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Chroniques immortelles – Chapitre 9




Crise d’évolution. 1ere partie

« Zeus… »

« Ares ? Il y a bien longtemps que tu ne m’as pas parlé. Que me veux tu mon fils ? »

«  Christine Gautier a été appelée par Gaïa… »

De surprise, Kostia s’est redressé dans son fauteuil et pendant quelques secondes perd la liaison télépathique avec maître Wong en Thaïlande. Depuis son bureau directorial d’Athènes d’où il dirige ses sociétés, Il adresse un ordre mental rapide.

« Antinea, connecte toi sur mon esprit, vite ! »

« Oui père, qu’y a t-il ?»

« Reprends Ares, es-tu sur de ce que tu dis ?»

« Oui. Non seulement elle a été appelée par Gaïa, mais elle a été capable de provoquer des transformations chez ma fille adoptive sans s’en rendre compte. Et de plus elle a su instinctivement activer les zones de son cerveau »

« Elle a atteint le troisième cercle Ça alors ! Merci de m’avoir prévenu, mon fils »

Antinea n’a rien perdu de l’échange télépathique. Elle n’a qu’une porte à pousser pour pénétrer dans le bureau directorial de son père.

— Mais c’est fou çà, dit-elle. Un immortel au troisième cercle, çà fait bien deux cent cinquante six ans que ce n’était pas arrivé !

— Et en seulement un an, reprend Kostia pensif. J’avais immédiatement senti que cette jeune personne avait un potentiel énorme, mais là, je suis bluffé Comment est-ce possible, aussi vite ?

— Christine est spéciale, dit Antinea ravie. Quand Protée crée un nouvel immortel, en général ce dernier n’a rien de plus pressé que de chercher à développer au plus vite ses facultés. Ce faisant, il se fourvoie dans des voies sans issues en cherchant à forcer son talent et ne parvient pas à évoluer. Pas Christine. Elle n’a jamais cherché à devenir une « superwoman » et du coup ses facultés se développent librement à son insu. Sans le savoir, elle suit la bonne méthode.

— Oui, tu as raison ma fille Mais elle se trouve à présent à un stade dangereux de son évolution. Le passage au troisième cercle est toujours délicat pour un immortel inexpérimenté comme elle. Toi qui est son amie, comment peut-elle réagir ?

— Telle que je la connais, elle doit être curieuse. Et enchantée de ses nouvelles possibilités

Je suis terrifiée J’ai peur. Je me suis recroquevillée sur le canapé du salon de mon appartement de Digne. Je suis en position quasi ftale. Incrédule, je contemple ce chien assis calmement au milieu de la pièce. Il attend la suite. Je l’ai transformé successivement en chat, en chihuahua, en vache, en chèvre, à présent en berger allemand toujours avec la même facilité déconcertante. Il me suffit d’une pensée et hop, son aspect change en quelques secondes ! Il y a quelques jours, sans me rendre compte de ce que je faisais, j’en ai fait un immortel du deuxième cercle ! Qu’est-ce qu’il m’arrive ???

— Tu veux continuer ? Me demande soudain le chien.

— Non Non Alex, reprend forme humaine tout seul. Je n’ose pas le faire moi-même.

Alex se redresse, avec ce corps harmonieux qui me fait tellement craquer d’habitude. Il vint s’asseoir à coté de moi, me prend dans ses bras.

— Tu as atteint le troisième cercle, me dit-il tendrement. Il faut t’y faire. C’est exceptionnel, mais ce n’est pas mortel, si j’ose dire.

— Mais Alex tu ne comprends pas ? Je suis morte de trouille ! Je peux faire du mal à quelqu’un sans m’en rendre compte ! Imagine que quelqu’un me fasse chier. Je pourrai le tuer instantanément d’une seule pensée involontaire ! C’est grave ! Antinea, Kostia et les autres ne m’avaient jamais parlé de çà ? Pourquoi ?

