Évelyne dit à ses amies qu’elles vont passer par les boulevards. Elle est avec Marie-France et Claire, ses deux meilleures amies. Elles vont régulièrement faire du lèche vitrine ensemble. Évelyne a mis un pantalon blanc assez serré. Elle sait que cela lui fait de belles fesses, elle a mis un petit boléro et un petit top. Ainsi, on peut bien voir sa poitrine. Elle porte des escarpins. Si Évelyne veut passer par le boulevard, c’est qu’elle sait qu’Albert s’y trouve.

Albert a fini sa sieste. Il est assis sur le banc du square à la limite du boulevard. Il y a du soleil et le banc est à l’ombre. Il fait bon. Il boit du vin à la bouteille. Le matin, c’est du blanc, l’après-midi du rouge. Il a pu digérer ce que lui a donné Gérard, le chef du restaurant, des queues de lotte aux tagliatelles, un petit délice. Albert regarde les gens passer, majoritairement, ils courent, ils sont pressés, très peu sont en balade. Albert les plaint, ils ne savent pas profiter de la vie. Il aperçoit au loin Évelyne. Il sourit en repensant aux deux soirées. Deux fois qu’il se la fait, elle peut faire la fière avec ses copines. Albert les laisse s’approcher. Elles papotent sans faire attention aux gens.

— Alors, la bourge, en balade. Tu n’as pas trop mal au cul? Je te l’avais dit, j’adore enculer les bourges. Mais la prochaine fois, amène une bouteille de vin et tu seras récompensée.

Les trois filles le regardent étonner. Marie-France demande si elles le connaissent, Claire rit en disant bien sur que non, Évelyne fait un non de la tête. Elle ne peut pas parler. Alors, Marie-France s’approche d’Albert.

— Dis donc, sale clodo, quand est-ce que tu vas arrêter tes délires? Cela fait la deuxième fois que tu nous importunes. Je me plaindrai à la police si tu continues.

— Hé, ne montez pas sur vos grands chevaux et demandez plutôt à celle qui a un pantalon blanc, d’ailleurs cela lui fait un superbe cul, si elle me connaît et si elle dit non, elle ment

Albert regarde Marie-France dans les yeux et continue

— Et toi, quand tu jouis, tu dois beugler comme une vache, enfin si tu as déjà joui parce que ta copine, elle jouit et elle aime ça et en redemande

Albert rit, de son rire gras. Il s’est levé pour parler et Marie-France s’est reculée, incommodée par l’odeur. Marie-France fait demi-tour sans rien dire, elle regarde Évelyne, veut lui poser une question mais se tait. Elle connaît la réponse. Évelyne a les yeux brillants, elle est presque en transe. Évelyne se dit que maintenant ses amies savent qu’elle se fait baiser par Albert, pas seulement baiser, baiser et enculer et cela la fait mouiller.

Elles continuent leur shopping, s’arrêtent devant une boutique de lingerie fine. Claire regarde l’heure à sa montre, elle doit s’en aller, elle a un rendez-vous. Évelyne et Marie-France se retrouvent toutes les deux, elles rentrent dans le magasin. Évelyne regarde avec attention les sous-vêtements, choisit un string et un soutien-gorge à balconnet. Marie-France choisit un corset en dentelle et dit à Évelyne que son mari aime la voir ainsi. Évelyne sourit, elle sait que Marie-France ment. Son mari ne s’occupe pas d’elle et c’est Marie-France qui aime être en corset. Marie-France essaye le corset, elle appelle Évelyne pour qu’elle dise ce qu’elle en pense. Évelyne regarde son amie, elle a un joli corps et le corset lui va très bien, il remonte bien sa poitrine et fait ressortir son cul. Évelyne lui fait remarquer que son sexe épilé convient bien à sa tenue. Marie-France hoche la tête et lui dit qu’elle aime ne pas avoir de poil et qu’elle se regarde souvent dans la glace.

— Moi, je les taille très fin, mais je garde quelques poils, répond Évelyne

— Parce que le clodo n’aime pas les pilosités trop abondantes, questionne Marie-France

— Bon, tu le prends ce corset?

Évelyne n’a pas répondu, elle est encore excitée et elle a envie d’aller voir Albert.

