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Amel la tunisienne – Chapitre 1




1 Nous avons respectivement 16 et 18 ans lorsque tout commence.

Nous sommes bien sur étudiant l?un et l?autre, et nous fréquentons les mêmes bistros estudiantins pendant nos heures de libertés scolaires. Par mis nos relations d?adolescent, évolue, un personnage haut en couleur très gentil et très amusant. Le dénommé Arthur ! Arthur approche la quarantaine, est légèrement grisonnant sur les tempes coupées très courtes, d?un physique irréprochable et toujours très soigné. Il est célibataire et vis seul avec son berger allemand dans un petit studio, où son fils de 16 ans, vient lui rendre visite de temps en temps. Lorsque nous nous rencontrons au bistrot, il ne manque jamais de offrir un café et de prendre de nos nouvelles, nous écouter lui raconter nos problèmes d?adolescent, Arthur est toujours très attentif à nos petites vies, un peu trop en fait pour être tout à fait sincère et sans ambiguïtés ! Avec le temps, aspirés dans une spirale savamment bien orchestrée, nous nous sommes trouvés certains points communs avec lui et sommes devenus tout les trois presque des amis. Le premier incident qui attira mon attention, se produisit un mercredi après midi, au bistrot de nos quatre cent coups. Alors que nous étions occupés à faire une partie de poker menteur, Arthur renversa ses dés, se penchant pour les ramasser, je trouvai qu?il mis un temps un peu trop longs pour se redresser de sous la table. Amel était vêtue d?un chemisier blanc très légèrement transparent qui ne faisait que dessiner ses merveilleux seins de jeune fille qui ressemblent étrangement à un croisement entre une poire et un pamplemousse. Le galbe et les courbes de la poire associés au volume ferme du pamplemousse. Une courte jupe après avoir entouré sont magnifique petit cul, et para venter sa toison, vient finir sa couse sur le rebord de ces genoux.

2 Sexy sans trop de fioritures inutiles qui puissent lui donner l?apparence d?une salope.

Amel est toujours très calme, posée, réservée, sobre, franchement timide. Ce qui provoque une fascinante association avec sont corps de rêve et ses yeux brûlant en forme de moule. Ils vous font immanquablement penser au sexe lorsque vous la rencontré pour la première fois. Sa bouche est pulpeuse et légèrement charnue ce qui n?arrange rien ! Je me mis automatiquement à fantasmer sur les raisons qui avaient poussé notre ami à s?éterniser de la sorte sous table. Il est vrai que j?ai toujours été attiré à l?idée de voir ma petite soeur s?exhiber ou mieux se faire caresser par des hommes. Juste un fantasme inaccessible et inenvisageable. Je me prêtai donc à ce que je n?osais espérer comme jeu, et fit mine de rien avoir remarqué, tout en étant beaucoup plus attentif au comportement d?Amel et notre ami. Je n?eu pas longtemps à patienter, car au tour suivant, les dés valsèrent de nouveau sous la table. Profitant que Arthur s?afférait pour ramasser ceux-ci, j?observai ma soeur très attentivement à son incus. Je sentis mon sang se glacer et mon coeur s?emballer en constatant que celle-ci avait instinctivement écartés les cuisses bien grandes lorsque Arthur fit mine de se pencher sous la table.

3 Je crus naïvement qu?il s?agissait d?une coïncidence, mais le tour suivant m?appris que non ! Ce qui me mit dans état d?excitation incommensurable, mon dard se mis à grossir immédiatement dans mon jeans. Cela ne dura malheureusement que trop peu de temps, il nous fallait attraper notre autobus, il était l?heure de rentrer ! Assis sur la banquette arrière de notre illustre transport en commun, je me mis à penser à ceux qui s?est passé et comment j?aller faire pour profiter pleinnement de cette oportunité L?autobus s?arrêta pour nous laisser descendre. Il nous faudrait attendre l?occasion pour pouvoir en discuter, et malheureusement je n?eu pas l?occasion ce jour là d?avoir certaines question que en toute légitimité je me posais. Car nous somme rentré a la maison et nos parent nous attendaient pour manger.

4 Je me remémorais la scène de cet après-midi, en me demandant si je n?avais pas rêvé et si tout cela était bien réel. Comment ce faisait-il qu?elle ne porte pas de petite culotte ? Ou était-elle passée et quelle occasion l?avait-elle enlevée ? Depuis quand tout cela durait t-il ? Des mois peut-être ! J?étais tiraillé par deux sentiments distincts. Celui de l?excitation à découvrir la salope qui sommeillait en elle et les perspectives que cela offrait à l?assouvissement de mes fantasmes. Et celui de la colère que provoquait en moi le doute qu?il aie pu se passer quelque chose entre eux . Elle prix beaucoup de plaisir à s?exhiber au yeux de notre ami commun. La nuit portant conseil, je décidai au petit matin de ne pas lui faire part de mes observations et passa sous silence, notre expérience inconsciemment commune de la veille. Les choses étant ce qu?elles étaient, je décidai de les diriger le plus subtilement possible et de tirer au maximum partis des plaisirs qu?elles allaient pouvoir me procurer. Les jours passèrent sans que je ne puisse à aucuns moment m?ôter cette vision obsédante de ma petite soeur en proie aux plaisirs phalliques d?une autre personne. C?est donc avec un immense soulagement et une incommensurable excitation, qu?un mercredi, je proposa à Arthur et Amel de passer l?après midi chez ce dernier, prétextant la location du dernier film en vogue. Arthur approuva l?idée avec nonchalance, mais il me sembla déceler dans son regard une certaine malice.

