Après avoir repris ses esprits, il se rhabilla et dit à son ami qu’il était désolé, mais qu’il allait devoir nous quitter.

–    Amuse-toi bien avec la petite, elle est vachement bonne.

Lui dit-il en parlant de moi. J’étais encore allongée sur le lit, à proximité d’eux et j’entendais tout, mais cela n’avait pas l’air de le perturber.

André raccompagna Marcel et m’abandonna et je profitais d’être seule pour me rendre dans la salle de bain afin de prendre une bonne douche. Sous cette eau chaude qui coulait sur mon corps, je repensais à cette soirée, avant que son ami n’arrive, André me parlait de rapport sexuel entre un chien et une femme, il me montrait une de ses amies avec son compagnon à quatre pattes et me laissait entrevoir la même issu si je le voulais. Je m’interrogeais et me demandais  jusqu’où, j’oserai aller, puis son copain est arrivé et finalement je me suis tapée un gros porc.

–    Alors comment trouves-tu mon ami ?

Surprise je sursautais. Je ne l’avais pas entendu venir. Il était là, face à moi et me regardais prendre ma douche.

–    Un peu spécial

Ai-je finalement répondu.

–    Oui, un peu cavalier, il faut l’excuser, il adore le sexe, mais n’a pas vraiment l’habitude de le faire.

Je lui ai gentiment souri en me demandant ce que je pouvais répondre.

–    Surtout avec une aussi belle femme que toi.

Ajouta-t-il. Je n’avais nullement envie de parler de son ami, car déjà je ne voulais pas lui en dire du mal et j’avais surtout envie d’oublier que ce gros moche avait quand même su me faire jouir et pas qu’un peu.

Je suis ensuite sortie de la cabine de douche, il s’est approché de moi avec une grande serviette et a commencé à me sécher avec. Je me suis laissé faire, ses gestes étaient doux et agréables. Il était quand même bien plus précautionneux que son ami.

Mes vêtements étaient restés dans la chambre, j’ai voulu utiliser la grande serviette comme un paréo pour sortir de la salle de ban, mais André s’y opposa gentiment.

–    Nous ne sommes que tous les deux et il fait assez chaud pour te promener toute nue.

En guise de réponse, je lui fis un petit sourire et je n’ai finalement pas pris la grande serviette. Alors que nous nous dirigions vers ma chambre, il m’a pris la main et s’est approché de mon oreille.

–    J’aimerais bien que tu viennes dormir dans mon lit cette nuit.

Je l’ai regardé.

–    Avec plaisir.

Ai-je répondu en posant un petit baiser chaste sur ses lèvres.

Sa chambre était aussi grande que la mienne et le lit à baldaquin, le chapiteau n’était pas en tissu, mais habillé d’un grand miroir. Allongé dans le lit sur le dos, au-dessus de la couette, nous pouvions ainsi voir nos corps nus. Tout autour du miroir, il y avait de petite loupiote et quand la grande lumière fut éteinte, André les alluma. Cela donnait l’impression de voir de multiples étoiles, ou plutôt comme si nous regardions notre reflet dans l’eau d’un lac calme avec un ciel étoilé comme fond du décor.

Il me regardait mon reflet au plafond en caressant mon petit abricot et moi j’ai pris mon sexe dans ma main et j’ai commencé à le masturber. Sa caresse était agréable, mais il ne m’a pas fait jouir, par contre, lui, il se laissa aller dans ma main. Celle-ci fut entièrement maculée de son sperme épais et abondant. Je ne savais comment la nettoyé, il prit son slip qui était au pied du lit et me le donna pour m’en servir comme une débarbouillette. Pas très propre comme procédé, mais faute de grive, mangeons des merles et fautes de torchon utilisons son caleçon.

Il s’est mis ensuite sur le côté et s’est endormi. J’ai, quant à moi, laissé vaquer mes souvenirs, mais finalement je n’ai pas tardé à l’imiter.

Je fus réveillée au petit matin par une étrange sensation entre mes cuisses. J’étais nue et la couette qui couvrait mon corps cette nuit avait disparu. Les yeux toujours fermés, je ne savais pas vraiment si je dormais encore ou si j’avais le pays des songes pour émerger dans la réalité. Je sentais un souffle chaud sur mon pubis sans arriver vraiment à en découvrir l’origine. Il me fallait ouvrir les yeux pour le savoir, mais l’intuition féminine avait déjà plus ou moins répondu à cette question et j’avais peur de découvrir que celle-ci ne se trompait pas.

Une main pris mes chevilles et écarta mes jambes pour faciliter l’accès à mon intimité. Le souffle chaud qui avait disparu pendant la manuvre est revenue à la charge, puis, toujours les yeux fermés, j’ai senti le premier contact avec cet intrus je devinais de mieux en mieux, je savais de plus en plus mon intuition ne m’avait pas laissé tomber, le souffle s’était approché et le contact avait eu lieu. La truffe avait humé mon odeur intime et comme pour mieux s’en saisir, elle était venue se plaquer contre mes grandes lèvres.

Je savais qu’André me regardait, c’est lui qui avait pris mes chevilles entre ses mains et qui avait par son geste écarté mes jambes et maintenant il observait avec attention ce qui se passait.

Nous en avions plus ou moins parlé, il ne m’avait pour autant averti de son passage à l’acte. Avait-il programmé tout cela depuis la veille ou l’idée lui était-elle venue ce matin ?

Peu importe ! Il l’avait conduit jusqu’à sa chambre et maintenant il examinait ma réaction. Bien entendu, il n’imposerait rien, je n’avais qu’à resserrer les cuisses ou repousser la tête de l’intrus pour qu’André fasse sortir son ami de la chambre, mais je restais allongée, les jambes écartées et les yeux toujours clos. Immobile et passive je laissais ce souffle chaud caresser ma peau nue entre mes cuisses et ce museau fouiller mon intimité à la recherche d’une hypothétique friandise.

Je m’attendais à une autre approche, le chien reniflait et donnait quelques petits coups de museau, mais aucune langue vint titiller mon petit bouton magique, la longue langue pendante qui laisse présumer une fouille profonde, ne s’était nullement manifestée. Dire que j’étais déçue serait excessif, mais simplement surprise. Le chien humait, semblait s’interroger sur ce lieu odorant qui lui était présenté, mais nullement affamé et encore moins excité.

J’ouvrais les yeux, et je vis enfin l’intrus, qui semblait aussi surpris que moi de se retrouver là où il se trouvait et surtout ne savait pas mieux que moi ce qu’il devait faire.

André en me voyant enfin réveillé, me fit un grand sourire.

–    Cela ne t’embête pas si je vous laisse deux minutes seuls ?

Que devais-je répondre ?

–    Seule avec . Lui ?

–    Ne t’inquiète pas, il ne fera rien de plus que ce qu’il fait.

–    Reviens vite.

–    Promis.

Il s’échappa ensuite, le chien avait levé la tête vers son maitre, mais comme André lui avait ordonné de ne pas le suivre, il retourna à ses découvertes olfactives.

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