Le commissaire et l’épouse de l’escroc
Le commissaire avait travaillé un long moment sur ce dossier, des semaines et des mois qu’il rassemblait des preuves contre un membre éminent de la bonne société de la ville. Arrivé il y a quelques années, riche, avec de quoi acheter une belle maison, presque un château dans les environs, et installer une agence de conseil financier, démarrant modestement, mais gagnant la confiance des riches habitants de la ville et des environs. Les placements qu’il proposait rapportaient assez bien, mieux que tout ce que les banques proposaient. Bien sûr beaucoup disaient que ce n’était pas possible des rendements si hauts, si réguliers, qui jamais ne décevaient. De temps en temps des bruits circulaient, mais rien ne venait les étayer.
Mais le commissaire avait été chargé d’une enquête et progressait, lentement, lentement mais il était sur le point d’aboutir, suffisamment pour qu’enfin il convoque l’escroc, une convocation remise en main propre par l’inspecteur Lachenal, son plus fidèle lieutenant, devant tout le personnel de son agence. Puis l’escroc appela son avocat.
« Enfin, quand même, on me traite comme si j’étais un repris de justice, un assassin, il feraient mieux de s’occuper de ceux qui vous me comprenez Venez demain. Ah, très bien maître, je viendrai à votre bureau, vers 16 heures demain, 16 heures précises, très bien ».
Et le lendemain les clients continuaient d’arriver comme si de rien n’était, en avance sur l’heure de leur rendez-vous, certains pour déposer de l’argent, parfois en liquide, d’autre pour venir en chercher, ou prendre connaissance de l’état de leur compte pleins de confiances. Pour une fois ils devaient attendre, et l’homme de confiance les faisait patienter, arguant d’un client richissime, qui serait venu, déposer de l’argent, et proposer de créer une agence, dans la capitale régionale, comme une franchise.
« Il est toujours là votre patron avec son richissime client ? »
« Oui, sans doute, sauf s’il est sorti par la porte de service, mais un monsieur comme ça, ça m’étonnerait. »
Les clients s’impatientent, l’inspecteur Lachenal revient, il se présente à voix haute et demande aussi à voir l’escroc.
« Inspecteur Lachenal. Il est là Monsieur Paget ? J’ai une liste de document que j’aimerais bien pouvoir consulter »
Regards inquiets, surpris vers le policier. Et, brusquement, un bruit violent, un claquement sourd, puissant, un coup de feu, à l’étage ?
L’homme de confiance, l’inspecteur et son acolyte, les clients, tout le monde se rue à l’étage, Lachenal ouvre la porte, la double porte, entre dans le luxueux salon – bureau, des orchidées, des tableaux, une table basse, des fauteuils en cuir épais, et, dans l’un d’eux, l’escroc, affalé, en chemise l’inspecteur contourne le fauteuil pour s’apercevoir que la chemise blanche, éclatante est remplie de sang, une large tache épaisse au niveau du cur. L’escroc a reçu une balle dans le cur.
Lachenal court vers la porte, en face de celle par laquelle il est entré, celle qui donne sur la porte de service, dans une petite rue, presque par un sous-sol, il entre dans une chambre qu’il croit vide, ouvre une porte qui donne sur un escalier de service, descend en courant, court dans un couloir qui ressemble à un sous-sol, mais la porte de service est fermée. Il remonte et découvre dans la chambre une jeune femme à moitié vêtue, assise sur le lit, qui le regarde ahurie, l’interroge : « mais qui êtes vous ? qu’est-ce qui vous prend de courir comme ça chez les gens ? »
Quand le commissaire arrive, le coup de feu a retenti depuis plus d’une heure, les clients, l’homme de confiance, Lachenal et son collègue sont resté dans les bureaux, dans la salle d’attente. Dans le bureau les services de police ont fait les premières constatations. : « Oui ça ressemble à un suicide, MAIS ! mais il n’y a pas de trace de poudre sur ses mains, on a bien son arme, MAIS ! mais elle semble d’un petit calibre pour l’apparence de la blessure, mais un coup de feu a bien été tiré avec cette arme.
