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Dépucelage au soleil – Chapitre 1




Bonjour,

Je m’appelle Cindy. Je suis une femme de 41 ans aujourd’hui mais je veux vous parler de l’histoire de mon dépucelage inattendu mais oh ! combien jouissif.

Mon dépucelage s’est passé il y a 22 ans. J’allais avoir 19 ans quelques semaines plus tard. J’étais, comme tous les ans, en vacances dans le sud de la France chez ma grand-mère et ma tante. Habitant dans la Normandie, le soleil estival était (et est toujours) le bien venu. J’ai toujours été sexy et j’ai toujours aimer m’habiller en conséquence.  Malgré tout, je n’étais pas ouverte à une aventure débouchant sur le fait de coucher avec un homme. Ce contraste vestimentaire par rapport à se refus de sexe irritait beaucoup mes petits copains successifs.

Pour me décrire, à l’époque, j’étais brune, cheveux longs, yeux noisettes, 1m64, un beau 85C avec des seins fermes (heureusement à 18ans) et un petit cul assez bien formé et rebondit. Je m’habillais souvent en robe ou jupe au dessus des genoux, quoi qu’il arrive, un décolleté mettant en valeur mes seins, et des sous-vêtements affriolants (string et soutien-gorge assortis tous les jours, si soirée bas et porte-jarretelles). Côté sexe, si je refusais de me faire prendre, j’acceptais facilement la fellation et la branlette. Histoire de faire baisser la pression de mes petits copains.

Me voici donc parti comme tous les ans chez ma grand-mère pour 3 semaines. Durant ce séjour, je passais au moins la seconde semaine chez ma tante dans la banlieue marseillaise. Cette année-là fut spéciale car ma tante me dit en arrivant le dimanche après-midi :

— Coucou ma puce ! Bon, il va y avoir un petit changement de planning. Je suis obligé de retourner travailler lundi, mardi et mercredi matin, je ne pourrai m’occuper de toi, et mamie n’est pas disponible. Tu as le choix de rester à la maison toute seule ou d’aller chez Daniel et Marie pendant les 3 jours.

Deux choix tentant car la maison avait une piscine sans trop de vis-à-vis mais je restais toute seule à me faire chier, et Daniel et Marie sont un couple d’ami de ma tante que j’avais déjà vu plusieurs fois et était très sympas. Pas de piscine chez eux mais au moins je n’étais pas seule.

— A choisir je préfère ne pas rester seule…

— OK, je m’en doutais un peu. Je t’emmène chez eux ce soir et te récupèrerais mercredi soir, ça te va ?

— Oui pas de soucis.

Nous nous rendons donc chez eux vers 19h pour le repas du soir. Ils avaient l’age de ma tante, soit la petite quarantaine. Sportifs tous les deux, ils étaient plutôt beaux et en bonne forme.

Marie était une femme assez grande (un peu plus d’1m75), blonde au carré, un corps de rêve avec une poitrine bien en forme et de petites fesses de sportives, donc bien fermes (contrairement aux miennes plutôt rebondies donc). Elle avait un visage allongé et des yeux bleu/vert perçant qui faisait d’elle une vrai bombe.

Daniel quant à lui dépassait les 1m90, le corps sec et musclé taillé en V mais sans être un body-builder. Juste un homme faisant beaucoup de sport (il faisait du triathlon à un bon niveau apprendrais-je plus tard). Son regard était doux et sa voix riante, ce qui ajoutait fortement à son charme naturel. Ils étaient toujours à rigoler, faire des blagues, et on les sentait très proches l’un de l’autre, comme deux adolescents commençant une relation.

Le repas se passe normalement et ma tante part vers 21h me laissant avec ses amis. Le temps de prendre possession de la chambre d’ami situé en face de la leur et je les retrouve dans le salon pour discuter et faire un peu plus connaissance.

