée, la prends par la main et me dirige vers notre voiture. La route sinueuse qui nous mène à notre location se passe dans un silence total, chacun pensant aux conséquences de notre décision. De temps en temps je vérifie que le scooter nous suit bien, et enfin nous arrivons. Je guide Luna et nous entrons dans l’appartement. Je fais bien attention de laisser la porte entrouverte.

 Je pousse ma compagne jusqu’à la chambre, la tourne vers moi. Un coup d’il vers ses seins suffit pour vérifier son excitation. Elle lève deux yeux timides vers moi :

— Tu es sûr que… ?

 Avant qu’elle n’ait pu terminer sa question, je plaque mes lèvres sur les siennes et l’embrasse langoureusement. Elle m’entoure de ses bras et répond totalement à mon baiser. Quelques bruits de pas me confirment que notre invité vient de nous rejoindre, c’est parfait, notre petit jeu va pouvoir commencer. Je sens les mains de Luna devenir plus hardies, parcourant mon dos jusqu’à mes fesses, mais je ne l’entends pas de cette oreille, j’ai bien l’intention de mener les débats dans la direction que j’ai choisie. Je me dégage, passe derrière elle et saisit ses bras. Je les replie dans son dos, l’un contre l’autre. Elle peut ainsi saisir ses avant-bras avec ses mains, et moi l’immobiliser d’une seule main.

 Je me penche sur son oreille, le souffle chaud.

— Prête ?

— Mmmm

— Tu te souviens ? Pas de pénétration !

 D’un signe de tête en direction du jeune homme, je lui signale que le bal est ouvert. Il s’approche très lentement, dévorant sa future conquête des yeux. Une fois à un mètre de nous, il fait passer son t-shirt par-dessus sa tête, dévoilant un torse bronzé et finement musclé. Enfin il réduit la distance. Désormais assez proche pour que Luna puisse ressentir la chaleur de son corps, il pose ses doigts sur sa taille. Elle ne peut réprimer un frisson d’anticipation.

 Très sagement, il remonte le long de son haut, effleurant, découvrant les courbes de sa promise. Des index il fait le tour des mamelons, érigeant les tétons déjà au garde-à-vous. Je ne peux pas l’en blâmer, les seins de Luna sont superbes, ils me rendent fou. Il se penche ensuite sur elle, et vient faire connaissance de sa bouche. Je les vois s’embrasser timidement, presque du bout des lèvres. 

— Je t’en prie ma chérie, montre-lui comme tu sais si bien utiliser ta langue…

 Acceptant mon conseil, elle ouvre grand la bouche et sort généreusement sa langue. Notre invité ne se fait pas prier pour l’imiter, et les voilà qui se roulent désormais une pelle monstrueuse, sans aucune retenue. Je n’ai rien à y redire, le baiser fait partie des choses autorisées et je les y ai poussés. Il doit y prendre un plaisir dingue, je sais à quel point Luna est habile de sa langue et sait attiser le désir avec cet appendice. J’ai joué mon rôle, enfin pour le moment, je relâche les bras de ma compagne et m’écarte. Doucement je me laisse glisser dans le fauteuil en rotin à deux mètres de la scène, et libère mon érection qui commençait à devenir douloureuse.

 A voir la langue de Luna s’enrouler comme elle le fait autour de la langue d’un autre, j’ai quand même un petit pincement. Je tente de le réprimer avant que cela ne devienne une gêne. Notre invité s’enhardit et prend désormais les seins de ma chérie à pleines mains. Il les empaume, les malaxe, les presse, les déforme. Luna ponctue leur baiser de soupirs et gémissements approbateurs. Je sens le liquide pré-séminal humidifier mon sexe maintenant extrêmement dur. En quelques instants les vêtements de Luna volent et la voilà entièrement nue devant un autre homme que moi.

 Elle se met à son tour à prendre des initiatives, et la voilà qui glisse une main dans le short de notre invité. Sa réaction a été subtile, mais j’ai perçu quelque chose d’appréciateur, à sa façon d’interrompre le baiser avec un petit sourire. La voilà maintenant qui parcourt le torse glabre de ses lèvres. Le jeune homme l’accompagne, les mains dans ses cheveux dénoués. En quelques gestes précis, elle le débarrasse de ses derniers atours et sa verge jaillit, on ne peut plus prête. Luna me jette un coup d’il rapide, vérifiant mon assentiment. Mes mains caressant mon sexe suffisent, manifestement. Sa langue fait le tour du gland décalotté, et notre invité se met à soupirer d’aise.

 Étrange, très étrange de la voir sucer quelqu’un d’autre. J’oscille entre l’excitation et la jalousie. Je décide d’opter pour le premier sentiment : elle ne le reverra jamais, j’ai fixé les limites, je dois profiter de cette expérience au maximum ! Luna se donne à fond. Ses mains se joignent à la fête, passant de ses fesses à ses cuisses, son torse, et bien sûr ses bourses. Pendant ce temps, elle alterne avec sa langue, ses lèvres, léchant, suçant, variant rythmes et profondeurs. Si cela continue comme ça il ne va pas tenir longtemps le pauvre !

 Justement, elle se retire, et lui fait comprendre que cela va être à son tour de s’occuper d’elle. Elle l’allonge sur le lit. Je me demande un instant quelle position elle va choisir, mais mon attente est de courte durée : je la vois s’asseoir sur le visage de son partenaire, de trois-quarts dos par rapport à moi. Notre invité ne se fait pas prier. Des deux mains il écarte les fesses de Luna, m’offrant une vue torride sur l’intimité de ma chérie, et il s’active de son mieux. Je crois qu’il commence par exciter le clitoris, manifestement avec succès : Luna se cambre, la tête rejetée en arrière, et saisit ses seins entre ses mains. Elle en pince les bouts, puis se torture doucement les tétons. Voilà un spectacle auquel j’assiste rarement, et je dois me retenir de les rejoindre sur le lit pour participer.

