Depuis notre première rencontre il y a toujours eu une forte attirance entre Julie et moi !
Julie c’est la sur de ma femme. La première fois que je l’ai vue, ma femme était au travail et Julie est venue en avance à la maison où nous avons passé quelques heures seuls. Nous avons beaucoup parlé, échangé, comme si nous nous connaissions déjà. A un moment nous nous sommes même pris dans les bras l’un l’autre juste pour se faire un câlin en se serrant très fort et en se faisant des baisers sur les joues. Ceci m’a tout de suite confirmé l’attirance spontanée que nous avons. Cela n’est pas allé plus loin pendant plusieurs années. Nous ne nous croisions que très peu mais à chaque fois nous discutions avec plaisir et nous nous prenions dans les bras parfois longuement au lieu de juste nous faire la bise pour nous dire bonjour et au revoir.
Puis un jour ma femme me dit que sa sur va venir passer une nuit à la maison car elle doit faire de la route pour aller voir de la famille et veux faire étape chez nous (nous habitons en effet assez loin).
Je lui dis que c’est avec plaisir et je me dis à moi-même que je suis même impatient de la voir.
Elle arrive en fin d’après-midi par une chaude journée d’été. Nous sommes déjà à la maison et dès qu’elle arrive je sens un désir soudain monter en moi. Elle est de taille moyenne, blonde, les cheveux mi-longs, assez fine avec de petits seins que l’on devine bien sous la robe légère qu’elle porte aujourd’hui. Comme à notre habitude nous nous serrons l’un contre l’autre pour nous dire bonjour. Je suis en short et T-shirt et la finesse des tissus me permet de bien sentir ses formes, la chaleur de son corps et le battement de son cur. Le mien s’emballe et mon sexe se durcit même un peu. Nous nous éloignons mais avant nous nous regardons un long instant et dans ses yeux on peut voir le plaisir de me revoir mais aussi le même trouble qui vient de me saisir lorsque nos corps étaient serrés.
Nous nous retrouvons alors pour boire l’apéro. Pendant que les deux surs parlent je m’occupe de faire le service mais j’ai du mal à détacher mon regard de Julie. Elle est assise sur une chaise de jardin et sa robe remonte jusqu’à mi-cuisse et comme il fait très chaud elle écarte par moment légèrement les jambes. Je profite d’un de ces moments pour regarder de façon un peu plus appuyée et je vois le bout de tissu qui recouvre son sexe. Une belle culotte très fine qui laisse entrevoir la forme de ses lèvres. Ceci a pour effet de m’exciter immédiatement et mon sexe se dresse brusquement. Quand je relève les yeux je croise son regard et elle paraît un peu gênée car elle a bien compris où je regardais mais en même temps je lis une certaine excitation dans ses yeux. Je me précipite dans la cuisine pour ne pas que l’on devine ce qui se passe sous mon short.
La soirée et le repas se passe en discussions diverses et vient l’heure d’aller se coucher. Je vais aider Julie à refaire le lit de la chambre d’amis qui se trouve à l’étage pendant que ma femme range la cuisine.
Quand Julie se penche sur le lit pour mettre les draps, le haut de sa robe s’écarte et je peux entrevoir ses seins. Elle n’a pas de soutien-gorge et ses jolis petits seins clairs bougent légèrement ce qui me fait vraiment de l’effet, ce qu’elle semble remarquer car je la vois rougir un peu mais tout en ne faisant rien pour que sa robe ne s’entrebâille pas à nouveau quelques instants plus tard. Nous finissons de préparer le lit et au moment de sortir de la chambre nous nous retrouvons tout prêt l’un de l’autre et comme si le temps venait de s’arrêter nous restons là, nos regards se troublent, et nous nous rapprochons imperceptiblement jusqu’à ce nos corps se touchent, tout doucement puis plus fortement. Nous nous serrons dans les bras l’un de l’autre, sans dire un mot. Mon sexe est complétement redressé et je sens son corps chaud et désirable qui le compresse, c’est si bon ! je peux sentir ses seins sur ma poitrine, ses tétons sont durs. Je la serre encore plus fort, elle blottie sa tête sur mon épaule et m’embrasse du bout des lèvres sur le cou et ce premier contact avec la douceur de ses lèvres et un vrai délice.
