(J’ai déjà publié il a quelques années dans X-story ce récit sous le titre : « Dommage que les vacances terminent » dans la série « érotique ». C’était un peu hypocrite car on n’y trouvait que de l’inceste. Je l’ai un peu remanié et complété. Je ne résiste pas au plaisir de vous le proposer à nouveau mais cette fois ci dans la bonne série En espérant qu’il plaira Cidoup)
Assis sur la terrasse de ma maison, je déguste le pastis que je viens de me servir. Il fait un temps splendide en ces derniers jours du mois d’août. Quand j’ai acquis cette résidence, nos enfants, François et Catherine, étaient petits. Maintenant je suis à la retraite, ma femme n’a pas résisté au cancer qui la rongeait depuis plusieurs années, les enfants se sont mariés, ont eu eux même des enfants qui ont grandis. L’habitation de vacances est devenue trop grande car les jeunes préféraient aller au bord de mer plutôt que dans la moyenne montagne. J’allais me décider à la vendre quand, il y a deux ans, mon gendre et ma fille ont acheté la propriété voisine. Du coup je me suis installé à demeure dans cette maison ne conservant en ville qu’un petit appartement pour les mois d’hiver. Nous avons fait abattre le mur de clôture pour pouvoir communiquer facilement et j’ai fait creuser une piscine entre les deux bâtisses.
Cette année Catherine est venu passer un mois de vacances avec Annie, sa fille ainée dont l’automne passé nous avons fêté le dix-huitième anniversaire. Marco son cousin les a accompagnées. C’est le fils aîné de François. Cela m’a étonné : les deux cousins ne cessaient de s’asticoter au point de nous pourrir les congés précédents. Catherine m’a assuré que c’est à la demande exprès de sa fille que Marco les a rejoints. « Son petit frère ayant préféré partir en camp d’adolescent, Annie avait peur de s’embêter, je ne pouvais pas refuser » m’a expliqué ma fille. Je suis dubitatif : avoir peur de s’ennuyer me parait un motif bien futile pour expliquer cette invitation. Je soupçonne qu’il y a une autre raison.
— Ils s’entendent bien, je suis soulagée. Vu comment ils s’étaient comportés les années précédentes, j’appréhendais la confrontation entre les deux cousins, m’avoue Catherine une semaine après leur venue. Je suis bien contente pour Annie.
Suis-je le seul à être alerté par certains gestes que les deux cousins échangent quand ils se croient seuls ? Enfin, je peux me tromper. De toute façon ce n’est pas bien grave et c’est de leur âge. Si Catherine ne dit rien ce n’est pas à moi de le faire ! Toujours est-il que les vacances se sont bien passées. L’inauguration de la piscine y est sûrement pour quelque chose ! Je prends plaisir à les voir s’ébattre dans l’eau, la mère, la fille et le neveu. Moi je préfère me prélasser sur une chaise longue à les regarder s’amuser. C’est surtout ma fille que j’admire. Deux grossesses n’ont pas altéré sa silhouette. Pour moi elle reste la jeune fille qui a déboulé chez nous un après-midi il y a vingt, non vingt-deux ans
« Je suis exceptionnellement seul à la maison. J’ouvre la porte au coup de sonnette impératif. Catherine en larmes se jette dans mes bras.
— Papa, Papa !
J’ai juste le temps de refermer la porte et d’entraîner ma fille dans le salon. Elle me pousse sur le canapé et se blottit contre moi, assise sur mes genoux.
— Papa, Papa, je suis mal mal… malheureuse
Je pense qu’il s’agit encore une déception amoureuse, une de plus. A vingt ans ma fille fait des ravages parmi les étudiants de sa faculté, ce qui ne va pas sans certains inconvénients pour elle La preuve
— Si tu me racontais la cause de ce gros chagrin.
Catherine enfouit la tête contre mon cou. Je câline les cheveux courts. Des cheveux, la main glisse sur l’épaule dénudée car la jeune fille ne porte qu’un caraco maintenu par deux fines bretelles en ce mois de mai particulièrement chaud. De toucher sa peau douce m’emplit d’un émoi soudain. A ma grande honte, un début d’érection emplit mon pantalon. Je n’ose bouger car Catherine dans ses sanglots se tortille sur mon bas ventre, ce qui n’améliore rien. J’éprouve l’envie irrésistible de la sentir contre moi, peau contre peau. J’imagine que ce n’est plus ma fille que j’ai dans les bras, mais une magnifique créature, sensuelle et de surcroit, malheureuse. Mon sexe grossit, je ne sais que faire. Je suis honteux du plaisir que je sens monter en moi. Par bonheur Catherine qui remue toujours sur mes genoux ne semble s’apercevoir de rien. Troublé par ce désir d’inceste, je veux la repousser mais elle s’accroche à moi pressant sur la verge qui s’est complètement développée.
