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L'histoire de Manon. – Chapitre 4




Avant de continuer à te raconter mes histoires passées, je vais faire un petit saut dans le présent. Maria et moi sommes toujours ensemble et libertines, c’est elle qui choisit mes partenaires et la relation que j’entretiens avec eux. Nous travaillons ensemble dans les mêmes locaux, gynécologue pour Maria, et moi, je suis psychologue. Des fois, je me dis que ma patientèle serait troublée de savoir que "Fuck-machine" est tatouée autour de ma rondelle ! J’ai aussi les deux tétons percés, mais ils doivent voir les boules des bijoux au travers des mes hauts, un anneau sur le clito et 3 sur chaque lèvre intime.

Je garde un souvenir de Daddy, notre dernière séance, devant nos femmes respectives, il m’a marqué au fer en tout petit "Daddy" sur une fesse. Quand j’ai eu 25 ans, j’étais trop vieille pour son désir, même si j’ai été sa meilleure chienne. Nous gardons contact par téléphone. Depuis notre séparation, je n’ai plus rencontré une évidence comme lui, je me contente de relation de quelques mois soft et parfois moins avec les hommes que ma femme Maîtresse me propose… Enfin, jusqu’en juin dernier.

Maria a reçu un message il y a 6 mois de cet homme, il lui a dit qu’Hadrien lui avait parlé de lui dans une soirée de riche libertin très privé. Roman lui tripotait les fesses pendant qu’ils échangeaient sur leurs parcours de dominant. Daddy avait un si beau souvenir de moi, qu’il lui avait donné envie de lui demander une photo et mes coordonnées. Il expliquait dans son mail que tous les mois de décembre et chaque mois de juin, il était au Brésil dans sa maison de campagne et qu’il aimait avoir une pute soumise à ses côtés. Il était resté 6 ans avec la dernière qui passait ses derniers jours avec lui au moment où il nous écrivait. Il payait 5000e pour le mois, une fois sur place, je possédais ma chambre, mon dressing rempli d’un double de sa carte bancaire, etc.

Là-bas, je jouerais sa compagne dans la vie "normale", et dans les soirées libertines qu’il organise, je serais son esclave.

Ils ont parlé ensemble tous les jours durant une semaine, puis elle me l’a présenté, et nous avons échangé en virtuel jusqu’en décembre.

Mon billet d’avion, en classe affaire était prévu à Paris le 30 novembre à 14 h 30, et mon billet retour le 5 janvier. J’avais pour consigne de ne prendre avec moi que

ma trousse de toilette, mon sex-toy préféré et mon matériel numérique (téléphone, pc…). Une fois à ses côtés, j’avais le droit de contacter ma femme tous les jours, mais elle ne devait plus exercer son pouvoir sur moi. Avant d’accepter l’offre, nous avons pris le temps d’en discuter avec Daddy et de lui demander de nous donner les coordonnées de sa dernière pour la contacter elle aussi. Sophia arrêtait, car elle allait se marier quelques semaines plus tard et ne voulait pas mentir à son mari.

***

J’ai atterri à Rio, à l’aube 15 h plus tard. Devant le portique de sortie, un jeune latin m’attendait, une affiche à mon nom dans la main. Je me suis dirigée vers lui, je me suis présentée en anglais et il m’a amenée jusqu’à sa voiture. Il m’a amenée jusqu’à un aérodrome privé où un jet m’attendait au côté de, deux couples de vieux riches voisins de Roman à Barra Grande. Ils le connaissaient bien et n’arrêtaient pas de me dire qu’ils étaient heureux de savoir Roman en couple avec une jeune femme simple comme moi. Ils m’ont accompagnée jusqu’au bout d’un chemin. Roman vivait dans une luxueuse villa moderne de verre et de béton à la lisière de l’Amazonie, les deux couples d’amis eux logeaient dans une villa situé au milieu du chemin à quelques centaines de mètres. Je les regardais s’éloigner. Le moment de découvrir le visage du dominant qui me fait vibrer quasiment autant que mon Daddy avant, j’étais tellement angoissée que j’en avais la nausée.

J’ai sonné, le portail s’est ouvert sur un long chemin de terre, aux pourtours boisés. Je me suis avancée à pied le long du sentier, le tract me donnait l’impression qu’il était si long que je risquais de m’enfuir en courant à tout moment. Devant la maison d’architecte ultra-moderne, une petite femme typée latine m’attendait, comme ma femme, elle parlait français avec un fort accent, mais portugais. Elle s’appelle Abella, elle a 25 ans, c’est la gouvernante à demeure de Roman. Elle vit avec son mari dans une luxueuse dépendance. Elle m’a annoncé direct qu’elle savait que j’étais la nouvelle prostituée de Roman et m’a de suite amenée dans ma suite: un lit immense, une cage, une salle de bain, et un dressing sur mesure avec tenue chic, détente, sexy et vulgaire. Elle m’a laissée me reposer en me disant que Roman était en déplacement pour l’instant. J’ai pris une douche et je me suis passé une tenue sexy sans être vulgaire, une nuisette blanche transparente, avec le string assorti.

Je me cale sur le lit, passe un coup de fil à ma Maîtresse chérie, puis, je me suis endormie.