— Je crois parce qu’ils ne s’y attendaient pas. Peu d’immortels arrivent au troisième cercle et pour la plupart çà prend des années. Toi tu y parviens en seulement un an ! Je ne sais même plus quand çà s’est produit pour la dernière fois, deux ou trois cent ans je crois. Je pense qu’il faudrait aller sur Mikro Kea sans tarder. Les fondateurs pourront t’aider.

— Non je ne veux pas ! J’ai la trouille, aussi bien de ce que je pourrai faire que… de ce qu’ils pourraient me faire ! Je Je voudrai être rétrogradée au second cercle !

— Oui mais çà, ce n’est plus possible Au troisième cercle, tu es trop puissante. C’est le niveau courant chez les dieux, les fondateurs mis à part.

— Oh non

— J’ai peur S’il te plaît Alex, baise moi. Il faut que je pense à autre chose ou je vais devenir dingue ! Prend moi ! Prend moi comme une chienne, je veux que tu sois violent !

Je me met à quatre pattes et Alex s’exécute. Il me prend violemment, sa queue plus grosse que jamais. Il me bourre à forte cadence, me claque les fesses. J’ai augmenté ma sensibilité, je veux jouir sans retenue, quitte à en mourir. C’est atroce ! Chacun de ses mouvements me génère un mélange de douleur et de plaisir. En même temps, je me masturbe frénétiquement. La tète me tourne, je suis submergée par les sensations, je ne sais même plus si je jouis en continu ou si je crie de douleur. Et j’en veux plus ! Tout et n’importe quoi pour pouvoir oublier cette malédiction qui s’est abattue sur moi !

A présent c’est sous la forme d’un énorme chien qu’Alex me défonce. Quelque chose de hors norme rentre et sort de mes entrailles sans arrêt. Je vais m’évanouir Sharka Mon beau tigre mâle, si tu pouvais être là ! J’ai à peine songé à lui que je vois deux pattes rayées de part et d’autre de ma tète. Ma nuque disparaît entre les crocs d’un fauve pendant qu’un pénis surdimensionné me ravage. Des flots de sperme s’écoulent de mon vagin. A chaque fois qu’Alex se dégage, je sens les jets de liquide m’inonder le dos. Encore ! Encore plus ! Un grizzli ! Oui c’est çà, un géant d’une tonne et de trois mètres de long !  Je disparais sous l’énorme masse de l’ours, je me perd dans l’épaisse fourrure, je suis transpercée jusqu’au cur, je tourne de l’il

Je reprends conscience à coté d’Alex qui a repris sa forme humaine. Je dégouline de sperme, maculée, souillée de la tète au pied, ruisselante de traînées visqueuses. A mes cotés, mon compagnon me regarde avec un mélange de stupéfaction et d’incrédulité.

— Tu n’as pas pu te contrôler Christine

— Quoi ? Je ne Tu veux dire que c’est moi qui t’ai fait subir ces transformations animales ? Oh non !

— Christine ! Non attends, ne fait pas l’idiote !

— Laisse moi, il faut que je m’éloigne !

J’ai bondi vers la fenêtre. Mais avant même de l’atteindre, je me suis transformée en corneille. Je prend mon envol, gagne de l’altitude. J’ai besoin de m’isoler, de m’éloigner Je deviens un aigle. Je trouve une ascendance, je monte dans le ciel. L’air frais emplis mes poumons, caresse mes plumes, je me grise de pureté, que c’est bon !

Pendant plusieurs heures, je me laisse porter par les courants aériens. La ville est devenue toute petite Jamais on n’imaginerait que dix mille personnes vivent là. Au coucher du soleil, l’air s’apaise, il porte moins. Je perd de l’altitude Le temps de redevenir une corneille, je me pose dans le salon ou anxieux, Alex m’attend.

— Tu m’as fait peur.

— J’ai besoin de changer d’air, dis-je désemparée, échapper à tout çà, au moins temporairement. Je veux faire un break, me vider l’esprit faire un voyage par exemple.

