Il est 4 heures du matin, ma femme est sortie et ne devrait plus tarder. Ce soir, elle avait rendez-vous avec Alain. Alain est un ami, depuis des mois, elle avait le désir de cet homme, souvent il m’ est arrivé de penser qu’entre-eux il y avait une relation et je n’avais de cesse de questionner ma femme à ce sujet. Chaque fois sa réponse était:non. Mais à force de dire à sa femme: je suis persuadé que oui, il arrive ceci. Lors d’une soirée chez des amis, Alain et ma femme ont beaucoup parlé et rigolé ensemble, elle lui a même fait part de mes soupçons. Du coup, il lui a dit: puisqu’il le pense autant le faire. Et c’est ainsi que ce soir j’ai vu ma femme se préparer avec goût, ne négligeant aucun éléments vestimentaires, ni artifice de séduction typiquement féminin. Avant de claquer la porte, elle m’ a seulement dit: ce soir, mon chéri ta petite femme va te cocufier puisque tel est ton désir et je n’aurai même pas à me forcer, d’ailleurs je peux te dire que je suis déjà toute mouillée et que mon petit nid d’amour attends aves impatience qu’ Alain s’ en occupes et tout à l’ heure quand je rentrerai tu pourras constater par toi même que je ne te ments pas. Pour sortir, elle a mis un petit top noir sans soutien-gorge, laissant la vision de ses têtons dressés dessous, un string identique, des bas auto-fixant, sa jupe plissée trop courte à mon goût qui fait que sans se baisser il est possible de voir qu’elle porte des bas et ses bottes. Elle est plus que sexy et sa tenue est un appel au viol. A peine, était elle sortie que je me suis masturbé en imaginant cette soirée et que j’attends avec impatience son retour pour qu’ elle me raconte ses ébats. Pensez vous qu’il soit normal d’ accepter que sa femme couche avec un autre homme? et en tirer du plaisir ! Il est presque 5 heures quand enfin j’entends le bruit de sa voiture, j’ ai l’estomac noué et pourtant il ne peut y avoir aucune hésitation sur ce qu’ elle a fait, on ne rentre pas d’ un resto à cette heure, il y a obligatoirement eu une prolongation, même en le sachant ça fait une drôle de sensation. Je suis dans le lit faisant semblant de dormir, elle rentre dans la chambre, allumme la lumière et s’écrie: alors, mon cocu de mari veut-il voir dans quel état est sa femme. Je me redresse excité comme pas possible, je la regarde, elle porte sur le visage les marques d’ une femme comblée, anéantie et heureuse de ce qu’ elle vient de vivre. Je lui demande de venir se coucher toute habillé, tanpis pour les draps ont les passera à la machine. Elle s’execute, je l’ embrasse, elle sent le foutre, ma main glisse sous sa jupe et se porte à son entrejambe, il est poisseux, j’ écarte son string et mes doigts fouillent son intimité, il dégorge du sperme de mon rival, elle écarte légèrement les cuisses, je me positionne sur elle et d’un coup sec mon membre penètre son nid d’amour, je m’active un court instant et je gicle au fond de son ventre afin de marquer à nouveau mon territoire. Ma tension sexuel n’est pas retombé pour autant, je lui intime l’ ordre de me raconter dans le détail cette soirée.
