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SIMPSONNERIES DEFENDUES – Chapitre 25




Le lundi suivant, il y eut une descente de police au magasin de Ned Flanders. Pour attirer plus d clientèles, il avait transformé son Palais du Pédé, en palais du pédophile. Il ne savait s’il accueillerait plus de clients, mais il était prêt à tout pour sauver sa boutique. Malheureusement, des personnes mal intentionnées les avaient dénoncés, lui et son commerce licencieux.

    Mis en garde à vue, son magasin et sa maison furent perquisitionnés. Il s’en était fallu de peu que Rod et Todd ne se fassent surprendre lors de leurs fellations réciproques. Il n’y a guère que dans le magasin que les policiers trouvèrent des livres d’art avec des photos d’enfants nus, des romans d’initiation ou mettant en scène des petits garçons et des petites filles. Des DVD tournés dans des camps naturistes ou des familles vaquent à diverses occupations dans le plus simple appareil. Il existait bien encore un rayon gay et lesbien, mais celui-là ne contrevenait pas à la loi sur la pornographie enfantine. Sur le portable de Ned figuraient encore les bons de commande des ouvrages, et d’autres étaient en cours de traitement.

    Mis en examen pour détention et diffusion d’images pédophiles, Le tribunal voulut le condamner à un an de prison ferme et la fermeture de son magasin. Grâce à son avocat, il écopa finalement d’un an, dont huit mois de sursis. Avec les remises de peine, il ne ferait que trois mois de cellule. Mais qu’allaient devenir Tod et Rodd, livrés à eux-mêmes ?

    En attente de la délibération du jury, il s’entretint avec son avocat et rédigea une courte missive où il déclarait confier ses deux jeunes fils aux bons soins de Marge et Homer Simpson.

    Ned reçut l’annonce de sa condamnation avec calme et force. Il se dit que sa solitude de détenu lui permettrait de chercher une idée pour vendre autre chose dans son magasin.

    Pendant ce temps, Homer, qui s’était retrouvé au chômage, cherchait un emploi. Il avait accueilli l’arrestation de Ned avec plaisir, et même envie, sans penser aux conséquences. Il parcourait les petites annonces, frappait à toutes les portes, mais sa réputation était telle que personne ne lui faisait confiance. Pas même pour planter un clou, tondre la pelouse ou promener son chien.

    Dans la maison des Simpson, il y eut branle-bas de combat. Il fut décidé que Tod et Rodd se partageraient le lit de Lisa, tandis que cette dernière dormirait avec son frère. Ce qui n’enchanta pas Bart. Dès le premier soir, le frère et la sur se chamaillèrent pour le partage de la couverture. Le garçon prenait toute la place et obligeait sa frangine à se recroqueviller juste au bord du lit. Si elle faisait le moindre geste, elle recevrait un coup de coude de la part de Bart dans les côtes… et serait éjectée du lit.

    Todd et Rodd, eux, étaient heureux chez les Simpson. Ils ne se rendaient pas compte que Bart ne les aimaient pas, mais Marge se comportait avec eux, comme s’ils avaient été ses propres fils. Ils appelaient même leur voisin Oncle Homer.

    Un soir, les deux jeunes Flanders, certain de ne pas être dérangés dans la chambre aux murs roses, se débarrassèrent de leur pyjama et, allongés sur la couette, à la seule lueur de la plaine lune, ils se livrèrent à un 69 endiablé.

    Dans la pièce d’à côté, Lisa et Bart bavardaient à voix basse de la situation. Cela ne faisait même pas une semaine que Rodd et Tod étaient en pension chez eux, et Bart ne les supportait plus.

Je te signale que c’est quand même plus chiant pour moi ! sindigna Lisa. C’est dans ma chambre qu’ils dorment ! pas dans la tienne !

Je te vois venir ! Pas question qu’ils couchent ici ! vociféra Bart. Ils vont toucher à mes affaires, et j’ai horreur de ça !

    Lisa se tourna de son côté et renifla bruyamment. Elle se leva en essayant de ne pas entraîner la couverture avec elle.

Tu vas où ? lui demanda son frère.

Là où tu ne peux pas aller à ma place, répondit la fillette sur un ton intrigant.

    Elle sortit de la chambre en silence, sous le regard interrogatif et dubitatif de Bart. Il réalisa soudain, comprenant ce qu’avait voulu dire sa sur. Il sourit et se tourna de son côté, posant la tête sur l’oreiller, puis il ferma les yeux. Il partageait son lit avec sa petite sur, mais leur désirs incestueux semblaient s’être estompés. Pas de bisous, ni de câlins. Pas de tripotages, pas de jeux des mains ou de la bouche. Lisa n’avait jamais été aussi obsédée que son frère qui, lui, attendait une occasion pour retrouver Janey. il savait qu’’ils n’auraient jamais une occasion comme ils avaient eu au camping naturiste. Mais ça valait le coup d’essayer. Et il se promit de le faire avant de s’endormir. Sa bite bandait légèrement, de façon innocente.