— Alors, prête à passer quelques jours avec nous ? me lance Marie avec un magnifique sourire. Daniel s’est éclipser dans son bureau pour finir un travail qu’il ne voulait pas remettre à plus tard mais il va nous rejoindre. On a prévu de passer la journée à la plage dans les calanques demain, il est prévu un super temps, ça te tente ?

— Avec plaisir, j’adore me faire dorer au soleil ! C’est pour ça que j’aime venir ici en vacances.

— Super, tu seras pas déçu alors. Et sinon, depuis la dernière fois que l’on s’est vu, tu vas bien ? Tu as l’air en pleine forme en tout cas, et tu as sacrément changé… En bien, en très bien même !

— Merci, ça va bien oui. Répondis-je sans bien cerner le regard fuyant vers mon décolleté et mes cuisses. Et vous ?

— Tututut ! Pas de vous ! on va se tutoyer s’il te plait, m’envoie t-elle en m’envoyant un regard froncé mais avec un ton léger. Alors, racontes moi tout ! Un amoureux ? Ou au moins quelqu’un pour te faire jouir ? Parce que c’est ça qui est important dans la vie.

Je rougis à cette question et mets quelques secondes à répondre en bafouillant

— Pas vraiment d’amoureux et pour le reste… ben…

— Attends. Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais eu d’homme dans ton lit ???!!!

— Ben non, jamais, dis-je en baissant les yeux

— Mmmm, ça va pas du tout tout ça ! Maintenant je comprends si tu attends le bon partenaire mais bon, à bientôt 19 ans, il faut s’y mettre, répond t-elle avec une voix mielleuse et un clin d’oeil.

— Je sais mais en fait, il y a deux choses. Un, je veux que ce soit avec quelqu’un sachant y faire. Parce que j’ai un peu peur tout de même et je veux que ce soit inoubliable. Et de deux, je n’ai pas envie de me donner à n’importe lequel des gars avec qui je sors qui sont trop jeunes. Au moins dans leurs têtes… Ils veulent absolument et uniquement coucher. Pour être honnête, j’ai déjà fait des fellations histoire de les faire patienter mais bon, je sens bien qu’il faudrait que je passe à la vitesse supérieur.

Je me rends alors compte que je suis en train de parler de ma (limitée) vie sexuelle avec quelqu’un que je connais à peine et que cela ne me dérange pas. Cela me trouble car, à part avec ma meilleur amie, je n’avais jamais dit tout ça.

— Je comprends… Déjà, tu n’as pas peur de "jouer" avec une queue, c’est déjà un bon point. Pour le reste, je suis d’accord avec toi. Le faire avec un homme expérimenté, c’est le mieux. Personnellement, il avait 10 ans de plus que moi lorsque j’ai perdu mon pucelage.

Daniel apparait à ce moment précis dans l’entrée du salon.

— On parle de perdre son pucelage ? J’arrive au bon moment !

Je rougis en le voyant arriver. Au temps de honte qu’il ai entendu une partie de la discussion que du fait qu’il  soit juste en short avec les abdos et pectoraux à l’air. Quel bel homme de quarante ans ! Je me rends compte qu’il ne me laisse pas indifférente mais j’essaye de décrocher mes yeux de lui pour me concentrer sur Marie.

— Oui, en effet ! Cindy vient de me dire qu’elle est encore vierge.

— Ah ! Sujet sensible… Mais tu sais, il n’y a pas de honte, il faut le faire quand on se sent prêt. Que ce soit pour une femme comme pour un homme.

Ses paroles me rassurent et je me détends un peu. Il vient s’assoir de l’autre côté de Marie qui nous sépare. Et cela me va, cela me permet de le regarder tout en regardant Marie. La discussion continue sur les premières fois de chacun d’eux. Une amoureuse d’été pour Daniel, un surveillant de lycée pour Marie. Ils me racontent qu’en prenant leur temps, ça avait été des expériences super. Je me sent à l’aise et j’avoue que je sent une chaleur m’envahir le bas ventre en les écoutant parler des détails de ces premiers accouplements.