L’après-midi s’écoule entre emplettes et poses thé. Elles se quittent en fin de journée. Évelyne rejoint son appartement luxueux. Elle prend le soutien-gorge, le string et se prépare dans la salle de bain. Elle met une robe qui se boutonne devant et ses sous-vêtements qu’elle vient d’acheter, un peu de maquillage et regarde dans la cave à vin. Elle prend une bouteille au hasard, un Saint-émilion. Voilà, elle est prête. Comme à chaque fois, ses jambes tremblent et son ventre gargouille. Elle ferme sa porte, il est 21H, il ne fait pas encore nuit. Quand elle sort de l’immeuble, Marie-France est là. Évelyne s’arrête, surprise. Marie-France la regarde :

— Il faut que je vienne avec toi

— Tu sais, il est brusque

— Je m’en doute mais je n’arrête pas de penser à ce qu’il m’a dit

Marie-France regarde son amie, hésite et puis se lance

— Que je devais beugler comme une vache

— Il est sale, il pue, il est brusque, il te traite de tous les noms, mais il sait donner du plaisir aux femmes, et moi, j’aime cela. Allez, suis-moi, je t’emmène voir Albert

Elles partent, arrivent au niveau des quais. Elles descendent. Elles n’ont rien dit. Évelyne montre ou Albert est. Elles s’approchent.

Albert les voit arriver toutes les deux

— Tiens, voilà deux bourges. J’espère que vous n’êtes pas venues les mains vides. Mais c’est qu’elles sont toutes mignonnettes dans leurs robes.

En regardant Évelyne

– Ha, là, tu le reconnais Albert, tu fais moins la fière.

Albert s’est approché d’Évelyne, elle peut sentir son haleine. La main d’Albert se met sur ses fesses.

— Alors comme cela, cet après midi , on a mis un beau pantalon pour bien faire voir son cul de pute.

Marie-France est un peu derrière et regarde Évelyne. Elle voit la main qui remonte la robe, la main qui s’insinue entre les fesses, elle voit Évelyne se mettre à quatre pattes, la robe déboutonnée, les seins d’Évelyne sortent du soutien-gorge. Ils pendent. Elle voit le cul d’Évelyne qui bouge. Albert sort sa queue. Il regarde Marie-France, l’appelle. Presque malgré elle, Marie-France approche.

— Tu es là pourquoi, pour voir l’autre pute se faire baiser? Et bien regarde bien et mets toi tout prêt pour bien mater

Albert se met derrière et enfile sa queue dans la chatte trempée d’Évelyne. Évelyne pousse de petits cris et jouit très vite. La main de Marie-France est au niveau de son pubis. C’est la première fois qu’elle voit une fille jouir. Albert dit à Marie-France que si elle veut en profiter c’est maintenant. Marie-France enlève sa robe, se retrouve en corset, se met à quatre pattes à la place d’Évelyne. Albert ne se fait pas prier, et enfourne sa bite dans la chatte. Marie-France pousse un soupir. La queue d’Albert est grosse, elle n’a pas l’habitude, il la besogne, elle sent le désir prendre possession d’elle. Marie-France commence à gémir, et puis le plaisir monte de plus en plus, et elle se met à crier, crier de plaisir. Alors qu’elle a fini de jouir, Albert se vide en elle. Quand elle relève la tête, elle voit Évelyne, nue, qui la regarde tout en se touchant. Elle voit le fleuve avec un bateau. Les quatre passagers la regardent. Elle a honte

— Je te l’avais dit que tu beuglais. Albert ne se trompe pas, il connaît les femmes.

Elles se relèvent toutes les deux, à ce moment Albert dit :

— Et vous deux, c’est pas fini, faites un bisou à la bite d’Albert

Elles s’approchent, se mettent à genoux. La bite pend en dehors du pantalon, elle sent très fort. Évelyne lui fait un bisou rapide mais Albert lui attrape la tête et la force à s’approcher, elle a des haut-le-cur, Albert insiste, et Évelyne ouvre la bouche et prend la bite entre ses lèvres pour le sucer. Marie-France s’approche à son tour, Évelyne laisse la bite , et Marie-France la suce à son tour

— Et dites donc, toutes les deux, il va falloir vous entraîner, parce qu’Albert, il aime quand on sait bien le sucer. Alors, il va falloir vous améliorer, les deux bourges. Vous allez revenir quand vous saurez sucer. Cassez vous, les bourges de mes deux et laissez la bouteille.

Elles prennent leurs affaires, se rhabillent rapidement et s’en retournent.

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