Je m’appelle Vincent, je vais vous raconter l’histoire qui m’est arrivé il y a 1 an. J’avais 20 ans tout comme ma copine, nous nous connaissions depuis le lycée, en seconde nous étions dans la même classe et ça avait été le coup de foudre. Depuis nous ne nous séparions plus. Cependant j’avais attendu longtemps avant de la présenter à mes parents, en effet ce n’est que vers mes 19 ans et demie que je leur ai présenté Marion. Pour mieux poser le décor je vais nous décrire quelque peu, je mesure 1m77, pèse 62kg, les yeux marron et les cheveux brun, Marion mesure 1m73, pèse 53kg, les yeux marron et les cheveux brun également, pour ceux que ça intéresse mon pénis mesure 16cm, et Marion fait un jolie 85c. Je fais des études d’histoire quant à Marion elle est dans le tourisme. A l’époque, j’habitais encore chez mes parents, et après avoir présenté Marion à mes parents elle est venue également habiter chez eux car son école comme la mienne étaient tout près. Le mois de juillet était arrivé et nous avions décidé de partir, mes parents, Marion et moi dans le Sud de la France pour prendre quelques vacances et pour présenter Marion à mes grands-parents en vue du grand projet que nous avions Marion et moi ( un mariage pour nos 23 ans ).
Après les 9h de routes ( nous habitons dans le nord-ouest de la France ) sous le soleil et dans une voiture chargée à ras bord, nous étions enfin arrivés chez mes grands-parents suivis de près par mes parents, nous avions en effet décidé de partir avec 2 voitures séparées pour plus de confort durant le voyage. L’accueil de mes grands-parents fut chaleureux et ils furent heureux que je leur présente ma copine. Ils nous montrèrent nos chambres et nous ont laissé le temps de nous installer, puis nous nous mîmes rapidement tous à table. Les discussions allaient bon train entre les interrogations sur Marion et le ressassement de souvenir de mes parents et grands-parents. Nous étions le dimanche soir et nous avons donc regardé le film qui passait sur la première chaîne, puis exténué par la route que nous avions parcourue durant la journée nous décidâmes d’aller nous coucher.
Le lendemain matin nous nous sommes réveillés en douceur vers 9h mais le soleil était déjà bien haut dans le ciel. Nous avons pris le petit déjeuner en famille et avons décidé du programme de la journée, ce serait visite historique aujourd’hui, entre visite de château, musée et promenade dans les plaines et montagnes du Languedoc, avec en prime un pique-nique. La journée fut agréable avec de franche rigolade entre tous les membres de la famille, Marion c’était très bien adapté à ma famille et je l’en remerciais. Nous sommes rentrés vers les 17h pour préparer le dîner et à 19h tout le monde était à table, le repas fini vers 20h et comme il n’y avait rien d’intéressant à la télé pour les jeunes que nous étions Marion et moi, nous avons décidé d’aller nous promener tous les deux dans la petite ville. Le temps était agréable en cette fin de soirée, et les rues étaient presque déserte. Nous nous sommes attardés sur la terrasse d’un café pour sirop une ou deux boissons plus ou moins alcoolisés, puis vers 23h nous avons pris la route du retour à la maison en passant par des ruelles que nous n’avions pas pris à l’aller. J’avançais tranquillement, Marion à mes côtés. L’heure étant un peu tardive, je décidai d’accélérer un peu lorsque je me rendis compte que Marion s’était arrêté devant la vitrine d’un magasin. Je connaissais bien cette vitrine pour m’y être moi-même arrêté de nombreuses fois étant enfant. C’était celle d’un sex-shop comme il y en a beaucoup d’autres dans toute la France et qui n’avait rien d’anormale. Ce qui n’était pas normal, en revanche, c’était que Marion s’était arrêté pour regarder cette vitrine, elle qui d’habitude est si sage dans nos ébats. Je toussota pour la faire réagir, elle tourna alors la tête vers moi et me rejoignis sans dire un mot. Nous sommes rentrés sans rien nous dire, et sommes allés nous couchés. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil, je ne sais pas si s’était à cause de la chaleur de ce mois de juillet ou parce que je me demandais ce qui étais passé par la tête de Marion pendant qu’elle rêvassait devant le sex-shop. Je me décidai à lui en parler car je sentais bien qu’elle non plus n’arrivait pas à dormir.