— La première fois que j’ai eu un sexe en main, c’était un copain et on a fait ça "pour voir". Je l’ai fait jouir dans ma main et ensuite il m’a caresser les seins et le sexe. J’ai pris du plaisir mais c’était surtout la situation. Ma première fellation c’était en soirée chez une amie. Le gars avec qui je sortais voulait absolument me baiser (j’ai vraiment dit ce mot à voix haute ???) et je lui ai proposer ma bouche à la place. Il a pas dit non mais avec le temps, il voulait plus et a rompu.

— Le meilleur moment je pense c’est l’été je trouve, dit Marie. Tout le monde est euphorique, a envie de s’amuser, de prendre du bon temps et ça rapproche. Mais c’est vrai que chez ta grand-mère ou ta tante, les situations sont plus rares.

— Oui, je te le confirme !

Après encore 1 heure de discussion sur le sexe, nous partons nous coucher. Je dors juste en culotte, ou plutôt en string, et les draps sur mon corps me faisaient du bien. A peine couchée, ma main commença a descendre vers mon sexe pour me caresser. La discussion et la vue de Daniel en short m’avait quelque peu émoustillée. Cela faisait à peine 5 minutes que je me caressais doucement (pour ne pas jouir trop vite ni trop fort) lorsque j’entendis un son venir de l’autre côté du couloir. Au début, je ne comprenais pas ce que c’était. J’étais en train de partir dans mon plaisir et il me fallut quelques secondes pour comprendre que j’entendais Daniel émettre des bruits de gorge. Je sorts de mon lit et m’approche de la porte que j’entre-ouvre discrètement. La porte de leur chambre est fermée mais un rayon de lumière passe dans le couloir par le trou de la serrure.

Les sons émis par Daniel ne laisse plus de place au doute, ce sont les mêmes bruits de jouissance que mon petit ami émettait lorsque je le suçais. Je m’avance sur la pointe des pieds pour essayer de jeter un regard par cet oeillet de porte. Je ne vois pas Daniel mais je vois Marie à genoux en train de faire des mouvements d’avant en arrière sur la queue de son homme que j’aperçoit de temps en temps. Apparemment, elle est plutôt belle. Tout comme le corps de Marie qui, une fois dévêtue, est vraiment magnifique.

— Elle t’excite la petite hein ? Tu aimerais bien la déflorer avoue !

— Un peu oui ! Elle est hyper canon et sexy, et le fait de savoir qu’elle est vierge, j’ai eu envie de la baiser toute la soirée !

— Moi aussi ! lui dit alors Marie

Quoi ? Marie veux coucher avec moi ? Daniel, OK. C’est un homme après tout. Mais Marie ? C’est la première fois que j’entendais une femme dire qu’elle voulait coucher avec une autre femme. Et c’est avec moi !! Bizarrement, de la voire nue comme ça en train de sucer son mari, cela me fait encore plus chaud au bas ventre. Et ma main recommence à s’activer sur mon petit clito qui commence à ressortir de sa grotte. J’essaye de ne pas faire de bruit pour ne pas me faire surprendre et continue à les regarder. Très vite, Daniel relève Marie et l’allonge sur le lit juste en face de la porte. Je la vois de coté, ses magnifique siens pointer vers le ciel. Daniel se place entre ses jambes et commence à la prendre doucement puis de plus en plus vite.

— Pas si fort, elle va nous entendre !

— Je suis trop excité, je peux pas me retenir de te baiser !! Et puis, cela ne devrait pas lui déplaire qui sait ?

Marie se mets alors à jouir un peu plus fort même si je pense qu’elle essaye de se retenir. Pour ma part, mon sexe est dégoulinant, je mouille comme une fontaine et ai du mal à retenir la jouissance qui monte. Je décide alors de retourner dans ma chambre pour me finir mais avant de partir, un cri plus fort sort par inadvertance. Je les vois alors s’arrêter et Daniel dire à Marie

— Tu vois ? Je suis sûr qu’elle se masturbe dans son lit à nous écouter !!

