J’étais en retard ce matin-là. Manque de chance, il avait gelé dans la nuit, et il y avait du verglas. Je pris ma voiture en essayant de trouver le compromis entre mon retard et la route glissante. A un rond-point, arriva ce qui devait arriver. Je heurtai un autre véhicule, pas trop violemment et je finis ma course contre un arbre. Ma tête heurta l’arrière du siège, et je restai comme étourdi. Le conducteur de l’autre véhicule vint voir si je n’avais rien de grave. Je répondis que non Et je perdis connaissance.
Je repris conscience sur un lit d’hôpital, une perfusion dans mon bras. Mon voisin de lit était l’autre conducteur. Me voyant réveillé, il me rassura, nous avions tous deux été examinés. Nous n’avions a priori rien de bien grave, mais nous étions bon pour rester quelques jours en observation. Nous nous présentâmes : moi Jean, lui Pablo. Il avait bien le physique de son prénom, brun et râblé. Nous avions tous deux une trentaine d’années.
Un infirmier entra. Me voyant réveillé, il me rassura, puis décida de contrôler ma température. Il rabattit les draps, me fit mettre sur le côté, et remonta la longue chemise que je portais pour me dénuder le cul. Je pensais aussitôt, que dans la position où j’étais, mon voisin de chambre pouvait mater mon cul. Comme j’étais gay et assez exhibitionniste, l’idée n’était pas pour me déplaire. Au lieu de m’enfiler directement le thermomètre, l’infirmier m’écarta les fesses, et me lubrifia légèrement l’anus. Je sentis ma bite se dresser. Heureusement dans la position où j’étais l’infirmier ne pût rien voir. Il enfila ensuite le thermomètre.
Après l’avoir nettoyé, il annonça à mon voisin qu’il allait le contrôler aussi. Je notai avec intérêt que ce dernier s’installa en me tournant le dos, et que j’allais donc pouvoir profiter du spectacle. Il en valait la peine. Il avait un cul légèrement poilu, dont la blancheur contrastait avec le reste du corps, bien bronzé, ce qui le rendait très excitant. Il me sembla que l’infirmier insistait bien pour le lubrifier, et, à un moment, j’aurais juré qu’il avait inséré un bout de son doigt. Ayant enfin pris la température, l’infirmier repartit. Vu ma position dans mon lit, mon voisin ne pouvait pas ne pas savoir que j’avais tout maté, comme lui avait dû le faire pour moi.
Dans la nuit, je fus réveillé vers 23h par la lueur projetée dans la chambre par la porte qui s’ouvrait. L’infirmier était de retour. J’étais tourné vers mon voisin, qui, lui, me tournait le dos. Les yeux mi-clos, faisant semblant de dormir, j’épiais. Je vis l’infirmier dénuder le cul et écarter les fesses avec deux doigts. Cette fois-ci ça dura beaucoup plus longtemps que l’après-midi, et le doigtage était évident. D’autant plus que l’infirmier avait passé son autre main dans son pantalon, et il me semblait qu’il se branlait.
Vers 4h du matin, nouvelle visite. Cette fois-ci, je devinai que ça allait être mon tour, et, sur le ventre, j’écartais les cuisses pour lui faciliter le travail. Je sentis mes fesses écartées, et un doigt me masser la rondelle, puis pénétrer. L’infirmier commença à faire aller et venir son doigt. Je lui envoyai un signal en contractant et relâchant mon anus. Surpris, l’infirmier s’arrêta. Mais bientôt inséra deux doigts. J’écartais encore plus les cuisses en signe d’assentiment. Il ne se gêna plus pour continuer tout à son aise. Puis je l’entendis haleter. Il devait être en train de jouir. Il retira ses doigts et repartit.