Amel n?émit aucunes protestations ! Le studio de Arthur n?était composé, que d?une chambre qui lui servait de salon et de salle à manger, ainsi que d?une salle de douche, les toilettes se situaient sur le palier. Nous entrâmes en ôtant nous souliers, le fait de me trouver dans une telle situation me rendait fou d?excitation, et le fait de voir ma petite soeur qui nous précédait, retirer ses souliers en dressant son cul vers le ciel juste devant nous, telle une offrande aux dieux, ne fit qu?amplifier encore un peu plus mon état. Arthur s?occupa du magnétoscope pendant que Amel et nous nous installions. Quelques instants plus tard, nous nous retrouvâmes allongés tous les

trois sur lit d?Arthur qui était posé à même le sol. Je m?étais sciemment placé du coté droit du lit en contraignant de la sorte, ma soeur à se placer au centre de celui-ci. Ne laissant par conséquent à Arthur que la possibilité de ce placer à l?autre extrémité. La télévision se trouvant tout a fait à droite du lit, je savais pertinemment bien que finirions par nous retourner sur notre coté droit pour la regarder. Plaçant ainsi Amel dans une position de sandwich entre Arthur et moi, et par la même, offrant ainsi le cul de ma petite soeur au contact du sexe d?Arthur, et pourquoi pas au reste ! Arthur nous demanda si nous étions bien installé, et mis le magnétoscope en marche, quelques secondes plus tard, la situation escomptée était un fait. Quelle ne fut pas la surprise lorsque je constatai que le film n?était celui que nous pensions mais bien un film pornographique. Je sentais mon coeur battre ne moi de plus en plus fort, et c?est avec une certaines peur que j?attendais la réaction d?Amel. Celle-ci, ne se fit pas attendre Elle protesta et nous dit qu?elle n?était pas d?accord de regarder ce genre de film, que cela ne se faisait pas et que surtout que la présence d?Arthur, la gênait beaucoup.

Saint nitouche, avait parlé ! ’ Elle se promène la chatte à l?air en la montrant à tout le monde, mais elle ne veut pas regarder un film porno, la pauvre….. ’. Je pris sur moi de rien laisser paraître de mes émotions et me retourna, en lui expliquant qu?il n?y avait rien de mal à cela et que étions entre amis et non pas dans une partouze malsaine. Arthur s?excusa et proposa d?arrêter le film en la rassurant sur ces intentions, mais il n?en fit rien. Je demandai à Amel si nous pouvions juste ne regarder un petit bout par curiosité, elle finit par acquiescer. Après une dizaine de minutes devant un tel spectacle et l?ambiguïté de la situation, mon dard était au bord de l?apoplexie. Je sentais ma soeur de plus en plus tendue et sa respiration devenait un lus nerveuse. Je remarquais également certains petits mouvements à peine perceptibles, presque irréels, dans mon dos. Je décidai de passer à l?offensive !

Prétextant un besoin urgeant, je me levai précipitamment et découvris par la même occasion mes deux acolytes. Quel doux rêve que de constater leur mouvement furtif d?éloignement respectif, je fis mine de ne pas avoir remarqué, que la jupe de Amel était remontée de dix centimètres et que le pantalon de training d?Arthur présentait un relief plus que honorable. Je sortis de la chambre pour me rendre aux toilettes, laissant ainsi Amel seule avec Arthur couché à ses côtés devant un film porno hard. Ne fermant pas tout à fait la porte je me rendis jusqu?au toilettes et poussa le vis en faisant semblant de fermer le verrous métallique de celles-ci. Je revins alors sur mes pas sans faire de bruits et commença à les observer. Je constatai avec une grande joie que je n?e m?était pas tromper, sur mes conclusions, mais également que le plan que j?avais échafauder se déroulait à merveille. Arthur lui demanda si le film l?intéressait et si elle trouvait cela excitant. Une petite gène aux yeux, elle lui répondit que cela était très excitant mais qu?il fallait qu?il arrête de se coller à elle. Il lui répondis très clairement en s?excusant et en lui promettant de ne plus recommencer. Satisfaite elle se retourna sur son coté, en se recouvrant et poursuivit avec la plus grande attention la suite du film. Mon état de nervosité était à son comble j?espérais de toute mes forces qu?il se passerait quelque chose entre eux dont je puisse être le témoin, ma verge me faisait horriblement mal. Arthur se leva et fit mine de s?en aller, mais au lieu de cela, il se mit à genoux derrière elle, et lui demanda si aujourd?hui elle avait mis une petite culotte. Rouge comme une pivoine elle se retourna pour répondre, elle fût arrêtée net dans sa progression car placé comme il l?était, son sexe arrivait juste à la hauteur de sa bouche. Elle ne put s?empêcher de marquer une pause, pour mieux profiter de cette merveilleuse vision. Bien que celui-ci ne soit pas sorti de son abri on pouvait distinguer une bite immense et grosse, qui ne demandait qu?à être libérée de son fourneau, elle était subjuguée par l?objet de cette vision. Elle lui fit signe de se taire, et lui dit que je pourrais les entendre. A ce moment précis Arthur lui pris la main et vain la déposer sur son pieux tout chaud, mais elle retira immédiatement sa main, prenant un air un peu offusquée.

