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J'offre ma femme à notre fils – Chapitre 1




Je passe devant la porte de la chambre de mon fils, celle-ci est entrouverte, par curiosité, je passe doucement la tête par l’ouverture, il est nu sur son lit et se masturbe énergiquement, ses yeux sont fermés.

Il murmure des mots inaudibles, je tends l’oreille pour mieux entendre et pendant qu’il jouit il pousse faiblement :

Maman, maman, c’est pour toi.

Je me retire sans faire le moindre bruit.

Je suis surpris que mon fils fantasme sur sa maman, mais je dois dire aussi que cela ne me laisse pas de bois.

Je rejoins ma femme dans la chambre, elle dort déjà.

Je m’allonge à côté, nu.

Je n’arrive pas à trouver le sommeil, dans ma tête passe un film que la morale réprouve.

J’imagine ma femme prise sauvagement pas notre fils et que sa grosse queue lui fait délirer, j’imagine ses râles.

Ma queue se dresse, je ne peux m’empêcher de la caresser, je glisse mon autre main sous la nuisette de ma femme, lui caresse doucement le ventre puis je descends sur sa chatte.

La nuit, elle ne porte pas de culotte ni de soutien-gorge.

Je lui caresse la fente de nombreuses fois, elle commence à geindre et se réveille.

Elle me sourit, repousse les couvertures et saisit ma bite en pleine érection, quelques va-et-vient suffirent à me faire décharger.

Mon Dieu, mon chéri, c’est rapide aujourd’hui !

Oui mon amour, j’avais trop envie !

Je lui parle de ce que j’ai vu et entendu.

Elle sursaute:

Quoi ? Ryan fantasme sur moi, mais tu es fou !

Non, je t’assure, c’est vrai !

D’ailleurs en prononçant maman, il a envoyé une sacrée décharge, le gredin a une bite énorme !

Branle-toi en pensant à lui ma chérie !

Mais tu es fou, comment tu peux me demander ça !

Vas-y, Laure, cela m’excite à mort !

Je prends sa main et la pose sur sa chatte, je fais des mouvements de base en haut.

Elle veut retirer sa main, mais je la lui maintiens fermement appuyée contre sa fente.

Elle s’agite :

Lâche-moi stp, ne me demande pas ça !

Je rétorque en la suppliant presque :

Fais-le pour moi, ma chérie, branle-toi !

Elle pousse un grand soupir puis commence à se caresser.

Je retire ma main pour qu’elle puisse se branler à son rythme.

Elle pousse encore un grand soupir et me dit:

Mon Dieu, qu’est que tu me fais faire ?

Sa main glisse de plus en plus rapidement sur sa chatte, elle appuie deux doigts sur son clito et le frotte sauvagement.

Elle commence à geindre, sa respiration s’accélère.

Sa chatte est trempée, c’est un petit filet continu qui s’échappe de son volcan.

Ca t’excite aussi, de savoir que ton fils se branle pour toi hein !

Entre deux respirations, elle me répond :

Tais-toi, tu es un monstre !

Toi aussi tu fantasmes sur lui ma petite cochonne, tu aimerais bien sa queue en toi !

Tais-toi, tais-toi, je t’en supplie ! répète-t-elle.

Branle-toi bien ma chérie, jouis fort pour lui !

Elle grimace, l’explosion approche, ses doigts sont très actifs sur son clito.

Elle pousse un grognement et enfonce au plus profond d’elle trois doigts de sa main libre.

Sa bouche se déforme, la jouissance est proche, je lui crie :

Dis-le que c’est pour lui, dis-le !

OUI, OUI !

Ryan, Ryan c’est pour toi mon chéri !

Elle pousse un cri strident, et expulse sa cyprine avec force, sa tête bascule de gauche à droite, elle ne cesse de jouir.

Je lui presse doucement les mamelons pour qu’elle gicle davantage.

Son souffle est court, elle retire ses mains de son entrejambes, et me regarde honteuse.

Elle se couche sur le ventre, enfouit sa tête dans l’oreiller :

Tu es un monstre, tu m’as fait avouer ce que je cachais profondément en moi, souvent je me masturbais en pensant à Ryan, je l’épiais même lorsqu’il prenait sa douche, sa grosse queue me perturbait !

Voilà, tu sais tout !

Elle se retourne, des larmes plein les yeux.

J’ai honte, je suis une mère indigne !

Je la prends dans mes bras, nous échangeons un long baiser.

Entre deux sanglots, elle renifle et répète plusieurs fois :

Mon Dieu, mon Dieu comme Ryan me perturbe, j’ai honte !

Je la caresse doucement et lui dis :

Laure, tu veux faire l’amour avec lui, tu veux que ton fantasme et le sien deviennent réalité ?

Mon Dieu, j’y pense même pas, tu es fou !

Je vais arranger ça ma chérie, je veux que tu sois heureuse !