— Un voyage ? Bon, d’accord Et ou veux-tu aller ?

— Je ne sais pas. A…à Bali !

— Bali ? Pourquoi pas ? J’ai visité il y a environ deux cent ans, je te ferai visiter ?

Pourquoi ai-je dit Bali ? Je n’en sais rien. Je ne connais pas l’île,  c’est venu comme çà, spontanément, comme une pulsion. C’est le premier nom qui m’est venu à l’esprit Et puis flûte, on verra bien.

Et ainsi quelques jours plus tard, nous entamons un voyage d’une trentaine d’heure Nice, via Munich et Singapour, avant d’atterrir à Ngurah Rai international airport. Mais rien ne se passe comme je l’imaginais. Je cherche à me détendre et au contraire, plus le voyage avance, plus je me sens nerveuse, stressée. J’ai du mal à me concentrer, je suis dans un état second A l’aéroport, je suis au bord de la folie.

— Il faut qu’on loue un bateau !

— Hein ? Un bateau ? Mais quoi ? Quel genre, et pour ou ?

— J’en sais rien et je m’en fous ! Il nous faut un bateau, tout de suite !

Alex ne discute pas. Je serai pleinement consciente, je verrai à quel point il s’angoisse. Mais il s’exécute sans discuter le pauvre. Je ne le remercierai jamais assez A peine une demie heure plus tard, nous filons en taxi à la marina de Dempassar ou un hors-bord nous attend déjà. La carte bancaire estampillée « Kostia » fait décidément des miracles Je laisse Alex régler les formalités, je suis déjà sur le bateau en trépignant d’impatience. Lorsque enfin le loueur nous aide à larguer les amarres, il fait un étrange commentaire à mon intention.

— C’est par là, dit-il sobrement.

— Je sais !

— Hein, quoi ? Demande Alex décontenancé, qu’est-ce qui est par là ?

— J’en sais rien ! Fonce !

Cap au Nord-Est, nous longeons la cote de Bali avant de nous engager plein nord vers la mer du même nom.  Alex tient le cap, suivant aveuglément la direction que je lui impose. Je suis comme une furie, on ne va pas assez vite ! Déjà la cote de Bali disparaît sur notre arrière et nous filons droit sur une masse brumeuse à l’horizon. Soudain, le bateau se cabre et vire de bord.

— Alex, mais qu’est-ce que tu fais ???

— Mais je je n’ai rien fait, dit-il décontenancé. Le bateau a viré de lui même, et je je n’arrive pas à le redresser !

Il est cramponné à la barre, tente de remettre le bateau sur le cap que je lui indique. Je viens à son aide, crispés sur la barre, rien à faire !

— Mille millions, dusses-je y laisser ma peau, j’irai là bas !

— Qu’est-ce que tu fais ???

— Retourne à Bali et attends moi !

Avant qu’Alex revienne de sa surprise, je plonge  dans la mer et me transforme en dauphin Mes vêtements explosent sous l’effet de la transformation. Alex me regarde m’éloigner vers la brume. Il est mort d’inquiétude. Chez les immortels des deux premiers cercles, on raconte d’étranges histoires sur les rares élus qui ont réussi à atteindre le troisième cercle. Tous ont disparu quelques temps avant de reparaître changés. Il ne comprend pas cette espèce de furie qui s’est emparée de moi au point que je ne me suis même pas rendue compte que le loueur était un immortel A plusieurs reprises, il tente de remettre le hors-bord à ma suite. Puis il cherche à me suivre en se transformant comme moi en dauphin, en oiseau. Une force invisible le repousse à chaque fois. En pure perte

— Un champ répulsif qui repousse toute tentative d’approche non autorisée Fais gaffe à toi ma chérie, murmure t-il. Reviens moi vite et intacte, sinon je le jure, il n’y aura aucun refuge pour les responsables quel que soit leur niveau de puissance ! Et pour commencer, je vais aller demander des comptes à ce putain de loueur