-Chéri ? Tu dors ?
-Non, je n’arrive pas à trouver le sommeil.
-Dis-moi à quoi pensais-tu tout à l’heure devant le magasin ?
-Quel magasin ?
-Le.euh.le sex-shop.
-Ah.euh pas grand chose en fait, je me demandai si on ne ferait pas mieux de mettre un peu de piment dans notre vie sexuelle.
-Je vois, tu sais j’y ai réfléchi et peut-être que si on se parlait de nos fantasmes ça irait mieux après.
-Oui, je pense aussi. Jusqu’à présent on a toujours vécu ensemble sans problème, je ne dis pas qu’il y en a, mais si nos ébats étaient un peu plus épicés je pense qu’on pourrait vivre véritablement notre amour.
-Ma chérie, dis-moi ce que t’aimerai, je ne veux que ton bonheur.
-Ma foi, j’ai bien envie de réaliser quelques fantasmes mais j’ai aussi peur que notre couple en subisse les conséquences.
-Marion, tu es la seule maîtresse de ton destin, sache que quoi que tu fasse je l’approuverai parce que je t’aime et que j’ai confiance en toi. Si tu as besoin d’un homme en plus pour te sentir épanouie et bien je serai d’accord.
-Vincent, tu es formidable, je te remercie pour tout, tu sais il n’y a pas beaucoup d’homme qui ferait ça pour leur femme.
-Alors c’est bien ce que tu veux ? dis-moi tu as déjà une idée particulière sur cet homme ?
-Non pas vraiment, mais un de mes fantasmes serait de le faire avec une personne plus âgée que moi.
-De combien plus âgé ? Quelqu’un de 40ans, de 50ans, de 60ans ?
-De 50ans ce serait parfait, mais j’aimerai que ce soit toi qui le trouve.
-D’accord, je me débrouillerai.
Là dessus, nous avons fait l’amour pendant un bon moment, et avant de m’endormir je me demandais qui pourrait faire l’affaire parmi les personnes que je connaissais.
Comme le matin précédent nous nous sommes levés vers les 9h, pris le petit déjeuner et décidé du programme de la journée. Cette fois se serait VTT et piscine. Nous sommes donc partis mes parents, Marion et moi, laissant mes grands-parents se reposer un peu. Durant la ballade à vélo, je ne cessais de penser à la conversation de la veille, et continuai de me demander qui pourrait faire l’affaire pour que Marion réalise son fantasme et soit heureuse, pour que je puisse moi aussi être heureux. La matinée passa vite, nous avions de nouveau emmener un pique-nique et nous sommes repartis assez vite. Nous sommes vite rentrés à la maison pour prendre nos maillots de bain et allés nous baigner à la piscine municipale. Mes parents et Marion se baignaient, moi je n’avais pas la tête à ça. Je préférai observer les personnes présentes pour voir si l’une d’entre elle pouvait faire l’affaire. Je voyais bien les jeunots de 17 ans observés Marion mais ce n’était pas ce que nous voulions, il y avait aussi les papys de 70ans mais c’était aussi trop vieux. Je me disais que ce ne serait pas facile de trouver quelqu’un pour la satisfaire. Je continuai d’observer si quelqu’un d’autre matait Marion lorsque je vis un homme de dos, la cinquantaine, près de Marion en train de la regarder. Enfin je tenais le bon, me dis-je. Mais je reçus un choc lorsque l’homme se retourna. Je n’avais pas remarqué qu’il s’agissait de Paul, mon père. Je voulus alors me lever et lui casser la figure pour lui faire comprendre qu’il n’avait pas à mater sa belle-fille comme sa, mais je me retins en me disant que j’avais peut-être la solution à mon problème. Je connaissais son penchant pour les jeunes et jolies filles même si je savais qu’il n’avait jamais franchi le pas par respect pour ma mère. De plus, il avait vraiment intéressé par Marion, il serait donc d’accord si Marion tentait quelque chose avec lui. Marion quant à elle avait l’air de bien s’entendre avec lui et c’était elle qui m’avait demandé de lui choisir un homme d’environ 50ans ce qui était exactement l’âge de mon père. Enfin cela resterait en famille, même s’il est vrai que ça pourrait générer quelques tensions. J’avais enfin la solution à mon problème, je savais que mon père saurait la satisfaire et je me décidai donc à en parler à Marion le soir même. Je rejoignis donc Marion dans l’eau pour enfin m’amuser.
