Vacances 2018

2éme semaine de vacances.

Jeudi… suite

Sur le chemin du retour, les deux filles marchent bras dessus, bras dessous. Elles sont serrées l’une contre l’autre comme deux amantes en pleine lune de miel, les mots sont superflus. La rencontre d’Inès a laissé beaucoup d’interrogations en suspend, et toutes les deux sont dans leurs pensées. La discussion de cette après-midi marque un tournant dans les relations entre les deux amantes, même si elles n’en sont pas encore conscientes.

Christine aime Ophélie comme elle n’a jamais connu pareil embrasement, cependant, elle s’interroge sur la nature de cet amour, sans y faire attention, sa passion grandit de jour en jour, cependant, les paroles d’Inès ont provoqué un déclic. Elle aime conduire sa chérie, elle adore lorsque son amante lui est soumise, elle prend énormément de plaisir à contraindre sa belle-sur, aussi Christine réalise qu’elle est accro à cette obéissance acceptée et qu’elle ne pourrait plus s’en passer. C’est une révélation.

Quant à Ophélie, elle est plus que troublée par le raisonnement d’Inès, pendant ces vacances, elle s’était contentée de vivre ses envies sans se poser de questions, elle a découvert un amour démesuré avec sa belle-sur et s’est laissée porter par des sensations inédites et grisantes. Elle vit la contrainte et l’obéissance comme un dépassement d’elle-même, apprend à surmonter sa honte et découvre une jouissance toujours plus forte lorsque Christine la force à se soumettre. Elle se retrouve à faire des choses qu’elle n’aurait jamais imaginées auparavant, elle aurait trouvé ces idées folles comme perverses, et puis maintenant, elle se demande jusqu’où elle peut aller pour prouver son amour à sa chérie, que ferait-elle pour toujours vivre avec elle.

Rentrées à la villa, elles se dirigent toutes les deux à la douche. Bien que discrète, Ophélie avec sa façon d’onduler en marchant donne des picotements au creux de l’estomac de Christine. Le balancement de ses hanches lui donne le vertige ! Cette fille est une bombe à retardement et des envies d’étreintes impudiques refont surface rapidement. Cette femme lui fait toujours autant d’effet. Elle se retrouve nue dans son dos et collée l’une à l’autre, toute la tension accumulée cette après-midi éclate d’un seul coup. Christine passe alors ses bras autour de sa chérie, la serre de toutes ses forces contre elle en lui mordant le cou.

Que tu es belle ma chérie, je ne me lasse pas de te contempler, chaque détail de ton corps me fait envie…

Oh oui, encore, relance Ophélie en inclinant sa tête vers l’arrière.

Que j’aime, la largeur de tes hanches, la rondeur de tes fesses, la forme de tes seins, continue Christine en empaumant les rondeurs moelleuses…

C’est tout !

J’aime quand tes tétons bandent et qu’ils sont durs comme des crayons, renchérit Christine en triturant, étirant puis serrant les tétines turgescentes, ce qui provoque un petit cri de sa chérie… mais j’aime aussi ton joli visage avec en plus cette tête toute nue, et bien sûr quand tu es vicieuse comme tout à l’heure à la plage.

Prenant ensuite sa belle-sur par les épaules, elle lui fait faire demi-tour, lui enserre son cou à deux mains et plonge vers sa bouche pour finir sur un baiser où les deux filles ne se séparent qu’après un long moment, tout essoufflées.

Désireuses d’être plus à l’aise pour se câliner, elles se lavent mutuellement, ne s’attardant pas et courent toutes les deux vers le lit.

Comme par enchantement, chacune voulant s’occuper de l’autre, elles se retrouvent en soixante-neuf, Ophélie allongée à plat dos sur le lit, la tête relevée enfouie dans les nymphes de son amante et Christine au-dessus à quatre pattes au-dessus, occupées à retirer l’uf encore logé dans les profondeurs d’Ophélie.

Le jouet sorti, elle le détache du piercing et s’immobilise, pose quelques baisers tendres sur le pourtour de la vulve, sur les cuisses, puis revient sur le bijou, le soulevant avec sa langue et léchant le bourgeon à demi sorti.

Ophélie adore ses attentions, Les vagues de plaisir lui vrillent son bas-ventre, remontant insidieusement dans son vagin aussi, excitée par la jouissance longtemps contenue, elle écarte franchement les fesses de sa belle-sur avec ses mains, plonge sa bouche sur la fente ouverte, colle ses lèvres et aspire goulûment en remuant sa langue. L’afflux de cyprine aiguise encore plus sa libido, elle lèche alors la vulve béante, se dirige vers l’illet palpitant en n’oubliant pas le périnée. Avec sa fougue habituelle, Ophélie fait rapidement plusieurs allers-retours, puis subitement, insère son majeur dans l’anus en même temps qu’elle aspire le bouton d’amour devenu saillant.