Le commissaire regarde tout le monde, monte dans le bureau, entre brusquement dans la chambre dont Lachenal lui montre la porte. Il regarde vers le lit et ce qu’il voit le saisit, le raidit : l’épouse désormais veuve allongée sur le lit, main gauche sur un sein, qu’elle écrase semble-t-il, et main droite dans la culotte. L’épouse se console, les yeux un peu partis, elle était sur le bord de l’orgasme, elle balbutie : « Vous ne frappez jamais alors ! ». Le commissaire s’approche, elle reprend ses esprits mais ne change pas de position, elle est grande, brune, cheveux longs, s’il en juge par le sein découvert, elle a une belle poitrine, les cuisses entrouvertes sont d’apparence soyeuse. Le commissaire ne peut détacher ses yeux de la petite culotte, des doigts qui apparaissent sous le beau tissu brodé et la dentelle « Continuez ».
Elle le regarde, reprend ses activités « Je n’ai pas l’habitude de me presser, mais pour vous je vais faire une exception ».
Le commissaire avise alors un petit appareil de forme oblongue, ressemblant à s’y méprendre à un pénis, posé sur le lit, il le prend et s’aperçoit qu’il vibre si on appuie sur le bon bouton.
« Attendez !!!! J’ai toujours pensé que l’électricité pouvait être utilisée de façon intelligente dans les interrogatoires ».
Il pose le pénis qui vibre sur le sein qui n’est pas protégé par la main gauche, elle réagit : « ce n’est pas vraiment là que ça se met… »
« Retirez donc votre main et ôtez votre culotte pour faciliter la conduite de l’interrogatoire ».
« Vous êtes un commissaire moderne, je vais coopérer avec vous, je n’ai rien à voir dans le meurtre de mon mari ».
La culotte retirée, elle reprend sa position, les cuisses légèrement écartées, dévoilant une jolie toison noire et au milieu une longue fente entrouverte, humide, rose, des petites lèvres, minces et légères comme des pétales de fleur. Le commissaire approche l’appareil qui vibre sur les petites lèvres, il questionne :
« Vous êtes l’épouse de la victime ? » Il n’attend pas vraiment de réponse, elle vient de le confirmer. Il presse un peu le vibromasseur.
« Vous êtes bien plus jeune que lui »
« Il est bien plus riche que moi ».
Elle répond par phrases courtes, lappareil ne la laisse pas insensible, loin sen faut, elle ouvre et serre les cuisses, cherchant à en profiter le plus possible puis elle continue « enfin il était… mais je l’aimais bien .. on s’entendait bien »
Le commissaire pousse un peu l’appareil entre les lèvres : « Je vous interdit de jouir pour l’instant, pas avant d’avoir répondu à mes questions ».
L’appareil tourne entre les lèvres, fouille un peu, la jeune veuve se contrôle, lève les reins pour en prendre un peu plus Le commissaire retire l’appareil et le descend vers la jonction des petites lèvres.
« Et vous viviez ensemble ? »
Elle commence à trouver la séance de question très agréable : « Oui, chacun avait un peu sa vie, il était tolérant, et moi aussi ».
Elle gémit quand le commissaire approche l’appareil de son clitoris.
« Là, si vous insistez je vais avoir du mal à répondre de façon intelligible. MMMMM» ; il appuie un peu, profite de l’expression des grands yeux, elle demande encore un peu plus de pression, mais elle sait que le commissaire va la diminuer.
« Vous aviez un rôle dans ses affaires ? » petit tour du vibromasseur entre les lèvres quil écarte un peu, puis le commissaire le retire.
