Je viens de passer une nuit sublime, croyez pas que je suis sortis en boîte, ou bien une soirée en amis, non rien de cela, j’ai tout simplement fait un tête à tête avec quelque uns de vos internautes, lisant à non plus finir leurs récits, très explosifs, et surtout révélateur. J’ai encore ce matin des séquelles de ma folle nuit. Une queue bien douloureuse. Je ne vous cache pas que quelques idées sont venues germées dans ma mémoire et j’ai tout simplement moi aussi fantasmé comme un fou. Et sur ce, j’ai prolongé ma nuit blanche pour vous en faire part et ainsi vous rendre en toute gentillesse votre merveilleux cadeau que je ne suis pas près d’oublier, programmant sur le pas mon prochain Week-end.
LA VIEILLE ET SA POUPEE.
Etant seul chez moi, je m’occupais comme je le pouvais. J’habitais une maisonnette autour d’un terrain commun avec deux autres maisons bien plus grande que la mienne. Dans l’une d’elle y habitait un couple avec deux enfants. Dans l’autre une femme, Madeleine, d’un certain âge, veuve depuis peu, mais tout de même très coquette. Me voyant dans le jardin, elle vint me faire la cosette.
Elle me fixait avec une intensité presque douloureuse.
– Alors, c’est bien vrai ? Nous n’allons bientôt plus nous revoir ?
– Je le crains. J’ai appelé l’agence ce matin et tout va pour le mieux.
Je ne sais quelle perversité me poussait à ajouter :
– Vous savez, le nouveau propriétaire sera autant attentionner à votre égard que je l’étais.
Elle rougit et baissa les yeux. Madeleine et moi s’était tout une histoire. Il m’était arrivé à plusieurs occasions de lui exhiber mon pénis bandait pour son plus grand plaisir, et pour le mien sachant qu’au bout j’allais percevoir un pourboire conséquent à ma prestation. Un peu honteux de ma réflexion, j’étais en train de penser qu’il valait mieux prendre congé, quand elle dit.
– Voulez-vous m’emmener dans ma chambre, Alain ?
Une fois dans son lit, elle ouvrit un tiroir de la table à chevet d’ou elle sortit une vieille poupée. Le jouet, qu’elle se mit à contemplait quelques instants, comme une mère pour son enfant. Elle releva la tête et me fixa, une étrange lueur dans les yeux.
Elle couvrit le jouet de baisers passionnés. J’étais mal à l’aise de voir cette vieille femme se conduire comme une gamine niaise.
– Alain, aidez-moi à m’allonger !
Je la pris sous les aisselles et la déposai avec délicatesse sur le lit. Elle n’avait pas lâché la poupée, mais elle n’avait plus le même regard. A sa respiration plus rapide, à ses joues rouges je voyais qu’elle était excitée, autant que les fois où je m’exhibais devant ses yeux. D’ailleurs, elle a dit d’une voix rauque.
– Maintenant, déshabillez-moi !
Je lui ai retiré ses chaussons. Ensuite, je l’ai soulevée à nouveau pour lui enlever sa robe. Elle n’avait pas de soutien-gorge, et sa culotte mouillée. Quand je fis glisser le léger sous-vêtement, Madeleine eut un gémissement.
– Prenez votre temps, Alain.
Elle avait raison. Puisque nous n’allions plus nous revoir, autant faire durer les choses. Je fis donc lentement glisser son slip le long de ses cuisses, dévoilant sa toison grisonnante, très fournie mais, me sembla-t-il, aux contours plus nets, comme si elle avait été taillé, et les larges lèvres de son sexe. Ses jambes étaient très belles pour son âge. Elle les écarta et les bords de sa fente se séparèrent.
Prenant sa poupée, Madeleine la glissa entre ses cuisses et caressa ses chairs intimes avec la tête chauve. Fasciné et mal à l’aise, je vis le plastique frotter les replis de chair autour des petites lèvres, s’attarder sur celles-ci et remonter avec lenteur vers le gros bouton qui se crispait. Madeleine le massa longuement avec une expression sur le visage qui me fit peur.
Apres avoir caressé son clitoris, Madeleine retourna la poupée. Elle releva une des jambes du jouet et enfonça l’autre dans son vagin. Elle faisait aller et venir avec rage la jambe de la poupée, mais elle ne l’enfonçait très profondément dans son con. Ne sachant que faire, je la contemplais pendant qu’elle se laissait aller à son délire sexuel. Une voix dans mon dos nous fit sursauter.