Tout à coup un petit bout de langue vient lécher mon cou. Cela sonne le glas de mes fragiles résolutions. Je prends la figure de ma fille à deux mains et parcourt le visage en semant des petits baisers, sur le front, les yeux, les joues la bouche Une langue frétillante vient à la rencontre de mes lèvres. Je ne résiste plus et accepte le baiser
Mes mains, livrées à elle-même, caressent le dos de Catherine, glissent sous le caraco et remontent vers la poitrine libre. Je frémis quand mes doigts enveloppent un doux mamelon et que le téton érigé trace une ligne sur ma paume, la ligne de ma chance pensais-je en cet instant parodiant Prévert. Ma fille lâche mes lèvres pour ôter le frêle vêtement et offrir ses seins aux caresses paternelles.
La jupe rejoint rapidement le caraco sur le tapis tandis qu’elle déboutonne ma chemise, patouille dans les poils de la poitrine et s’amuse avec les petits tétins. Une fois la mini culotte enlevée, je la prends dans les bras, l’emmène dans la chambre et la dépose sur le lit. Elle me sourit, magnifique, belle à en mourir et me tend les mains pour m’attirer. Je quitte en vitesse pantalon et slip pour venir m’allonger auprès d’elle. Nos lèvres se rejoignent à nouveau, elle glisse sous moi, écarte les cuisses La verge dure se retrouve par miracle juste au bon endroit, je n’ai plus qu’à avancer de quelques centimètres pour accomplir l’irréparable. Un dernier scrupule me retient et c’est Catherine qui d’un coup de rein rageur vient s’emmancher sur la hampe rigide
— Aah !
C’est tout ce qu’elle dira durant le long échange. Nous faisons l’amour sans hâte, avec douceur. Je sens l’éclosion de son plaisir, surveille son développement et ne me laisse aller qu’après la certitude qu’elle a joui
Je reprends mes esprits le premier. Je ramasse mes affaires et sort de la chambre. Quand je reviens avec les habits de Catherine, celle-ci n’a pas bougé, les yeux clos, étalée impudiquement belle sur le couvre lit. Quelques gouttes suintent de sa chatte rose. Je détourne le regard et pose ses vêtements sur une chaise avant de rejoindre la salle de bain.
Quand je ressors de longues minutes après, ma fille n’est plus là. Je n’ai même pas pu lui demander la raison du gros chagrin responsable de sa venue »
Vingt-deux ans déjà et le souvenir est aussi vivace que le premier jour. Le souvenir, car jamais ma fille n’a fait la moindre allusion à ce qui s’était passé, jamais elle ne m’en a parlé malgré mes tentatives, discrètes il faut dire. Cette étreinte n’a été qu’un moment d’égarement, merveilleux mais sans lendemain
C’est la fin des vacances Dans quelques jours, à la fin de la semaine, Fred le mari de Catherine va venir chercher sa famille. J’aime bien mon gendre qui semble rendre ma fille heureuse. J’ai moins d’affinités avec Carole, la femme de François, avec qui je ne me suis jamais senti à l’aise. Peut-être que l’année prochaine ça ira mieux car elle doit venir passer les vacances ici avec ses enfants L’espoir fait vivre
Tout à coup la porte fenêtre donnant sur la piscine chez ma fille s’ouvre avec fracas. Annie déboule et plonge dans l’eau. Je fronce les sourcils : Cette petite dévergondée est sortie les seins à l’air, les voisins vont encore faire des gorges chaudes ! Ce n’est pas faute de l’avoir averti, mais ces jeunes, ça n’en fait qu’à leur tête ! Ça n’a pas loupé ! Je vois le rideau de la maison d’en face bouger, ils devaient être à la fenêtre à épier. Ma foi, si cela leur fait plaisir Je les comprends, car moi-même admire la jeune fille comme si ce n’était pas Non, pas de ça Michel, c’est ta petite-fille, ne l’oublie pas ! Malgré moi un picotement agréable se développe dans mon bas ventre. C’est qu’elle est mignonne à regarder dans sa demi-nudité ! Ah ! Si elle n’était pas la fille de ma fille Marco la rejoint. Je trouve d’ailleurs qu’il la serre d’un peu trop près comme s’ils étaient amants. Cela renforce mes soupçons. Qu’ils fricotent entre cousins, peu me chaut, mais je ne tiens pas à ce que leur attitude fasse jaser. Je leur crie pour que cela cesse.
