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le vétérinaire – Chapitre 1




Il flotte un parfum de lavande sur la garrigue. Le soleil tape comme souvent chez moi. Dès le matin en ouvrant les volets je savais quil allait faire chaud. Les cigales me lont confirmé un moment après. La nuit déjà chaude ma obligé à dormir nue. Ce matin, avant daller préparer le petit déjeuner, jai regardé mon mari: il bandait comme souvent. Je lai laissé à ses rêves érotiques quil me racontera tout à lheure dans la cuisine.

Je suis dans la cuisine préparant le café et le lait. Yvon arrive, vient membrasser sur la bouche. Il bande encore. Je sais déjà que nous allons nous caresser juste après avoir bu. Ça ne manque pas, dès sa dernière goutte de café au lait avalée, il mattire sur ses genoux. Il sais, le salaud, que jadore quand il me pelote, quil passe sa main entre mes jambes pour attraper mon bouton. Je me laisse faire pendant quil me caresse lentement, je jouis toujours vite le matin. Je ne loublie jamais, je commence par prendre son sexe à pleine main, comme il aime. Je fais les mouvements quil aime aussi: je le branle comme il ma appris, bien mieux que ce que je savais faire avant lui. Je marrange pour venir les jambes écartées sur lui, mon dos contre lui: je peux me faire mettre par derrière pendant quil caresse mes seins et que je passe deux doigts sur ma chatte. Comme presque à chaque fois nous jouissons ensemble.

Drôle de journée dété qui commence: il a rendez vous en ville. Il savait pourtant que nous attendions la visite dun vétérinaire pour voir la chienne malade. Je me débrouillerais sans lui, pourtant jaurai aimé quil soit là, cest sa chienne après tout.

Yvon prend sa douche pendant que je me débarbouille: il bande encore. Ca lui passera avec le jet de la douche: il se branle je nai pas à intervenir. Quand je suis là il lui arrive de me demander de le soulager, aujourdhui il ma oublié. Tant pis.

Il est sur le point de partir quand dans la chambre, jai envie de jouir encore. Je ne peux pas le retenir: il va être en retard. Je vais me contenter seule comme souvent: jaime bien me masturber depuis toujours. Je caresse mes seins avant de toucher ma chatte déjà ou encore mouillée. Quand je mets deux doigts dans mon puit, je sens encore son sperme: il a bien jouit tout à lheure. Il est parti quand jai un bon orgasme.

Je reste nue pour les travaux dans la maison, joublie lheure qui passe. Joublie le véto. Lui noublie pas, il frappe à la porte et jallais sans men faire, lui ouvrir la porte. Je prends juste le temps de passer un peignoir.

— Entrez, cest pour la chienne, Diane qui est malade.

— Je sais, votre mari me la dit en téléphonant. Où est la bête?

— Derrière, je vous conduit.

Me voila comme une infirmière pour cette bête que je naime pas tellement. Il lexamine sommairement pour conclure par

— Il faut que je lemmène au cabinet pour bien lexaminer, elle ne me semble pas aller très bien.

Il transporte lanimal dans sa voiture. Je pense quil va partir. Jaimerais quil parte. Hélas, il sincruste il me semble. Je lui offre un café pour la peine. Le temps de le servir il sinstalle dans le séjour. Quand je reviens le peignoir souvre, offrant à sa vue tout mon corps. Sur le moment je suis gênée. Et une boule de chaleur envahi mon bas ventre. Je pense à la vitesse dun éclair: et alors, il va me faire quoi, me baiser peut-être. Jaime bien ça, et alors;

Il me regarde étonné: ce nest pas tous les jours quune femme sexpose à lui. Il fait celui qui ne voit rien. Ou il est impoli ou cest un Tartuffe. Je massieds en face de lui, il ne peut plus ne pas me voir. Je croise mes jambes bien haut. Cette fois il examine mon trésor, celui entre mes jambes. Je regarde sa braguette: il commence à bander. Tant mieux, je lexcite encore en me touchant carrément le clitoris.

