Je m’appelle Ferdinand, je n’ai pas un physique de jeune premier, mais je suis plutôt sportif ce qui fait que j’ai une silhouette agréable à regarder et je sais que je plais aux femmes. D’ailleurs dans l’entreprise où je suis cadre, il y en a plus d’une qui, célibataire ou en couple, a essayé de me séduire. Mais je suis en couple depuis une dizaine d’années avec Sophie, une jeune femme de mon âge que j’ai rencontrée au sein du club de sports que nous fréquentons tous les deux.

Ce jour-là, nous étions tous les deux côte à côte sur les tapis de course et nous allions d’un bon train… En riant, nous avions pu constater que parfois il était plus facile de courir en intérieur que dans le vent et la pluie et que nous pouvions bavarder tout en courant.

Pas très grande, Sophie a une silhouette plutôt longiligne, un visage coquin aux cheveux blond cendré toujours noués en queue-de-cheval tombant entre les épaules. De grands yeux bleus et une bouche mutine m’ont attiré tout de suite… Ses seins menus, sa taille fine et ses hanches étroites avec des membres un peu musclés montraient clairement que j’avais affaire à une sportive. Quoi de plus normal quand on est responsable d’un rayon dans une grande enseigne consacrée aux sports…

Les semaines passant, nous nous sommes rencontrés :

— En dehors de la salle de sports,

— Autour d’un pot pris ensemble à la sortie,

— D’un dîner en tête à tête dans un bon restaurant suivi quelque temps plus tard d’une soirée coquine dans mon appartement.

Sophie s’était laissé convaincre facilement et je dois dire que notre première nuit a été plutôt chaude.

Nous avons beaucoup parlé de nos vies, de nos goûts, de nos envies et nous avons découvert que tous les deux nous étions des adeptes du naturisme et de la fréquentation épisodiques des clubs coquins de la capitale. Nous étions faits pour nous entendre et nous compléter !

Je passe volontiers sur les péripéties des dix années écoulées… soirées coquines en clubs… vacances naturistes un peu partout en France… parties intimes à la maison… pour en arriver à cette soirée du samedi marquant mon quarantième anniversaire !

Sophie avait commandé auprès d’un traiteur toutes les nourritures solides prévues pour la soirée… Pour les boissons, il suffirait de puiser dans notre cave qui était bien garnie…

Nous devions être une douzaine de convives, hommes et femmes, en couple ou pas… Sophie avait dit en plaisantant qu’elle ne voulait pas dépasser le chiffre fatidique de 13 !

Deux couples faisant partie de mes collègues d’entreprise étaient des convives… et Sophie avait invité quelques personnes du magasin dans lequel elle travaillait, dont deux filles que nous avions déjà rencontrées lors d’une de nos virées en club.

Les hommes étaient sympathiques et très ouverts, les femmes s’étaient faites belles et sexy… L’ambiance était à la fête. Le buffet nous tendait les bras et nous avons commencé à danser. Heureusement, la maison était vide ce soir-là nous avions prévenu les deux autres locataires (des étudiants occupant deux chambres sous les combles).

Un collègue de Sophie s’occupait de la sono avec un de mes amis. Je dansais avec chacune des femmes dont deux (Valérie et Amandine) me chauffaient sous les yeux de Sophie qui ne perdait pas une miette de leur manège !!!

Lorsque les deux couples de mes collègues de bureau ont pris congé vers minuit, l’ambiance est rapidement montée d’un cran lors d’une séance de danses collées serrées’ où les filles ont commencé un strip-tease très coquin, chacune enlevant un vêtement de l’autre… puis quand toutes ont été en string et soutien-gorge, elles se sont tournées vers les hommes et ont commencé à les dénuder à leur tour…

Etait-ce parti pour une orgie ?

Peut-être… Avec Sophie, nous avions déjà coquiné’ avec ses deux collègues de boulot et un de leurs compagnons… Je ne savais rien des murs des autres participants.

Soudain, Valérie et Amandine se sont approchées de moi et ont entrepris de me bander les yeux…

— Laisse-toi faire… Tu vas avoir une belle surprise… Nous nous sommes toutes mises d’accord !

— Dans quel guêpier voulez-vous m’entraîner ?

— Tu verras bien et tu ne le regretteras pas !

Elles m’ont fait asseoir sur une des chaises non sans avoir fait descendre mon boxer et me l’enlever… J’étais à leur merci : aveuglé par le bâillon et les mains liées derrière le dos. ! Je me demandais quel jeu elles avaient imaginé. Mais rapidement, j’ai deviné que cela allait être sexuel, car des mains ont commencé à me caresser le sexe et les bourses, d’autres aux ongles acérés frôlaient mes tétons alors que des bouches voraces venaient me voler des baisers…

Au milieu des rires et des plaisanteries un peu osées, j’ai entendu Sophie dire :

— Mesdames, il est à vous… et toi mon coquin, à toi de deviner laquelle va jouer avec toi… Si tu te trompes en disant son prénom, tu as perdu et la suivante prendra la place !