 La langue de notre invité s’aventure désormais sur d’autres zones : elle descend le long des lèvres, remonte dans le sillon, se délectant de la cyprine généreuse de ma chérie, descend à nouveau, titille l’entrée du vagin. Luna ondule sur le visage de son bienfaiteur, l’encourageant. Elle le saisit par les cheveux et fait pression, le plaquant contre sa vulve, lui intimant l’ordre d’insérer ce bout de chair en elle. Je ne vois plus précisément mais il s’exécute sûrement, comme le râle de Luna vient le confirmer.

 Ce petit jeu dure quelques minutes, et je dois ralentir mes va-et-vient sur ma hampe pour me réserver pour la suite. Je ne vois pas Luna se mettre à trembler et je commence à comprendre qu’elle ne jouira pas dans cette position. Il a beau y mettre toute son énergie, ce ne sera pas pour tout de suite. Peut-être a-t-elle une appréhension à jouir devant moi, peut-être faut-il la connaître plus pour que le cunni soit efficace… Alors c’est sans surprise que je la vois se pencher sur le bas-ventre de notre invité, transformant la position en 69, et branler doucement sa verge quelque peu ramollie par ses efforts infructueux. Heureusement cet état ne dure pas, et Luna reprend sa fellation.

 Cette nouvelle position est par ailleurs plus propice que la précédente, vu la courbure du sexe de son partenaire. Elle s’active désormais avec vigueur, semblant avoir décidé de le mener à l’orgasme. J’observe un peu le jeune homme : il a stoppé ses caresses buccales, il respire fort, râle de plus en plus fréquemment. Mon regard se porte à nouveau sur Luna et… j’écarquille les yeux de surprise : elle lui procure une gorge profonde de folie, avalant son sabre en entier, restant ainsi quelques secondes, le temps de le masser dans sa gorge, puis se retire, le serrant bien de ses lèvres, inspire et y retourne. Un filet de bave s’écoule de ses lèvres délicieuses.

 Jamais, jamais elle ne m’a fait cela ! Est-ce l’excitation ? Ou ce sexe qui s’y prête mieux, peut-être plus fin ? Mon esprit fume trop pour choisir, et je ne tiens plus. Je me lève, grimpe sur le lit, et sans autre forme de procès, pénètre ma belle jusqu’à la garde. Dans cette levrette, j’ai les couilles juste au-dessus des yeux du jeune homme, et je n’en ai cure : qu’il profite de la vue ! Je ne vois plus les détails de la fellation mais je vois la tête de Luna qui continue à monter et descendre, alors je me mets à la pilonner sévèrement, écumant de rage.

 Elle se rend bien compte du changement de rythme, et de la difficulté à maintenir ses va-et-vient. J’intensifie encore mes coups de butoir, et pose un pouce contre son anus. Il est trempé. Je la commence à bien la connaître, je sais que cela signifie qu’elle est excitée au plus haut point. Qu’elle le soit autant me rend fou, paradoxalement : c’est moi qui l’ai poussée dans cette voie, mais je ne supporte pas son plaisir aussi intense.

 Elle essaie encore quelques secondes puis abandonne : elle pose sa joue contre la cuisse de notre invité et le branle comme une damnée. Je sens le corps se raidir sous moi, il ne peut plus tenir. Un râle bestial lui échappe, et je vois maintenant un flot de sperme s’écouler de son sexe. Luna est presque immobile, comme inconsciente des gouttes qui ont atterri sur sa joue, ou de celles qu’elle lape sans réfléchir.

 Je me retire de son vagin et m’enfonce entre ses fesses. C’est tellement humide là-dedans que mon sexe y entre comme dans du beurre, et sans préparation, c’est merveilleusement serré. Elle couine de bonheur et je l’accompagne, incapable de me retenir de gémir de plaisir.

 Notre invité se rappelle à notre bon souvenir ; c’est vrai qu’il a une vue imprenable :

 – Oh putain c’est beau ! Retire-toi un peu, montre-moi son petit trou !

— Avec plaisir !

 Je m’écarte, laissant un trou béant et palpitant, qui lance un cri silencieux sans équivoque.

 – Wouah…

 J’enfile immédiatement Luna d’une traite, écrasant mes couilles contre ses fesses, et elle semble revenir la vie :

 – Ouuuiiiiiiii

 Il ne m’en faut pas plus pour me déchaîner, et je la baise sans retenue. Le jeune homme s’active lui aussi, se concentrant sur le clitoris de Luna. C’est trop pour un seul être : des flots d’insultes, d’encouragements et de râles s’écoulent de sa jolie bouche, jusqu’à ce qu’enfin elle soit prise de convulsions. Elle tente de s’échapper, de ramper pour s’éloigner, mais je la retiens, les mains sur les hanches. C’est que je suis moi-aussi au bord de l’orgasme, et il n’est pas question qu’elle me prive de ma jouissance. Un dernier assaut bestial et je me déverse en elle en hurlant.

 Mon cerveau a dû se déconnecter quelques secondes, mais le retour est brutal. Je me rends compte de la présence d’un inconnu entre les cuisses de ma chérie, et cela me semble insupportable. Je lui ordonne sèchement de dégager, et il ne demande pas son reste, respectant le contrat oral que nous nous étions fixés. Il ramasse ses affaires et s’éclipse, trop heureux de sa soirée.

 Je m’écroule contre Luna, exténué. Le sommeil nous emporte.

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