    Lisa sortit des toilettes sans tirer la chasse. Pour deux raisons. Economiser l’eau et ne pas réveiller la maison avec le bruit agaçant du réservoir qui se remplit.

    Elle passa sur la pointe de ses pieds nus devant la porte de sa chambre et tendit l’oreille. Elle se figea en entendant comme des gémissements étouffés. Quelqu’un pleurait. C’était sûrement Todd, le plus jeune des deux frères. Il avait souvent les larmes aux yeux et il y avait de quoi. Sa mère était décédée et son père était en prison. Lisa voulut frapper à la porte pour savoir si tout allait bien. Mais elle préféra regarder par le trou de la serrure. Quand elle était dans sa chambre, elle l’obstruait avec un kleenex, pour être tranquille. Elle s’agenouilla et se mit en position. Elle colla son il contre la serrure et une vue plongeante sur son lit… et sur les deux frères, tête-bêche, se léchant et se suçant la bite à qui mieux-mieux.

    Lisa fut estomaquée par la vision, mais ne s’écartât pas de son poste d’observation. Au contraire. Grâce à la lueur de la plaine lune, on voyait parfaitement la scène, dans une lumière tamisée. Elle partit à la recherche de l’organe de Todd, qui disparaissait de presque toute sa longueur dans la bouche de son frère. C’était un zizi de préado, pas vraiment attirante, mais qui était bien gonflée et bien tendue.

    Celle de Rod était un peu plus ronde, plus longue et décalottait. Le gland était très rouge, telle une prune, et était régulièrement embrassée par la petite bouche enfantine du cadet. Les yeux grands ouverts, la bouche salivant d’envie, Lisa sentit sa vulve palpiter sous sa chemise de nuit.

    Les deux garçons faisaient des efforts terribles pour ne pas gémir trop bruyamment, s’étouffant presque avec la bite du frangin. La petite voyeuse n’y tenait plus. Elle ne pouvait pas rester là, à se contenter de les reluquer. Elle ouvrit la porte et se tint un instant dans l’embrasure, se détachant en ombre chinoise. Les deux frères continuaient leur 69 endiablé, comme si de rien n’était, et le spectacle excitait de plus en plus la jeune Simpson. Elle entra plus franchement dans la chambre, referma la porte derrière elle et alluma la lumière du plafonnier.

    Rod et Todd se figèrent et recrachèrent le zizi qu’ils avaient en bouche. Totalement nus, les cheveux en bataille et le corps suintant de transpiration, ils se tournèrent vers Lisa. Celle-ci ne perdait pas une miette de l’exhibition de leur organe, tendu comme un arc. Elle ne dit rien, satisfaite de l’effet de surprise qu’elle pouvait lire sur les traits des deux garçons. Ces derniers se redressèrent sur le lit et s’y assirent en tailleur, cachant leur érection avec les mains.

Et bien, c’est du joli ! les tança gentiment la fillette.

S’il te plaît, Lisa, ne dis rien à notre père, ni à tes parents !

Et pourquoi je ne dirais rien ? Vous êtes culottés de faire dans notre maison, et dans ma chambre.

    Rod tomba carrément à ses genoux, la suppliant comme s’il s’agissait d’une déesse toute-puissante, comme si elle seule pouvait prendre une décision. Et c’est dans cette position que Lisa se sentit. La vision de leur sexe en érection l’avait émoustillée. jamais elle n’aurait cru voir un jour leur pénis, et encore moins les voir bander. Sans rien ajouter, elle attrapa fébrilement le bas de sa chemise de nuit et la remonta lentement, jusqu’au dessus de son nombril. Parfaitement consciente de ce qu’elle faisait, elle exposa son petit abricot fendu devant les frères Flanders, qui ne pouvait faire autrement que de regarder ailleurs. L’aîné, d’ailleurs, à genoux sur la moquette avait les yeux pile à la bonne hauteur.

Vous allez me lécher le sexe, chacun votre tour, et je sucerai celui qui arrivera à me faire jouir.

    Le visage de Todd, là-bas sur le lit, se décomposa. Rod, tétanisé par la proposition, ne savait pas quoi faire. Sucer un garçon, s’étant longuement exercé sur son frère, il admettait être devenu un expert. Mais une fille… La dernière fois qu’il avait vu un sexe féminin et juvénile, c’était un dimanche, après la messe. Lorsqu’il avait six ou sept ans. Il avait entraîné Jessica, la fille du révérend Lovejoy, derrière l’édifice religieux et lui avait montré son petit sexe. La gamine, du même âge, avait d’abord refusé de lui rendre la pareille, mais devant les menaces de Rod, elle dut s’exécuter. Le gamin ne devait jamais oublier la petite fente, se détachant en plus rose de la blancheur laiteuse de la peau, marquée par le maillot. Elle s’étirait, mais pas très longue. En l’observant attentivement, le garçon avait remarqué qu’elle était constitué de deux petites peaux roses plaquées l’une contre l’autre. Elles semblaient pouvoir se séparer. Cela n’avait pas été plus loin et n’eut plus lieu.