J’ai soudain retrouvé mon calme. Ma tète est claire, je réfléchis tranquillement et sereinement. Tout le trouble qui m’agitait a disparu. J’ondule rapidement vers l’île Car c’est bien une île qui se trouve dans la masse nuageuse, mes sens de cétacé sont formels Je détecte des bancs de poisson, le fond à peu de distance, j’entends des appels lointains d’autres dauphins. Mon « sonar » me dit qu’il y a une crique droit devant moi. Bientôt, je vois les fonds de corail remonter, une vie foisonnante, des myriades de poisson de toutes les couleurs. Puis un fond de sable se fait, se rapproche de la surface. Je reprend forme humaine

Depuis que je suis tombée sur la statuette contenant l’esprit de Protée et que je découvre le monde des immortels, je me suis souvent demandée « mais qu’est-ce que je fous ici ? ». Mais cette fois, je me demande « ou suis-je tombée ? ». Déjà cette île ne figure sur aucune carte, j’en suis certaine. Et la végétation que je découvre ne ressemble à rien de ce que je connais. Je reconnais bien des cocotiers, des frangipaniers, mais pour le reste, la nature échappe à toutes mes connaissances. A croire qu’un scénariste de Avatar est venu ici pour s’inspirer pour la faune et de la flore de Pandora

Parce que la faune aussi est étrange. Je reconnais des oiseaux bien connus, sternes, frégates, nodis bruns, gygis blanches Tout le reste m’est inconnu y compris de petits animaux terrestres qui ressemblent à des cervidés, des rongeurs, des lémuriens, des Je ne sais pas. Les sens aux aguets, avec comme seuls vêtements mes piercings aux tétons et au nombril en plus de mes boucles d’oreilles, je m’engage avec précaution sous le couvert des arbres en suivant le bord d’une petite rivière, ne provoquant chez les animaux croisés qu’un regard curieux sans la moindre réaction de crainte ou de prudence de leur part. Au contraire, un petit oiseau vient se percher sur ma main comme s’il cherchait une réponse à l’arrivée impromptue de cette femme nue au milieu de son petit monde.

Mais cette fois, j’ai entendu des voix, des voix humaines, des voix de femmes. De petits cris, des rires, des paroles dans une langue inconnue. Je suis stupéfaite, médusée, je n’arrive pas à croire ce que je vois. Je découvre une clairière au bord d’une vasque arrosée par une petite cascade et sur l’herbe je vois trois jeunes femmes. L’une à un teint jaune citron prononcé et une chevelure longue d’un noir intense. La seconde au contraire un teint bleu pale et des cheveux blonds. Quant à la troisième, sa peau est d’un vert pastel avec des cheveux roses ! Elles sont en train de faire l’amour

Assises sur le sol moussu, deux d’entre elles s’embrassent langoureusement. A quatre pattes en face d’elles, la troisième tète leurs seins passant alternativement de l’une à l’autre, ses mains caressant la chatte de ses deux compagnes. J’en ai des frémissements dans la mienne et j’en arrive à oublier l’étrangeté du lieu et de ces trois femmes. J’ai envie de les rejoindre !

J’ai marché sur une branche sèche. Le craquement a fait sursauter les trois femmes. Elles me découvrent en même temps. Craintivement, j’ai reculé derrière un tronc d’arbre. Mais elles ne manifestent qu’un étonnement curieux. Je ne ressens aucune trace d’agressivité dans leur attitude.

— Oh ! Qui est-ce ?

— Elle n’est pas comme nous ?

— Que fait-elle ici ?

Cet échange s’est fait dans la langue inconnue. Et pourtant, je les ai comprises ! Je résiste à l’envie de m’enfuir. Les trois fille sont venues et me dévisagent avec curiosité en souriant.

— Bonjour, qui est-tu?