Mais nous devons nous interrompre car ma femme monte nous rejoindre. Nous nous éloignons donc mais prenons le temps d’échanger un regard empli de tendresse et de désir mélangés.
Chacun se prépare pour aller se coucher et nous nous retrouvons au pied des escaliers pour souhaiter une bonne nuit à Julie, je n’ose m’approche d’elle tant je la désire et lui souhaite une belle nuit de loin ce qui semble la décevoir. Nous nous retrouvons donc chacun dans nos lits et pendant que femme dort déjà je ne fais bien sûr que penser à Julie. Je repense à ces moments qui m’ont permis de deviner son sexe, d’entrevoir ses seins, de sentir son corps contre le mien, son souffle, ses lèvres.je bous de désir. Cela fait déjà une heure que nous sommes couchés et je ne dors toujours pas, je pense à Julie qui est seule dans son lit à l’étage et imagine qu’elle m’attend pour que nous puissions enfin assouvir ce désir sans cesse croissant. J’entends un bruit à l’étage ou peut-être est-ce mon imagination mais ne pouvant dormir je décide d’aller à l’étage pour aller aux toilettes (ce que je fais habituellement la nuit pour ne pas réveiller ma femme au RDC). A chaque marche mon cur palpite plus fort, j’entends bien un bruit juste quelques marches plus haut, et quand j’arrive dans le couloir je la vois ressortir des toilettes.
Dans la pénombre elle semble presque irréelle, vêtue d’une très légère nuisette qui ne cache pas grand-chose. Elle s’arrête quand je m’approche d’elle, je la regarde et sans un mot je plaque mes lèvres sur les siennes, très vite nos langues se mêlent d’abord doucement puis de plus en plus fougueusement. Nos mains découvrent nos corps, le souffle court je descends ma main droite sur ses cuisses pendant que ma main gauche découvre ses fesses. Sans que nos langues se quittent nous bougeons pour qu’elle se retrouve plaquée au mur. Ma main gauche remonte jusque vers son sexe que nulle culotte ne recouvre à présent. Mes doigts arrivent enfin sur son sexe qui est déjà humide et palpitant et je commence à la caresser puis j’insère un doigt délicatement en elle, ce qui a pour effet de lui faire redoubler la fougue du baiser langoureux que nous continuons. Une de ses mains arrivent sur mes hanches, elle me repousse légèrement pour prendre mon sexe en main et pendant que mes doigts découvrent la douceur de son sexe elle fait des va et vient de plus en plus rapides sur mon sexe qui ne demande que ça.
Puis elle ralentit le rythme de sa masturbation interrompt notre baiser et approche mon sexe du sien et sans hésiter elle le plonge en elle. Je reste sans bouger, le temps est suspendu, tout n’est que sensation : nos regards sont plongés l’un dans l’autre, nos lèvres toutes proches, l’odeur de nos souffles mélangés, le bruit de nos curs, la chaleur de son sexe enserrant le mien, le grain de sa peau sous mes doigts, puis, très lentement je commence à bouger en Julie. Sa tête est maintenant sur mon épaule, son souffle dans mon cou s’accélère ou ralenti au rythme de mes va-et-vient. Le plaisir croit chaque seconde, son souffle se saccade, son sexe ruisselle sur le mien, l’extase approche, nos bouches se joignent alors et nos deux corps ne font plus qu’un quand je jouis en elle, ce qui a pour effet de la faire jouir à son tour tant notre connexion est forte. Nos bouches unies étouffent les cris de jouissance. Nous restons là, elle plaquée contre le mur et moi fondu en elle, nous ne bougeons plus, je sens mon sexe palpiter en elle ou c’est le sien qui palpite autour du mien, je ne sais plus et cela m’est bien égal.
Puis le temps reprend son cours, je sens mon sexe recouvert de sperme mais aussi le drap qui recouvre mon corps dans mon lit et je me réveille ne sachant plus si cela n’a été qu’un rêve ou une merveilleuse réalité.