Je file alors le plus silencieusement possible vers ma chambre et me glisse dans les draps. Je recommence à me branler en les entendant reprendre leurs ébats. Je suis en trance, je me mets à jouir aussi fort que Marie qui n’avait plus de retenue. A tel point que je ne remarque pas qu’il n’y a plus de bruit à l’étage, hormis mes râles de jouissance.

D’un coup la porte s’ouvre sur Marie et Daniel. Ils me regardent avec un sourire complice. Je m’arrête gênée

— Ne t’arrête pas, c’est très beau de te voir te masturber et jouir comme tu le fais ! Me dit Marie.

Elle s’approche alors du lit et enlève les draps qui me recouvrait. Je m’aperçois alors que Daniel est toujours bandé. Sa queue est juste énorme pour moi qui n’en ai jamais connu de gros, voir même de un peu gros. Elle me pousse légèrement sur le côté du lit et s’allonge à mes côté.

— ça te dérange si on finit ici ? J’ai très envie de te voir jouir pendant que Daniel me baise. Et je suis sûr que ça te plait aussi

Ma main n’avait pas quitté mon clito que je caressais toujours.

— Comme tu veux, lui lâchais-je dans un soupir de plaisir.

Daniel se glisse alors entre les jambes de sa femme et reprend son office. Le voir entrer et sortir de sa chatte m’excite à un point incroyable. Ma main accélère le mouvement et je sent l’orgasme tant attendu monter. C’est à ce moment-là que la main de Marie se pose sur la mienne et l’arrête. Elle la repousse et prend sa place pour me caresser. Je tourne la tête vers elle, elle me regarde droit au fond des yeux et approche sa bouche pour me déposer un baiser, mon premier avec une femme. Je suis dans un autre monde, je perd pied. La langue de Marie dans ma bouche, sa main sur mon sexe et la vision de Daniel qui la baise fait éclater un orgasme d’une violence inouïe.

Daniel se retire alors de la chatte de Marie et celle-ci se redresse. Elle me regarde.

— Tu es magnifique lorsque tu as un orgasme, me dit Daniel.

Marie ne dit rien mais me regarde avec un petit sourire coquin.

-Agenouilles-toi devant Daniel et prends-le dans ta bouche. J’ai très envie de te voir le faire jouir et lui aussi.

Je m’exécute sans réfléchir et prend ce gros sexe dans ma bouche. Le gout de la mouille de Marie et de son sexe sont incroyable. Marie se place derrière moi et me caresse les seins d’une main et le sexe de l’autre. Je sent un autre orgasme monter mais me retiens au maximum pour donner le meilleur à Daniel avec ma bouche. Je dois bien me débrouiller aux râles qu’il émets avec de se retirer de ma bouche et de jouir sur mes seins. La décharge arrivant sur mes seins et les caresses de Marie déclenche alors un second orgasme, moins violent mais toujours aussi bon.

— Tu suces très bien ma belle, me complimente-t-il. Merci

— Merci à vous deux. Répondis-je.

— A demain ! Me dit Marie après un baiser suivi de Daniel.

Et ils me laissent là, les seins recouvert de sperme. Je reste quelques minutes, toujours à genoux, avant de me relever, aller à la salle de bain attenante et me faire une petite douche. J’aurai voulu, pour la première fois, que Daniel me prenne. Jamais je n’avais eu ainsi envie de me faire baiser. Je me recouche et m’endors directement.

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Le lendemain, je descend vers 9h30 vêtue d’une nuisette et de mon string en dessous. Marie est là uniquement vêtue dune culotte.

— Bonjour ma belle, bien dormi ? Me demande-t-elle en m’embrassant à pleine bouche.

— Très très bien dormi, merci. Et toi ?

— Très bien. Daniel est parti courir, il ne devrait pas tarder. J’espère qu’on ne t’a pas brusqué hier ? Mais quand on a entendu tes cris, on a pas pu résister à l’envie de venir dans ta chambre. Tu nous as tellement excité sans le vouloir hier !