Nous sommes sortis de la piscine et sommes vite rentrés manger chez mes grands-parents. J’étais pressés de révéler à Marion l’identité de son futur amant. Après le repas nous sommes directement allés nous coucher sous prétexte que l’on était fatigué. Dans le lit j’entamais la discussion.
-Chéri, je crois avoir trouver qui pourra te combler.
-Ah oui ?
-Oui, mais avant es-tu sur de toi ?
-Oui.
-Es-tu sur que c’est bien un homme qui à la cinquantaine ?
-Oui.
-N’importe quel homme de 50ans ?
-Oui.
-Bon alors je vais te le dire, mais avant je tien à te dire que ce n’est qu’une proposition.
-D’accord, vas-y.
-Bon, j’avais pensé à.mon père.
-Ah je comprends mieux ton embarras mais ça ne me choque pas du tout, au contraire et j’avais d’ailleurs remarqué comment il m’observait à la piscine.
-Et ça te plaisait ?
-Oui, j’aimais bien, c’était agréable.
-Tu sais maintenant qu’on en parle je me souviens de certaines fois où il te regardait un peu trop fortement à la maison.
-Bon et bien maintenant que l’on est d’accord sur l’individu, il va falloir lui en parler.
-Tu sais j’ai une meilleure idée, tu vas le séduire sans rien lui dire, et moi je vous observerai sans qu’il me voie.
-Mais comment comptes-tu t’y prendre ? Et pour ta mère comment vas-tu l’écarter de lui ?
-J’ai ma petite idée là dessus. Demain nous irons tous les quatre nous promenés dans les gorges, on trouvera un endroit où s’installer, et je demanderai à ma mère de me suivre plus loin pour une quelconque raison, puis je lui dirai de m’attendre et je retournerai vous voir sous prétexte d’avoir oublié quelque chose, je viendrai prendre l’objet en question et ferait semblant de repartir, tu pourras alors commencer ton jeu de séduction lorsque je serai hors de vue. Et le tour sera joué.
-D’accord vivement demain.