J’allais donc être la victime inconsciente d’une sorte de COLIN-MAILLARD érotique concocté par ma compagne qui vint la première m’embrasser et palper mon sexe en disant que nous allions bien nous amuser !

Elle m’avait sucé brièvement rien que pour me faire bander et quand elle s’est relevée, elle a dit aux autres femmes qu’elles pouvaient commencer.

Les deux premières qui vinrent s’occuper de moi, ce furent Valérie et Amandine qui pendant quelques minutes se passèrent mon sexe de l’une à l’autre tout en palpant mes bourses. Je les avais reconnues à leurs parfums que je connaissais… mais bientôt, elles cédèrent la place en disant que pour moi c’était trop facile… je les avais reconnues immédiatement et je n’avais rien dit…

Si je comptais bien (et que toutes les femmes présentes jouent le jeu), il ne restait que les deux jeunes femmes qui étaient arrivées seules à la soirée : Agnès et Sylvie.

Le jeu se compliquait… Certes, j’avais dansé avec elles, mais avec les danses style disco, c’était difficile de sentir leur parfum…

Elles avaient presque la même silhouette que Sophie, mais avec des formes plus amples… surtout une paire de seins de folie qui tenait fermement d’après ce que j’avais pu voir ! Elles étaient aussi un peu plus grandes, frôlant certainement le mètre soixante-quinze !

Comme mes mains étaient entravées, je ne pouvais que me laisser faire, mais je me suis rendu compte qu’elles échangeaient leur position, car leur manière de me sucer était différente, l’une n’hésitait pas à me faire des gorges profondes alors que l’autre semblait se contenter de jouer avec le bout de ma queue qu’elle gardait entre ses lèvres et jouait avec le frein pour m’exciter…

Mais toutes les deux semblaient être des suceuses hors pair et je me retenais déjà depuis quelques minutes pour ne pas gicler dans la bouche de l’une ou de l’autre… !

Je me décidais de lancer le prénom de celle qui m’avait en bouche à cet instant :

— Agnès ! C’est Agnès qui me suce !

— Comment m’as-tu reconnue ?

— Un peu au hasard… Tu as des lèvres plus fines que Sylvie qui semblait vouloir compenser en m’avalant jusqu’au fond !

— Exact… je me suis contentée de jouer avec le bout de ta bite, car je ne voulais pas te faire gicler…

— Tu as eu raison… Je suppose que la suite du jeu c’est…

A ce moment Sophie est intervenue :

— Puisque tu as deviné qui te suçait, vous allez achever devant nous… Vous allez baiser devant nous, c’est la récompense prévue !

— OK… je pense que cela était ordonné ainsi ?

— Oui… Agnès… il est à toi !

Pendant que j’avais les yeux bandés, tout le monde s’était mis à poil, et les filles disponibles, y compris Sophie, étaient en main (si on peut dire). La soirée d’anniversaire était partie pour une orgie…

La séance m’avait mis en forme et quand Agnès m’a entraîné sur un des divans, je l’ai suivie et la position qu’elle a prise était sans équivoque. Elle s’est agenouillée et j’avais sous les yeux sa croupe un peu ample largement fendue qui s’offrait à moi… Elle avait un Plug enfoncé dans le cul… donc, il ne restait plus que son vagin disponible. Décidément, les femmes de cette génération semblent aimer la levrette !

J’ai fait aller et venir ma bite entre ses lèvres… elles étaient noyées de cyprine… et au moment où j’allais enfiler une capote Agnès m’a dit :

— Que je n’en avais pas besoin,

— Qu’elle avait confiance en moi,

— Qu’elle avait envie de me sentir gicler au fond de sa chatte…

J’aurai eu tort de refuser cette offre… Je me suis enfoncé entre ses lèvres et j’ai commencé à la pistonner allégrement ! A nos côtés, ce n’était que soupirs, bruits divers de succion ou de percussion quand un des hommes embrochait un peu sèchement sa partenaire… mais cela ne nous regardait pas… Avec Agnès, nous étions partis pour une belle cavalcade ! J’avais saisi sa taille entre mes mains et mon sexe allait et venait de plus en plus vite dans le sien, mais je retenais ma jouissance… Le traitement que les filles m’avaient infligé n’était pas sans conséquence… J’étais bien plus chaud que ma partenaire… Aussi, je me suis arrêté, la bite toute au fond de sa chatte et j’ai agité le Plug qui se trouvait dans son sphincter… Je l’ai fait aller et venir plusieurs fois jusqu’à ce qu’Agnès me dit :

— Vas-y… bourre-moi la chatte… je suis à point !