Sans se dépareiller de son assurance habituelle, il lui demanda si au moins il pouvait lui montrer à quel point son sexe était tendu. Elle lui répondit que oui, mais qu?il devait rester sage et surtout ne pas espérer plus. Il lui promit alors, qu?il resterait sage à condition qu?elle lui abaisse son pantalon elle-même. Sans pouvoir détacher sons regard brillant de la bosse qui ornait le froc de mon ami, elle posa les mains sur la ceinture du training en passant ces pouces à l?intérieur et doucement commença à le faire descendre. Un gland violacé s?en extirpa presque aussitôt avec une certaine vivacité, comme s?il allait étouffer là où il était. Elle ne se contenta pas de quelques centimètres, elle baissa ce dernier jusqu?au genoux, elle pus ainsi admirer la longueur de chère qu?elle avait sentis grandir sur son petit cul. Ses yeux brillaient comme aux feux de la St Jean. Arthur lui demanda si cela lui plaisait et si les 24 par 8 cm qu?elle avait sous les yeux, à a peine cinq cm de sa bouche, ne lui faisait pas envie. Veux-tu la toucher lui demanda-t-il, nous ne pouvons pas lui répond-t-elle et puis si mon frere arrivait nous serions dans de beaux draps. Il lui rétorqua que je me trouvais toujours aux toilettes, puisqu?il n?avait pas entendus la chasse d?eau couler. Prend la juste une fois dans main réattaqua-t-il, alors, prenant un air résigner en regardant vers le bas, elle avança sa main lentement pour lui saisir la queue chaude et moite qui dressait fièrement vers le ciel, de son gland luisant, s?effilait un fin filet de lubrifiant naturel qui perlait au sommet de celui-ci, et instinctivement commença à le masturber fermement et délicatement. On pouvait lire l?état d?excitation et le trouble qu?elle ressentait rien qu?an regardant son visage, sa respiration était maintenant très saccadée. Pour ma part je n?avais jamais ressentit pareille excitation et c?est la tige à la main que je me délectais de ce spectacle merveilleux. Le plaisir que l?on peut ressentir en voyant la main de sa petite soeur se serrer autour d?un membre masculin est vraiment fabuleux. Amel se mit à se lécher la main sur laquelle le pré sperme venait de tomber, pour ensuite avancer son doux visage vers le membre, elle le renifla, le promena ensuite délicatement sur ses lèvres humides. Elle redressa cette superbe queue contre le bas ventre d?Arthur et vint collé son visage tout contre, pour sentir la moiteur de celle-ci sur sa joue, levant les yeux vers ceux de mon ami, elle sortis sa langue brûlante et vint y déposer le gland immense, pour enfin le happer entièrement dans sa bouche. Sentant en moi le plaisir me submerger, je ne pus m?empêcher de répandre ma semence sur la porte d?entrée. Il était temps de passer à des choses beaucoup plus sérieuses. Je fit semblant de sortir des chiottes et revins vers la chambre. Lorsque je poussai la porte, je trouvai Amel et Arthur allongés sous la couette l?un a coté de l?autre comme si il ne s?était jamais rien passé. Le film est beau leur lançais-je nonchalamment ? Pas mal me répondirent-ils en coeur, je compris alors que tout devenait possible et envisageable. Ne sachant sincèrement pas comment je pouvais amorcer un départ, je décidai de me recoucher. Quelques instants plus tard, ce fut le tour d?Arthur de prétexter un besoin urgent, il se leva et se dirigea directement vers la porte. Profitant de son départ pour rouler une gamelles à Amel , je lui glissa très rapidement la main au cul, de nouveau mon coeur s?arrêta de battre lorsque je constata qu?elle n?avais de nouveau pas de petite culotte elle protesta cette entreprise en me disant j?étais son frere et que sa ne se faisait pas, cela ne m?a pas empéché de continuer et elle n?a plus rien dit .

Sa chatte était méconnaissable tellement elle dégoulinais de cyprine, elle en avait royalement partout. Je ne fit pas l?étonné. Et lui fit remarquer qu?elle ne pourrait jamais se promener comme cela vus la quantité de liquide répandus sur sa jupe, il ne lui restait qu?une seule solution, c?était de l?enlever ! Mais à cela elle ne voulus point se résoudre, je lui répondis alors que ce serait elle qui serait coincée ici jusqu?au moment ou le tout serait sec, et qu?il serait beaucoup plus gênant encore pour elle de se justifier devant Arthur, et pas moi. Elle était donc la seule à pouvoir prendre une décision. Je lui donna à cet instant un grand et fougueux baiser tout en lui caressant la nuque. Je pu sentir le goût du sexe de mon amis dans sa bouche, et fit tournoyer ma langue autour de la sienne avec tellement de frénésie que nous humes tout deux le souffle coupé. Je lui prodigua de petits baisers délicats dans creux de l?oreille et lui murmura que je l?aimais et que j?avais très envie d?elle, là maintenant tout de suite, ici dans le lit d?Arthur. Elle me répondit qu?elle aussi en avait très envie, mais qu?en présence d?Arthur il n?y avait aucunes possibilités de finaliser nos envies sexuelles. Je m?éloigna alors l?égerment d?elle et lui demanda sur un ton très gentil et volontairement rassurant, alors pourquoi elle passait son temps à lui montrer sa chatte sous les tables. Elle rougis fortement et me dit que jamais cela n?était arrivé. Je lui rappela alors les faits, elle me répondit que je faisait des idées. C?est exactement ce que j?attendais comme réponse afin de pouvoir lui assener le coup de grâce et ainsi en faire une esclave sexuelle. C?est pourtant bien sa queue que tu maintenais enfoncée au fond de ta gorge il y a cinq minutes, ne me dit pas le contraire je vous ai observés, lui dis-je sur un ton plus ferme. Elle rougit de plus belle et fit mine de vouloir verser une larme. Immédiatement je la ressaisi et lui expliqua avec beaucoup de tendresse, que cela n?était pas du tout pour me déplaire et que en aucuns cas je ne portait de jugements péjoratif à son égard. Mais que bien au contraire cette situation me transcendait de plaisir. Qu?il ne fallait pas qu?elle s?inquiète et qu?à partir de maintenant je prenais les choses en main. Résignée, je la sentis s?abandonner corps et âme à ma volonté de la dominer.

