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Vacances de Julie – Chapitre 1




Voici un nouveau texte, il parle des incestueuses découvertes en famille d’une adolescente, j’en annonce le sujet dès le départ, j’espère qu’il vous plaira, sinon vous pouvez toujours ne pas le lire.

1- Vacances de Julie (inceste)

Assoupie, c’est l’arrêt de la voiture qui me réveille, le casque du baladeur encore sur les oreilles.

C’est une drôle d’histoire, car ça fait bien longtemps que je ne suis partie en vacances avec les parents. La dernière fois, je devais avoir moins de six ans Curieusement, depuis je préférais les colonies de vacances.

Celles que j’ai pratiquées n’avaient rien à voir avec la fameuse chanson, c’est vrai aussi que mes parents devaient y mettre le prix, merci papa, merci maman ! Je m’y amusais beaucoup, j’avais le plaisir d’y découvrir des activités originales et intéressantes, partagées avec des jeunes de mon âge qui devenaient souvent des copains et des copines.

Cette année, j’avais un tout autre projet, je devais aller avec mon chéri mais il y a quinze jours nous avons rompu. Devant ce contretemps et mon vague à l’âme, mes parents m’ont proposé de m’emmener, ils avaient de la place pour moi dans la location qu’ils avaient réservée.

C’était tentant d’accepter ces trois semaines de vacances à défaut de rester seule me morfondre à la maison. De plus, je me connais, dans la déprime je risquais de craquer et retourner supplier mon ex Ce qui serait certainement une mauvaise idée, et en plus, ce n’est pas très glorieux !

Vous allez me dire que ce n’est pas très glorieux non plus de partir avec les vieux ! (C’est souvent ainsi que les copines nomment leurs parents). Ce qui est un peu vrai, j’ai dix huit ans et ils ont au compteur vingt ans de plus que moi, mais à leur décharge, ils ont gardé des cotés jeunes Lorsque mes amies pour la première fois voient ma mère, elles la prennent pour ma sur, c’est pareil pour mon père. Elles ne veulent pas me croire lorsque que j’explique que je suis fille unique.

Pour en revenir au présent, manifestement nous sommes arrivés à destination pour ce soir. Papa a maintenant coupé le moteur et se détend bruyamment avant de sortir. Nous avons abandonné l’autoroute et nous sommes ici en pleine campagne dans le parking d’un petit hôtel. Ce doit être notre relais d’étape. Nous avons du y retenir une nuit, je fais confiance à mes parents pour l’organisation.

Un peu engourdis par ces heures de voiture, nous prenons une valise dans le coffre, celle des affaires de la tribu pour la nuit, et nous rentrons dans le bâtiment, une jolie maison avec des fleurs partout. A la réception une dame lunettes et chignon nous attend, elle nous identifie dans ses registres mais nous annonce une bien mauvaise nouvelle : elle a bien pris en compte notre réservation mais en cette période de départ elle est surbookée et ne peut proposer pour nous trois qu’une seule chambre, avec un grand lit deux places et un petit lit une place !

C’est vrai aussi que ma présence n’avait pas été initialement prévue. Mes parents prennent ce contretemps avec bonne humeur, ma mère me regarde en riant :

— Tu as de la chance, tu as un lit pour toi seule, tu n’es pas obligée de dormir avec nous !

Cette réflexion m’énerve un peu, car ça fait bien longtemps que je ne viens plus envahir leur lit. Lorsque j’étais plus petite, c’était une de mes habitudes. J’accourais avec mon ours pour finir la nuit avec eux. Je prétextais une frayeur nocturne ou simplement une insomnie. En grognant ils finissaient par m’accepter et me faire une petite place, soit à coté de l’un, soit à coté de l’autre ou soit entre les deux.

J’adorais sentir la chaleur de leurs corps et l’odeur de leur peau, cela me rassurait. Il faut dire qu’à la maison il y a une forte tradition naturiste et c’est la mode de dormir nu.

En vieillissant, voulant céder à une soit disant hygiène de vie dans l’air du temps, j’ai voulu mettre en cause cette pratique débonnaire vis-à-vis de la pudeur, mais sans réel résultat. Les portes ne restaient pas fermées longtemps. Les habitudes pratiques l’emportaient chaque fois.

Et puis, j’ai accepté cette situation comprenant que je ne changerais rien aux habitudes des parents et devenant plus indulgente avec l’image des corps, j’ai continué à dormir nue, sans devenir exhibitionniste pour autant !

Donc la promiscuité de cette nuit d’étape ne me gène guère, je m’en fais une raison comme faisant partie des aléas du voyage Et puis, un délicieux fumet de souper chatouillant les narines m’aide à faire l’impasse sur ce petit désagrément. Je comprends mieux maintenant pourquoi ce point de chute à l’écart de la grande route a été choisi.

2-

Guidés par l’odeur, nous nous dirigeons donc vers la salle du restaurant ; nous les deux femmes, nous encadrons notre homme, mon père. En passant devant la grande glace du vestibule je peux comparer ma silhouette avec celle de ma mère : même taille et même corpulence, juste une différence de couleur de cheveux. Elle est plus blonde que moi, mais pour ce détail, il est difficile d’en accuser les gènes. Papa a l’air d’apprécier notre équipage et les regards qu’il suscite.

Un monsieur jovial vient à notre rencontre, je comprends vite que c’est le patron de l’établissement. Il nous guide vers une table joliment disposée, nappe blanche, serviettes tissu, profusion de couverts et de verres encadrant des assiettes blanches. Il nous présente le menu en nous faisant la promotion du plat du jour. Abrutis par le voyage, nous succombons sans résistance à ses sujétions, soulignées de cette ambiance chaleureuse et familiale.