Le lendemain matin, notre fils Ryan est sous la douche (italienne), je prends ma femme par la main, elle est encore en nuisette.

Nous entrons dans la salle de bain, Ryan trop occupé à se savonner ne nous a pas encore vus, car il nous tourne le dos.

Je fais un clin d’il à ma femme et la pousse sous la douche.

Je crie :

Cadeau pour toi fiston, régales- toi !

Il se retourne brusquement, surpris, il saisit sa maman dans ses bras :

Mais c’est quoi ? Un nouveau jeu ?

Mon fiston, ta mère est folle de toi et toi d’elle, donc profitez l’un de l’autre !

Ryan suffoqué regarde sa maman, elle n’ose pas dire un mot, sa nuisette trempée est plaquée contre son corps, ses formes sont apparentes, ses bouts-de-sein appuient contre le fin tissu.

Il la tient toujours dans ses bras, il ne sait pas comment agir.

Embrasse-la, elle en meurt d’envie, lui lancé-je.

Elle regarde longuement son fils, ses yeux clignent souvent à cause de l’eau qui coule sur elle, ses bras sont ballants, elle ne sait pas si elle doit prendre son fils dans ses bras ou non.

Ryan la presse contre lui, instinctivement, sa maman passe ses bras autour la taille de son fils.

Ryan lui donne de multiples baisers sur tout le visage.

Très gênée, elle tente de reculer, mais je suis dernière et la pousse doucement contre notre fils.

Ryan pose ses lèvres sur celle de sa maman, elle résiste un peu, puis entre-ouvre la bouche, les langues se nouent à la salive abondante de son fils qui se mêle à la sienne.

Sa respiration s’accélère, elle presse son fils contre elle, elle sent contre son bas-ventre l’engin de son enfant qui grossit de plus en plus.

Elle soupire fortement, recule un peu :

Non, c’est pas bien, j’ai trop honte !

Ah Laure non, commence pas, tu as envie de lui, alors n’hésite pas, tu la veux fiston ?

J’en meurs d’envie papa, ma bite est déjà dure !

Je m’approche du couple, coupe l’eau, pose mes mains sur les épaules de ma femme et lui fais tomber la nuisette.

Regarde comme ta maman est belle !

Oui elle est très belle, je ne sais combien de fois j’ai joui pour elle !

Maman, maman, je te veux !

Ma femme ne dit rien, baisse les yeux, elle devient rouge de honte.

Restons pas là, montons dans la chambre nous y serons mieux !proposé-je.

Laure est nue entre nous deux, je lui embrasse les seins, Ryan lui, a sa tête entre les cuisses de sa maman, il lèche la fente qui s’humidifie rapidement.

Avec ses doigts, il écarte les grandes lèvres, découvre la perle, la sort de son écrin de chair et l’aspire.

Laure se cabre et pousse un:

Oh !de bonheur.

Oui, bouffe-lui la chatte, elle adore ça !clamé-je.

Il tète et suce le bouton comme jamais il ne l’a été, Laure gémit, elle ferme les yeux et ronronne comme une chatte.

La bouche avide de son Ryan s’acharne sur la vulve charnue de sa maman, sa langue fouille le conduit le plus loin possible, Laure couine comme un animal en rut.

Elle se cabre et gicle avec force dans la bouche de son fils, en hurlant :

Ryan, Ryan, mon amour !

Il avale la cyprine suave de sa maman avec des hum de plaisir.

Moi je lui dévore les tétons, les suce à la faire hurler de bonheur.

Ryan se place entre les cuisses ouvertes, son monstre de chair appuie contre la vulve détrempée de sa maman, elle le prend par la taille de peur qu’il ne se dérobe.

Il donne un coup de reins, Laure pousse des :

Ah oui ! Oui mon chéri, défonce maman, fais-lui mal !

Ryan donne un second coup de reins, son monstre s’enfonce jusqu’aux couilles, dans la chatte maternelle.

Laure râle, elle s’accroche à son fils, les va-et-vient terribles lui font délirer.

Moi, j’ai mes doigts sur son bouton, il est gonflé comme une noisette, je le presse en suivant le rythme que donne Ryan.

La bite puissante du fils coulisse dans le puits d’amour à grande vitesse, Laure pousse des cris rauques, elle agite son bassin, elle a la bouche grande ouverte.

Ryan se bloque, et envoie sa semence épaisse au plus profond de sa maman, il reprend ses va-et-vient, il veut que sa maman jouisse à son tour.

Laure pousse un hurlement de bête blessée, elle se cabre et explose, sa cyprine gicle sur les couilles de son fils qui continue de la pilonner.

Moi, je lui écrase le clito, elle s’arc-boute et gicle à nouveau.

Ryan se retire du corps de sa maman, il propose une autre position, sa queue impressionnante est toujours tendue

Mais cela est une autre histoire.

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