Profitant de son léger désarroi, je lui demandai de lever son joli petit cul sur lequel elle était assise et je lui enlevai sa jupe moi-même. En faisant glisser celle-ci le long de ses jambes blanche je fit apparaître son triangle d?or, dont l?odeur vint me titiller les narines, toute cette cyprine bien chaude dégageait une senteur bestiale qui je suis sure nous excitas tout les deux encore d?avantage. Elle se trouvais alors uniquement vêtue de son soutient gorge et de son chemisier blanc. Sans rien lui demander je commence à déboutonner celui-ci et le fait glisser le long des épaules dénudées, penche toi en avant lui dis-je, je vais dégrafer ton soutient gorge. Je vais être nue alors me dit-elle, non lui répondis-je, nous allons faire une petite surprise à notre amis. Je t?ai déjà dit que je m?occupais de tout laisse toi faire ! Je lui enleva son soutient gorge et lui remis sont chemisier, ses magnifique seins étaient durci et pointais fièrement comme deux petits soldat sous son chemisier, comme pour m?empêcher de le refermer, ils se révoltaient de ne pas êtres cajolés. A mon tour je me dévêtis de mon jeans, de mon slip et de me chaussettes, pour rester en sous-pull. Nous nous recouchâmes tout les deux imbriqués l?un dans l?autre attendant maintenant avec une impatience non feinte le retour de notre ami. Notre complicité ne fût jamais aussi forte avant ce jour, elle pouvait se voir sur notre visage, elle pouvait même se sentir, pour un peu on aurait presque pu la toucher ! Quand Arthur entra dans la pièce, nos deux coeurs bâtaient à l?unisson. Lorsque ce celui-ci fit mine de se coucher au côté d?Amel, je lui intimai d?une voie tremblante d?émotion, que nous avions une surprise pour lui, de rester debout, de nous tourner le dos, et de ne surtout pas bouger avant qu?on ne l?y invite. Intrigué, il s?exécuta volontiers. Je chuchotai à l?oreille d?Amel de se lever, de se mettre à genoux derrière lui et de lui ôter le pantalon. Un petit moment d?hésitation plus tard elle se leva et se dirigea vers notre ami. Quelle image superbe que de voir le corps de sa petite soeur, déambuler à moitié nue. Son chemisier retombait sur ses jolies fesses de façon si sexy, ses cheveux noir tombais délicatement sur son dos tremper de sueur. Tout cela en présence d?un étranger, quel instant sublîme. Elle se mis accroupie derrière lui et s?exécuta avec une délicatesse toute féminine, dévoilant petit à petit le beau fessier de notre ami commun. Celui-ci ne fut pas surpris outre mesure et ne fit aucun geste de protestation. Lorsque Amel eu terminé, elle lui donnât de sa propre initiative un baise brûlant sur chacune de ses fesses et lui dit qu?il pouvait se retourné. Retourné, celui-ci lui présentait son sexe qui était toujours dans le même état qu?au paravent, comme une offrande divine. Le gland de mon ami effleura les commissures des lèvres d?Amel, et en levant les yeux vers Arthur, lui posa un baiser chaleureux sur le bout gland, profitant pour ramasser du bout de sa langue la goûte de pré sperme qui y perlait. Elle se releva et l?embrassa goulûment à pleine bouche. Arthur l?a pris par taille et doucement ces mains s?éloignèrent l?une de l?autre pour se diriger dans directions opposées. De sa main gauche, il descendit le long de sa fesse en la malaxant avec douceur et fermeté. Il la dirigea ensuite vers la chatte brûlante de ma petite soeur qui frémissait de plaisir au point de lever sur la pointe des pieds en laissant s?échapper un léger gémissement, tellement le contact fut torride. Je ne perdis pas une goutte de qui s?offrait à mes yeux, de sa main droite, il était remonter vers ses obus prêtent à exploser à tout instant tant ils étaient tendus d?excitations. Il faisait rouler le gros bout de son téton entre ses doits tout en le serrant très fort, le mélange de la douleur et du plaisir que cela provoquait chez Amel, me fit avoir bien des idées pour la suite de nos aventures. Il entrepris ensuite de la déshabiller complètement et lui enleva donc son chemisier. Elle était maintenant complètement nue sous ses yeux et ses mains baladeuses de désir et de curiosité. Tremblante de désir, elle s?offrait à lui sans retenue ni inhibitions, tous ces tabous étaient maintenant tombés, et seul subsistait un univers de plaisirs et de liberté. Il posa ses mains sur ses épaules lui indiquant de la sorte quel étaient ses envie, sans contraintes aucunes, elle se remis accroupie à ses pieds et commença une fellation minutieuse et délirante. Du bout de sa langue, elle allait et venait le long de cette rampe qui paraissait si énorme, tout en lui malaxant les testicules toutes heureuses d?