Nous engloutissons avec appétit et gourmandise les mets servis.

Est-ce l’apéritif et le demi-verre de vin qui font que j’ai chaud aux oreilles à la fin du repas ? La discussion enflammée sur l’intérêt touristique de la région que nous n’avons d’ailleurs ni le temps et ni l’intention de visiter y est aussi pour quelque chose.

Le repas terminé, nous bavardons encore un moment en sirotant le petit verre de digestif, cadeau de la maison. J’ai maintenant l’impression avec cette chaude ambiance d’être complètement intégrée au monde des adultes.

Fatigués par cette journée de route nous montons nous coucher. Je cramponne le bras de papa pour être sûre de retrouver notre chambre, l’esprit embrumé et l’équilibre incertain.

Une fois arrivée, est-ce la fatigue ou l’alcool, qui me font oublier complètement mes principes de pudeur : je suis la première à poil, enfin si on peu dire, car ma mère m’a offert pour ces vacances un passage avec elle chez son esthéticienne, ce qui a été funeste pour tous nos poils.

Sans plus de commentaires, les parents m’imitent dans ce déshabillage et dans la même promiscuité nous utilisons ensemble la salle de bain pour notre toilette du soir. L’espace exigu du lieu me vaut de donner et recevoir quelques coups de fesses ! Ce sans-gêne d’ambiance de caserne n’a rien de désagréable et se conclut avant de nous coucher par un câlin général en guise de bonne nuit.

Une fois dans mon lit, je suis toute troublée de ces contacts d’autres corps, de ces frôlements de peaux J’en suis à regretter d’être maintenant seule dans mes draps. L’idée d’avoir failli dormir avec mes parents me turlupine curieusement : Cela me choque toujours, mais aussi m’émoustille.

Me reviennent aussi les mésaventures d’avec mon ex-chéri. Il avait certainement fait son éducation sexuelle sur son ordi avec des films pornos. Il voulait que je me comporte avec lui comme ces actrices présentées, capables par exemple, de faire une fellation sans préambule, sans tendresse préalable. Je ne supportais pas non plus, que dans nos moments les plus chauds, il me traite de chienne ou de grosse salope ! D’après lui, il parait que les femmes adorent ça. A la fin, je finissais par douter d’être une vraie femme et mes copines m’expliquaient que c’était très mode et que les garçons expriment ainsi leur virilité

Si bien que, suprême recours, j’ai questionné ma mère. Et comme elle en était encore plus choquée que moi et aussi plus expéditive dans sa réaction, conseillant que le machiste capable de tel comportement ne méritait que des claques et ajoutant que la virilité peut aussi s’exprimer par la tendresse et que grossièreté et brutalité ne sont plutôt que des signes d’impuissance ! Je ne sais pas si ces conseils étaient judicieux mais j’ai renvoyé illico le petit chéri chez sa mère et je me retrouve ici, seule !

Et ces regrets ne calment pas mes pensées lubriques, peut-être même le contraire J’ai envie d’un contact tendre et chaleureux, je sens mon ventre qui s’échauffe, je dois être saoule, je commence à me caresser d’une main le pubis, du dos de l’autre, je me frotte la bouche pour ne pas faire de bruit. Des pensées horribles me traversent l’esprit : je suis coincée entre mes parents, le sexe de papa glisse entre les fesses et je m’excite en me caressant le ventre sur une fesse de maman

La fatigue aidant, j’ai du m’endormir ainsi. C’est les petites caresses et l’injonction de ma mère qui me réveillent le lendemain matin :

— Debout ! Nous avons encore de la route à faire !

Pendant que je me frotte les yeux pour émerger, elle ajoute avec un grand rire que j’ai du rêver et que ma nuit a du être très agitée à en juger de mes cris subjectifs et tellement forts à les réveiller

Mon esprit est encore trop embrumé pour désirer en savoir plus

Les choses sont encore plus chaotiques que la veille : Comme les WC sont communs avec la salle de bain, je me retrouve à faire pipi avec maman qui fait sa toilette. Nous sommes toutes les deux complètement nues, mais cela ne semble pas l’indisposer, elle me fait de grands sourires. Papa était passé avant nous et commence déjà à refaire la valise dans la chambre.

Nous descendons avec nos bagages pour un petit déjeuner pantagruélique. C’est un bon début de vacances, je crois que l’ambiance m’aide à oublier ma tristesse du départ. Mes parents sont de gentille humeur et j’ai droit à de tendres câlins à la sortie de la salle du restaurant.

3-

Aujourd’hui la distance à parcourir étant plus réduite nous utiliserons les routes nationales pour découvrir un peu la région.

C’est au milieu de l’après midi que nous atteignons notre but, la location de vacances. Sur l’ultime injonction du navigateur nous tournons dans un chemin incertain traversant un mur végétal touffu. Nous découvrons isolée de la route une jolie maison couleur locale.

Nous arrêtons la voiture dans la petite cour devant la façade, à coté d’une autre voiture déjà stationnée. Un vieux monsieur et sa dame viennent à notre rencontre, certainement les propriétaires.

Mes parents les saluent et une joyeuse discussion s’engage sur notre voyage et des considérations météorologiques

Je descends moi aussi et me mêle au groupe pour entreprendre la visite du lieu. L’intérieur de la maison est assez spacieux, joliment décoré, conforme aux photos de présentation du site. C’est sur Internet que mes parents ont effectué cette location.