— Je je m’appelle Christine.

— Tu es une humaine ?

— Une humaine ? Euh oui Et et vous, vous êtes qui ?

— Mais nous sommes des nymphes voyons !

— Des Oh putain Tout le bestiaire olympien va y passer !

— Mais tu ne peux pas être humaine, seuls les dieux et les déesses peuvent venir ici !

Des nymphes Et puis quoi encore ? Et puis c’est quoi encore cette histoire de déesse ? La seule que je connaissais il y a quelques années, c’était ma vieille Citroën ! Les filles me regardent en souriant, lorsque l’une d’entre elles lance un appel, comme un chant. Je vois les fourrés s’agiter et d’autres fille paraissent, avec des teintes de peau et de cheveux toutes plus psychédéliques les unes que les autres.

— Regardez mes surs, une humaine qui vient d’arriver !

— Comme elle est belle !

— Elle a des seins magnifiques.

— Regardez ces longs cheveux blonds.

— Mais elle n’a pas de poils sur son pubis ? Elles sont comme çà les humaines ?

— Et des anneaux plantés dans ces chairs ? Ça doit piquer ?

Je n’arrive pas à répliquer ou a placer un mot. Les filles se sont regroupées autour de moi, me regardant curieusement sous toutes les coutures, d’autres me palpant les cheveux, les seins, le ventre, les boucles d’oreilles Je n’éprouve aucune peur. Les nymphes ont la réputation d’être de divinités douces et amicales. Je ressens leur énergie, étrange, ni humaine, ni celle des immortels. Différentes. Mais leurs multiples attouchements commencent à m’émouvoir copieusement ! Je sens mes seins se durcir, ma chatte commence à frémir ! Si elle continuent comme çà, je vais

— Oh ! Regardez ! Sa chatte est toute mouillée !

— Elle a peut être envie d’être aimée ?

— Oh oui, elle a vraiment envie, çà se voit.

— Alors donnons lui du plaisir ?

Je ne sais plus ou j’en suis ! Je ne résiste pas ! Des mains s’insinuent dans le moindre recoin de mon corps. Des bouches emprisonnent mes seins entre leurs lèvres, se posent dans mon cou. D’autres se relaient pour visiter ma bouche, langue contre langue. Je sombre dans une orgie de couleurs, de sensations, c’est comme si j’étais livrée tout entière à une entité garnie de dizaines de bouches et de mains. Elles pénètrent tous mes orifices. Le premier orgasme est brutal et violent. Le second, long, tétanisant ! Et elles continuent, se relaient, j’enchaîne jouissance sur jouissance. Je deviens prédatrice, je me rue sur l’une, sur l’autre, je m’insère entre des cuisses, ma langue dans de multiples chattes au parfum de menthe, de citron, d’orange ou de miel ! Je mord des seins, prend d’assaut des bouches aux parfums suaves! Par Zeus comment est-ce possible ?

— Allons, allons les filles en voilà des façons d’accueillir une invitée ? Laissez là respirer voyons !

C’est une voix de femme, en grec qui s’est fait entendre. Les nymphes se sont écartées. Haletante, je découvre une femme d’une quarantaine d’année aux cheveux acajou mi-long, vêtue d’une longue tunique qui nous regarde en souriant

 

— Ou madame, excusez nous.

— Elle avait envie de faire l’amour, s’excuse une autre.

— Je sais, je sais mes chéries. Excuse mon retard Christine, tu es arrivée plus vite que je ne le pensais. Et excuse les nymphes, elles sont toujours prêtes à donner du plaisir aux autres.

— Co Comment connaissez- vous mon nom ? Et d’abord, ou suis-je ? Qui êtes vous ?

— Je sais beaucoup de chose sur toi Christine. C’est moi qui t’ai appelée ici.

Elle me tend un paréo que je noue rapidement.

— Tu es au jardin d’Éden. Je m’appelle Gaïa

(Épisode à suivre)

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