Une envie pressante, je me dirige vers la salle de bain. Visiblement c’est occupé. Je tourne la poignée, c’est ouvert, une chance ! Je reconnais bien là ma famille : aucun espace privé dans la maison, même le loquet de cette pièce reste rarement à l’horizontal. N’hésitant pas plus, je rentre. Je m’aperçois alors que ma mère prend sa douche dans la cabine installée sur le mur faisant face au WC. Elle m’entend rentrer, je signale ma présence; elle n’interrompt pourtant pas sa toilette. Je m’assois sur le siège après m’être mis en condition. Le regard dans le vague, mes yeux viennent finalement se poser sur le verre opaque de la douche. Dans cette atmosphère rose et blanche, chère à ma mère, les lignes de son corps se dessinent devant moi plus ou moins précisemment. Du toit ouvert de la cabine se dégage une vapeur épaisse et je peux voir parfois un bras se dresser au dessus de la vitre lorsqu’elle étire son corps pour en nettoyer toutes les parties. Je prends mes aises sur le siège et ne me lasse pas de regarder cette silhouette laissant deviner un corps encore mûr. Je me lève continuant les formalités et constate alors que je ne suis pas insensible à la scène. Je tire la chasse et entend alors un léger cri provenant de la cabine, l’eau de sa douche s’étant subitement rafraîchie. Je rabaisse le siège mais décide de garder mon pantalon sur les chevilles. Je me rassois alors sur le WC et continue de regarder cette femme. Par convention, chez nous, tout est très ’naturel’ et selon une éducation un brin ’hippie’, aucune morale abusive contraire aux sentiments ne nous avait été imposée. La nature c’est la vie et le corps c’est la nature. Je ne trouve donc aucune hésitation à honorer la vue de ce corps par mon comportement et voyant sa main caresser délicatement ses formes, je commence vraiment à bander. L’idée de cette proximité mêlée à l’atmosphère moite qui nous entoure me pousse à faire tomber le tee shirt et je me retrouve nu, assis sur les toilettes à venir sur mon sexe. Je ne sais où cela va me mener, peut-être vais-je jouir vite et repartir sans rien laisser deviner à ma mère, ou vais-je jouer le jeu de la durée afin de laisser l’excitation monter jusqu’au moment où elle me découvrira, se branlant ’sur elle’. Cette impression vraiment étrange de s’exhiber chez moi face à mes proches, me faisait bander comme rarement. C’est comme si je n’écoutais plus que mes envies, si la moindre source d’excitation me poussait à satisfaire mes besoins sans écouter la raison. Le son de la douche devient obsédant. Je ne peux m’empêcher d’imaginer chaque goutte d’eau glissant sur ses seins ou ses fesses et se frayant un chemin jusqu’à ses lèvres. Les gouttes lui chatouillent le sexe, elle passe sa main entre ses cuisses, le toucher se fait plus doux, comme si elle honorait ce liquide. Je l’imagine faire glisser le savon entre ses cuisses et le frotter délicatement. J’ai envie de mêler mon sperme à ce flot, je voudrais l’arroser de foutre. L’eau m’apparait maintenant sale, et je la vois désormais boire le foutre de dizaine d’hommes se masturbant au dessus d’elle. Elle passe son bras sur ses tétons durcis lâche le savon à terre et laisse partir sa main entre ses fesses puis … Merde ! La porte de la cabine s’est ouverte, je n’ai pas fait attention au bruit de l’eau qui a stoppé. Je suis là, les yeux mis clos, les jambes écartées et le sexe à la main. Elle me regarde, une serviette blanche enroulée au dessus de la poitrine. Elle ne crie pas, n’a pas l’air révulsée mais affiche un regard compréhensif, presque contente que cette pratique ne soit accompagné d’aucun tabou ni d’aucune honte, chez moi.

— Ca va mon chéri ?

— Oui m’man, je me suis laissé aller. Mon esprit est parti en fantasme face à toi. Je n’ai pas voulu échapper le moment. N’y vois rien de vicieux, c’est juste la vue de tes courbes si proches de moi qui m’a semblé très beau, presque trop beau.

— Merci, mais ne t’inquiète pas, mon chéri, je comprends cela. Ca n’est pas grave

— Tu vois pour moi, ca n’est qu’une façon d’honorer une très jolie femme. C’est la première fois que je le fais et uniquement parce que l’occasion s’est présentée.

— Bien mon chéri, fais comme il te semble, tu me connais je ne suis pas de nature à m’opposer aux pulsions.

L’air idiot, je restais là à la regarder mais ne savais plus quoi faire. Car si les moeurs de ma famille pouvaient sembler légères, elles ne poussaient pas non plus à la débauche.

Elle demeurait sur ma gauche, et m’apparaissait de profil, regardant le mirroir au dessus du lavabo. Elle commençait à se maquiller doucement et je ne me carressais plus que très doucement aussi. Mais, lorsqu’elle s’approcha du bidet à ma droite et qu’elle posait sa jambe gauche dessus, mon esprit ne fit qu’un tour. La serviette qui n’était pas très large, baillait largement et j’avais quasimment sa chatte sous mon nez. Une jolie chatte rasée assez court mais conservant ce petit côté nature. Elle mettait de la crème sur la jambe gauche, le pied délicatement appuyé sur la faïence blanche et froide. Les yeux grands ouverts je me mis à genoux et plaçais mon visage à 10 centimètres de son entrejambe. Elle ne disait rien, et continuait doucement son massage, ignorant presque ma présence. Je levais alors les yeux vers les siens découvrant par là sa jolie poitrine légérement pendante, puis lui dis :

— S’il te plait maman, laisse moi juste l’embrasser, je veux goûter son parfum.

A peine avait elle ouvert la bouche, que mes lèvres étaient déjà sur les siennes, Elle fut pris d’un petit frisson puis vint un long souffle. Je gardais mes mains sages, sentant qu’elle me permettait déjà beaucoup.

J’attrapais ses sous vêtements posés à terre : un ensemble de lingerie noire contenant un string ficelle qui me laissait imaginer beaucoup… J’entourai mon sexe humide de ce bout de tissu si doux et me branlais, la tête collée contre son sexe duquel commencait à couler un autre liquide, je frottais sa délicate toison contre mon visage. Emporté par les effluves, et par l’idée de la situation, je finis par éjaculer par saccades pendant quasimment trente secondes, grognant comme un barbare, je souillais ses sous vêtements. Son string était recouvert de sperme, et je m’essuyai alors avec son peignoir. Elle se tenait toujours dans la même position et son regard traduisait un besoin d’assouvir un plaisir laissé en suspend mélangé d’un sentiment d’interdit auquel elle ne désirait pas céder. Elle m’avait donné ce que je voulais sans rien demander, mais justement, elle n’en avait tiré que la légère frustration de être réduite à un objet de plaisir. Toutefois, elle ne voulait pas inciter à de mauvaises choses et se persuadait alors qu’il fallait s’arrêter là, que c’était le mieux. Elle me regardait heureuse de m’avoir fait plaisir, moi, la tête posée le long de sa jambe, reprenant mes esprits. Alors elle ferma son peignoir et sortit de la salle de bain, sans rien dire. Je restais quelques secondes dans la salle de bain retournant à la réalité, me nettoyais, me rhabillais et sortait à mon tour de la salle de bain.

A suivre

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