Derrière la maison nous découvrons une terrasse en partie couverte de cannisse avec une piscine à l’eau étincelant sous ce soleil de fin d’après midi. Elle surplombe un grand val avec le paysage magnifique d’une petite rivière bordée d’arbres, serpentant entre des champs et des bosquets.

Une odeur de plat qui mijote s’échappe de la cuisine – Je suis toujours aussi gourmande ! Nos hôtes nous annoncent qu’après ces heures de route nous n’avons certainement plus le courage de nous faire à souper et qu’en guise de bienvenue ils nous ont préparé un repas du pays qu’ils espèrent partager avec nous, l’occasion de faire plus connaissance et de nous passer les dernières consignes. Mes parents acceptent avec un sourire de connivence, cette disposition étant aussi annoncée sur le site.

La suite de la visite des lieux me permet de découvrir qu’ici j’ai l’embarras du choix pour une chambre et que je ne serais pas obligée de dormir avec mes parents. Cela fait naître un curieux regret car cette promiscuité un peu forcée commençait à m’exciter. Je m’en étonne à mes parents :

— Pourquoi avez-vous choisi une résidence de vacances si spacieuse ?

Ma mère m’explique la difficulté de trouver une maison indépendante avec piscine pour deux personnes seulement. Elle ajoute que cela a des avantages : Ca permet de m’héberger, puis d’inviter des amis :

— Des gens vont venir nous voir ?

Sa réponse affirmative excite bien ma curiosité, mais nous avons des tâches plus urgentes, nous déchargeons la voiture et portons nos valises dans le salon d’où nous répartirons les contenus plus tard.

Nos hôtes se révèlent fort sympathiques, ils ont composé à notre égard un dossier décrivant les curiosités de la région que nous pourrons visiter ainsi que les adresses des différents magasins et même des fermes où nous pouvons faire nos courses et nous approvisionner. Ils sont aussi très bavards et nous quittent très tard dans la nuit pour se replier chez leurs enfants à quelques kilomètres de là. Ils nous en communiquent l’adresse et le téléphone en cas de soucis.

Au cours du repas, j’apprends aussi que la propriété est isolée et se prête particulièrement au naturisme sans risquer d’indisposer des voisins. Une disposition qui semble aussi faire partie des critères de choix des parents.

Ca y est nos vacances commencent, bien fatiguée je choisis ma chambre, la plus proche de celle des parents, pas si rassurée que ça dans cette nouvelle demeure isolée. Ce qui me conduit ainsi à faire ma toilette du soir dans même salle de bain qu’eux. Je crois maintenant que je me suis accoutumée à la nudité réciproque de chacun, j’ai l’impression que ça va devenir notre règle ici.

Puis mon cauchemar de la nuit dernière m’a tellement déstabilisée que cette fois, je tiens beaucoup au grand câlin familial avant de me coucher.

Pacifiée et fatiguée je m’endors très vite. Le lendemain, je suis réveillée par le soleil, il inonde la chambre et me chauffe déjà. Des oiseaux me jouent un ballet joyeux et bruyant devant la fenêtre, j’avais oublié de fermer les volets.

4-

Je suis en forme et affamée ce matin, j’entends déjà de l’agitation du coté de la cuisine, je me lève sans m’habiller et je tombe sur maman qui prépare le petit déjeuner familial. Je lui fais un grand câlin en me serrant fort contre elle, elle est nue comme moi, je crois que je commence à apprécier ce nouveau mode de vie.

Me frotter et sentir sa peau contre moi m’électrise mais je crois qu’elle aime aussi car elle ne me rejette pas et au contraire me serre de toutes ses forces. Puis lorsqu’on relâche notre étreinte, elle m’attrape par les épaules et me fixe d’un grand sourire :

— Toi, tu es en manque de tendresse !

Surprise de cette remarque, je reste silencieuse. Elle me questionne alors sur le rêve qui m’a tant agitée l’autre nuit à l’hôtel. Prise de court, je me contente de répondre que c’était un rêve affreux dont j’ai honte de parler

Ma mère devient plus tendre en me reprenant dans ses bras :

— Ma pauvre chérie, tu peux te libérer de ta honte avec moi, une mère peut tout entendre.

Après un moment d’hésitation, m’apercevant d’avoir déjà trop parlé, je me résous à lui avouer une version expurgée en lui expliquant que j’avais rêvé que je faisais des « choses » avec mes parents. Elle redouble de tendresse en me câlinant et s’enquérant si c’était la raison de ma honte.

A mon petit oui, elle répond par une caresse et un gentil sourire, me prend la main et m’entraine :

— On va d’abords déjeuner, nous aurons toute la matinée autour de la piscine pour bavarder

C’est à ce moment que mon père arrive, il est déjà en tenue de sport, enfin short et casquette. Il a fait sa promenade matinale dans les environs, il désirait explorer le quartier où nous sommes installés. Il vient s’assoir près de nous pour nous faire un résumé de ses découvertes et se resservir un bol de café.

Il nous explique que nos propriétaires pouvaient dire que nous ne risquions pas de gêner les voisins car nous n’en n’avons pas, la propriété est isolée dans la nature Puis il remarque notre nudité :

— Vous avez la bonne tenue pour vivre ici, je vais vous imiter !

Alors que nous les femmes nous continuons à paresser devant notre bol vide, papa se lève et se dirige vers la chambre pour se changer, il nous revient dans la même tenue que nous. Maman remarque mon regard fixé sur son sexe déployé à l’horizontal, elle commente à l’intention de son mari :

— Tes deux femmes te mettent en forme ce matin !