être malmenées de la sorte. Avec ses dents elle lui mordillait délicatement le sexe, c?est l?enfer de vouloir y résister. Après ces petits amuse-gueules phalliques, elle engouffrât goulûment la queue au fond de sa gorge, jamais je n?aurais pu imaginer qu?elle soit si profond, et pourtant ! Pendant ce temps, je m?étais moi aussi déshabillé et précipité derrière Amel, d?une main je lui massais le dos pour descendre bien évidement vers sa lune entrouverte et si accueillante. Lentement je lui caressais les fesses en partant de la naissance de celles-ci pour remonte au creux de ses hanches. J?entendais les bruits que sa bouche faisait en suçant avidement la pompe d?Arthur qui lui avait saisi la tête entre les deux mains et la guidait sur le rythme de la cadence à suivre. Je me plaçai sur le coté pour mieux observer l?expression de bonheur qui irradiait le visage de cette jeune fille en train de sucer, mais par-dessus tout c?est le contraste que formaient ces lèvres buccales, avec la couleur brunâtre d?une bite. Tout en savourant le spectacle, je mis ma main sur sa cuisse, et remontais doucement vers sa grotte d?amour. Bien sur, vous vous en doutez, c?était les chutes Victoria en modèle réduit. Il y en avait partout, sans aucuns prémices, le lui enfonçai brutalement et très rapidement trois doigts, instantanément elle sursauta de plaisir et se mit à gémir comme une truie. Je ressortis les doigts après 30 secondes de vas et viens viril, ils étaient inondés de cyprine brûlante, je me les mis en bouche pour me délecter de la saveur de ma soeur, tout en la regardant dans les yeux, je me léchas les doigts consciencieusement. Elle commençait à jouir, dieu qu?elle est chaude dans ces moments là ! Voyant son état d?excitation avancé je me dits qu?il ne fallait pas la faire attendre d?avantage, et entrepris de lui flatter l?entrée de service. Je lui humectais donc l?anus avec sa propre mouille tout en lui laminant le vagin de mes unis dans le plaisir. Je pouvais sentir ses contractions anales sur le bout de mon doigt. C?est donc très délicatement que j?attendis le bon moment pour lui enfoncer mon majeur dans le sternum. Continuant à la masser de partout je lui avait saisi le bout du sein et le mordillait avec prudence, mais détermination. Il m?était possible de palper le plaisir qui montait en eux, et lorsque je vis que mon ami se contractait de plus plus, je m?activai de plus belle sur les orifices de ma soeur. Dans un cri de délivrance Arthur commença à déverser sa semence au fond de cette bouche si accueillante et c?est évidement à cet instant que dans un effort commun mes doigt prirent simultanément et avec force, la direction des étoiles. Les trois doits de ma main droite s?engouffrèrent dans sa chatte jusqu?au pouce, le majeur de main gauche s?enfonça au plus profond de son cul et de ma bouche je lui mordait le bout du sein droit. Elle se tortillait du popotin comme une chienne en rut, si elle avait pu elle se serait enfoncée tous les doigts et les deux bras en même temps tellement le plaisir était intense. Il se mirent à jouir ensemble comme des damnés, le foutre d?Arthur était tellement abondant et puissant qu?elle faillit s?étouffer en l?avalant, il lui en sortait de partout, mais elle ne lâchât pas prise elle continuait à pomper, peut-être pour lui avaler les couilles, elle les massait avec beaucoup d?entrain. Lorsqu?il ôtas sa verge de son fourreau, des giclées de semence épaisses et salées se répandirent partout sur son visage et ses cheveux, ses seins en étaient submergées, elle se mit alors à se masser les nichons avec une main, tandis que de l?autre elle se badigeonnais le visage avec la queue ruisselante d?Arthur. En reprenant le gland en bouche pour le nettoyer, elle arracha un cri de souffrant à notre ami vampirisé. Elle se retournât alors vers moi, la bouche remplie du sperme. Pensant avec une certaine frayeur qu?elle voulait m?embrasser, je compris dans son regard qu?elle voulait à son tour me mettre à l?épreuve et me soumettre à ses phantasmes, elle m?empoignât la tête et me força à lui rouler un gamelle, sans me laisser le temps de réfléchir, nous nous embrassâmes contrains et forcé l?un par l?autre, enivrés de plaisir. Nous nous écroulâmes tous trois sur le lit rompus par cette première mise ne bouche si je puis dire, car en effet l?après midi ne faisait que commencer et je n?était pas au bout de mes surprises….

