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Le petit papi de mes vacances – Chapitre 1




Cet été, j’ai passé mes vacances en famille en Bretagne. Nous avions loué un petit gîte typique avec la mer visible près de la ligne d’horizon. Nos journées se résumaient à plage le matin, déjeuner au gîte, sieste des enfants et balade en fin de journée. Rien de très original, mais idéal pour se changer les idées et faire une vraie coupure du quotidien.

Le plus souvent, mon chéri faisait aussi la sieste l’après-midi tandis que j’en profitais pour faire un peu de bronzette dans le jardin. Notre gîte était mitoyen des deux côtés et les jardins étaient séparés par une petite clôture d’à peine un mètre de hauteur. Autant dire que le vis-à-vis était important. Impossible pour moi de me mettre complètement nue au soleil. J’aime l’exhib mais je ne veux pas l’imposer aux autres. D’autant plus que, si j’ai vu qu’un petit papi était notre voisin de droite, de l’autre côté, je ne les ai pas aperçus. Alors, si jamais il y avait des enfants, je ne voulais pas qu’ils me trouvent à poil.

Cet après-midi là, il y avait un grand soleil et aucun nuage. Nous avons eu de la chance pendant tout notre séjour d’ailleurs, une seule journée de pluie. La Bretagne ne mérite vraiment pas cette réputation ! Cet après-midi là, je m’étais donc quand même décidée à faire du bronzage topless sur notre terrasse. Je profitais de la chaleur des rayons se posant sur ma poitrine et traversant mon maillot pour chauffer ma petite chatte. Un vent léger venait faire pointer mes tétons. Les yeux fermés sur ma chaise longue, mon esprit s’emplit d’idées coquines. Je comptais rejoindre mon chéri un peu plus tard pour coquiner un peu avant le réveil des enfants.

C’est en me levant pour aller me chercher une boisson fraîche que j’ai vu le papi dans son jardin. Il ne m’avait visiblement pas vue mais j’ai attiré son regard en me levant. J’ai attrapé mon haut de maillot pour le remettre.

— Bonjour, me dit-il en s’approchant de la clôture.

— Bonjour, lui ai-je répondu en allant vers lui. Je suis désolée, je pensais être seule.

— Ne soyez pas désolée, vous n’avez pas à cacher une si belle poitrine. Ça fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de voir en vrai les seins d’une femme. J’ai 83 ans vous savez et je suis veuf depuis 21 ans déjà. Je vis tout seul depuis.

Pendant qu’il me parlait, il me regardait de haut en bas. Je n’avais rien de spécial à lui dire mais je sentais que j’avais rompu sa solitude pour aujourd’hui et je ne voulais pas couper court à la conversation si rapidement. On échangea des banalités, il me demanda d’où on venait, ce qu’on faisait dans la vie. Puis je lui dis que j’attendais que les enfants se réveillent. 

— Je ne vais pas vous embêter plus longtemps alors. On se reverra sans doute avant que vous ne partiez.

Et alors que je faisais demi-tour pour rentrer :

— Excusez-moi, je pourrais vous demander quelque chose ?

— Bien sûr, dites-moi.

— Je pourrais toucher ? me dit-il, le regard fixé sur mes seins. 

J’étais attendrie par ce petit vieux et je lui ai simplement répondu d’un sourire en m’approchant un peu plus. Il tendit ses mains tremblantes et les posa délicatement sur ma poitrine qu’il commença à caresser. On aurait dit un jeune puceau tellement il semblait hésitant dans ses gestes. Il savourait chaque instant à palper mes seins. Moi aussi je dois dire, je prenais beaucoup de plaisir à ses caresses. Je me sentais mouiller pendant qu’il s’occupait de moi. Il prit confiance et souleva mon maillot pour libérer mes seins. J’étais surprise mais je le laissais faire. Ses pouces jouaient avec mes tétons devenus tout durs. Il se pencha et déposa un baiser sur chaque.