Sur ce nous avons fait l’amour comme des fous pendant une bonne partie de la nuit. Nous nous sommes cette fois réveillés vers 10h du fait de la nuit que nous avions passé. Nous avons proposé à mes parents de passer l’après midi a se baigner dans les gorges des montagnes environnantes et ils acceptèrent avec joie. Nous mangeâmes donc le midi chez mes grands-parents et sommes partis en voitures vers 14h. A 14h30 nous étions arrivés, nous sommes directement descendus avec nos affaires le long des gorges à la recherche d’un endroit calme. Nous avions de la chance, nous n’avons en effet trouvé personne qui pourrait nous déranger, enfin quand je dis coup de chance c’est surtout parce que je connaissais bien et que je savais où il n’y aurait personne. Nous avons donc posé nos affaires dans un endroit reculé, assez loin de la voiture. Il y avait des rochers plats pour s’allonger et un petit bassin au soleil ce qui réchauffait quelque peu l’eau. Nous étendîmes donc nos serviettes et nous sommes mit tous en maillot de bains. Marion était vraiment magnifique dans son maillot deux pièces un peu trop petit ce qui faisait ressortir son joli 85c. Nous entrâmes tous dans l’eau fraîche il faut le dire mais pur également. Nous faisions des brasses pour nous réchauffer et nous nous éclaboussions ce qui donna un fou rire à tout le monde. Puis je me rappela ma mission, écarté ma mère de mon père le plus longtemps possible. Ma connaissance du lieu m’aida une fois de plus, en effet je savais ma mère fan de plantes exceptionnelles et je savais où en trouver, il y en avait de magnifique plus loin dans les gorges. Je demandai donc à ma mère si elle voulait que je lui montre ce coin, elle accepta et demanda à mon père de venir aussi mais Paul refusa, il n’était pas un adepte de ces choses là, Marion refusa également, non pas qu’elle n’aimait pas les fleurs mais parce qu’elle avait deviné où je souhaitai en venir. Je partis donc suivis de ma mère en suivant le cour d’eau qui descendait, je savais que l’endroit que je cherchais se trouvait assez loin et au bout d’un bon quart d’heure de marche je m’arrêtais et dis à ma mère que je devais retourner à la voiture chercher un sac plastique pour ramasser les fleurs, elle acquiesça et voulut me suivre je lui indiquais cependant que ce n’étais pas la peine, que j’irai seul me dépêchant autant que possible et qu’il fallait qu’elle continue de marcher pendant environ un quart d’heure pour arriver là où elle trouverai les fleurs, elle reconnaîtrai aussitôt l’endroit étant une grande spécialiste des fleurs exceptionnelles. Je repartis donc en arrière non sans avoir vérifier qu’elle continuai bien le chemin. Je courus pour arriver à notre point de départ et alla prendre un sac plastique que j’avais laissé dans le sac de Marion tout en me faisant bien voir par Paul et Marion. J e fis alors semblant de repartir et alla me poster dans un endroit confortable où je pourrai profiter du spectacle sans être vue et où je pourrai surveiller si ma mère n’arrivait pas.
Je me suis donc installé confortablement derrière un rocher et ai commencé à regarder la scène. Marion était en maillot de bain tout comme mon père, ils étaient tous les deux en train de se baigner et ils commençaient gentiment à se chamailler comme des enfants en s’éclaboussant. Petit à petit leur corps se rapprochaient jusqu’à se frôler. J’imaginais le frôlement de leur corps dans l’eau, une main passant sur une fesse, un sein. Tout cela se faisait en rigolant et ils se dévoraient des yeux, Marion sachant ce qui allait arriver et Paul par simple envie. Puis ils sortirent de l’eau et se séchèrent, ils s’étendirent sur leurs serviettes l’un à côté de l’autre. Le soleil était au plus et il tapait fort, je vis alors Marion fouiller dans son sac et en sortirent un pot de crème solaire. Elle proposa à Paul de lui en appliquer sur le dos, il acquiesça et elle se mit à califourchon sur lui. Mon cour se pinça en me disant que pour la première depuis notre rencontre Marion allait toucher un autre homme, de plus je connaissais les qualités de masseuse de Marion et également les effets qu’ils procuraient. Elle commença par enduire délicatement le dos de Paul de crème et commença son massage, ce dernier devenait de plus en plus sensuel à mesure que les secondes passaient. Je la voyais passer et repasser ses mains sur les muscles du dos de Paul. Plus ça allait plus elle se couchait sur lui, laissant le bout de ses seins toucher le dos de Paul. Je sentais mon désir grimper le long de mon sexe, mais je devinais aussi le plaisir que devait prendre Paul a se faire masser de la sorte, de même que Marion, qui j’imagine, était en train de mouiller légèrement comme à son habitude dans les situations un peu chaude. Son massage sensuel dura bien 5 minutes le temps de faire monter la pression puis elle lui fit comprendre que c’était à son tour de lui mettre de la crème sur le dos et de la masser aussi. Elle s’allongea donc à côté de lui sur sa serviette, une fois allongé elle défie son soutien gorge pour ne pas gêner Paul, tout en faisant attention à ne pas dévoiler ses atouts. Ce fut donc autour de Paul de se mettre à califourchon sur Marion, de nouveau mon cour se serra en voyant un autre homme que moi ainsi installer au-dessus de Marion mais je n’avais rien à dire, je l’avais décidé, je l’avais voulue. Il commença lui aussi à lui étaler la crème sur le dos et à lui faire un massage. Je voyais Marion se laisser aller de plus en plus à ses caresses. Il l’a massai sensuellement, en appuyant bien sur les zones érogènes. Ses mains passaient et repassaient sur son dos et se rapprochaient des fesses de Marion, ses mains descendaient sur les côtés à la naissance des seins de Marion qui appréciait ses caresses.