Puisqu’Agnès était à point, je me suis lâché et au moment où elle jouissait, j’ai déversé au fond de sa chatte quelques giclées de sperme…

Quand nous nous sommes désunis, Sylvie s’est approchée de nous et après avoir interrogé Agnès sur ma performance, elle a continué :

— Bouffer la chatte de Valérie pendant que je me faisais saillir avec un gode ceinture par Amandine, c’est bien, mais je préfère une belle queue mâle…

— Tu as certainement raison, mais quand aucune n’est disponible…

— Si justement, la tienne est disponible… Je vais te remettre en forme et tu vas me baiser ! Tel que je te connais, je suis sûre que tu as encore des réserves !

— Tout à fait… Viens ici ! Je vais te la mettre !

Sylvie s’est à moitié assise sur le divan et mettant ses mains sous ses genoux, elle a remonté ses jambes pour prendre la position de la grenouille. Sa fente était bien ouverte et pleine de cyprine, sa poitrine s’étalait un peu entre ses bras, mais le spectacle de cette jeune femme offerte ainsi était on ne peut plus bandant !

Je bandais encore à moitié de la précédente baise. Aussi, je n’ai eu aucun mal à investir cette chatte offerte ainsi d’une manière impudique. Dès que j’ai été bien ancré au fond du vagin de Sylvie, elle a noué ses jambes sur mes reins en me disant de bien l’inonder, ajoutant même :

— Ce n’est pas en club qu’on peut s’offrir ce plaisir… Sentir un homme gicler en moi, c’est le pied !

J’étais tout à fait d’accord avec elle, mais en club on ne sait jamais sur qui on tombe !

Bref, je lui ai donné satisfaction…

J’avais baisé Agnès… puis Sylvie… quand Valérie et Amandine se sont intéressées à moi… Après les deux coquines, collègues de boulot de ma femme, j’avais envie de souffler un peu… mais les deux autres ne l’entendaient pas ainsi !

— Viens… suis-nous dans votre chambre !

— OK… il y a un grand lit…

— Avant le lit, on veut te montrer autre chose : on a été embauchées pour cela !

— ???????

— Après, tu pourras nous baiser si tu veux…

En entrant dans la chambre, j’ai été surpris de voir qu’un grand espace avait été dégagé au pied du lit, mais lorsque Valérie a mis en marche son MP3 et qu’une musique très sensuelle a envahi la chambre.

Quand elle s’est redressée, Amandine a enlacé Valérie et après un baiser lascif, elles ont entamé un strip-tease des plus coquins…

Oh… elles n’avaient pas grand-chose à enlever puisque depuis quelque temps, toutes les femmes avaient enlevé leurs vêtements et se trouvaient en soutien-gorge et culotte… mais c’étaient les caresses et les baisers de plus en plus lascifs qu’elles échangeaient qui devenaient de plus en plus torrides. En plus, elles me frôlaient de leurs mains, mettant parfois leurs seins désormais dénudés à portée de ma bouche et elles palpaient mon sexe qui peu à peu se redressait…

Mais le summum du spectacle a été lorsqu’elles sont montées sur le lit et se sont mis en 69 pour continuer leurs caresses. Tantôt c’était Valérie qui était au-dessus, tantôt c’était Amandine…

De voir ces deux jolies filles se gouiner ainsi a achevé de me mettre dans tous mes états si bien que je les ai rejointes sur le lit et me suis mêlé à leur duo.

Je crois que pour elles, c’était le signe de la fin de leur spectacle, car elles se sont désunies et mises à genoux devant moi et ont commencé à jouer avec mon sexe et mes boules… Bientôt, ce furent deux bouches voraces qui se sont retrouvées pour lécher ou gober ma tige qui passait d’une bouche à l’autre.

Vous vous doutez bien que l’excitation était à son comble… et je bandais comme cela m’était arrivé rarement. Les deux filles m’ont fait coucher sur le dos et elles ont enjambé mon corps… Amandine a pris ma bite entre ses doigts et l’a introduite entre ses lèvres intimes et Valérie est venue au-dessus de ma bouche pour que je lui fasse un cunni pendant que sa complice montait et descendait sur mon sexe…

J’avoue que ma jouissance a été un peu longue à venir… mais finalement, j’ai craché mon foutre dans la chatte d’Amandine pendant que Valérie jouissait sous ma langue… inondant mon buste de plusieurs giclées de liquide… C’était une femme fontaine !

La fin de nuit a été plus calme, mais j’ai bien profité de mon cadeau d’anniversaire… Les filles présentes m’avaient asséché les couilles !

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