« OOOHHHH !!!! commissaire. En fait j’étais une vitrine, je portais des bijoux quand il me sortait, ça faisait bien ; bien habillée, des bijoux bien choisis, souriante et ne trompant mon mari avec aucun des hommes de la ville, ça finit par inspirer confiance. J’ai répondu, continuez.. je vous en prie ». Les yeux l’implorent.
« Vous saviez qu’il était un escroc, alors »
Et il relance le vibromasseur, qui la pénètre ; la fente engloutit la moitié de l’appareil que le commissaire fait tourner comme pour explorer l’orifice.
« OOOOHHHH !!! C’est si bon Bien sûr, nous vivons ensemble depuis près de dix ans Un jour il m’a parlé d’une pyramide, italienne, et des gens, qui croient qu’on peut gagner de l’argent à coup sûr !!! »
Les trois quart de l’appareil sont entrés, elle se cambre, se masse les seins, ferme les yeux, et le commissaire arrête l’appareil, le retire.
« NON ! Pas maintenant! Encore! »
« Donc vous étiez complice ? Vous serviez à inspirer confiance, un homme qui avance en âge, riche, puissant et sage assez pour avoir une jeune épouse fidèle ? »
« Remettez-le en route ce truc je réponds à tout ce que vous voulez Je suis innocente, je coopère, MMMM mmm encore, plus profond commissaire»
Elle porte ses deux mains sur les lèvres de sa fente, au milieu de sa toison elle ouvre béante la fente rose, elle découvre un bel orifice rond, « Remettez le là!!!! »
Il recommence ses tortures, le vibromasseur la pénètre, entièrement, le commissaire la regarde, elle entrouvre la bouche, sa langue prise entre ses dents, s’écrase sur sa lèvre inférieure, elle fait un effort pour se contrôler, et en même temps elle profite autant qu’elle peut
« Oui j’étais complice, je savais et je profitais de l’argent OOOOO je me suis même offert un gigolo un soir. Pour voir. J’étais une prostituée louée à l’année en quelque sorte chaque fois qu’il demandais quelque chose je le faisais toujours, quoi que ce soit ».
« Comment l’avez vous connu ? »
Il retire le vibromasseur mais revient jouer avec le clitoris. Elle aime ferme les yeux, il réduit la pression, « Répondez »
« Je travaillais dans une camionnette quand j’avais 20 ans oooo j’aime ça vous êtes un pervers. Il m’y a trouvée un soir qu’il cherchait de la compagnie Voilà. »
« Vous lui connaissez des ennemis ? »
« Pas tant que ça, c’est le maître de la séduction. »
« Avez-vous une arme ? »
« Non, que voulez-vous que j’en fasse ? Pourquoi le tuer, c’est la poule aux ufs d’or ! »
Le commissaire se lasse du jeu donne le vibromasseur à la jeune veuve, qui lui fait un grand sourire.
« Restez un moment, ça ne sera pas trop long je vous promets, mais vous méritez bien une petite séance de voyeurisme après ça ! »
Il reste, regarde, joue un peu avec les seins, leur pointe qu’il ne peut se retenir de pincer fortement de temps en temps, à mesure qu’il la voit s’affairer de plus en plus nerveusement et bruyamment. Elle va jouir, le vibromasseur va et vient, entre sort, glisse sur le clitoris, et sur le petit orifice brun entre les fesses elle commence à être bruyante, il lui met la main sur la bouche pour étouffer ses gémissements, elle mort le gras de son pouce, jouit, les yeux ouverts, dans les siens.
Elle retombe. Il lui fait un délicat baise main, renifle un peu les doigts, repose la main sur la poitrine puis il s’éloigne, arrivé près de la porte, après l’avoir entrouverte, il déclame d’une voix aussi assurée que possible : « Merci pour vos informations, surtout restez à ma disposition »
Elle ouvre en grand sa fente rose au milieu de sa toison et écarte ses fesses « Je suis toute entière à votre disposition commissaire ».