— Veuillez vous tenir convenablement ! Les voisins vous regardent !
— Bah ! Quelle importance Papy ! De toute façon on s’en va bientôt, rétorque Annie.
Elle coupe court à la conversation en entrainant son cousin sous l’eau. Je hausse les épaules, termine mon verre de pastis et veux rentrer le rincer. Au même moment Catherine sort en courant vers ma maison. Je lui souris. A quarante-deux ans c’est une très belle femme qui ressemble de plus en plus à ma défunte épouse.
— Papa ! Papa !
— Qu’est-ce qu’il y a ?
— Oh Papa ! Papa !
Je remarque alors les cheveux en désordre, le chemisier à moitié déboutonné sur un sou Elle ne porte pas de soutien-gorge ! Sa poitrine ballotte librement, ce n’est pas dans ses habitudes ! Qu’est-ce qui la bouleverse à ce point ? Elle parcourt les derniers mètres et se jette dans mes bras.
— Papa ! Oh Papa !
Je jette un coup d’il vers la fenêtre des voisins. Evidemment, le rideau bouge ! J’entraîne ma fille à l’intérieur.
— Qu’est-ce qu’il y a ma chérie ?
Après avoir déposé mon verre je veux l’asseoir dans un fauteuil, elle résiste, me pousse sur le canapé et s’installe sur mes genoux la tête contre mon épaule.
— Que t’arrive-t-il ? Qu’est-ce qui te met dans un tel état ?
— Oh Papa, Papa !
Je lui caresse les cheveux.
— Là, calme-toi !
Contre moi, je la sens peu à peu se détendre.
— Tu permets que je reste comme ça un petit moment ?
— Je t’en prie ma chérie.
Elle se serre contre moi comme si elle voulait rentrer dans mon corps. Ses seins s’écrasent contre ma poitrine. A travers la fine soie de son corsage je sens sa peau palpiter. Je caresse doucement ses cheveux. C’est dans une situation similaire qu’il y a vingt-deux ans elle m’avait offert le plus merveilleux cadeau. J’ai beau savoir que l’histoire ne repasse pas les plats, mon cur se met à battre plus vite. Ma virilité, coincée par Catherine, se réveille. J’ai peur que ma fille s’en aperçoive et je veux l’écarter. Elle résiste et se love encore plus contre moi. Ses fesses massent doucement mon sexe au rythme de sa respiration. Un doux émoi m’enveloppe. J’abdique et la laisse faire. Plusieurs minutes passent ainsi et je jouis sans remords de ces instants qui me rappellent les doux moments vécus lors de ce merveilleux après-midi Il y a si longtemps
Tout à coup mon cur s’accélère : une petite langue vient sucer le lobe de mon oreille ! Il y a vingt-deux ans c’est ainsi que Catherine avait agit ! Se pourrait-il ?
— Aime-moi Papa
De joie mon cur loupe un battement ! Comme la première fois, j’emprisonne la figure adorée dans les mains et parcourt le visage de baisers. Catherine, impatiente, colle sa bouche contre la mienne, la fouille de la langue. Je réponds avec fougue tout en caressant un sein.
— Aime-moi Papa !
J’ôte son chemisier. Elle tire sur mon tee-shirt. Nous nous déshabillons mutuellement à la hâte. C’est vite fait : la jupe à faire glisser sur les cuisses, elle se retrouve nue. Je ne porte pas de slip et quand Catherine descend mon short sur les chevilles elle libère la queue frémissante. Je dégage frénétiquement mes pieds et me jette sur ses seins. Ce n’est plus la poitrine triomphante de sa jeunesse mais pour moi elle est plus émouvante. Je m’attarde à suçoter les tétins qui dardent comme des petits pénis. Mes lèvres parcourent le ventre toujours plat malgré deux grossesses, atteignent le pubis. Je souris devant la touffe de poils brun bien taillés qui voilent la fente. Je fouille dans la mini forêt et découvre le petit appendice sensible.
— Ooh ! Papaaa !
Saurai-je conduire ma fille au plaisir clitoridien comme je parvenais avec mon épouse ? Oui ! Ses gémissements ne mentent pas ! J’ai de la peine à maintenir en place le bassin qui se dérobe devant la langue indiscrète. Je me délecte de la liqueur qui sourd entre les lèvres intimes. Catherine roule la tête de part et d’autre. Elle agrippe mes cheveux et me force à entrer la langue dans le puits d’amour. Après la langue, je fouille d’un, puis de deux doigts tout en mordillant le clitoris.
