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Qu'a-t-elle fait là? – Chapitre 2




Geneviève voulait quitter le cinéma toute seule. Après s’être rhabillée rapidement elle se dirigeait vers la sortie de la salle.

Après seulement quelques pas dans l’allée, près du mur, un homme plus jeune que le précédent lui barrait le chemin :

— Où allez-vous comme cela, jolie petite madame ? Suivez moi, vous allez assister à une

    projection privée.

— Mais laissez moi passer ! Je dois rentrer chez moi, on m’y attend !!

Elle n’avait pas le temps d’esquisser le moindre geste que son interlocuteur la saisissait par le poignet pour l’attirer dans une petite salle plus discrète qui se trouvait à l’étage avec vue sur l’écran.

Au milieu de la pièce se trouvait un grand divan bleu, les murs étaient de couleur rose saumon et une tenture de même couleur faisait office de porte.

— Mais.qu’est-ce que je fais ici, demandait-elle fébrilement ?

— Ce que tu as toujours voulu faire, ma belle : te faire sauter par plusieurs mecs !!!

— Vous mentez et laissez moi partir !

— Ah, je mens ? Et que fait une femme telle que toi : bien roulée et bandante dans un cinéma

    porno où il n’y a que des hommes, lui demandait cet homme qu’elle trouvait assez mignon ?

Elle n’avait pas le temps de répondre que deux autres hommes faisaient irruption dans la pièce :

— Voici des amis à moi : Allen et Patrick. On t’a vu à l’ouvre tout à l’heure et nous aussi, nous

    voulons une part du gâteau.

Allen devait avoir une cinquantaine d’années bien au physique agréable dans le style de Bruce Willis tandis que Patrick était plus petit et moins sportif en apparence.

La canadienne, assise sur le divan, sentait les regards se poser sur elle. Les mains croisées et posées sur ses genoux lui donnaient une image de petite fille sage.

Elle sentait sa poitrine se soulever à chaque respiration et son pull moulant faisait ressortir ses seins. Le fait d’y penser faisait dresser ses tétons qui, maintenant à leurs tours, devaient être voyant. Le stress de la situation s’emparait d’elle.Son cour cessait de battre.

Le plus âgé des trois, cheveux blanc et encore bel homme, s’asseyait à sa droite. Un doute envahissait la jeune femme :

— « Ma pauvre Geneviève dans quel pétrin t’es tu fourrée. Qu’est -ce que je fais? Je me lève

    et je m’en vais? Et j’aurai fait tout ce chemin pour rien ? Non, c’est trop bête ! Je suis là, et

    bien il ne me reste qu’à assumer ».

Allen avait posée sa main sur son genou. Elle remontait doucement la jambe tout en la caressant. Elle était sûre que même si elle le voulait, Geneviève serait incapable de se lever car ses jambes ne la soutiendraient pas. Elle était tétanisée.

Et pourtant même si cette caresse lui était agréable, la peur de ne pas savoir jusqu’où cette séance allait la mener qui la tiraillait.

Arrêtant son avancée, et comme pour lui faire accepter d’aller plus loin, il lui malaxait lentement la cuisse. La voyant toujours sans réactions, il reprenait sa route. Sa main glissait doucement sous la jupe atteignant la barrière de dentelle noire de ses bas. Nouvel arrêt, nouvelles pressions sur la cuisse. Le contact peau à peau la faisait tressaillir.

Contre toutes attentes, la main du bonhomme redescendait jusqu’au genou pour le tirer vers lui, invitant la canadienne à ouvrir ses jambes. Elle était comme envoûtée, naviguant dans un état second qui semblait la déconnecter de la réalité.

Alors elle se laissait faire. Mieux, Geneviève glissait sur le siège pour mieux s’ouvrir. Elle sentait son sexe couler tellement qu’elle était excitée.

Les deux jambes étaient collées l’une à l’autre. Il ne pouvait plus y avoir de doute sur le fait qu’elle était d’accord de poursuivre ce moment. Fort de cette acceptation, il prenait la jambe de sa voisine, la levait et la posait sur la sienne, emprisonnant ainsi le mollet entre ses genoux.

Sa main remontait, pour arriver de nouveau à la dentelle, caressant maintenant le haut de la cuisse. Sa main était douce, chaude. Inconsciemment elle écartait encore plus l’autre jambe, pour mieux s’offrir aux caresses. Elle fermait les yeux et se laissait aller au fil du plaisir.

De son petit doigt, Allen écartait doucement les grandes lèvres toutes roses, elles se décollaient sans effort. Puis un autre doigt glissait maintenant le long de la fente.