Alors sans rien dire, Marion s’est relevé sur son coude, elle s’est retournée vers Paul sans cacher sa poitrine et elle l’a embrassée. J’étais excité au maximum, ça allait enfin commencer. Paul lui a rendu son baiser, en continuant de la masser, puis il lui a passé la main derrière la nuque, obligeant Marion à se retourner complètement. Il s’est mis à lui caresser le ventre et les seins, Marion laissa échapper un râle de plaisir. Tout en continuant de l’embrasser Marion sortit le sexe de Paul de son maillot de bain et commença à lui caresser doucement en lui imprégnant un mouvement de va et vient qui fit un rapide effet sur Paul, son sexe se raidit et je pus alors constater que son sexe était bien plus gros que le mien ( rappel le mien mesure 16cm ), celui là devait bien mesurer dans les 21cm. Après quelques minutes de ces caresses mutuelles, Paul se leva, son sexe tendu vers le visage de Marion qui se décida alors à le prendre en bouche. Paul y prenait vraiment plaisir, les yeux fermer il empoignait les cheveux de Marion et lui imprégnait un mouvement de va et vient. Elle aussi y prenait plaisir et elle y allait vraiment avec envie et appétit, moi qui la croyais sage je la découvrais de plus en plus coquine au fil des minutes. Elle le pompa pendant un bon moment, puis elle se rallongea offerte à Paul, ce dernier finit d’enlever son maillot rester à ses pieds puis s’agenouilla devant elle et lui enleva son maillot de bain. Il se mit alors à la lécher, au fur et à mesure de ce traitement de faveur, Marion écartait de plus en plus ses cuisses et on pouvait voir sur son visage le plaisir qu’elle prenait, c’était vraiment merveilleux elle avait vraiment l’air heureuse. Paul s’y prenait vraiment bien avec elle, on voyait qu’il avait de l’expérience en la matière, il donna ainsi un orgasme à Marion rien qu’en la léchant, alors que je n’y arrivais pas tous le temps en la pénétrant.
Après cet exercice de style, Paul remonta sur elle en lui léchant et embrassant différentes parties du corps, il s’arrêta un moment sur la poitrine de Marion ce qui la fit de nouveau chavirer. Ils étaient allonger l’un sur l’autre, s’embrassants langoureusement, puis ils s’arrêtèrent, se regardant dans les yeux, se questionnant du regard, Marion lui fit un signe de tête lui confirmant qu’il pouvait aller plus loin. Il a alors dirigé son sexe vers celui de Marion, sans préservatif, et il l’a pénétré délicatement. Ils sont restés quelques instants dans cette position sans bouger, se regardant seulement droit dans les yeux, profitant de ce moment magique. Puis il a commencé ses va et vient dans son vagin, d’abord doucement, puis l’excitation montant il accéléra la cadence. Marion gémissait sous ses coups, elle s’accrochait à lui, l’encourageant à aller de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je ne la reconnaissais pas. Elle lançait de petits sons plaintifs, embrassant Paul à pleine bouche, ses bras serrant son dos, ses cuisses relevées et ses jambes serrées sur ses reins. Ils étaient tous les deux au bord de l’orgasme, ils décidèrent cependant de changer de position histoire de faire durer le plaisir et pour reprendre leurs souffles. Paul s’allongea à son tour et ce fut Marion qui cette fois s’empala sur lui, lâchant un râle de plaisir au moment de la pénétration. Elle était à genou sur lui, les jambes le long du corps de Paul, ses mains caressaient son torse, tandis que Paul lui malaxait les seins. Cette fois c’était elle qui dirigeai les ébats et elle imprimait la cadence. Elle jouit rapidement dans cette position, s’allongeant sur Paul pour l’embrasser et se laissant aller contre lui, au bord de l’inconscience tellement elle prenait de plaisir. Ils changèrent de nouveau de position, Marion se mit à quatre pattes et