Il ne relève pas, mais cette remarque refait surgir mon malaise. J’ai l’impression d’être la « grosse salope » que le copain désignait ! Et puis cette expression « deux femmes » me trouble, j’ai l’impression qu’elle gomme la barrière familiale.

C’est là que ma mère intervient en signalant la force du soleil et qu’il faudra démarrer la journée par une bonne séance de badigeonnage général !

Tandis que papa s’occupe maintenant du fonctionnement du barbecue, maman m’entraine vers la piscine, elle s’est munie d’un gros tube de crème solaire et de deux grandes serviettes.

Nous installons les transats et nous entreprenons toutes les deux le crémage de nos corps. Toutes les deux debout, nous nous badigeonnons réciproquement. Ce qui me fait tout drôle : sentir ses mains parcourir ma peau avec en échange le toucher des différentes parties de son corps, plus ou moins intimes, plus ou moins sensibles.

Elle le fait sans gêne, avec bienveillance, souvent collée contre moi ; cela pend souvent l’allure d’un grand câlin. L’opération nous conduit dans les bras l’une de l’autre pour faire nos dos, nous nous faisons face, son visage rayonne de plaisir, elle en profite pour m’enlacer et me faire un gros et tendre bisou sur la bouche. Nous nous caressons ainsi mutuellement, gluantes de crème, les seins, les fesses

Ce contact rapproché commence à me troubler, particulièrement lorsque nous abordons nos pubis où ma mère s’attarde. Nous enduisons consciencieusement tous les reliefs de nos sexes. Dans le trouble je lui rends la pareille. C’est comme si nous essayons de nous faire jouir mutuellement. La chaleur et l’humidité de nos muqueuses m’excite.

Dans le mouvement, un de mes doigts glisse dans le vagin maternel, elle s’immobilise, la bouche entre-ouverte, un regard plein de passion, puis dans la seconde qui suit, elle enchaine en m’enserrant dans ses bras et me faisant un baiser sur la bouche. Je sens sa langue qui écarte mes lèvres puis s’enroule sur la mienne dans un grand baiser d’amour

5-

Je suis toute retournée de l’inattendu de la situation, j’ai le corps qui s’électrise, j’ai une envie irrépressible de me frotter fort contre elle, sentir l’empreinte de son corps marquer mon corps. La crème solaire me permet de glisser peau contre peau avec une sensation irréelle. C’est une manière bien particulière d’étendre et répartir notre couche de protection.

Cet épisode me trouble d’autant plus que j’y trouve un réel plaisir et que je ne croyais pas avoir avec une femme. Je n’avais aucune expérience saphique et jusque là, je n’avais pas été particulièrement attirée par les femmes. Et en plus cette femme, c’est ma mère. C’est peut-être pour cela que je me suis laissé faire si facilement, car avec une copine, j’aurais certainement réagi plus négativement !

Maintenant, ayant relâché notre étreinte, je regarde maman qui me sourit. J’ai l’impression que cet épisode a rechargé nos batteries. Je ne suis capable d’aucune parole, juste je lui caresse le râble et remarque la beauté des ses formes, illuminées de cette lumière du matin.

Dans une douce euphorie, je m’allonge sur la serviette disposée sur mon transat, j’apprécie les rayons qui me chauffent et me tirent un soupir de bien-être.

Maman assise sur sa chaise longue m’observe souriante, elle me questionne :

— Est-ce que ce début de vacances te convient ?

Je ne peux que répondre par l’affirmative, sans trop approfondir d’ailleurs quel est l’aspect concerné. Et c’est le démarrage de notre bavardage sur la beauté du lieu, le beau temps, des banalités.

Papa passe nous voir, il s’est rhabillé, cette fois en tenue de sortie :

— Vous êtes mignonnes comme cela, bonne bronzette, pendant ce temps je pars faire le plein d’épicerie

Puis nous l’entendons démarrer la voiture et partir.

Alors que la matinée avance, maman se lève et je la vois revenir avec deux grands verres d’eau. Je l’observe, la grâce de sa démarche me subjugue. Alors qu’elle me tend un verre, peut-être en guise de remerciement, je me sens obligée de la complimenter sur sa beauté. Elle me sourit et me répond :

— Toi aussi tu es jolie, on se ressemble beaucoup toutes les deux

Ca me fait curieux, je ne me souviens pas que ma mère m’aie déjà dit ainsi que j’étais jolie. Moi, je me trouve plutôt ordinaire, je n’ai pas de gros seins, de grosses fesses, rien qui attire les garçons du genre « T’as vu cette meuf ! ». J’ai l’impression de passer inaperçue et pourtant lorsque je vois le corps nu de ma mère, lorsqu’elle bouge, se déplace, je lui trouve du charme, je la trouve de proportions harmonieuses, vraiment mignonnes, ni trop grosses ni trop maigres

Je n’ai pas l’impression non plus qu’elle me ment lorsqu’elle dit que nous nous ressemblons, c’est mon avis aussi, mais pourquoi je n’aime pas mon corps ? Perdue dans mes réflexions, ingénue, je finis par lui poser la question :

— Tu me trouves jolie ?

— Bah quelle question, bien-sûr que tu es jolie et tu as en plus, comparée à moi, la fraîcheur de la jeunesse !

Maintenant elle me regarde intensément, avec bienveillance. Elle vient près de moi me reprendre dans ses bras pour un nouveau câlin. Serrée contre moi elle me chuchote dans le creux de l’oreille :

— Bien sûr que tu es jolie Tu as vu dans quel état tu as mis ton père ce matin !