– On s’amuse bien ?
Sur le seuil, Patricia, sa fille unique, mon aînée de quelques années, qui nous fixait avec un sourire sarcastique. Sa fille balbutia.
– Tu s’avais que j’allais pourtant arriver !
– Oui, et alors, j’avais envie de dire en revoir à Alain, il vient de vendre sa maison.
Je crus entendre une fêlure dans sa voix quand elle prononça le dernier mot, et j’eus un pincement au cour. Elle referma la porte et s’avança vers le lit. Son visage s’assombrit quand elle aperçut la poupée que sa mère tenait toujours entre ses cuisses.
– Encore en train de jouer avec ça ? Tu n’as pas honte à ton âge ?
Cramoisie, Madeleine n’opposa aucune résistance quand Patricia lui prit la poupée et la posa sur la table de chevet.
– Vois dans quel état tu l’as mise. Laisse-la tranquille, la pauvre, à présent que tu as un homme sous la main. N’est-ce pas Alain. Tu lui doit bien ça, le penses-tu pas ?
A l’air penaud que j’avais elle n’insista pas. Alors, elle déboutonna sa robe porte aux feuilles, et l’ôta sous laquelle elle portait une guêpière de dentelle mauve.
– Je viens de l’acheter. Qu’en pensez-vous? ’
Les bras en croix, elle tourna sur elle-même comme une ballerine. Sa mère la fixait de son lit, d’un air à la fois envieux et admiratif. Les bras toujours écartés, elle avança vers le lit en ondulant du bassin d’avant en arrière, comme si elle faisait l’amour avec un partenaire invisible. A la fin, excédé, je la pris à bras le corps et l’attirai sur le lit. Elle me railla.
– Comme vous êtes impatient Alain !
J’attrapais son string et le lui arrachais. Elle avait beau mouiller comme une fontaine, elle ne perdait pas le nord. Quand ma queue frôla sa fente, elle se débattit.
– Ah, non! Pas par-devant ! C’est chasse gardée.
Elle m’échappa et, avant que j’aie eu le temps de bien comprendre, nous nous sommes retrouvés tous les trois couchés en triangle sur le côté. La bouche en cour, Patricia faisait connaissance avec mon gland, le gouté du bout des lèvres. Elle ne maintenait pas mon manche qui se tenait bien raide. Elle dorlotait la peau des bourses, pinçait mes testicules. Elle avalait le gland, le recrachait, le mordillait, le dégustait.
Madeleine, en voyeuse, n’en perdait pas une miette. Elle se penchait, se décalait pour mieux voir. Elle craquait, s’agenouillait. Sa tête grisonnante était à la hauteur de mon derrière. Elle ne peut s’empêcher de me le toucher, de l’embrasser. A son tour, elle jouait avec mes couilles. Sous, le prélude à quatre mains avec bouche, je vivais un grand moment.
A deux doigts, Madeleine cherchait et trouvait le bouton de sa mère dans les plis de ses chairs intimes. Patricia gloussait en avalant mon gland. Elle étreignait ma longue verge à deux mains, la triturait lubriquement. Madeleine plongeait sa tête entre les cuisses de sa propre fille, pour la sucer.
Patricia gémissait, la bouche pleine de la queue, écartant les cuisses dans la mesure du possible. Elle se laissait envahir. Mon gland cognait le fond de sa gorge. La langue de sa mère devait la rendre folle. Son ventre était secoué de spasmes, tout en me suçant avec des mouvements de tête, sa main gauche branlant ma bite, sa main droite disparaissant entre mes fesses.
Elle me plantait son majeur dans le cul, pour me faire plaisirs. Ce que voyait, Madeleine le reproduisait dans celui de sa fille. Ma rondelle violette éclatait souplement. Stupéfait, j’éjaculais en criant comme un enfant. J’emplis sa bouche de son sperme. Cela dégoulinait sur le menton de la brune, sur sa guêpière.
Patricia était la plus prompte à se remettre. Son orgasme, loin de l’avoir satisfaite, lui avait mis le feu. Elle s’absenta quelques instants, pour réapparaître avec un rouleau de sopalin. Elle nettoya son dessous souillé. De sa main libre, elle caressa ma la nuque.
Puis elle s’est ôtée son dernier rempart, faisant jaillir sa belle poitrine.