— Merci mademoiselle, c’est l’un des meilleurs moments que j’ai vécus depuis longtemps.

J’ai rajusté le haut de mon maillot et lui ai souhaité un bon après-midi. Je filai rejoindre mon chéri pour qu’il me fasse l’amour tellement le petit papi m’avait excitée.

Le lendemain, le vent s’était levé mais le soleil était toujours radieux. Je me suis installée pour ma bronzette mais je gardais un il sur le jardin du papi pour voir s’il sortait. Au bout d’une heure, j’étais déçue de ne pas l’avoir vu. J’allais rentrer quand j’ai entendu du bruit chez lui. Je me suis approchée et je l’ai vu en train de ranger ses outils de jardinage.

— Bonjour, lui ai-je lancé.

Il se retourna et me fit un sourire.

— Bonjour Mademoiselle. Je suis un peu gêné à vrai dire, je pense que j’ai été trop loin hier.

Je l’ai rassuré en lui disant que le plaisir avait été partagé. Il me sembla soulagé aussi d’entendre que l’histoire resterait entre nous. C’est sûr, mon chéri ne l’aurait sans doute pas pris de manière aussi détachée. 

— Vous savez, vos seins ont hanté ma nuit.

— Vraiment ? Je suis flattée alors. J’espère que vous en avez pris soin, lui repondis-je avec un sourire.

— Oh oui, et je ne me suis pas arrêté là. Tout est permis dans les rêves n’est-ce pas ?

Sa réponse m’intrigua, je voulais qu’il me dise ce qu’il avait imaginé. Mais il semblait un peu honteux de cela. Finalement, il finit par me dire :

— Quand j’étais jeune, j’aimais la minette vous savez.

— Comme ça ? lui dis-je en écartant mon maillot. 

Il avait une vue plongeante sur mon pubis et sur le début de ma fente.

— Oui comme ça. 

Je pense qu’il rougissait.

— Et que faisiez-vous à ces minettes ?

Je ne sais pas pourquoi je le poussais tant, mon inconscient parlait à ma place. J’étais prête à me donner au petit papi. Il se mit à rire et me dit :

— Des choses que je ne pourrais plus faire aujourd’hui, la mécanique ne fonctionne plus à mon âge.

— Il y a sans doute des choses encore possibles, non ?

— Certainement oui, mais je crois que j’ai oublié. Et puis je n’oserais pas.

— Et si je vous donne la permission ?

— Je crois que je ne peux pas accepter ça.

— Vraiment ? Alors ce n’est pas grave, réfléchissez, ma proposition sera encore valable demain.

Et je suis rentrée me faire caliner par mon chéri.

Le jour suivant, le ciel était menaçant, je n’ai pas osé tenter la bronzette. Mais je guettais quand même mon papi, vêtue d’une petite robe sous laquelle je n’avais pas mis de sous-vêtements. Je suis sortie étendre les serviettes de bain et c’est lui qui m’a interpellée. Je suis sûre qu’il me guettait.

— J’ai encore pensé à vous toute la nuit. Et à ce que vous m’avez dit hier surtout. Vous voulez venir prendre un café ?

Tout le monde dormait chez moi, au moins pour une heure et demie encore. Alors j’ai accepté et ai enjambé la petite clôture pour aller prendre le café chez le papi. 

C’était très coquet chez lui, et bien propre. Je n’aurais pas imaginé qu’un homme seul de son âge pouvait aussi bien entretenir sa maison. Il me servit donc le café à la table de la salle à manger et il me raconta son histoire, sa femme, le fait qu’ils n’ont pas réussi à avoir des enfants, puis la maladie de sa femme, son décès et la solitude de sa vie, même si ses voisins sont très prévenants avec lui. Et puis il me parla de moi, de notre discussion.