— Maman, nous étions toutes les deux

— Moi, il est habitué, toi, il te découvre

— Mais moi, je suis sa fille

— Fille ou pas, tu es une femme !

A ce point de la discussion je suis tellement troublée que je sens le rouge me monter de partout. J’ai l’impression que mes désirs les plus secrets transparaissent aux yeux de ma mère. Je lui en ai déjà trop dit sur mes rêves. Je suis submergée par le malaise.

Pourtant elle continue à me câliner avec tendresse, elle me reparle doucement de la honte de mon rêve de l’autre nuit et qu’il n’y a pas de raisons de me culpabiliser ainsi.

Elle me parle aussi de ma rupture récente et aussi du couple qu’elle forme avec mon père. Elle insiste sur la nature de l’union qui les unit

En particulier, elle m’explique : Que lorsqu’ils se sont connus, elle lui a promis, entre autre, de lui faire un enfant de lui, de l’élever avec lui et en échange que chacun conserve sa liberté sexuelle. Et puis bien sûr, comme pour toutes les bonnes choses, que chacun utilise cette liberté avec sagesse et parcimonie. Ce qui fait que le ménage continue dans le plaisir, même après le tassement de la passion amoureuse, inévitable avec le temps.

Car maintenant avec la maitrise de sa fécondité la femme est à l’égal de l’homme dans sa manière d’envisager sa vie intime. La frustration et les coups fourrés dans le dos de l’autre sont les poisons qui détruisent les couples. Le vrai ciment, c’est de toujours penser au plaisir du partenaire, de chercher et trouver les compromis gagnants/gagnants avec son propre plaisir

6-

Je comprends aussi qu’elle ne sera pas jalouse si je fais du charme à papa, mais que ce n’est pas la bonne méthode ; pas sûr qu’il s’autorise à céder au charme de sa fille. Si je veux du sexe avec lui, elle n’a rien contre, mais c’est à moi de faire explicitement les premiers pas. Et si je n’ose pas, elle est prête à m’aider Mais aussi comme nous vivons en société, la sagesse commande que je respecte les apparences et évite les attitudes pouvant mettre mal à l’aise les gens qui nous observent.

Je suis époustouflée de ce discours, j’étais loin de voir les choses ainsi. Bien sûr, j’avais remarqué la douce harmonie qui régnait dans la famille, la connivence qu’avaient mes parents. Je jugeais ça naturel, faisant partie de leurs cotés gentils et ouverts. Jusqu’à présent, je n’avais pas encore réfléchi à tout cela, me contentant de réagir aux événements d’une manière instinctive, en fonction de mon humeur du moment.

Perdue dans mes réflexions, maman me regarde souriante :

— Mon discours te choque !

Elle me précise alors qu’il n’est pas en accord avec la morale commune et les préceptes des religions, mais me force à reconnaitre que pour ceux qui ne savent ou ne veulent pas réfléchir, il faut édicter des règles simples ; il leurs faut des gardes fous. Pour illustrer son discours, elle me donne l’exemple simple de la gourmandise qui est un défaut, un « péché » si on ne sait ou ne veut pas se limiter, mais qui devient un art si on sait apprécier avec modération les bonnes choses. Et c’est pareil pour tout ce qui est agréable dans la vie.

Les paroles de maman m’assomment de bon sens mais j’ai du mal pour l’instant à en saisir une ligne de conduite générale, ainsi que de voir tous les chemins de liberté qu’elles ouvrent. Restant dans le pragmatisme de l’immédiat, sans plus réfléchir :

— Maman tu accepterais que je revienne dormir avec vous ?

— Oui, pourquoi pas, si tu en as envie !

Cette question m’a échappé presque qu’à mon insu. Avec cette réponse, j’ai le rouge qui me monte aux joues, ça révèle mon désir le plus secret, le fantasme que l’on ne doit pas réaliser Une image affreuse me submerge : Celle où je me donne à papa J’en ai la chair de poule.

Consciente de mon trouble maman s’est levée et viens me faire une petite caresse en m’invitant à venir gouter l’eau de la piscine, car après, nous devons préparer le repas pour le retour du père.

Je marche derrière elle comme un zombi, consciente que j’aurais aussi besoin de sa chaleureuse bienveillance, de sentir sa proximité si je veux aborder de tels moments initiatiques.

L’eau chauffée par le soleil est à une température agréable, nous barbotons toutes les deux cote à cote. Nous nous immobilisons dans un endroit peu profond où nous avons pieds. Maman est près de moi, j’ai besoin de sentir sa présence et sa tendresse. C’est curieux comme parfois j’ai l’impression d’être grande, autonome, libérée, et ces envies qui me submergent de m’abandonner et redevenir la petite fille d’autrefois ! Je l’attrape dans mes bras, la serre contre moi.

Sans réfléchir je lui fais un baiser sur la bouche langue déployée. Avec ses bras autour de mon cou elle renforce notre étreinte. J’ai besoin de la sentir entièrement contre moi, sentir sa poitrine contre ma poitrine, son ventre contre mon ventre, avec les jambes un peu écartées, de sentir le haut de sa cuisse contre mon sexe, de lui sentir son pubis avec ma cuisse, de nous emmêler les jambes à en perdre l’équilibre

On se serre de toutes nos forces à s’étouffer. Des idées les plus folles explosent dans ma tête « Maman je t’aime, j’ai besoin de toi, j’ai envie de toi, j’ai envie de faire l’amour avec toi, j’ai envie »

A bout de souffle nous desserrons un peu, juste pour se plonger les yeux dans les yeux. Je retrouve la sensation de bébé lorsque ma mère venait me consoler d’un gros chagrin mais avec cette fois dans le corps un feu allumé par des milliers d’étoiles. Le temps s’est suspendu

Nous finissons par nous relâcher abasourdi par cet ouragan d’amour qui nous traverse le cur. Un léger sourire rempli de passion et de compassion inonde le visage maternel. Je ne sais comment lui rendre cet instant de félicité. Non restons encore un long moment dans cette douce béatitude, le regard plongé dans les yeux de l’autre.