Quelques minutes de repos plus tard, je me dis qu’il fallait absolument profiter de la situation pour affirmer mon emprise sur Amel et par-dessus tout jouir à nouveaux des circonstances. Il était impératif que l’on ne puisse interpréter ce qui venait de se passer, comme un incident de parcoure. Mais bien comme le début d’une longue aventure sexuelle. Amel était couchée à mes côtés, les yeux clos, plongée dans une relaxation volontaire, elle immergeait du fond des abîmes du plaisir. Adressant un regard complice à Arthur, je le fixa dans les yeux et parcourus ensuite le corps d’Amel allongée entre nous deux, offertes à nos délires. Je propose alors de boire un coup et de fumer une cigarette, ce qu’ils acquiescent tout deux. Arthur se lève, adresse une caresse amicale à ’Boss’ son berger allemand et vas chercher une bouteille de vin. Amel s’assois à califourchon sur l’oreiller et allume trois cigarettes. Nous fumons celle-ci sans dire un mots et buvons notre verre de vin assez rapidement, pressés de reprendre nos ébats. Je suggère alors d’attacher Amel au quatre coin du lit. Sans aucunes protestations, elle accepte de suite, je comprends qu’elle me fait entièrement confiance et que sa dévotion est maintenant totale. Cependant par amour et afin d’en être tout à fait certain, je prend le risque de lui demander son sentiment sur la question. Elle me répond alors d’une voie que je ne lui connaissais pas, non seulement elle le souhaite volontairement, mais cela l’excite énormément de se sentir dominée et manipulée de la sorte. Avec un regard tendre, elle m’avoue néanmoins qu’elle à un peu peur de ce nous envisageons de lui faire, et nous demande à tous deux d’être doux. Arthur dans un souci d’honnêteté lui demande ce qu’elle ne souhaite pas que nous lui fassions. Elle lui répond que tous nous est permis, mais que si nous commençons quelque chose qui semble lui déplaire, il faut absolument que nous la terminions sans se soucier de ses éventuelles protestations. Jamais je ne l’aurais cru si déterminée et audacieuse. C’est avec un réel plaisir que nous l’attachons bras et jambes écartées au maximum. Quelle photo mes amis que de la voir ainsi exposée totalement soumise et à notre merci, sa chatte toute noir et velue, divisée en deux par deux rives rosée et humide de cyprine. Arthur proposa fort judicieusement de lui bandés le yeux, elle émit un mot de protestation, en prétextant qu’elle voulais nous voir, sans même lui répondre, nous lui bandâmes les yeux d’un tissus sombre et épais. Elle fini par ne plus protester, car elle compris que nous ne faisions qu’obéir à ses injonctions. Arthur me fit alors signe de me lever et de le suivre sur le palier, dès que nous fîmes tous les deux nus à l’extérieur de la chambre, il m’expliquât, qu’il valait mieux ne plus exprimer à vois haute devant Amel, ce que nous allions lui faire subir. Que cela serait beaucoup plus excitant pour elle si elle ne savait pas l’avance ce qui allait lui arriver. J’acquiesçai d’un sourire approbateur, quasi reconnaissant de m’emboîter si bien le pas. M’adressant à lui, je lui demandai comment il se rasait tout les matin, futé il avait compris immédiatement ou je voulais en venir. Nous entrâmes dans la chambre, où la foret noir qui ornait avec fierté le pubis de notre esclave, était en train de vivre ces derniers moments. Arthur s’empara de son nécessaire de toilette et nous allâmes nous accroupir autour de se corps abandonné. Machinalement je passa ma main entre ses cuisses appétissante et caressa la chatte d’Amel, elle était déjà trempée de jus bien chaud. J’invitais Arthur à en faire autant en lui disant de sentir comme cette petite salope mouillait encore. Il y introduit sèchement un doigt et du bout de celui-ci, se mit à masser l’intérieure de la grotte en fusion, Amel remuait déjà du con sans retenue. Machinalement je me surpris à regarder la queue bandée de notre ami avec un certain plaisir. Nous invitâmes Amel à se cambrer et nous lui glissâmes un cousin aux creux des reins afin de surélever son cul et sa croupe par la même occasion. Je commença l’agréable besogne en recouvrant cette toison d’une épaisse couche de crème à raser, insistant bien sur son petit trou que je massai avec beaucoup de dévotion. La sentant se contracter, je compris que cette pratique l’excitait et invita Arthur à entamer les travaux de débroussaillement. Il s’exécuta avec le plus grand soin. Quelques coups de rasoirs plus tard, une magnifique bute blanche apparaissait sur le mont de vénus. Cependant il restait pas mal de poils bien enracinés sur les bords de ces lèvres extérieures que nous n’arrivions pas à ôter. Nous décidâmes donc de bien rincer la chatte d’Amel et de procéder d’une manière un peu plus radicale. Attrapant une bouteille vide qui traînait non loin de lit, je l’introduis délicatement dans son orifice béant et inondé de jeune fille. Elle se mit à gémir et à raller de plaisir, mais aussi de protestations, excité j’enfonçai de plus belle la bouteille jusqu’au fond de sa chatte. Arthur intrigué me demanda ce que je comptais faire ensuite. Je lui murmura à l’oreille de m’apporte une pince à épiler, ce qu’il fit immédiatement. Un à un nous commençâmes à arracher les poils rebelles du pubis de ma petite soeur. A chaque victoire capillaire, elle sursautait, comme une carpe en laissant échapper un petit cri étouffé. Lorsque nous humes finit notre besogne, nous pouvions voir une larme glisser le long de sa joue. Il ne nous restait plus à présent que l’orifice anal à dépouillé de sa légère pilosité. Pour se faire nous décidâmes d’un commun accord de libérer provisoirement de leurs liens, les jambes d’Amel. Elle compris sans aucunes explications de notre part, ce que nous attentions d’elle. Ce qui eu pour effet de nous excités d’avantage tous les deux, car de par sa spontanéité, elle marquait d’elle-même son implication volontaire et soumise à notre petit jeu. Elle rabattis alors ses genoux au niveau de