Christine est la première à jouir sous la langue d’Ophélie. La tête toute lisse entre ses cuisses avec une enragée qui lui branle le cul et aspire son bouton avec frénésie, elle perd toute retenue ; elle s’aplatit sur la tête de sa belle-sur alors qu’elle s’époumone dans un long vagissement.

Surprise par la rapidité comme l’intensité de l’orgasme, elle savoure l’instant, mais insère rapidement deux doigts dans la vulve bouillante de sa chérie en la branlant énergiquement. Cette furieuse d’Ophélie a lâché le clitoris de son amante, mais collait la bouche à sa chatte, suçant tout son jus. Elle va la faire repartir si Christine la laisse faire. Elle rajoute donc un doigt dans l’anus qu’elle enfonce de toute sa longueur. Ophélie s’est cabrée de surprise. Christine ne lâche pas pour autant sa prise, mais reprend les va-et-vient plus rapides encore. Ophélie doit repousser le cul vers le haut pour respirer et gémir, son cul l’irrite, sa vulve brûle. Et puis, une irradiation fulgurante remonte de son ventre, atterrit dans sa gorge, elle hurle et se relâche complètement, elle cuve cet orgasme libérateur.

Après le repas du soir…

Vautrée dans le fauteuil du salon, les filles dégustent une Margarita collée l’une à l’autre quand doucement, Ophélie s’allonge sur le canapé, la tête sur les jambes de sa belle-sur, elle la fixe le regard vicieux. Christine l’observe, pose délicatement les mains sur le visage de sa chérie, caresse les joues, le cou, le crane puis plonge la bouche sur les lèvres qui l’appellent. Ophélie n’attendait que cela, elle maintient la tête sur elle, ouvre la bouche, accueille la langue, tourne avec elle dans une sarabande effrénée puis, le souffle court, elle l’aspire, la suce. Christine n’avait jamais connu ce tel traitement, se faire branler la langue telle une bite, éprouver ce plaisir qui vous vrille le ventre. Sa belle-sur est une adorable garce. Elle arrive à lui tourner la tête, la provoque, la déstabilise, la rend folle. Christine voulait passer une soirée calme à se câliner, mais sa chérie est insatiable.

Elle se rappelle alors les incartades de sa belle-sur cette après-midi, les conseils échangés avec Inès, et décide d’infliger à sa chérie une punition à contre-courant…

Christine s’extrait de sa sangsue, regarde sa belle-sur au visage réjoui, puis lui dit :

Va mettre ton collier et attends-moi dans ta chambre.

Avec une lueur d’excitation dans les yeux, Ophélie se relève, part vers la chambre rejointe quelques minutes plus tard par son amante.

Mets-toi à poil ma belle garce, comme tu es insatiable, je vais essayer de calmer tes ardeurs. Mets la cagoule maintenant et présente-moi tes mains…

Excitée comme à chaque fois qu’elle met son collier, Ophélie enlève son unique vêtement et débarrassée de sa tunique, elle enfile la cagoule de soumise puis avance ses mains. Sa compagne les accroche alors ensemble avec des menottes, fixe celle-ci à l’anneau du collier, demande ensuite à sa chérie de s’allonger sur le matelas et elle relie son collier à l’aide d’une corde à la tête du lit.

Malicieusement, Christine prend alors une plume avec laquelle elle parcourt tout le corps de sa chérie en noubliant aucune parcelle. La torture dure pendant 20 minutes pendant laquelle Ophélie se tortille dans tous les sens pour se soustraire à l’horrible supplice.

Tu n’apprécies pas que je te caresse ma chérie, lui susurre Christine avec un léger sourire.

Pitié Christine, j’en peux plus.

Christine oublie alors la plume pour embrasser sa chérie avec fougue tout en cajolant la poitrine, flattant les tétons dressés. Ophélie apprécie ses douces caresses sur son corps en nage. Elle commence même à se détendre puis souffle lorsque sa chérie descend sa main vers son antre humide.

Oh, tu es brûlante mon amour, murmure Christine entre deux baisers au creux de son cou, que j’aime ton bel abricot tout lisse… tu voudrais que je rentre mes doigts ?

Oh oui ma chérie, dit Ophélie avec empressement.

Christine immisce alors très lentement deux doigts à travers les lèvres poisseuses alors que sa belle-sur pousse un léger gémissement de plaisir.

Écarte-toi bien ma belle salope que je puisse te branler comme tu l’aimes.

Ses deux doigts complètement disparus, Christine stoppe son mouvement, aussi Ophélie remue son bassin, son vagin réclame plus d’attention. Son amante décide alors de pincer un téton, et de mordre l’autre tout en pistonnant vigoureusement son antre. Ophélie crie sous l’intensité de la douleur, puis geint en continu, le plaisir monte inexorablement. Or Christine s’arrête dès les prémices de la jouissance, elle fait une pause, les doigts fichés au fond, puis recommence son manège plusieurs fois, alternant allers-retours puissants, maltraitance des tétons et interruption, ce qui met sa chérie au bord de la crise de nerfs, elle râle à chaque pause, son corps est trempé de sueur.