Puis doucement son visage me rappelle au présent, puis avec une petite caresse, elle m’invite à envisager la prochaine étape de la matinée, préparer le repas.

Toujours main dans la main, nous sortons de l’eau. Comme rien ne nous presse encore vraiment, nous continuons par un tour de la propriété, en admirant le paysage de la vallée qui s’offre à nos yeux, laissant au soleil et au vent le soin d’effacer les gouttes d’eau ruisselant sur nos peaux nues.

Dans cette ambiance de paradis terrestre, je me sens inondée de bonheur et pour seller cette complicité je m’entends susurrer à maman des paroles définitives comme sortant d’une autre bouche :

— Maman je t’aime !

Sortant de l’irréel, ce message me fait frissonner par le sens qu’il cache : ce ne sont plus les paroles d’une enfant à sa mère mais celles d’une femme qui aime une autre femme.

7-

Je mets un certain temps à réintégrer mon statut de fille. En fait, c’est le retour de papa qui me ramène au présent. Il revient avec un grand sac de provisions et une cagette de pèches que nous goutons avec gourmandise en guise d’apéritif.

Comme c’est l’heure, la table de la terrasse couverte est choisie pour notre premier repas, rien qu’entre nous.

Un melon du cru en entrée, suivit de brochettes au gril du barbecue, accompagnées de chips composent notre menu ; ce qui, pour nous les dames, convient très bien car nécessitant un service minimum : C’est aussi nos vacances ! Et bien sûr, nos fameuses pêches pour le dessert.

Pour terminer le repas maman me charge du café. Pendant que je rentre dans la maison, je m’aperçois qu’elle parle à l’oreille de mon père, les regards dans ma direction trahissent ma mise en cause.

Lorsque je reviens avec le plateau contenant les tasses et le café, papa a retiré ses vêtements. Il s’est mis dans la même tenue que nous. Il me fait un grand sourire qui me fait immédiatement monter le rouge aux joues, j’ai des doutes sur le contenu du message échangé !

Maman qui a tout observé me propose alors de faire le service, sa manière à elle de me sortir de l’embarras. Je m’exécute en me tortillant d’une manière un peu extravagante, brusquement mal à l’aise dans mon corps, ce qui les fait rire tous les deux.

S’en suit un moment de détente paresseusement occupé à digérer en admirant le paysage inondé de soleil qui s’étend devant nous. Ma mère, d’humeur provocante, insinue que je serais volontaire pour tartiner papa de crème solaire, car il faut qu’il se protège lui aussi.

Elle se lève chercher une grande serviette et le tube de crème et me tend le tout.

Paroles qui alimentent mon trouble, je suffoque mais démentir maman, dire qu’elle invente n’améliorera pas ma situation, il ne me reste donc qu’à m’exécuter avec un sourire un peu forcé. Et puis, je réalise que je suis stupide avec cette pudeur de jeune fille, que mes parents, même avec leurs murs libérées, sont gentils J’installe donc la serviette près de l’eau.

Papa se couche, le ventre dessus en me frôlant d’une petite caresse sur le haut des fesses qui me fait frissonner Il se place la tête entre les bras. J’ai mon champ de manuvre pour la première face !

Enduire tout cet espace peut paraitre simple mais toucher la peau de papa m’intimide toujours. Est-ce parce que c’est mon père ?

Pourtant gamine j’adorais jouer avec lui, le chahuter, le provoquer, je n’avais aucun complexe à le chatouiller, lui faire des pinsons, pas plus que de me montrer à lui dans des tenues invraisemblables. C’était mon parent préféré, je pouvais passer des heures sur ses genoux, maintenant c’en est fini de ces attitudes puériles, il m’impressionne.

Autrefois, j’avais la réputation d’être garçon manqué, j’avais plutôt des copains garçons avec qui j’ai fait les quatre cent coups, rien ne me faisait peur.

Devenant jeune fille, je me suis rapprochée de ma mère, j’avais besoin d’elle pour faire face aux nouvelles servitudes de mon corps de femme. Une nouvelle complicité est née avec elle, pratique et utilitaire. Il n’était plus question de jeux mais de tendresse et de compréhension. J’étais mal à l’aise avec ce nouveau corps et ses nouvelles contraintes, ce qui explique peut-être aussi mon complexe vis-à-vis de ma féminité.

Maman est devenue aussi ma confidente pour mes petites histoires de cur. Ce n’est pas que je juge papa insensible mais je ne souhaite pas l’ennuyer avec ça. Puis ces histoires finissent souvent par des rapports plus intimes. Je n’ose lui parler de ces choses, pourtant je sais qu’il est aussi ouvert que maman.

Devenant grande et commençant à sortir, c’est ma mère qui m’a conseillée de me protéger, même avant que je lui demande. Elle m’a fait partager son expérience d’utilisation du stérilet. En avance sur les copines, je me suis retrouvée ensuite comme un ovni devant leurs histoires de pilules.