J’ai été réveillée par une main qui effleurait la peau de ma cuisse, j’ai ouvert les yeux et comme avec Daddy, j’ai eu un coup de foudre sexuelle. Je l’ai de suite trouvé ultra-sexy, grand, brun, visage rond et sourire en coin, buste carré. Tout ce que j’aime. J’étais intimidée… Qu’aurais-je pu dire ?… J’avais le souffle coupé. Il m’a saluée d’un "Bonjour jolie Manon !", puis il a été coller ses lèvres sur les miennes, et c’est ainsi que nous avions échangé un premier baiser naturel et passionné. Il sest, ensuite allongé près de moi, et nous avons papoté avec fluidité de nos vies et parcours. Il sest levé et ma tendu une longue lettre avant de s’en aller en me proposant de le rejoindre, une fois lue.

"Chérie, jolie truie…

Si tu lis cette lettre/contrat, c’est que tu as franchi le pas de me rejoindre. Tu es ici pour un peu plus d’un mois, si l’aventure te plaît, à l’issue de ton séjour ici, tu pourras revenir en juin et ainsi de suite.

Tu m’accompagneras partout, dans les soirées de charité, les galas, les dîners d’affaires, les fêtes de voisinage. Dans ces moments-là, tu seras Manon, ma fiancée, tu trouveras ta bague de fiançailles dans le premier tiroir. Je t’ai rencontrée alors que j’étais encore avec Sophia, et nous avons eu le coup de foudre. Dans ce genre de moment, tu auras le droit de me tutoyer et de te comporter en femme égale, mais tout de même docile, je t’appellerais " chérie" et toi "mon amour".

Quand nous sommes seuls à la maison (Abella et son mari ne comptent pas.) Ou dans les soirées libertines que j’organise, alors je serais Maître Roman, et tu seras jolie truie, tu me vouvoieras, tu t’adresseras à moi en demandant la permission au préalable, tu te déplaces sur tes genoux.

Je gère quand tu vas aux toilettes, quand je te lave, quand je t’épile en gros tout ton entretien.

Tu n’as aucune tache ménagère en charge, à part m’essuyer après pipi dans un premier temps, et on verra par la suite.

Tu dois veiller à ce que ton trou de balle soit constamment lubrifié au gel et prêt à l’emploi.

Nous n’utiliserons pas de capote, nous nous sommes fait une promesse dès le début de faire des tests tous les mois jusqu’à aujourd’hui, je ne te prendrais jamais la minette, je ne suis pas fan, seulement le cul et/ou la bouche.

Tu seras offerte à des hommes, des femmes, des trans…

Tu auras une séance de dressage chaque jour, de 17 h à 19 h, peu importe où on se trouve.

Je choisis tes vêtements.

Tu seras en off tous les mercredis.

Tu mangeras dans ta gamelle.

Voilà pour les règles indiscutables.

Je t’attends à présent avec en tête trois fantasmes que je devrais te réaliser, trois questions indiscrètes et la grille des limites dument remplie.

Maître Roman.

Je me suis levée pour aller jusqu’au premier tiroir, une boîte de velours bleu, je l’ai prise, ouverte. J’ai enfilé l’émeraude sertie de diamant.

***

Je suis descendu sans vraiment savoir où j’allais et où il pouvait se trouver, j’ai avancé dans un long couloir sombre, j’ai entendu des grognements, je les ai suivis. Maître Roman était assis comme un pacha sur le canapé et se faisait sucer la bite par un homme. Je n’osais pas m’avancer, figée. Qu’est-ce que je devais faire ? Je sentais la panique monter, hanté par l’idée de décevoir le premier jour. Il a ouvert les yeux pendant la turlutte et m’a fait signe de m’asseoir à ses côtés. Pendant que son complice continuait à pomper la grosse queue que je découvrais, il me l’a présenté. Adonaldo était un de ses associé et ami avec qui il entretient une relation homosexuelle. Ils se connaissent depuis le collège, et dès leurs premiers émois dans le caleçon, ils ont profité de leurs amitiés pour se soulager. Ensemble, ils étaient switch. Je le verrais souvent au cours de mon séjour et j’ai même plusieurs fois couché avec lui. Il a juté dans sa bouche et s’est tourné vers moi.

Je t’écoute ?

Je rêve de me faire fister l’anus, de me faire fister l’anus et la minette en même temps, et de sucer le plus grand nombre de bites qui jouissent sur mon visage dans une soirée.

Intéressant, je vois qu’Hadrien n’a pas menti…

Que faisiez-vous avec Hadrien ce soir-là ? Qu’a-t-il dit sur moi ? Et quel est le truc le plus dégueu fait avec Sophia ?

Je l’ai dominé, il avait prévu cette question, ce sont des soirées qui sont filmées pour qu’on puisse visionner leurs souvenirs sur des sites cryptés, et il m’a autorisé à te montrer, il m’a dit que tu étais le corps imparfait le plus bandant qui soit, que tout ce qui est vu comme moche sur le corps devient sexy chez toi. Il m’a dit que vous étiez des amoureux SM, et qu’il t’a amené loin. Pour l’instant, je ne trouve rien à redire, tes bourrelets, tes vergetures, ton nez particulier te rendent effectivement ultra-sexy pour qui sait te regarder. Le truc le plus dégueu, du scat, une fois, je l’ai privé d’aller chier plusieurs jours puis j’ai planté ma bite pour la souiller, taper dedans en l’enculant et l’essuyer sur elle à chaque sortie.

Voilà comment a débuté le mois avec mon nouveau Daddy…

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