— Aaaahhh !
Un long gémissement accompagne l’orgasme de ma fille, un spasme de jouissance emprisonne ma figure entre ses cuisses
Elle relâche son étreinte au moment ou étouffé, j’allais m’extraire.
— Aime-moi Papa !
Elle m’attire en elle. Comme la première fois, le gland se présente au bon endroit, mais aujourd’hui je n’ai plus de scrupule, et je m’enfonce en vainqueur dans l’orifice tant désiré. Elle fait plus que subir, avançant le bassin à chaque coup de boutoir. Elle m’enserre entre ses cuisses et ses talons se referment sur mes fesses.
Nous tombons du canapé sans nous désunir. D’un coup de rein rageur Catherine parvient à prendre le dessus et me chevauche d’une galopade échevelée. Cette débauche d’énergie me fait sourire. Je la laisse se démener tout en soutenant les seins qui ballottent à portée de mes mains. Le carrelage est frais, presque froid, le short rentre douloureusement entre mes épaules, je n’en ai cure, tout à la joie de sentir ma fille bien aimée parvenir à la jouissance.
— Aaah ! Aaaah ! Aaaaahh ! Mmmmmh !
Elle s’effondre sur moi épuisée. Moi, j’ai déjà libéré mon sperme mais j’ai réussi à conserver une raideur à mon sexe jusqu’à l’éclatement de l’orgasme de Catherine. Je l’enserre de mes bras.
— Ma chérie Ma chérie
L’anesthésie du plaisir se dissipant, je ressens le froid du carrelage.
— Excuse-moi ma chérie, ce n’est pas très confortable.
— Oh pardon Papa !
Elle me libère et m’aide à se relever et m’asseoir sur le canapé.
— Je ne sais pas ce qui m’a pris, continue-t-elle. Tu ne m’en veux pas ?
— De quoi ? Avoir fait l’amour avec toi est la meilleure chose qui me soit arrivé depuis longtemps.
— Tu sais, quand j’ai débarqué tout à l’heure je n’y pensais pas. Assise sur tes genoux je sentais ton sex Euh De constater que je t’inspirais du désir m’amusait A la longue, ça m’a tourneboulé.
— De te tenir contre moi m’a remémoré ce qui s’était passé il y a vingt-deux ans et deux euh trois mois.
— Oh Papa ! Tu te souviens ?
Elle sourit au rappel de notre première fois et se blottit contre moi.
— Oui ma chérie, oui. Et merci J’en rêvais Depuis si longtemps
— Moi aussi Papa, moi aussi.
— Ah ? Pourquoi ne disais-tu rien ? Je n’attendais qu’un signe de toi.
— Je ne sais pas A cause de maman peut-être
Le fantôme de la disparue rôde un instant entre nous. Catherine me caresse la poitrine, sa main descend sur le ventre, fouille dans les poils et se referme sur la tige molle. Je la laisse faire, c’est tellement agréable. Je parviens à dire tout en triturant un bout de sein :
— Si tu me disais maintenant ce qui t’a bouleversé à ce point ?
— Oh j’ai honte Papa, j’ai honte !
— De ce qui vient de se passer ? Je ne comprends plus, tu disais
— Oh non, c’était merveilleux Papa, je te remercie ! J’en avais tellement envie, merci, merci.
Que c’est agréable à entendre !
— Alors ?
Devant son silence je lui rappelle :
– Tu as promis de me dire
— Je sais bien, mais j’ai honte.
— Tu te répètes tu sais, mais tu ne dis pas pourquoi ?
— Cet après-midi Euh
— Quoi cet après-midi ?
— Dans la chambre d’Annie, je l’ai vue avec Marco entrain De Euh
Je l’encourage devant son hésitation.
— Ils s’envoyaient en l’air ?
Catherine me regarde étonnée, sans lâcher la verge qu’elle enroule autour d’un doigt.
— Tu étais au courant ?
— Non, mais cela ne me surprend pas. Le changement d’attitude l’un envers l’autre m’avait mis la puce à l’oreille Ainsi tu les as surpris ensemble Le cousin et la cousine, c’est cela qui te bouleverse ?
— No-non.
— Alors ?