Paul s’installa derrière elle pour la pénétrer de nouveau. Cette fois il n’y alla pas en douceur et commença directement un rapide mouvement d’avant en arrière. Il lui caressait le dos et les fesses, la faisant se cambrer un maximum dans une position très sexy, il lui tirait les cheveux en arrière lui faisant relever la tête et elle pouvait ainsi l regarder droit dans les yeux pendant qu’il la prenait fermement. Elle grognait de plaisir, se mordant les lèvres pour ne pas hurler. Elle tourna alors la tête vers lui, lui murmura quelque chose et il lui répondit d’un signe de tête affirmatif. Il se retira d’elle et alors je compris, je voulais lui hurler de ne pas le faire, qu’elle ne pouvait pas le laisser lui faire ce qu’elle m’avait toujours refusé mais je me retins, j’étais frustré mais je savais que c’était moi qui lui avais donné la permission de faire ce qu’elle voulait et je savais qu’en mon fort intérieur cela m’excitait. Avec ses mains il écarta le petit trou de Marion, l’humidifia un peu, puis entra progressivement en elle, lâchant un long râle de plaisir. L’anus de Marion se fit rapidement au sexe de Paul, il pus ainsi accélérer ses va et vient. Marion gémissait de nouveau de plaisir avec cette nouvelle expérience, elle cherchait à s’accrocher à ce qu’elle pouvait tellement elle prenait de plaisir. Paul la culbutait violemment mais alternait aussi avec des moments plus sensuels où il embrassait le dos et le cou de Marion. La tension était à son comble et ils voulaient jouir en même temps pour partager au maximum ce moment de bonheur. Ils se remirent donc dans la position du missionnaire, Paul au-dessus de Marion, la dominant complètement. Le vagin de Marion se contractant autour du sexe de mon père pendant qu’il lui assénait ses coups de reins. Ils continuaient à s’embrasser, bougeant à l’unissons, et c’est également à l’unissons qu’ils crièrent de plaisir lorsque Paul explosa en elle, déversant sa semence dans son ventre. Il retomba sur elle, l’embrassant de nouveau. Il se retira d’elle, et elle le prit dans ses bras, comme une mère prend son enfant dans ses bras pour le rassurer. Ils restèrent un moment comme ça, s’observants, s’embrassants et se murmurants des mots que j’imaginais doux. Puis ils se levèrent, se rhabillèrent et partîmes se baigner la main dans la main.
Je savais que la scène était finie, ils allaient se baigner en se chamaillant un peu et en se frôlant certaines parties du corps mais ils savaient que ma mère et moi n’allions pas tarder à revenir, et ils se tiendraient donc sage, se lançant simplement des regards coquins. Je me leva donc discrètement à mon tour et je remarquai que mon maillot était mouillé, j’avais éjaculé sans même le remarquer et sans même me caresser, preuve que la tension était à son comble. Je décidai donc de me plonger dans l’eau un peu plus loin, puis de courir rattraper ma mère. Il s’était passé un bon moment depuis que je l’avais quitté et je la retrouvai donc sur le chemin en train de revenir vers la voiture, je me dis alors que Marion et Paul avaient bien fait de s’arrêter car ils auraient pu être surpris. Je lui dis que je m’étais un peu égaré et que j’avais mis pas mal de temps à retrouver mon chemin. Nous sommes donc retourner voir mon père et Marion, elle somnolait sur sa serviette tandis que Paul continuait de se baigner dans l’eau. Ma mère nous indiqua qu’il fallait rentrer au plus tôt si on voulait qu’il nous reste quelque chose à manger au dîner. Nous sommes donc retournés à la voiture après nous être tous rhabillés. Sur le trajet, mon père qui conduisait et ma mère assise devant discutait sur les fleurs qu’elle avait trouvé et ce qu’elle allait en faire. Marion et moi étions installés derrière et je lui murmurai tout bas :
-Alors ça ta plus ?