    Là, Rod constatait la convexité du pubis de sa petite voisine. Lui non plus n’aurait jamais cru voir sa nudité la plus intime. Le fait de voir pour la première fois à quoi ressemblait un sexe féminin procura une sentiment de dégoût à Todd. En le dévisageant un court instant, Lisa constata qu’il avait débandé. Son frère, toujours à genoux, avait un semblant de vigueur en haut des cuisses. Un zizi qui pointait comme un radis, le gland à demi dissimulé par le prépuce.

Allez, les garçons, on n’a pas toute la nuit ! Qui commence ?

    Lisa se trouvait un peu bête, campée sur ses jambes légèrement écartées, nue du nombril jusqu’aux orteils. Rod s’approcha de l’entaille sexuelle et colla ses lèvres timides contre celles, charnues et déjà humides, de l’orifice vaginal. Surprise par ce baiser judicieusement bien placé, Lisa étouffa un petit glapissement, puis sentit la langue parcourir l’entaille de son pubis. Elle leva les yeux vers le cadet des Flanders, toujours assis sur le lit, tout penaud.

A ton tour, Todd ! articula la fillette en écartant la tête de Rod de son sexe.

    Le suceur, interrompu dans son exercice, resta à genoux sur la moquette, la langue pendante.

Qu’est-ce que t’attends ? s’impatienta Lisa. Tu veux que je raconte à mon père ce que tu faisais avec ton frère ?

    Une lueur d’effroi passa dans les yeux du cadet des Flanders, qui glissa silencieusement du lit. Il était plutôt mignon et bien proportionné. Pour la première fois, Lisa le détaillait de la tête aux pieds, s’attardant malgré tout sur sa quéquette un peu limitée et pendante. Il prit place à côté de son frère et tenta d’introduire sa langue entre les grandes lèvres. Rod n’en manqua pas une miette. L’adolescente s’abandonna aux léchages hésitants et maladroits de ce garçon de son âge. Il bavait plus sur le sphincter du méat urinaire que sur celui du vagin, mais ce n’était pas si mal. Un attouchement aussi cochon n’était pas pour déplaire à Lisa. Elle aimait ça, même.

    Aux ses ordres, les deux frères se relayaient pour honorer ses organes génitaux de baisers et de léchages. Elle donna un peu plus de facilité à l’aîné en écartant les grands lèvres de son vagin, faisant béer les nymphes internes. Elle commença à mouiller abondamment et Rod, travaillant de la bouche avec enthousiasme s’en emplit la bouche avant de l’avaler. Voulant absolument sucer le jeune Todd, et redonner un semblant d’érection à son zizi, Lisa repoussa l’aîné, attrapa le cadet par la nuque et plaqua son visage contre son bas-ventre. Surpris, il ne pensa même pas à parcourir les centimètres carrés qu’il avait à portée de la bouche. Laissant échapper un feulement de plaisir, Lisa jouit contre sa bouche. Todd voulut se dérober, mais maintenu par la main de l’adolescente, il dut lui aussi goûter à sa liqueur intime.

    Lisa se laissa tomber à genoux face aux deux garçons. l’aîné, que ces attouchements avaient excité, bandait encore, mais moins fermement. Le cadet montrait quelques signes encourageants, mais cela n’avait rien à voir avec la trique qu’il avait tandis qu’il se suçait mutuellement avec son frère. Lisa voulait revoir cette petite gaule, résolument plus petite que celle de son frère. La bite de Rod paraissait plus imposante que celle de Bart, quand il était excité. Elle aimerait bien procéder à des comparaisons. Mais pour l’instant, l’adolescente voulait que ce qui se passait cette nuit-là, dans sa chambre, avec les fils Flanders, restât leur secret.

Chose promise, chose due, Todd.

    Lisa prit le jeune garçon par la main, le fit s’asseoir sur le bord du lit, les jambes pendantes et les cuisses écartées. Son petit organe se soulevait légèrement et, par en-dessous, la gamine pouvait voir ses grosse bourses plus tout à fait imberbes. Elle éplucha une ou deux fois le pénis, mais Todd se plaignit que ça le brûlait. Elle n’insista pas et se pencha vers la quéquette, la saisit à la base entre trois doigts, et ouvrit la bouche bien ronde. Les lèvres se refermèrent sur l’organe, et la bouche adolescente l’engloutit presque en entier.

    Rod n’avait plus de jambes et s’était affalé sur le sol. Tout ce qu’il percevait du spectacle de son petit frère sucé par Lisa, c’était les bruits du succions de la bouche, la respiration lourde de Todd… et le cul ferme et rond de Lisa devant ses yeux. Quand la gamine s’était penchée en avant, sa chemise de nuit s’était retroussée sur ses reins. Son popotin était comme offert, telle une récompense au perdant. Les deux hémisphères étaient charnues, séparée par une raie sombre. Par en-dessous, au-delà d’un minuscule périnée apparaissait ses lèvres vaginales, béant au bas du sexe. Sans bruit, l’aîné des Flanders se redressa, s’approcha du joli fessier et la bite en érection, saisit les deux globes entre ses mains. Il les écarta, dénicha le sphincter anal et le visa avec son organe vigoureux.

(à suivre…)

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