Geneviève était trempée par le plaisir. D’une légère pression il faisait pénétrer ce doigt curieux, et la fouillait délicatement. Elle se sentait inondée. Il le ressortait pour s’intéresser à son clito. Il tournait autour, le pressait, le frottait. Cette femme totalement abandonnée aux caresses était prise d’une première vague de jouissance. Les yeux toujours fermés, elle tentait de se mordre la lèvre inférieure pour ne pas gémir, en vain :

— Haaaââââââââââ., juste un petit sursaut quand sa main reprenait "le droit chemin ".

Comme tout à l’heure sa main caressait sa grosse motte, sa belle motte non repue de queue.

— Oooooooooh, çà suffit, tu peux y aller franchement maintenant..

Elle prenait la main d’Allen et la fourrait directement dans son vagin, le string n’existait plus, il avait deux doigts dans son con ruisselant et elle suffoquait à respirer si vite.

Il avait gardé ses deux doigts dans la vulve en feu et il allait et venait lentement, si lentement qu’en même temps son pouce appuyait sur le clito :

— Hoooooaa.que s’est bon..fais ce que tu veux, je suis à toi, branle moi bien..oui c’est

  ça, je suis ta chienne, ton objet, prends moi. s’il te plait .Ooooo", tu vois j’ai les cuisses

  écartées au maximum et ta main est dedans, continue comme ça..

  Elle te plait ma petite chatte ? Oh que oui elle te plait, hein mon salaud, une petite chatte,

  bien coulante, bien chaude, bien ouverte, bien mouillée, bien. bien.. A toiiiiiii.ahhhhh,

  je n’en peux plus…

Geneviève gigotait dans tous les sens et ses cheveux lui cachait une partie du visage, essayait de relever les fesses pour qu’il aille plus loin, elle en profitait pour enlever ce string noir qui la gênait encore :

— Allez plus fort tu vois bien que j’aime ça, je suis ta pute du jour, profites-en ! Un salaud qui

  se paye une tranche de fourette salace et crapuleuse çà n’arrive pas tous les jours

En même temps, son autre bras n’est pas resté inactif. Il avait relevé le pull et lui caressait un sein. Le salopard ! Il lui titillait le mamelon, le pinçait, le tirait.

— « Ohhh, c’est ce que je préfère, il va me rendre dingue à me prendre comme çà, si çà

  continue moi non plus je ne fairais pas long feu, se disait-elle ».

De pire en pire, elle ne se contrôlait plus même si elle n’était pas une "expansive" au départ :

— Tu t’en souviendras de ta petite salope hein? T’aimes çà mon cochon hein, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiii,

    c’est çà, que tu me branles bien ! Ouiiiiiiiiiiiiiiii vas-y je ne suis pas loin de jouiiiiiiiiiiiir, je

    suis ta salope hein ? Elle est bonne maintenant la petite Geneviève.

Elle n’avait pas le temps de poursuivre son discours qu’il lui rentrait un doigt dans l’anus provoquant chez elle un premier orgasme! Ce mamelon qu’il pressait et un doigt dans chaque orifice, elle repartait :

— T’es content hein. Tu m’as fais jouir comme une petite salope.? Quel orgasme !!! Quel

    pied ! ! !

Immobile, elle était étendue là, les yeux hagards, elle lui souriait son regard se portait sur ses seins. Sans avoir compris comment il s’était retrouvé sur elle, avec sa bite énorme qui venait de se placer face à sa chatte et qui d’un coup rentrait bien au fond.

Elle poussait encore un cri en sentant cette masse venir la remplir. Les mains cramponnées à sa croupe ronde et fessue de jolie salope, elle le sentait qu’il la tirait vers lui pour défoncer la chatte avide de queue.Allen soufflait dans son cou et murmurait des « horreurs » qui la faisaient mouiller et continuer à jouir.

Elle accompagnait les coups de rein par une houle de son bassin de manière à bien le faire rentrer dans sa grotte jouissante.

Ses mouvements s’accéléraient, ses râles aussi. et comme la cloison qui devait être fine répercutait la partie de baise dans la pièce à coté.

Geneviève était excitéeeeeeeeee, mais excitéeeeeee.dans un râle énorme, qui fait écho à son orgasme, il se vidait en elle à longs jets puissants. Elle sentait les frémissements de la queue qui déchargait le sperme dont elle étais devenue :

— .Ouiiiiiiii, encooooooooore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, jouiiiiiiiiiiiiiiiiiis en moi,

    juiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis fort, jouiiiiiiiiiiis bien profooooond, rempliiiiiiiiiiiiiiiiis-moi

    AAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhhhhh..salaud !!!

Leurs corps étaient soudés par la sueur le temps de reprendre leurs esprits. Allen se relevait laissant la belle Geneviève vautrée sur le divan avec les jambes écartées.

La femme, sentant le sperme couler le long de ses cuisses, portait sa main entre ses cuisses pour l’étaler sur son bas-ventre.

— Et bien pour une qui ne voulait pas, tu t’es comportée comme une chienne en chaleur,

    s’exclamait Phil le troisième présent dans la pièce, et maintenant c’est à notre tour.

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