Mais ne vous méprenez pas, je ne suis pas si délurée que cela, je n’ai eu jusqu’à présent que peu d’aventures et jamais très heureuses. Je suis plutôt sentimentale et mes amies disent de moi que je suis trop difficile. Je flache sur des garçons qui m’impressionnent, mais il faut qu’ils soient gentils et pas trop vieux ! Des choses qui semblent incompatibles

Qu’est-ce que je philosophe devant ce dos de papa ? je dois ravaler mon trouble et me lancer dans mon badigeonnage

La peau de papa est très douce et je l’enduis consciencieusement, je m’applique pour juguler mon malaise. Mon problème se réactualise lorsque, la face terminée, je lui demande de se retourner. Son sexe bandé me parait énorme ! Pourtant papa a gardé la couverture pileuse qui entoure cet endroit et le protège, ce qui m’évite de trop m’en approcher avec mes doigts et ma crème

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La tâche terminée, j’aide papa à se relever. L’exercice a résorbé une partie de ma gêne. Dans un sourire il me remercie et maman l’interpelle :

— Maintenant que tu as profité des mains douces de ta fille, en guise de remerciement, tu peux nous en remettre une couche à toutes les deux !

Et dans la foulée elle se place debout devant lui. Je lui tends le tube de crème et il s’exécute, lui enduisant méthodiquement tout son corps.

Puis c’est mon tour de prendre la place. Je présente d’abords mon dos puis mon devant. Ses mains sont douces, c’est comme un massage. Je ferme les yeux tellement je suis excitée et troublée de m’abandonner ainsi sous ses caresses. J’aurais envie que ça dure, qu’il s’éternise sur mes fesses, mes seins, mon ventre

Lorsqu’il a fini, mi inconsciente, je me jette sur lui pour lui faire un câlin de remerciement mais je bute mon ventre contre son sexe bien dur. Ca me rend folle de passion et de gêne. Dépitée, je n’ose l’embrasser et relâche mon étreinte Par désespoir et me déstresser, j’enchaine le même câlin avec maman qui m’enlace et tendrement m’embrasse.

L’épisode crème terminé, pour occuper le début de cet après midi, elle nous propose de jouer au ballon dans la piscine.

Avec de l’eau à mi poitrine nous nous lançon le ballon en essayant de nous faire des passes de volley, mais j’ai du mal à me concentrer. Papa rigole en nous expliquant que cet exercice avec les bras en l’air est très bon pour notre bronzage et la fermeté de notre poitrine. Ma mère lui répond avec le même rire que s’il regardait bien, il remarquerait que nos seins n’ont pas besoin de cela !

L’exercice physique, absorbant complètement mon attention, réussit par me détendre.

Lorsque maman un peu fatiguée demande une pause, nous entamons un grand câlin à trois. J’ai l’impression maintenant d’être plus à l’aise avec mon père et je retrouve des sensations que j’éprouvais plus petites lorsque je jouais avec lui. Le contact de nos corps nus en amplifie certaines. J’ai le bas du ventre qui s’échauffe, je me sens toute drôle, avec ce corps qui s’excite.

Nous nous installons tous les trois sur les transats autour de l’eau, une légère brise nous caresse la peau, je commence à apprécier cette vie de vacances de vieux !

Je repense aux vacances que j’avais projetées avec mon ex. C’était la grande aventure, ce qui m’inquiétait un peu aussi. Avec son permis tout neuf on devait récupérer l’ancienne voiture de son père et visiter la cote ouest de la France en faisant du camping à la sauvage un peu au hasard de nos découvertes et de notre budget. Il avait étudié la carte en se prenant un peu pour un grand aventurier

S’il me voyait à cet instant, il me vomirait en me traitant de « petite bourge ! ». Et puis comme je devais satisfaire ses envies (et des fois aussi, celles de ses copains), pas toujours à mon goût Il se targuait de me dégourdir du cul ! C’est vrai qu’avec lui, il ne fallait pas que je me pose trop de questions métaphysiques

Curieux enchainement de pensées, me reviennent aussi les réflexions maternelles sur les fameux amis qui doivent nous rendre visite et ses concepts libertaires sur la sexualité : était-ce l’occasion de parties fines, effrénées j’avais du mal à imaginer mes parents ainsi ! Et puis moi, autre sujet d’inquiétude, que vais-je faire la dedans ?

L’après midi avance. Maman se lève pour retourner à la cuisine car il y a tout de même un brin de ménage et de vaisselle à faire. J’en profite pour l’accompagner et poser les questions qui me turlupinent.

Questions qui l’amusent. Elle me rassure en m’expliquant que nos visiteurs prévus sont plutôt gentils. Ce sont des amis qu’ils connaissent depuis longtemps, du temps où ils fréquentaient des camps naturistes. Ils s’étaient appréciés en partageant des activités sportives communes. Avec eux, c’est vrai, il leur arrive de faire des échanges mais ce ne sont pas des avides de sexe débridé.

Quant à moi, je suis libre de faire ce que je veux, ils n’ont rien de prédateurs sexuels et puis mes parents restent là pour me protéger si je devais avoir des soucis !

Ces vacances me découvrent toute une face des parents que je ne supposais même pas, tellement ils savent rester discrets. Je constate toute une réflexion que je ne pouvais deviner, certainement fruit de leur propre expérience. Elle semble bien plus construite que les idées brutes et simplistes de mes différents ex-copains et bien plus compatibles avec mes conceptions de la vie et du plaisir.

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Devant toutes ces nouveautés auxquelles j’adhère presque sans réserve, j’éprouve un réel manque de chaleur humaine et je me colle contre maman qui est obligée d’abandonner ses tâches en cours pour me faire un gros câlin avec la langue déployée.