— J’étais au seuil de la chambre incapable de bouger Elle était couchée sur le dos, Marco entre ses cuisses écartées. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, mais au lieu de partir, je restais là sur le seuil Je me disais qu’il fallait que je les sépare mais je n’en faisais rien, fascinée par la scène Ma fille m’a sourit. Marco et elle m’ont invité à les rejoindre Je me suis avancée vers le lit. Je me suis assise à leur coté Oh j’ai honte ! Ma fille a pris ma main et l’a posée sur sa poitrine Un frisson m’a parcouru au contact de cette chair tendre Oh j’ai honte ! Quand Marco s’est relâché, ils m’ont cajolé Je me suis laissé faire Je me suis retrouvé nue entre eux deux Leurs mains exploraient mon corps Annie m’a embrassé sur la bouche Oh ses lèvres ! Quel merveilleux baiser Puis elle s’est couché sur moi je sentais sa poitrine glisser contre mon ventre Elle a embrassé mes seins Qu’ils étaient durs sous ses lèvres ! Puis sa bouche a atteint mon sexe. L’a fouillé Oh sa langue ! J’ai honte Je me suis laissé lécher, suçoter, mordiller le sexe par ma fille Quelle honte ! Mais que c’était bon ! Puis ils m’ont allongé sur le coté Annie devant, Marco derrière Je sentais sa queue s’introduire entre mes fesses Annie ouvrait mon vagin de deux doigts Le gland glissait J’étais tellement mouillée que je n’ai réalisé qu’il s’était introduit que lorsque ses poils ont chatouillé mes fesses C’était bon Annie qui triturait mon clitoris tout en monopolisant mes lèvres Je caressais sa jeune poitrine Ils m’ont fait l’amour tous les deux J’étais bien La jouissance m’a envahi. Ça a duré Ça n’en finissait pas C’était C’était merveilleux Moi entre ces deux enfants J’ai reçu comme une décharge électrique quand les jets de sperme ont envahi ma chatte Un dernier frisson m’a secoué lorsque la verge molle a glissé hors du vagin Que c’était bon Ils m’ont embrassée tendrement et sont sortis de la chambre
Pendant ce monologue entrecoupé de silences que je me garde bien d’interrompre, Catherine caressait ma queue qui raidissait peu à peu.
— Dis ! On dirait que mon récit te fait de l’effet !
— Je ne peux rien te cacher.
— On va arranger ça.
Les doigts de ma fille se referment sur la tige en une douce masturbation qui atteint rapidement son but. Quelques gouttes de sperme viennent s’écraser sur le carrelage.
— Voilà, tu es calmé ?
Je la remercie d’un baiser sous l’oreille.
— Tu es un amour Qu’as-tu fait quand ils sont partis ?
— J’ai mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits. Tout à coup l’horreur
— L’horreur ? Tu n’exagères pas un peu ?
— Euh Si Disons la honte de ce qui venait de se passer m’a submergée Tu te rends compte ? Je venais de faire l’amour avec Annie et Marco ! Avec ma fille et mon neveu !
— Et tu as joui !
— Oui, c’est même le plus terrible dans l’histoire, j’ai joui comme t’as pas idée ! Je me suis rhabillée à la hâte
— Ça, je l’avais remarqué, tu en as oublié d’enfiler des sous-vêtements.
— Euh J’étais pressée de te rencontrer.
— Et tu es venue te réfugier chez ton père chercher du réconfort.
— Exactement.
— Et celui-ci a lâchement profité de ton désarroi.
— Comment lâchement ? demande-t-elle dans un petit rire.
— C’est ce que nous prétendrons si quelqu’un nous fait une remarque.
— Qui ?
— On sait jamais, les enfants par exemple.
— Ils n’ont rien à dire ceux-là !
Catherine se dégage, ramasse sa jupe, la défroisse et l’enfile.
— Tu pouvais rester nue, tu sais, cela ne me dérangeait pas.
— Il faut que je rentre, j’ai le repas à préparer Tu manges avec nous ?
— Non, pas ce soir, tout est prêt à la cuisine.
Catherine enferme ses seins sous le chemisier qu’elle boutonne soigneusement.
— Comment me comporter avec eux maintenant ? Que leur dire ?
— A ta place je ne ferai rien et agirai comme d’habitude. Ce sont eux qui ont pris l’initiative n’est-ce pas ? Ils sont majeurs et doivent prendre leurs responsabilités.
— Tu crois ?
— J’en suis sûr. A mon avis tout se passera bien.
— Pourvu que tu aies raison.
Un dernier baiser sur les lèvres, une caresse à ma verge ratatinée et elle s’enfuit. Je regarde ma fille franchir la porte qui donne sur la piscine. Quel après-midi ! Bon dieu, quel après-midi ! Si je m’attendais
A suivre