— Je vous plais ainsi?

— Ououi. Beaucoup.

— Pourquoi vous ne venez pas vers moi.

— Jai peur de faire une bêtise.

Jen ai assez, il a peur de me caresser, de me baiser. Le mufle. Je me lève pour aller lui présenter ma chatte sous son nez. Cette fois enfin il réagit; sa langue vient sur mon bouton. Jaccentue mon mouvement. Cette fois cest toute ma féminité quil peut lécher. Je suis en chaleur, il faut quil me baise maintenant. Je prend sa tête dans mes mains, je la soulève pour quil vienne membrasser.

Nos bouches sembrassent comme si nous navions jamais embrassé une autre personne. Nos langues sont occupées entre elles. Il fait tomber la guenille que je porte: je suis nue, maintenant il peut faire de moi ce quil veut. Je préférerais quil me baise: Yvon ma déjà enculée ce matin. Je tripote sa queue à travers le pantalon jusquau moment où il est nu. Belle bite bien dressée; il a envie de moi. Pour une femme cest toujours agréable de se savoir désirée. Il est debout contre moi, je sens sa bite contre mon ventre: je la voudrais dedans.

Je me lève sur la pointe des pieds pour être à sa hauteur. Je prends sa pine pour la mettre là où elle doit être. Il se laisse faire sans bouger. La seule action est quil me caresse les fesses. Cest bon, pas suffisant, je pose une main sur son postérieur et le pousse vers moi. Il comprend enfin quil faut me baiser.

Le voilà enfin parti pour la grande cavalcade. Il baise bien ce type. Jai peur quil jouisse trop vite. Jessaie douvrir ma chatte au maximum pour retarder son éjaculation. Jai de la chance, je jouis deux fois avant lui qui bande toujours. Je me souviens que mon mari ne doit pas tarder à entrer. Tant pis, il ma souvent dit quil aimerait me voir baiser un autre. Quil arrive vite pour voir et quil participe aussi. Je suis baissée devant la queue du véto quand enfin Yvon entre. Je le crois surpris de me voir sucer un autre homme. Je suis surtout surprise de sa réaction; il est nu en un rien de temps. Il bande comme un âne, pose sa bite sur mon épaule: sil pouvait il la mettrait entre mes seins. Jarrête la fellation, j’entraine et le véto et mon mari dans la chambre. Je connais vaguement la suite: je suis nue avec deux hommes nus également dans une chambre.

Cest Yvon qui prend la situation en main. Il membrasse les seins, me caresse partout, suivit de peu par mon amant. Je me trouve avec deux paires de mains qui se promènent sur mon corps: jai la chatte trempée: il me tarde quon me mette les queue dans le ventre; je les voudrais ensemble. Le dieu des amours écoute certainement. Mon mari me pousse sur le lit, il donne ma chatte au véto pour quil me suce. Encore un bon orgasme à venir. Les deux hommes se branlent ensemble. Je ne savais pas quYvon aimait se faire astiquer le queue par un autre. Heureusement pur moi quil ne jouissent pas.

Enfin le véto se couche, je vais sur lui, jai lhabitude avec mon mari, jaime baiser ainsi. Jai la bite au fond du vagin, je commence les mouvements quand mon mari se pose sur mon cul. Je reconnaîtrais sa bite parmi des milliers dautre tellement elle est spéciale dans mon cul. La sentir croiser lautre à travers mes fines parois mexcite tellement que je jouis trois ou quatre fois. Je ne peux connaître leur plaisir que pare ce quils disent: je suis une pute, une salope qui aime se faire mettre, etc., etc. Cest vrai tout ça, jaime me faire mettre, je suis salope, je ne suis pas une pute, enfin pas encore.

Et la chienne dans tout ça, elle est guérie. Quand le véto est revenu nous avons encore baisé en trio. Meilleur que la première fois.

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