— Je ne sais pas si c’est raisonnable ou non, mais c’est peut être la dernière occasion pour moi d’avoir le corps d’une femme entre mes mains. Alors, si vous êtes toujours d’accord… Vous savez, je suis impuissant maintenant, alors je ne vous demanderai rien, simplement poser mes mains sur vous.

Au lieu de lui répondre, j’ai pris ses mains et les ai posées sur mes cuisses. Il les remonta, souleva ma robe et vit que je n’avais pas de culotte. Il resta un moment à regarder ma chatte, les mains sur mes hanches. Je décidai d’écarter mes cuisses pour lui découvrir un peu plus mon intimité. Il avança ses mains à l’intérieur de mes cuisses et commença à me caresser avec le dos de sa main. Chaque contact me faisait frémir et je sentais la mouille glisser entre mes lèvres. 

Je me suis levée et ai enlevé ma robe. J’étais nue devant lui. Il me regardait avec des yeux gourmands mais tellement respectueux. Il passa ses mains sur tout mon corps, mes seins, mes fesses et enfin sur ma chatte. J’étais gonflée de plaisir. Il glissa la tranche de sa main dans ma fente, plusieurs fois, puis mit son pouce sur mon clitoris et son majeur dans mon vagin. J’eus rapidement un premier orgasme. Mes gémissements le libérèrent de sa timidité. 

— Tu aimes qu’on te fouille la chatte hein ? Une bonne chatte juteuse comme la tienne. Ah si je savais encore bander, je t’emplirais le con. Tu vas voir, tu vas prendre mes doigts, et tu me supplieras d’arrêter tellement ça sera bon.

En disant ça, il me retourna et me fit me pencher en avant. Il me mit d’abord son majeur, puis l’index et commença à me pilonner la chatte. Il ajouta ensuite ses deux autres doigts, seul le pouce restait dehors. Ma chatte faisait des petits clapotis à chaque mouvement. J’aimais ce qu’il me faisait. Il introduisit ensuite son pouce en faisant osciller sa main. C’était bon, se sentir emplie par la main du papi. Il agitait ses doigts à l’intérieur, faisait tourner son poing. J’ai joui une deuxième fois, mon jus coulait à l’intérieur de mes cuisses. Il retira sa main, me massa les lèvres pour m’aider à redescendre sur terre. Il me fit me relever et me serra contre lui, la tête lovée contre mes seins. Puis il me dit à l’oreille :

— Je pourrais goûter ta chatte ?

Je débarrassai alors les tasses à café et vins m’installer sur sa table, les fesses là où il devait poser chaque soir son assiette pour son dîner. Il s’assit à sa place, cette fois-ci pour un repas un peu différent de d’habitude.

J’écartai largement mes jambes pour lui offrir ma chatte. Il commença à lécher le jus qui avait coulé le long de mes cuisses. Il remonta jusqu’à la source pour me boire. Il léchait et suçait en alternance, s’arrêtant chaque fois avant de déclencher un nouvel orgasme, ce qui augmentait mon plaisir. Il n’avait rien oublié de ce qu’était le sexe et j’aurais aimé le rencontrer alors qu’il était encore vaillant car il devait être un amant sensationnel. Je gémissais sans cesse, subissant un doux supplice dont j’aurais aimé qu’il s’arrête et qu’il continue en même temps. Je ne sais pas combien de temps cela dura. Il finit enfin par m’amener à un ultime orgasme, ses doigts allant et venant dans mon vagin et sa langue tournant autour de mon clitoris. Il me laissa reprendre mes esprits, toujours allongée sur sa table. Il me remercia, mi-content, mi-honteux. Je l’embrassai sur les deux joues en lui disant de ne rien regretter.

Nous devions partir le lendemain, alors je lui ai demandé ce qui lui ferait plaisir pour la suite. Nous sommes convenus que je lui enverrais par courrier quelques photos coquines de moi. Ce que je ne manque pas de faire chaque semaine…

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