— Au contraire, ça m’a beaucoup plut que vous soyez là avec moi. Même si je n’étais pas fière. Et c’est la première fois que j’embrassais une femme et le reste. Pour être honnête, quand je vous ai entendu, je suis sortie et je vous ai regardé par le trou de la serrure…

— Petite voyeuse ! rigole-t-elle. Pas grave, on aime bien quand d’autres personnes nous regardent…

— Et je dois avouer que si Daniel s’était placé entre mes jambes, je lui aurais laisser la voie libre…

— Ah oui ? Le dit pas trop fort, ça pourrait arriver s’il l’apprend

— C’est un peu l’idée de te le dire

— Espèce de cochonne ! Viens là !

Et elle me prend la taille, m’attire à elle et m’embrasse tout en passant une main sous ma nuisette pour venir prendre un sein et le caresser.

— Bon, mange ton petit déjeuner et va te préparer, on part dans 1 heure. N’emporte pas trop d’affaire, un maillot de bain, une serviette et c’est tout. Je vais à la douche

— Ok, à tout de suite

Daniel rentre pendant que je suis dans ma chambre à me préparer. Cela va vite et nous attendons qu’il ressorte de la douche pour partir. Je m’interroge sur le fait que Marie semble porter une robe sans sous-vêtements en dessous. Je me trompe peut-être… mais la transparence de sa robe me laisse perplexe… Nous partons donc à une vingtaine de kilomètre de chez eux dans les calanques.

— Tu vas voir, on va dans une petite cric pas très facile d’accès mais justement, très peu fréquentée. On sera bien tranquille, m’explique Daniel

— Tu sais que si tu avais voulu hier soir, tu aurais pu la déflorer ? lui raconte Marie

— Ah oui ? Tu étais à ce point excitée par la situation ?

Je ne peux mentir à la question…

— C’est vrai, oui. J’étais dans un état d’excitation tel que de te voir baiser Marie m’a donné envie que tu t’occupes de moi aussi.

— Et bien, il faut voir… C’est vrai que tu es bien bandante et que ce serait un honneur et un plaisir d’être ton premier coup. A voir. Ah, nous sommes arrivé. Tu as de bonnes chaussures ?

— J’ai pris des basquettes oui. J’ai l’habitude d’aller dans les calanques avec ma tante.

— Super. C’est parti alors.

Nous voilà descendant une pente relativement escarpée et ardue. Mais avec l’aide de Daniel et Marie, nous arrivons en bas sans casse.

— En effet, très peu accessible votre cric !

— Oui et c’est ce que l’on recherche, dit Marie en retirant sa robe. Je ne m’étais pas trompée, elle était nue dessous. C’est l’un des seuls endroits où on peut faire de l’intégrale sans être dérangé. Et les seules personnes venant ici sont des habitués. Les touristes ne viennent pas ici.

— Ok je comprends, répondis-je en regardant Daniel nu lui aussi sous son pantacourt. Je retire alors ma robe et mon string, seules vêtements que je portais. Au moins je n’aurais pas de marques de bronzage disgracieuses cette années ! dis-je à mes deux comparses.

Le reste de la matinée passe entre bronzette et baignade. Rien de sexuel hormis les petites caresses par ci-par là une fois dans l’eau. Je me prête au jeu et n’est pas la dernière pour caresser les jolies fesses de mon amante de la veille ou la belle queue au repos (mais tout de même de belle taille même dans cet état) de son compagnon. Du sexy, de l’érotique mais rien de méchant. Après le repas, nous retournons faire une sieste à l’abris de quelques hauts buissons bienvenus. Daniel se place entre Marie et moi. Les mains sont un peu baladeuse de chaque côté et je m’endors avec la main de Daniel sur mes seins.