sa poitrine et nous invitèrent à la ré attacher, ce que nous fîmes sans nous faire prier ! Nos queues étaient tendues à l’extrême et cela nous permis de les déposer sur la bouche d’Amel pendant que nous lui attachions les pieds, elle se mit alors à nous lécher le bout du gland en prenant bien soin de vaciller de l’un à l’autre à une cadence diabolique, ne tenant pas à écourté de manière aussi rapide notre plaisir, nous nous retirâmes immédiatement. Ce qui ne nous empêchas pas d’apprécier son geste de gourmandise à sa juste valeur, pour la remercier de cette si charmante attention nous adressâmes chacun à notre tour, un long baisé fougueux accompagné de massages mammaires assez viril. Ces yeux brillaient tellement d’excitation, que les regarder était déjà fabuleux en soit. La situation actuelle dans laquelle se trouvait Amel, était donc la suivante. Allongée nue au milieu du lit, les bras écartés et étirés vers l’arrière, les gambes rabattues sur ses gros seins, les mollets dépassants de chaque cotés de sa tête, et les pied ligotés à la tête de lit. Pour ne rien oublier, sa chatte complètement rasée, et une bouteille vide enfoncée à l’intérieur. A cet instant Arthur et moi-même, humes un moment d’hésitation quand à la tournure que nous devions donner à la suite des événements. En fait, nous étions tiraillés entre l’envie de la sodomiser sans égards, ou lui enlever les poils du cul avant. Etant réellement très hésitant, nous avons décidé de lui prendre la température. Arthur se couchât en lieu et place des gambes d’Amel et commença à lui lécher l’intérieur des cuisses en descendant progressivement vers son anus brûlant. Elle gémissait de plus en plus, la mouille qui s’écoulait maintenant à rythme régulier de sa chatte en fusion vers son anus, avait fait de celui-ci un tout petit réservoir de cyprine bien odorante. Arthur d’un doigt que l’on pouvait deviner expert commença à lui prodiguer un véritable massage pré anal, sans aucunes pénétrations, il décrivait de petit cercle sur les commissures de son trou du cul et de temps en temps, exerçait une pression sur l’entrée de service. Ce petit manège dura facilement une dizaine de minutes. Amel était en proie à de véritables secousses sismiques, tout son corps se déformait temps le plaisir était intense, ’pour une qui ne voulait pas entendre parler de sodomie !’, notre ami, lui appliquât une dernière pression plus important sur l’anus, à la limite de la pénétration, et ôta son doit aussitôt. Son cul remuait de plus belle, suppliant que l’on s’affèrent à le défoncer, ses mouvement de bas en haut, me firent penser à une lamentation de dernier recourt. Elle était vraiment chauffée à mort, au bord de l’inconscience ! Elle nous hurla alors aux oreilles, de lui défoncer son cul de chienne. ’ Mais enfin qu’es-ce que vous attendez pour me défoncer nous lança-t-elle’. Je vain alors déposer toute la largeur de ma langue sur la petite rosasse humide et brûlante de son cul si appétissant, je n’eu même pas le temps d’essayer d’enfoncer celle-ci dans l’étroit orifice, qu?Amel se mit à jouir comme une démente possédée par tous les démons imaginables. Son corps s’arc-boutait dans tous les sens en se trémoussant de la tête aux pieds, des râles de jouissance se mirent à sortir de sa bouche en furie, les étouffer ou les retenir l’aurait probablement tuée. Après une telle jouissance, une courte pose aurait été de bon augure pour le repos des sens de ma belle, mais voilas, c’était compté sans notre soif insatiable de plaisirs. Profitant de l’état de semi inconscience dans lequel Amel se trouvant, d’un coup sec, j’ôtai la bouteille de son fourreau, et la présenta devant la bouche d’Amel en lui disant de sentir l’odeur que celle-ci dégageait. Ca sent bon lui dis-je, lèche la maintenant, sans se faire prier, elle s’appliquât à nettoyer les parois ruisselantes de son propre foutre. Pendant ce temps, Arthur se mit à lui triturer le sexe avec trois doigts qu’il y avait enfoncés. Les ôtant, il mis lui aussi à les lécher, un peu surpris, je lui dit qu’il serait plus agréable pour tout le monde, qu’il se mette à la lécher. Elle avait un sexe odorant et ruisselant, suppliant que l’on vienne le défoncer, mais c’était sans compter sur notre perversité. Arthur s’accroupit entre les jambes écartelées d’Amel et comme je le lui avait suggérer, se mit à la lécher délicatement en commençant par l’intérieur de ses cuisses, remontant progressivement jusqu’au plis des fesses. Avant de déposer sa langue brûlant sur le petit bouton d’amour, il entreprit un massage des lèvres extérieur du bout sa de son organe buccale. Amel se tordait de plaisir, si cela lui avait été possible, elle aurait enfoncé la tête de notre ami dans son sexe, mais voilà dans sa position, elle ne pouvait que subir, en espérant que l’attente ne soit pas trop longue. Après quelques minutes de massage particulier, Arthur se décida à enfoncer sa langue toute entière dans se four qu’était devenue la chatte de ma soeur, elle sursauta de plaisir et se mit à tortiller du cul. Tout en la léchant goulûment, il faisait maintenant tournoyer sa langue autour de son clitoris, il avait le visage tout barbouiller de mouille bien grasse. Il se releva et n’y tenant plus, vint se coucher délicatement sur se corps brûlant de désir. Avec une frénésie certaine, il empoignât sont énorme membre et de dirigeât vers l’entre accueillant d’Amel, Celle-ci, lui murmurât dans le creux de l’oreille ’Oh oui..! Prend moi…!!!’, comme un fou, il lui introduit d’un coup sec et très viril l’entièreté de sa colonne de chair (24X8), dans sa chatte inondée. Ses coups de reins se faisaient de plus en plus violant et rapide, je regardais avec un plaisir immense et non dissimulé cette énorme verge qui allait et venait dans se sexe désarmait imberbe de jeune fille de 16 ans, et qui de plus était ma soeur, quel bonheur, quel intense excitation que de la voir abandonnée et jouissante sous ses coups de bite violents.