Non ma chérie, tu ne vas pas jouir de suite, tu n’es pas assez ouverte. Montre-moi que tu as envie, relève tes jambes à l’équerre que je puisse voir ton beau cul et sa rosette… Oh qu’il est mignon ton ptit trou, il palpite, tu veux que je te lèche ? dit Christine avec une pointe de sarcasme.

Comme tu veux, mais fais-moi venir s’il te plaît, répond Ophélie la voix basse.

Soit patiente ma chérie !

Et Christine entame un léchage appuyé de toute la raie culière, appuie de ses deux mains au creux des genoux pour écarter encore plus sa belle-sur puis titille avec fougue l’illet qui s’ouvre par intermittence sous les soupirs d’Ophélie. Après un long agacement du petit trou, Christine pousse plus avant sa langue pointue sur la rosette, elle s’immisce dans l’anus, lèche les parois internes et provoque de longs gémissements. L’agréable douceur qui envahit progressivement Ophélie est toutefois stoppée dans sa progression lorsque son amante se dégage de ses fesses, elle crie sa frustration.

Attends ma chérie, je reviens m’occuper de toi.

Du sac, Christine retire les boules de geisha puis le fin Rosebud. Elle frotte le Plug entre les lèvres humides et l’insère très facilement dans l’anus de sa chérie qui souffle de contentement puis met en place les boules dans le vagin. Elle prend plus de temps à les pousser à l’intérieur, car celles-ci sont d’un gros diamètre, sa belle-sur retient sa respiration pendant la manuvre. Les deux objets placés, Christine se relève, prend la télécommande du Plug et regarde sa chérie.

Ma chérie commence Christine.

Oui.

Tu te souviens ce que tu as accepté en voulant reprendre le jeu.

Oui Christine.

Tu sais que cette après-midi, tu ne m’as pas obéi immédiatement.

… Oui.

Par trois fois, j’ai dû hausser le ton, donc tu dois être punie n’est-ce pas ?

Euh… Oui.

Ophélie pense aussitôt à une punition corporelle telle la cravache, elle tremble à cette idée, mais elle est rassurée quand Christine lui explique ce qui va se passer.

Donc j’ai décidé que tu allais dormir comme tu es là avec tes compagnons bien au chaud. Je vais mettre en route le Plug et te laisser dans ta chambre toute la nuit. La vitesse du Rosebud ne sera pas suffisante pour te permettre de jouir, mais alliée avec les boules, cela risque de fortement t’exciter et devenir une souffrance d’être au bord du plaisir sans que l’orgasme viennent te délivrer.

Non, tout, mais pas ça ma chérie, je préférerais encore la cravache… s’il te plaît, dit-elle toute retournée par le supplice qu’elle entrevoit.

Je ne céderais pas mon amour, la prochaine fois tu obéiras.

En entendant la suite des explications, Ophélie déchante néanmoins.

Pour ne plus entendre ses récriminations et faiblir quand le supplice deviendra insupportable, Christine lui pose le bâillon boule, attache ses deux chevilles ensemble avec des menottes afin qu’elle ne puisse se contorsionner et se faire jouir, puis quitte la pièce.

2 heures plus tard…

En arrivant dans la chambre, Christine entend des gémissements rauques, une litanie de plaintes ininterrompues s’échappent de la bouche de sa chérie, de plus en l’observant, elle voit son corps luisant de perles de sueur et sa figure écrevisse. Elle décide alors d’abréger son calvaire en stoppant le fonctionnement du Plug puis elle s’approche de son amante pour lui retirer le Gag Ball, la cagoule et lui passe la main sur la figure en une caresse attendrissante.

Encore occupée à maîtriser au mieux son corps face au supplice qui envahit sa nuit, Ophélie ne réalise pas de suite la mise à l’arrêt du Plug et le découvre lorsque sa belle-sur lui rend la vue. Elle murmure un merci puis quelques instants plus tard, l’esprit ayant récupéré le corps reprend ses exigences, Ophélie supplie sa belle-sur de lui faire l’amour.

Viens me prendre ma chérie.

Non Ophélie, par tes caprices, on ne pourra pas se câliner ce soir et cela me rend triste, tu vas devoir finir ta nuit frustrée, que cela te serve de leçon.

Laisse-moi venir dans tes bras s’il te plaît.

Non, et si tu parles encore sans que je t’y autorise je te bâillonne. C’est ce que tu désires ?

Non Christine, je ferais tout ce que tu veux.

Je l’espère de tout cur mon amour… bonne nuit et à demain.

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