Au bout d’une bonne heure, je me réveille tranquillement en m’apercevant qu’ils se sont éclipsés. Je me redresse et entend un bruit un peu plus loin. En contournant un groupe de rocher, je tombe sur mon couple. Elle penchée en avant les mains en appuis sur l’un des rochers, lui derrière en train de la prendre tranquillement. Je m’approche en regardant cette queue magnifique entrer et sortir de Marie.

— Et bien, vous ne vous embêtez pas !

— Désolé, une grosse envie, et tu dormais si profondément, on n’a pas eu le courage de te réveiller. Me dit Daniel, Marie étant trop occupée à jouir pour parler.

Soudain, Daniel accélère et se raidit tandis que Marie part dans un grognement de plaisir. Il est en train de jouir en elle et ça a l’air de lui plaire !

— Et moi alors ? Je me donne du plaisir toute seule ?

— Viens par là ma belle, me dit Marie.

Je m’approche, elle me fait assoir sur un rocher et m’écarte les jambes. Elle se penche et enfouit sa tête entre celles-ci. Je sent alors sa langue me fouiller mon intimité. Quelle plaisir ! Je ne traine pas à avoir un bel orgasme.

— Attend, on a pas fini, m’interpelle-t-elle en prenant place à coté de moi. Viens me lécher maintenant.

Je n’ai jamais fait ça de ma vie mais elle me rassure en me disant que c’est facile. Il suffit que j’imagine ce que j’aimerais que l’on me fasse et naturellement, je ferais ce qu’il faut. Je me retrouve donc la croupe en l’air, la tête entre ses jambes, à commencer à poser ma langue sur sa chatte épilée en ticket de métro. Je fais de petits cercles sur son clito toujours sorti et commence à descendre. Chose que je n’avais pas pensé, le sperme de Daniel était en train de ressortir et je prenais sur ma langue autant de mouille que de sperme. Mais que c’étais bon !

Je passe quelques instants ainsi à lui nettoyer la chatte avant que ses jambes musclées ne se referment sur ma tête, signe d’un orgasme non feint. Une petite baignade en se collant les uns aux autres, des baisers enflammés sur les serviettes pour se faire sécher par le soleil, et la fin de l’après-midi arrive. De retour à leur maison, nous allons chacun notre tour faire une douche. Autant dire que les vêtements n’ont pas été remis pour le repas du soir. Même si personne n’en a parlé, nous savions tous très bien comment elle allait tourner. Tout du moins, je l’espérais fortement.

Comme si nous échangions nos pensées, nous nous installons collé les uns aux autres dans le canapé. Cette fois, je me retrouve entre mes deux amants. Les caresses se font plus précises, je prends très rapidement le chibre de Daniel pour le faire grossir dans ma main tout en ayant un téton de Marie dans ma bouche. Celle-ci me caresse la chatte et Daniel les seins. Les souffles saccadés sont vite remplacé par des petits soupirs de jouissance. Je fais attention à ne pas aller trop vite avec ma main car la queue de Daniel a bien grossit et je ne veux pas le faire venir tout de suite. Marie s’abandonne complètement en se mettant à 4 pattes et me présentant son cul pour que je lui bouffe. Ce que je fais avec plaisir et en prenant le temps de bien faire. Je lâche la queue de Daniel pour pouvoir changer de position. Je m’allonge sur le canapé avec la chatte de Marie au dessus de moi. Elle descend doucement jusqu’à sentir ma langue sur son clito. J’en profite pour lui mettre un doigt dans la chatte. Je me caresse le clito lorsque je sens la langue de Daniel venir s’y poser. J’écarte alors les jambes pour lui permettre de bien y accéder. Il me lèche minutieusement toute la chatte de haut en bas m’arrachant de plus en plus de cris de jouissance, accompagné de Marie qui prenait aussi son pied avec ma langue.