Elle répond au quart de tour à mon excitation. Des rapports intimes avec ma mère me semblent presque naturels, comme une continuation de nos marques d’affection, pas si hors norme qu’avec mon père Est-ce la résurgence instinctive d’anciennes peurs inconscientes de risque de maternité qui me culpabilise ainsi ou simplement l’interdit ?

Nous nous serrons, nous nous frottons, le contact de la peau fraîche du corps de maman me réjouit, les pointes de ses seins qui buttent contre les miens, je sens mon corps se remplir de bonheur. La force de son étreinte me montre que le plaisir est partagé, nous sommes de même matière ! Nous restons un moment ainsi à s’enrouler la langue, faire le plein de tendresse

Et c’est papa, assoiffé par le soleil, en venant se désaltérer d’un verre d’eau fraiche qui nous surprend :

— Et bien les femmes, on me néglige !

Surprise d’être mise ainsi en défaut, je lâche maman et par souci de réparer mon oubli, je me colle à lui pour refaire avec lui le même câlin. Toute heureuse que cette nouvelle culpabilité efface enfin mes scrupules qui m’en éloignaient jusqu’à présent, je plaque ma bouche contre sa bouche et lui écarte les lèvres pour trouver sa langue.

Dans la fougue de cette passion naissante, j’en ai complètement oublié ma pudeur et appuie mon ventre contre lui, laissant son sexe déjà bien dur s’imprimer contre mon ventre. Maman, se sentant un peu délaissée nous enlace dans ses bras, m’inondant de bisous d’encouragements sur tout le visage.

Je jubile d’avoir pour cette première fois vaincu mon trouble, papa me fait de moins en moins peur. Je me sens capable maintenant de l’aimer comme maman ! Je crois que je peux être avec lui comme je suis avec maman, et même plus car j’ai le bas du ventre qui crie son manque

Toutefois, je ne sais pas si je suis encore prête pour franchir cette nouvelle étape Et oui, nous les filles, c’est compliqué !

Le souper se passe dans l’intimité de la cuisine. Il semble que nous dérogeons à une tradition que je croyais en cours chez les nudistes, de s’habiller pour la fraicheur du soir. J’ai l’impression de vivre un repas d’amoureux, nus à trois. Avec un renfort de crudité et de jambon de pays et papa qui, pour démarrer, nous sert à tous les trois un petit verre d’apéritif pour fêter notre première journée de vacances.

Puis pour continuer la soirée, nous essayons la télévision du salon. C’est surtout aussi l’occasion de nous serrer l’un contre l’autre sur le canapé, une nouvelle manière de résister à la fraicheur de la nuit.

Très vite les images de l’écran ne nous intéressent plus et je ne sais par quel hasard, je me retrouve assise entre papa et maman ! La chaleur de leurs peaux me remplit de bonheur, je glisse un bras derrière le cou de chacun pour les serrer encore plus fort contre moi.

Maman devient plus câline et papa, lui, toujours aussi réservé, essaie de rester neutre. Mais il est trahi par son sexe qui a pris de l’envergure et se décalotte sous la tension

Maman serrée contre mon flanc me caresse tendrement, elle m’électrise en me massant légèrement la poitrine, puis en descendant sur mon ventre, puis mes cuisses En écartant mes jambes contre celles des parents, je m’ouvre légèrement pour laisser le passage vers mon intimité en ébullition.

Excitée, je ne peux résister au spectacle du gland rouge violacé de papa, maintenant entièrement découvert. Tant pis pour ma réputation de grosse salope, je libère mes bras pour l’attraper et lui faire un bisou dessus.

Papa, un peu surpris, me câline doucement les cheveux et me fait de tendres bisous dans le dos et le cou. Maman qui a trouvé de sa main ma fente m’ouvrage et me titille le clitoris, ce qui décuple ma passion.

J’en ai trop envie, Je ne peux résister, je me glisse sur eux pour m’allonger en plaçant mon ventre sur les cuisses de maman. Ce qui permet d’approcher ma langue de mon sujet d’émerveillement. Je lèche le bout du sexe paternel comme un esquimau, pas glacé du tout. Son parfum m’enfièvre, puis presque naturellement, je l’enfourne dans la bouche.

Pour être plus à l’aise, J’ai les fesses en l’air, les jambes toujours un peu écartées pour laisser à maman l’accès à mon endroit sensible qu’elle travaille toujours avec application. Je sens que je dégouline de plaisir dans ses doigts.

J’ai des mains qui me caressent le dos et les fesses pendant que je suce et branle le gros manche de papa. Maintenant, j’ai envie qu’il se libère dans ma bouche et ainsi me permettre de goûter de cette petite graine dont je suis issue

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Je suis obligée d’y mettre toute mon application et ma passion pour le faire venir, m’aidant des doigts et des lèvres. Puis enfin je sens sa main sur ma tête qui s’affole, son corps qui se tend, il essaie de me prévenir :

— Non

Je résiste et continue de plus belle, jusqu’enfin de grandes giclées chaudes m’emplissent la bouche. Pour cette fois, que j’aime cette odeur, j’avale le tout et lèche avec gourmandise les dernières bavures.

Toute fière de mon exploit, je me relève pour voir papa encore tout chose de ce qui vient de lui arriver de la part de sa fille. Je me sens déborder d’amour et de passion pour mes géniteurs qui acceptent ainsi de me faire partager le plus intime d’eux-mêmes. Le coté sulfureux de cette relation m’excite, comme un pied de nez à mes ex-copains qui se vantaient de m’en faire faire toujours plus, dans le genre horrible, moi la petite novice !

Ici, je me sens e

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