Amel avait tout à fait perdus tout sens de la réalité et lui haletait maintenant entre injures et obscénités, entre quelques râles plaisir elle suppliait Arthur de lui défoncer la chatte, ou encore de lui perforer la matrice de son pieu si gros. Constatant que ces mots nous excitaient encore d’avantage, je demandas à Amel si de se faire baiser comme une chienne de salope qu’elle était lui plaisait, elle me répondis de lui coller ma bite dans le fond de sa gorge. A genoux je lui enfonça mon gland violacé en pleine bouche et lui saisissant la tête, me servis de gosier comme d’un vagin. Arthur avait sortis se grosse du fourreau d’Amel et vint la présenter devant l’entrée de son petit cul, elle lui demanda de faire attention, car elle était toujours vierge de se coté. Il ramassât du bout de ses deux doit une coulée de cyprine sur les parois de sa chatte, et s’en servis comme lubrifiant anal, massant son anus, il constatait les petits mouvement d’abandons, que celui-ci décrivait. Doucement il y enfonça d’abord un doigt, lorsque sa rosace fut disposée à en accueillir un deuxième, il s’exécuta sans attendre. Dès que ceux-ci furent enfoncé jusqu’aux phalanges, il commença un vas et viens de plus en plus profond et rapide qui déchaînèrent un orgasme important dans le corps d’Amel. Un instant, je crus qu’elle allait me sectionner la bite, tellement elle la serait dans bouche, dégainant mon engin de celle-ci, je me penchas pour lui demander si elle allait bien, mais perdue dans son orgasme, elle ne me répondis point. Son visage souriant et épanouis cherchais d’une bouche perdue, se que j’en avait ôter, ses lèvres entrouvertes cherchaient désespérément et inconsciemment mon gland odorant, et lorsque je présentas celui-ci à leurs portée, elle l’engloutirent goulûment, elle aspirait littéralement mon canal urinaire, comme pour m’aspirer les testicules au travers. Mais revenons au dépucelage anal d’Amel, elle se tordait à présent dans touts les sens, et plus rien dorénavant ne s’opposait à ce que qu’elle soit transpercée au plus profond de ses intestins. Arthur se plaça de manière à profiter de tout son poids au moment voulus, car il est vrai, qu’elle semblait très étroite. Il présentât son énorme gland congestionné sur le petit trou, cambras ses reins au maximum, et dans un élan final, introduit sa longue queue dans se cul soumis, jusque l’avant-garde. Un cris terrifiant s’échappas de la bouche d’Amel, un cri, constitué du jouissance et de souffrance et il était impossible de distinguer clairement l’un ou l’autre, mais cela n’arrêta pas notre amis qui à ce stade des choses ne pouvait concevoir autre chose que de pilonner se si beau cul qui lui était offert. Nous pouvions à présent entendre les couilles de celui qui était en train d’enculer ma soeur, battre contre les fesses relevées de celle-ci. Il pénétrait au plus profond de ses entrailles, la vue de ses fesses repliées sur sa poitrine, et cette queue qui entre et qui sort de son anneaux boursouflé et endoloris, le tout accompagné par les râles de jouissance d’Amel me rapprochait à grands pas d’une jouissance qui s’annonçait magistrale. J’étai maintenant à genoux, à coté du visage d’Amel, Arthur était appuyer sur ses main et faisait monter et descendre son cul pour pilonner son postérieur, elle avait saisit ma queue et me branlait tout en se faisant enculer à grand coup, je ne pouvait détourner mon regard de cette colonne de chaire qui entrait et sortait de son cul, je sentais le plaisir monter en moi, j’allait jouir d’une seconde à l’autre. A cet instant précis, Arthur s’enfonça le plus profondément possible entre les fesses d’Amel et ne s’appuyant plus que sur une main, me saisis la tige de l’autre, et ce l’enfonça au fond de la gorge. Rien que la vision de tout cela me fit éclater les couilles et c’est dans un râle bruyant de jouissance que je me vidait dans la bouche de mon amis, juste au dessus du visage de ma soeur qui était en train jouir en même temps que nous. Arthur nous rejoint instantanément dans nos râles, et se vida les bourses de quelques giclées de foutre brûlant dans les entrailles intestinales d’Amel. Les deux bouches ouvertes l’une au dessus de l’autre, Arthur fit couler mon sperme en fins filets jusque dans la gorge d’Amel, pour enfin lui engouffrer sa langue à l’intérieur, et y entreprendre un échange de sperme salivé. Ma langue allât les rejoindre et dans un carrousel infernal, nous nous congratulâmes de nos performances mutuelles. Rompus, nous nous écroulâmes tous deux sur Amel, Arthur ne retira pas sa tige de son cul et resta un long moment dans cette position, le temps de reprendre nos esprits. Nous étions à cet instant, unis de manière indivisible, nous pouvions à travers le sentiment que nous éprouvions, deviner que nous n’en resterions jamais à ce stade des choses. Nous nous considérions comme un trio illégitime, interdit, pervers, tantôt soumis ou dominés, tantôt maître ou esclave de nos phantasmes et délires sexuels respectif. Après avoir repris nos esprits, l’heure était venue de nous quitter, et c’est avec une amertume partagée, que nous délivrâmes ma soeur de ces liens. Nous nous relevâmes tout trois non sans peine. La chatte d?Amel était toute rose et humide, du sperme s’en échappait et coulait à l’intérieure de ses longues des cuisse, dieu quelle était belle. Nous rhabillâmes en échangeant quelques regards complices, en se promettant avec les yeux de recommencer dès que possible. Amel était maintenant entièrement habillée, il ne lui restait plus que les souliers à retrouver, elle se mit donc à quatre pattes et entrepris ses recherches. Sa mini jupe était retroussée et nous dévoilait de la sorte sa croupe imberbe, ses grandes lèvres était bien aérée dirons nous ! Elles étaient même très ruisselantes et odorantes. Arthur et moi-même restions figés devant se superbe ensemble croupe-cul qui déambulait devant nos yeux, malgré notre étreinte précédente, le plaisir remontait en nous inexorablement. Fox, le chien d’Arthur, se leva de sa couche, s’étirât vigoureusement les pattes, il était temps pour lui de sortir faire sa promenade quotidienne. Joyeusement il vint se frotter contre nos jambes en balançant sa queue de contentement. Alors qu’Amel était toujours à quatre pattes sur le tapis, je remarqua que le chien pointait sa truffe en l’air, comme pour attraper une odeur qui le titillait, et ainsi en déterminer la provenance et la nature. J’adressa un coup de coude à Arthur qui regardait toujours le cul d’Amel, et lui faisant signe de la tête lui montra le léger manège de notre illustre ami quadrupède. Sans mot dire, nous décidâmes de laisser Fox rechercher l’origine des effluves vaginale odorantes de ma petite amie. Doucement le chien s’approchât d’Amel qui ne l’avait même pas remarqué et collât sa truffe bien chaude à la commissure de la vulve relevée et l’anus encore tous humides de l’objet de sa curiosité bien légitime. Amel sursauta de surprise et eu un mouvement de recul. Elle se retournât et écarta la truffe du chien qui se faisait insistante. Alors avec une tendresse toute féminine se mit caresser la tête de chien en lui expliquant tout aussi naïvement qu’il ne pouvait pas faire se genre de choses et que c’était un bon chien, qu’il était bien gentil et qu’il était beau, et que, et que, et que…… Ce qui nous interpella Arthur et moi-même, c’est qu’elle avait fait tout cela sans nous quitter du regard, avec les yeux brillants et pétillants. Preuve si il en faut qu’elle n’était pas du tout innocente dans sont comportement et ses attitudes. Sont regard nous implorait inconsciemment ou pas, de faire tomber ses tabous et ouvrir une nouvelle porte sur la voluptueuse débauche dans laquelle nous nous entraînions mutuellement. Une chose était maintenant certaine, elle s’auto proclamait victime consentante et approbatrice de nos jeux pervers. Telle une jeune vierge perdue dans les bois, et qui supplie le loups de ne pas la manger, tout en ne pouvant détourner son regard des yeux et du sexe de l’animal. Les choses n’en resterons pas là c’est inconcevable ! Nous avons encore tant de domaines à explorer ensemble………

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