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Ma mère est une bourgeoise sacrément cochonne – Chapitre 2




Après nos péripéties dans la salle d’eau, ma tension sexuelle était à son comble, je disposais de ma mère comme bon me semblait. Elle se dandinait dorénavant quasiment nue dans la maison quelle que soit l’heure de la journée. Parfois elle se baladait en chemise sans rien en dessous, ni en dessous de la taille d’ailleurs, d’autres fois tout simplement en soutif et petite culotte, ou en string, mais quasiment toujours en dentelle. J’en avais d’ailleurs profité pour lui acheter des bas de toute sorte, notamment des bas-résille pour lesquels j’avais un faible. Un jour que nous faisions les courses, ure idée me traversa l’esprit. J’étais derrière elle afin de pouvoir baver sans retenue sur son cul divin, autant dire que je n’avais pas besoin de mes mains pour faire avancer le caddie. Ayant cette gaule sérère, je me suis dit qu’il était injuste qu’elle n’en profite pas. seulement dans le magasin impossible de faire quoi que ce soit sans être vus. Le magasin étant à quelques minutes à pied, il nous suffisait de rentrer. Mais cette solution était trop facile. Un vibro. Il fallait que je lui achète un vibromasseur télécommandé. Et c’est ce que je fis, je commandais le jour même par le biais d’un site internet un ouf vibrant télécommandé.

    Deux jours plus tard, le colis arrivait, de manière tout à fait discrète. Je réceptionnais donc ce colis, impatient que j’étais et appelais ma mère afin qu’elle vienne découvrir son nouveau jouet dont elle ne connaissait pas encore l’existence.

— Qu’y a-t-il mon cour ?

— Regarde ce que je t’ai acheté.

— Qu’est-ce que.

Elle ouvrit le paquet et je vis immédiatement à son regard qu’elle avait tout de suite saisi de quoi il s’agissait. Elle planta sa langue au fond de ma bouche en guise de remerciement et commença à me masser les couilles à travers mon short :

— Tu es mignon mais j’ai pas besoin de ça, ta belle queue me suffit amplement avec tes deux grosses boules remplies de foutre chaud.

J’enlevais sa main de mes bourses de peur de gicler tout de suite au son de ces mots vulgaires que j’aime tant l’entendre prononcer.

— Je sais. mais tu vas voir, j’ai une petite idée en tête…

Elle me fit un sourire et tourna les talons, en me laissant admirer son cul s’éloignant.

    J’attendis donc, en dépit de nos «séances de baise» habituelles, la semaine suivante qui s’annonçait d’une température volcanique. Ma mère tout de même intriguée par l’intérêt que j’allais donner à ce sextoy, tenta à plusieurs reprises de me soudoyer la réponse en me proposant quelques pipes goulues. Bien sûr je refusais ; je voulais que la pression monte. Et de toute façon, ne résistant pas, j’avais tout de même droit à mon pot de vin !

    Ne se doutant toujours de rien, elle décida la semaine suivante d’aller de nouveau faire des courses. Je jubilais intérieurement en proposant de l’accompagner. Elle avait mit un tailleur blanc rayé verticalement de noir. La veste était suffisamment ouverte pour laisser décolleter une bonne partie de sa poitrine opulente. La jupe venait tomber à mi-cuisse sur des bas taupe, eux-mêmes finissant dans des escarpins noirs à talons aiguille. Elle s’était maquillée, avait coiffée ses cheveux en chignon et mit son collier de perles blanches.

    Arrivés au magasin, je lui montrais un bustier rouge en dentelle et je lui dis d’aller l’essayer. Elle s’exécuta en me faisant un large sourire et a se mordant la lèvre inférieure. Je l’observais se changer en tirant légèrement le rideau de la cabine d’essayage. Le bustier lui allait comme un gant, elle était contente et me gratifia d’une belle galoche bien baveuse. Je la regardais ensuite se dévêtir de ce bustier, lorsqu’elle finit de l’enlever et avant qu’elle ne remette son tailleur, je lui tends le vibro et lui dit de le mettre. son regard s’illumine en comprenant ce qui va se passer. Elle s’empresse de le prendre et finit de se rhabiller. Je la suis dans le magasin fixant de nouveau mon regard sur son anatomie. Je remarque qu’elle esquisse des mouvements de bassin plus amples que d’habitude, elle tortille son petit cul pour mieux profiter de son jouet. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que j’ai avec moi la télécommande.

    En passant devant le rayon des conserves, elle se penche pour attraper une boîte tout en bas de l’étagère. Mais elle le fait en gardant les jambes tendues, sa jupe remonte presque jusqu’à son string, je distingue la naissance de ses fesses au dessus de la dentelle de ses bas. Elle tourne alors la tête en me faisant un petit sourire car elle sait que je voudrais la pénétrer violemment, là tout de suite, mais que l’endroit me l’interdit. C’est à ce moment précis que je décide de pousser le petit interrupteur de mise en marche du vibro. Ses jambes perdent alors toute force, elle vacille légèrement en essayant de se relever mais n’a le temps que de tomber à genoux. Elle pousse un léger cri qu’elle étouffe tant bien que mal, heureusement personne n’est dans le rayon, et à vrai dire il n’y a pas foule dans le magasin tout entier. Elle me regarde avide de désir en se relevant, serrant les cuisses et ramassant la boîte de conserve qu’elle avait fait tomber au passage. Elle la pose dans le caddie en se frottant à moi au passage, tel une chatte, minaudant. Elle me susurre à l’oreille :

— Tu payes rien pour attendre petit cochon.