-Oui, et toi tu as aimé ?
-Oui également. Tu me donneras tous les détails ce soir ?
-Oui ne t’inquiète pas, et je te raconterai tous ce qu’on fera lui et moi désormais.
-Ah bon, vous avez prévu de remettre ça ?
-Oui. J’espère que ça ne te gène pas mais j’ai pris tellement de plaisir que j’aimerais recommencer occasionnellement.
-D’accord mais tu me raconteras tous, et j’essaierai de me cacher au mieux pour assister aux scènes.
Sur ce nous sommes rentrés tranquillement chez mes grands-parents. La suite des vacances fut plus calme n’ayant pas trouver d’autres excuses pour laisser Marion et mon père seuls ensembles, et dix jours après la scène torride nous sommes rentrés chez nous. Mes parents reprenaient le travail deux jours après le retour de vacances, quant à Marion et à moi, nous avions encore le reste des vacances pour nous amuser. Cependant, mon père pris une nouvelle semaine de congé durant le mois d’août ce qui était exceptionnel, en l’apprenant l’appétit sexuel de Marion et le mien indirectement, fut remonté à bloc. Presque tous les jours de cette semaine je me trouvais des excuses pour m’absenter pendant au minimum deux heures si ce n’était pas la journée entière. Le soir quand je rentrai Marion me racontai comment mon père lui avait magnifiquement fait l’amour, l’a faisant gémir de plaisir sur le bord de la piscine, dans la piscine, sur le lit de mes parents, dans notre lit conjugal. Je savourais les récits des ébats que je n’avais pas pu observer, mon sexe raide la plupart du temps ne demandait alors qu’à être soulagé, et ces soirs là nous faisions l’amour comme des bêtes. La semaine s’acheva et mon père reprit le boulot avec un air abattu comme s’il laissait beaucoup plus que de simples vacances, ce qui était le cas.
Nous avons continué nos jeux avec Marion qui était devenue beaucoup plus coquines au contact de mon père. Mais la rentrée arriva, et avec elle bon nombre de soucis, je devais me trouver un appartement à 200km de chez moi pour poursuivre mes études, autant dire que je ne reviendrai pas tous les weeks-ends chez moi. Marion, elle, resterait chez mes parents pour continuer également ses études de tourisme. J’avais un pincement au cour à l’idée de la quitter, ça faisait déjà plusieurs mois que l’on habitait ensemble et je m’étais habitué à sa présence, à la voir toujours, j’espérais que ce petit changement ne changerait en rien notre relation. Ainsi nous reprîmes nos études respectives, nous nous téléphonions tous les soirs pour se tenir au courant et j’en profitai pour prendre des nouvelles de mes parents. Je ne rentrai chez eux qu’une fois par mois, le reste du temps je restais dans mon petit appartement à m’occuper comme je pouvais. Mais au fur et à mesure de nos entretiens téléphoniques quotidiens je sentais bien que quelque chose changeait chez Marion, elle était différente, fuyante lorsque je lui disais que je l’aimais où lorsque je lui parlais de mes parents, je lui demandais si tout allait bien et me répondait que oui. Je n’insistais pas. Quels que fut ses soucis j’espérais qu’il ne durerait pas. Lorsque je rentrais le premier week-end du mois, nos rapports étaient moins intenses, elle semblait plus distante avec moi. Je lui demandais si elle avait toujours les mêmes fantasmes et elle me répondit que oui et qu’elle continuait de temps en temps l’aventure entamer durant les vacances. Je compris tout de suite de quoi elle parlait et pourquoi elle était aussi froide avec moi depuis quelques temps. Je lui dis alors de ne pas s’inquiéter, elle pouvait faire ce qu’elle voulait du moment que ça la rendait heureuse car cela me rendait également heureux. Elle me confia alors que les rapports qu’elle avait avec mon père n’étaient jamais protégés et qu’elle ne voulait pas qu’ils le soient, car ça rendait là chose encore plus excitante sachant qu’elle m’obligeait à me protéger. Je ne dis rien, je l’acceptais, je le devais.