– Viens … viens … viens ! murmurait Patricia à mon intention.
Ma longue queue de nouveau raide, cognait déjà contre ses cuisses blanches. Madeleine devait voir d’où elle était, mon gland congestionnait s’immiscer entre les lamelles roses de sa fille, à présent consentante. Patricia écartait une cuisse. Je me laissais couler en elle. Mon sexe disparait, aspirait par la vulve. Les nymphes dodues s’ouvraient comme une fleur rouge. Patricia poussait un cri en empoignant mes fesses. Langue dehors, elle cherchait ma bouche, tout en donnant des coups de reins nerveux, pour s’embrocher elle-même. Son regard voilait en dit long, elle aimait.
D’une voix hésitante, Madeleine attirait l’attention sur sa personne.
– Vous êtes bien mignons mais on pourrait jouer à autre chose! .
Sur ce, elle avançait vers eux. Elle donnait une tape retentissante sur mes fesses agitées. Désagréablement surpris, je me retirais de Patricia, avec des yeux ronds. Pas le temps de me rebiffer. Madeleine me prit par la nuque pour me rouler un baiser. Docile, je me laissais gentiment manipuler. Madeleine, maintenait ma tête entre ses lourdes mamelles, sur son ventre, puis dans la moiteur poivrée de sa touffe luxuriante, sous le regard désappointé de sa fille. Elle incitait pour que je bouffe sa chatte.
Alors je m’agenouillais, et mit ma langue entre les deux escalopes boursouflées, qui écartait ses cuisses. Avec ses doigts, elle tirait sur ses grandes lèvres pour mettre à nu ses parties juteuses. Je lapais ses chairs secrètes avec application, étendant les bras pour pétrir les seins. Elle donnait des coups de hanches lubriques, en bégayant des conseils.
– Plus haut. Plus bas … oui… oui … suce !
Patricia, amusée, constatait que je bandais ferme. Elle s’empara de ma bite encore luisante de sa propre mouillure, et la branlait en n’omettant pas de dorloter mes bourses. Je bouffais le con de sa mère avec un surcroit de ferveur, lui caressais le cul. Ma main libre retrouvait la vulve épanouie de Patricia, qui commençait à se doigter toute seule.
Madeleine se trémoussait, entamant une danse de possédée. Ses doudounes tremblaient et s’entrechoquaient. Elle pleurait. Elle ne savait plus que faire de ses mains. Alors, elle tirait mes cheveux, se griffait les épaules et les hanches, meurtrissait ses mamelons, elle tiraillait ses lèvres pubiennes, ouvrait ses fesses pour toucher son anus, le perforait. Une véritable hystérie!
– Oh putain, je jouis! Je jouis!
Moi de mon côté, je tenais les fesses à sa mère comme un calice, et buvait le velouté qu’elle secrétait en abondance. La main de Patricia accomplissant son ouvre sur ma verge, j’éjaculais en grognant. Patricia recueillait mon bouillon blanc dans sa paume, sauf une fine giclée qui allait sur le sol. Elle pressa mon manche, enveloppait mon gland huileux, pour le faire cracher davantage.
La sensation, la vision la portaient au comble du ravissement. Elle en jouissait. Un vif orgasme, en contemplant la bite crachant dans sa main crispée. Il faut dire aussi que je lui titillais le bouton depuis un moment, et qu’à la fin, je lui ai fourré quatre doigts dans son vagin. Délicieusement emplie, Patricia jouissait avec sagesse, en se tortillant à peine. Ses nichons éraient pris d’une douce tremblote. Dans cette chambre, nous étions parcourues du même frisson, de la même chaleur. Deux femmes en chaleur et un homme marié pervers !
Je m’écroulais entre les cuisses de ma dompteuse. Madeleine dépliait mollement son corps endolori. Elle gémissait doucement, en caressant nos fesses. Patricia, attendrie, allumait une cigarette en s’enveloppant dans une couette.
Je retournais chez moi, en marchant derrière ma bite. Et voila mon histoire est terminée. Nous somme pour l’heure dimanche, ma voisine Madeleine est seule à sa maison avec peut-être des pensées sarcasmes dans la tête, et tiens aussi, nous sommes le jour où Patricia, sa fille vient lui rendre visite. Vous me suivez, non et bien cela sera peut-être mon prochain épisode.
A BIENTÔT.