Je crois alors mon plaisir à son comble, mais en repassant devant moi, je remarque que sur ses cuisses ornées de bas, commence à dégouliner sa mouille. A cet instant j’ai l’impression que ma queue double de volume. Nous continuons à faire les courses, en essayant tant bien que mal de masquer notre état de quasi transe. Ma mère est obligée de marcher les cuisses serrées au maximum pour pouvoir tenir debout. Le souci pour moi, c’est que cela fait tortiller son fessier moulé dans sa jupe, ce qui a pour effet de faire bouillonner ma queue dans le caleçon, sans parler du bruit de ses talons aiguille sur le sol qui ont le même effet sur moi. Comme si cela n’était pas suffisant, à chaque fois qu’elle met un article dans le caddie, elle passe en se frottant à moi. Quand elle prend un article en bas d’une étagère, je m’approche d’elle et elle plie ses genoux en faisant glisser son cul contre ma bite dure comme du fer. La climatisation du magasin tourne à fond, mais pour nous deux, il fait plus chaud qu’à l’extérieur !

    L’un comme l’autre nous n’en pouvons plus, mais je craque le premier, je lui dis que si nous ne rentrons pas maintenant, je vais la violer, là, maintenant, au beau milieu du magasin. Je vois ses yeux se révulser de bonheur à ces mots pendant qu’elle passe sa langue sur ses lèvres ornées de rouge à lèvre écarlate. Cette idée fait monter en elle la température d’un nouveau cran. Mais elle sait bien, tout comme moi que c’est impossible. Elle me répond donc par l’affirmative et nous nous dirigeons vers les caisses. La caissière, une fois n’est pas coutume, passe rapidement les quelques articles que nous avons, parmi lesquels figure le bustier. Je prends d’une main quelques sacs et ma mère fait de même. Quelques mètres après êtres sortis du magasin, profitant de passer dans des rues désertes, où les maisons sont rares (l’avantage de la campagne.) j’enfourne ma main sous sa jupe puis sous son string et commence à la caresser entre le vagin et l’anus, tout en continuant à marcher. Elle décide alors de fourrer sa main dans mon caleçon en attrapant mes couilles. Je n’en démords pas, au contraire, j’introduis sauvagement deux doigts dans sa chatte. Elle penche la tête en arrière et cette fois crie un peu plus fort que tout à l’heure, sans même se donner la peine d’étouffer son cri. Elle remonte alors la main vers ma queue bandée au maximum et me décalotte lentement. Elle commence à me masturber quand nous arrivons sur le pas de la porte.

    Je peine à me concentrer pour ouvrir le verrou de la porte. Lorsque j’y arrive en fin, nous entrons et je claque la porte. Nous jetons les courses au sol et ma mère commence alors à me branler franchement. C’est la meilleure branlette qu’elle m’ait fait jusqu’alors. Je ne résiste que quelques secondes avant de sentir monter la sauce, je la préviens et elle enfourne ma queue au fin fond de sa gorge. Je lâche ce qui me semble être des litres de foutre brûlant. Ma mère s’étouffe presque avec et du sperme explose en jaillissant de sa bouche. Comme à son habitude, elle n’en perd pas une goutte, elle lèche soigneusement ma bite du gland jusqu’à la base, elle récupère également le précieux liquide s’est retrouvé sur son visage et finit enfin par récupérer le sperme encore sur ses lèvres pulpeuses faisant contraste avec le rouge. Ses molaires sont alors rassasiées, mais pas sa chatte qui réclame qu’on s’occupe d’elle. Ma queue n’a pas le temps de débander, à la vue de ma mère qui se met à quatre pattes devant moi, face contre le sol et la croupe relevée bien en l’air, m’offrant sa chatte dégoulinante de mouille et sa petite rondelle rose que je n’ai pas encore eu le loisir de déflorer. Je pointe mon gland à l’entrée de sa grotte d’amour, sa croupe à un mouvement de recul, elle essaye de s’empaler sur mon pieu, mais je recule moi aussi. Elle devient folle et me regarde les yeux suppliants, je glisse alors ma queue juste en dessous et je la frotte contre ses grandes lèvres. Elle imprime le mouvement avec son bassin pour frotter plus fort. Le frottement est accompagné de gémissement de plaisir.

    Je mets fin à son supplice en l’empalant d’un coup sec jusqu’au fond ! Elle pousse un râle rauque. Ma mère est au bord de l’orgasme. Je commence alors à la limer violemment, mes couilles claquent et ma mère est aux anges. Après quelques minutes à jouer avec ses deux lourdes mamelles et ses deux tétons dressés de plaisir je me met à masser sa petite rondelle avec mon pouce. Je l’enfonce un peu et titille ainsi son sphincter. Je joue ainsi quelques secondes avant qu’enfin elle se crispe. Je sens sa chatte se contracter un peu plus fort sur mon chibre, elle est prise de spasmes qui parcourent tout le long de son corps. Comblée d’un puissant orgasme, elle se retourne vers moi et finit à la main ce que sa chatte a commencé. Elle me branle en me regardant droit dans les yeux et moi je soutiens son regard. Une fois de plus je la préviens que je vais jouir mais cette fois elle n’enfourne pas ma queue dans sa bouche, elle pose seulement mon gland sur ses lèvres tout en continuant à me branler. Je gicle alors tout ce qui me reste de sperme sur ses lèvres, un peu de sperme se dépose également devant son nez et sur ses joues. Elle laisse le sperme dégouliner quelques instants en se massant doucement le bas-ventre avant de rouvrir les yeux.

— Tu as eu envie de m’enculer hein ?.

— Tu n’imagines pas à quel point.

— On va devoir aller acheter de la vaseline alors. dit-elle en léchant ses lèvres encore recouverte de sperme et en récoltant ce qui restait ici et là.

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