Daniel se soustrait à ma chatte pour venir au dessus de moi. Quelle désillusion lorsque je vois qu’il se mettait en position pour prendre Marie en levrette. Mais quelle excitation d’être au premier plan pour voir sa grosse queue s’enfoncer dans cette chatte ! Ma main reprenait son office entre mes jambes. Par attrape, Daniel se retirait et me présentait sa queue à sucer. Je ne me faisais pas prier et l’enfournais dans ma bouche au plus que je pouvais (soit un peu plus de la moitié). Il répète plusieurs fois cette manoeuvre. Et pendant que sa queue bourrait Marie, ma langue lui excitait le clito.

Cette double action eu pour effet de faire prendre un orgasme énorme à Marie assez vite. Elle retira alors la queue de sa chatte et s’agenouilla à côté de moi. Son regard était en feu, elle n’était plus avec nous mais dans un autre monde. Elle pris la queue de Daniel et le fit reculer jusqu’à ce qu’elle fut entre mes jambes. Je compris la manoeuvre et écarta immédiatement les jambes. Daniel descendit sur moi et je sentis pour la première fois le gland d’un homme entre mes lèvres inférieures.

Mes yeux se plantèrent alors dans les siens. Un regard disant "Prends-moi" mais en même temps "Vas-y doucement s’il te plait". Il me répondit par un sourire doux et m’embrassa tendrement. D’un seul coup, pris par la chaleur de ce baisé, il enfonça doucement sa queue qui n’eu aucun mal a briser d’une poussée mon hymen. Il s’arrêta alors, seul son gland était en moi. Je senti une brûlure mais elle ’estompa au bout de quelques secondes. J’avais la tête en arrière, les yeux fermés. Je sentais bien qu’il attendait quelque chose de ma part. J’ouvris les yeux, le regarda, et donna un léger mouvement de bassin pour lui faire comprendre qu’il pouvait continuer à consommer ma fleur fraichement cueillit. Ce fut un moment de pure merveilles. Je ne sais pas combien de temps il pris pour me prendre pour cette première fois. Je sais juste que j’entendais Marie comme si elle était dans la pièce d’à-coté lui dire

— Oui vas-y mets lui bien tout, c’est ça ! fait la jouir cette petite salope ! C’est tout ce qu’elle mérite après l’orgasme qu’elle m’a donné !! Prends la bien profond ! Comme ça vas-y !! Oui, bourre là !!agréablement

Et c’est ce qu’il fit. D’un coup, comme si il attendait l’aval de sa femme et d’être sûr que le passage était bien fait, il se mis à me donner de grands coups de hanche, s’enfonçant au plus profond de mon vagin. Mon orgasme fu d’une violence incroyable, je n’avais jamais connu ça en me branlant ou avec Marie dans l’après-midi. Je perdis connaissance au moment où il se retira pour jouir sur mon ventre plusieurs longues giclées chaudes et odorantes de sperme que Marie s’empressa de lécher.

Je me réveilla plusieurs longues minutes plus tard, toujours allongée sur la canapé les jambes écartées. Mes deux partenaires étaient à table en train de boire une bière.

— Alors, bien dormis ? me dit Marie qui avait retrouvé sa voix chaleureuse

— Oui, je ne sais pas combien de temps par contre.

— Pas loins de 20 minutes. Tu as eu un orgasme ! Ma chérie, j’ai rarement vu une femme avoir des spasmes comme ça ! C’était impressionnant !

— Faut dire que Daniel est plutôt bon dans le fait de faire jouir les jeunes filles !

— Je suis d’accord avec toi. Et les moins jeunes aussi d’ailleurs, me répond-t-elle avec un clin d’oeil.

— Heu je suis là les filles !!!

— On sait, dit-on ensemble en rigolant.

— Tu veux passer la nuit avec nous plutôt que toute seule ? Demande Marie

— Avec joie !!!

Et nous nous retrouvons tous les trois dans leur lit, emmêlé les uns entre les autres.

A suivre…

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1 Commentaire

Alex 68 2022-03-18 at 8h28

Très bon récit. Je recherchais justement un récit de défloration, celui-ci me plait beaucoup. Je me suis régalé en le lisant, et j’avoue que ma main s’est déchainée sur ma queue. MERCI !

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