Elle avait rdv chez lui. La surprise fut grande pour Alain qui ne s’ attendait pas à ce que ma chère et tendre soit dans cette tenue. Pouvant difficilement se contenir il s’est litterallement jeté sur elle, la couvrant de baisers, ses mains explorant les reliefs et les atouts de ma compagne. Il la coucha sur le canapé, elle qui était dans le même état d’excitation n’empêcha pas ses attouchements et comme moi à l’ instant il la retroussa, lui écarta son string et après avoir baissé pantalon et slip, vint sur elle, son sexe droit et fier pénétra le corps de ma femme qui s’ offrait à un autre homme pour la première fois. Ils eurent une jouissance intense et brève et il se libéra au fond du ventre de mon amour. Il resta sur elle et en elle quelques minutes, comme si son envie était de la féconder puisqu’ils n’avaient pas dans leurs empressements, juger utile de mettre un préservatif. Elle me dit à ce sujet, qu’ elle avait décidé avant d’arriver chez Alain, sachant qu’ elle se donnerait à lui, qu’ elle ferait l’amour sans protection n’ ayant aucune crainte sur l’ hygiène et les garanties de santé de notre ami. Rajoutant, je voulais qu’ il me marque de son empreinte, mes chairs les plus intimes. Pour la marquer pas de doute, elle est bien marquée. Ensuite, ils prirent la route d’un resto sympa du centre ville, ne cherchant pas à cacher leur relation naissante. La tenue de ma femme ne laissa ni les autres convives, ni le personnel des lieux insensible. Le serveur eu droit à toute la panoplie de séduction de ma femme, qui cherchait aussi par ce moyen de mettre Alain à nouveau en appétit. Il eu tout loisir, à chaque fois qu’ il apportait un plat, de voir ses cuisses, que la jupe courte couvrait à peine, la marque des Dim Up et le sillon de sa poitrine que le bustier voilait très légèrement. Il (le serveur) la suivit jusqu’aux toilettes à la fin du repas pour lui donner son numéro de téléphone, pensant qu’ elle était avec son mari. A leur retour chez Alain, le dernier verre comme l’on dit…ils se sont installés dans le salon, ils n’avaient plus à discuter et ils se sont câliner. Alain a commencé par la déshabillé, lui retirant son bustier et sa jupe. Elle était debout face à lui, elle conserva ses bottes, ses bas et son string. Il lui demanda de se tourner afin d’ admirer la plastique de son corps, elle s’ exécuta sur une musique douce et une lumière tamisée puis elle s’ agenouilla devant son amant et entreprit de le mettre à nu, s’attardant sur son torse, elle dégrafa le pantalon qui tomba sur ses chevilles puis fit glisser le boxer qu’ un pieu bandé avait peine à contenir. Lorsqu’il se dressa, elle l’engloutit au fond de sa gorge, sa langue titillait le gland congestionné et ses lèvres aspiraient le sexe en son être. Il ne chercha pas à retarder son plaisir et il déversa sa semence dans la bouche de sa maîtresse. Elle reçut ce nectar poivré au fond de son palais et le consomma avec bonheur. Puis, il rendit la pareille, écartant après l’ avoir à nouveau couché sur son canapé, le string qui cachait à grand-peine le sexe soigné de ma femme. Offerte, les cuisses grandes ouvertes, elle attendait qu’ il fasse glisser sa langue sur cette fleur qui s’ ouvrait à l’ intrus, recueillant la cyprine qui s’en écoulait, s’attardant sur le bourgeon gonflé qui transperçait les lèvres qui le couvrait. Il lui faisait grand bien, s’ arrêtant lorsqu’ il sentait qu’ elle allait exploser sous cette torture sexuelle. Alain est de la bouche de ma femme, très attentifs aux plaisirs de sa partenaire, me serait il fait un reproche, pour l’ instant je m’ en moque ! Elle finit malgré toutes ses attentions, à jouir sous les coups de langue de notre ami, ne retenant pas ses mots. Durant cette lutte, son sexe avait repris une forme olympienne, il la débarrassa de son string et se coucha sur elle, ils se frottèrent corps à corps, son membre glissant contre la vulve de ma femme, lui donnant à chaque passage sur son clitoris, des décharges électriques jusqu’au cerveau. A force de faire ainsi, son sexe finit par se positionner à l’ entrée de ce nid d’ amour et d’ un mouvement lent et continu il investissa le ventre de ma femme pour la seconde fois de la soirée. Sauf, que maintenant il en appréciait la chaleur et la douceur que seul, une femme pleine de désirs peut offrir. Elle me raconta que ce ballet sexuel, l’ emportait dans des ondes jouissives permanentes chaque fois qu’ Alain réinvestissait son utérus. Tous ces efforts, au combien agréable les emportèrent une énième fois au plaisir des sens. Dans un dernier coup de rein, il se cambra au fond de ce ventre et les jets puissants et fournis jaillirent comme une pluie d’ étoiles dans le corps de ma femme, lui déclenchant un orgasme qui se voyait encore dans ses yeux au moment où elle me le racontait. Ils se sont assoupis après cette joute, collés l’ un à l’ autre. quelques temps plus-tard il lui proposa de faire un brin de toilette avant de repartir, elle déclina son offre en lui disant : je veux qu’ il voit que nous avons fait l’ amour, qu’ il sache que je me suis totalement donnée à toi. Ils s’ embrassèrent une dernière fois et la voilà contre moi avec quelques remords, (j’ai l’ impression) me racontant cette nuit, mon sexe est bandé, je la retourne et la pénètre en levrette, repassant dans mon esprit les photos de leur baise, je sent la sève montait dans mon membre, je me retire et éjacule sur ses fesses. Je pense que sa chatte est suffisamment remplie de sperme pour cette nuit. Les journées et nuits qui ont suivies furent pour moi hyper excitante, lui demandant chaque fois de me redire les scènes qu’ elle a vécu.