Le lendemain matin, on annonça à mon voisin un dernier scanner de contrôle à 14h, examen qui devait durer une heure. Je songeais aussitôt que j’allais rester seul une heure dans ma chambre à la disposition de l’infirmier. A 14h, une fois seul, je me mis à plat ventre, la chemise remontée dévoilant mon cul, sous les draps, les cuisses écartées, et je fis semblant d’être profondément endormi. Comme je m’y attendais, l’infirmier arriva vite, et referma la porte à clef derrière lui. Il souleva les draps. Le spectacle que je lui montrai était sans équivoque. Il grimpa sur le lit, s’agenouilla entre mes cuisses, et me doigta, deux doigts à la fois d’entrée. Quand il retira les doigts, je devinai la suite et arquai mon cul pour faciliter les choses. Je sentis sa bite me pénétrer en douceur, et il commença à me baiser, couché sur moi. A un moment je l’entendis me chuchoter à l’oreille :
« Je sais que tu ne dors pas. Restes comme tu es. Tu as un cul délicieux. J’espère que je te donne du plaisir »
Je chuchotais un oui d’approbation. L’infirmier termina mon enculage et repartit. Mon voisin revint du scanner. Je ne lui dis mot de l’histoire. Vers 16h l’infirmier revint prendre la température. A moi seul, puisque, après le scan, mon voisin allait rentrer chez lui. Je me positionnai pour offrir un bon spectacle à Pablo. Cette fois ci, l’infirmier ne se gêna pas pour me doigter longuement le cul sous le regard de mon voisin. Puis il repartit. Je me retournai avec un sourire égrillard vers Pablo. Lui aussi se marrait. Il me dit :
« Vicieux, cet infirmier, non ? »
Je lui répondis que oui, et lui racontai comment il m’avait enculé en son absence. Il n’en revenait pas et m’avoua qu’il regrettait ne pas avoir vécu la même expérience. Je lui assurais que j’organiserai ça, une fois sorti de l’hôpital. Sur ce, il partit, après que nous ayons eu échangé nos coordonnées téléphoniques.
La nuit, j’étais seul, et j’étais certain de la visite de l’infirmier. Je me positionnais donc en conséquence. Il vint vers 11h et ne tarda pas à m’enfiler. Je recommençai à exprimer mon appréciation en contractant et relâchant alternativement mes sphincters. Ca augmenta son excitation, et il se mit à me bourrer le cul bien virilement. J’émis quelques grognements de plaisir
« T’aimes ça, petit salopard. Tu aimes bien une bite dans ton cul. Je vais bien te baiser, bien te la faire sentir »
Et, effectivement, quand il partit j’avais le cul un peu endolori. Le lendemain matin, on m’annonça que je pouvais rentrer chez moi. Je rangeai mes affaires et partit, non sans avoir remis un petit mot, dans une enveloppe à l’infirmier. Outre mes coordonnées téléphoniques, le message était court, mais sans ambiguïté :
« J’ai adoré avoir ta bite dans mon cul. Il est à ta disposition aussi souvent que tu voudras »
Dans la semaine même, l’infirmier m’appela et me dit être libre samedi. Je lui donnai rendez-vous à 14h chez moi. Puis j’appelai Pablo pour lui demander de venir dans la tenue où je serai : en jogging sans slip.
Le samedi, quand l’infirmier arriva, il eût l’agréable surprise de trouver Pablo à mes côtés. Je précisai tout de suite que Pablo avait les mêmes envies que moi. J’installai l’infirmier sur le canapé, et Pablo sur un fauteuil.
Je partis chercher des boissons et m’installai sur l’autre fauteuil. Après quelques gorgées, je me levai, me plaçai devant l’infirmier, lui tournant le dos, baissai mon pantalon et me penchai, mains aux genoux. Je sentis aussitôt un doigt s’insérer dans mon anus. Pablo, se léchant les lèvres d’excitation vint se placer à côté de moi dans la même position et l’infirmier me doigta de la main droite et Pablo de la main gauche.
Mais il s’interrogeait pour savoir lequel il allait enculer. Je lui dis que Pablo en mourrait d’envie, et que je restais à sa disposition ultérieurement. Comme nous l’avions convenu, Pablo s’installa à quatre pattes, le cul à l’air, sur la table basse du salon. Je me positionnais derrière eux, un peu sur le côté, officiellement pour mater. En fait j’avais discrètement sorti mon portable pour filmer une bonne partie de la baise.
Quand l’infirmier eût terminé, il s’apprêta à partir. Je lui montrai alors le film qui aurait un effet dévastateur s’il était communiqué à l’hôpital. Il rigola, en me disant que tout l’hôpital était au courant, et que certains toubibs l’enculaient régulièrement. Il était donc d’accord pour se soumettre à nous. Il revint régulièrement les samedis. Au début nous l’enculions chez moi. Puis nous le baisâmes en public dans un sauna. Nous l’entrainâmes dans des bois pour le déculotter devant des mateurs. Sur une plage gay, il dut se mettre à plat ventre, jambes écartées, pendant que Pablo et moi, à ses côtés, invitions des mecs à venir le tripoter. L’infirmier appréciait beaucoup ces jeux, mais le « côté passif » qui existait chez Pablo, comme chez moi, était frustré. Et bientôt nous devînmes trois potes dont l’un se soumettait, à tour de rôle, aux envies sexuelles des deux autres, si possible devant des mateurs, car nous étions tous trois exhibitionnistes.
Fin