Désormais lorsque je repartais pour mes études je savais ce qui risquait de se passer entre Marion et mon père, et cela m’excitais toujours. Durant une semaine, ma mère du quitter la maison pour un voyage avec son travail, je savais que ça allait être la fête tous les soirs à la maison entre Marion et mon père. Les savoirs tous les deux se coucher dans le même lit, dormir ensemble et faire l’amour ensemble sans avoir à se cacher, tandis que moi je restais seul dans mon appartement, cela m’excitais au plus haut point. Je les imaginais, Marion lovée contre lui, gémissant sous ses coups de reins, lui grogner de plaisir à faire l’amour à une si belle et jeune femme, et enfin l’explosion simultanée lorsqu’il déverse en elle un torrent de semence, elle se couche contre lui et lui dit qu’elle l’aime, il n’en faut pas plus pour combler un homme. Après cette semaine d’absence de ma mère, lorsque je rentrai je les voyaient tous les deux plus épanouis, ils étaient plus souvent ensemble, nous délaissant parfois moi et ma mère pendant qu’ils allaient rire dans un coin tous les deux. Ma mère ne remarquait rien, et moi je ne disais rien. Je n’avais presque plus de rapports avec Marion, elle préférait se préserver pour mon père, je devais donc me consoler tout seul, on se parlait moins aussi avec Marion, elle était désormais quasiment en permanence avec mon père durant la journée bien qu’il ne fasse pas l’amour lorsque moi et ma mère étions là, ils allaient seulement se promener ensemble ou faire une activité ensemble. Un vendredi soir que je rentrai pour le week-end je trouvais un mot sur la table, personne n’était dans la maison, ma mère travaillait encore et je me suis dit que Marion et mon père étaient partis se promener. Je pris le papier et lus ce qui étais marqué dessus. Je reconnus la belle écriture de Marion, mais je ne reconnu pas les mots qui étaient écrits, je perdis contact avec la réalité durant un bref moment. Ils étaient bien partis oui, mais pour toujours.
Voici sa lettre :
Vincent, je pars avec Paul, je suis désolée de te le dire comme ça je n’ai pas le courage d’affronter ton regard ni celui de ta mère, Paul non plus. Je l’aime, oui, je l’aime et je m’en suis rendu compte il y a déjà bien longtemps, en revanche depuis que ta mère est partie pour son voyage d’affaire je me suis aperçue que je l’aimais plus que toi. Il m’aime aussi et il me comble de joie. Vincent tu m’as dit que tu seras heureux quand je serai heureuse, et bien je le suis mais pas avec toi. Je suis enceinte de Paul, c’est le plus beau cadeau qu’il pouvait me faire, je sais que tu aurais voulu m’en faire un aussi mais tu n’aurais pas su t’y prendre par la suite. Vincent je te dois tous mon bonheur c’est grâce à toi que j’ai rencontré l’homme de ma vie. Encore une fois je suis désolé si je te fais du mal à toi et à ta mère mais c’est comme ça et tu n’y peux rien. Je pars avec ton père et on ne reviendra jamais. Adieu Vincent.
J’étais complètement abasourdi, ma mère rentra, je lui montra la lettre mais je n’ai rien pus lui expliquer. Désormais elle vit seule dans son chagrin. Moi aussi je suis seul, mais je ne suis pas complètement triste, j’ai perdu la femme de ma vie, mais elle est heureuse, et c’est tous ce qui compte.