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Apprentissage de la zoophilie – Chapitre 1




Bonjour,

Je mappelle Véronique. Jai 25 ans, mariée et bientôt je serais maman dun petit garçon

Lhistoire que vous allez lire date de quelques années.

A 16 ans, mes études primaires terminées, je voulais suivre une formation de monitrice déquitation.

A une cinquantaine de kilomètres de chez nous se trouvait une ferme équestre qui voulait bien me prendre comme apprentie. En plus, je pouvais être nourrie et logée sur place.

Avec laccord de mes parents, un contrat est signé. Dés le mois de juillet, je prends possession de ce qui allait devenir ma résidence et mon lieu de travail pour quelques années.

A quatre kilomètre du premier village, en retrait de la route, en bordure dune forêt et dune rivière, se trouvaient les bâtiments de cette ferme. Les écuries étaient séparées de la partie habitation par lallée daccès terminée en parking. Tout autour, des chevaux et des poneys paissaient dans des prairies.

Ce sont les propriétaires qui nous ont accueillis, mes parents et moi. Des gens très aimables qui, pendant une bonne heure, nous ont fait visiter les installations et offerts des boissons rafraichissantes. Tout en partageant le verre de lamitié, ils nous ont présenté lactivité de leur ferme. Cela consistait à initier des enfants et des adultes à léquitation de loisirs, à organiser des promenades équestres pendant les vacances dans la campagne environnante, de louer des chevaux ou des poneys à des associations ou autres organismes (kermesses scolaires ou figurations cinématographiques par exemple).

En contre partie dune surveillance de sécurité, je serais logée, gratuitement, dans un petit studio (chambre avec kitchenette et coin toilette) en bout du bâtiment des écuries. Ce logement était séparé de la partie réservée aux animaux par le garage des véhicules, un atelier, la sellerie et une petite réserve de fourrage. Ce logement avait une sortie directe sur le parking extérieur et communiquait avec le reste du bâtiment par divers couloirs. A lautre bout du bâtiment, une niche était aménagée pour le chien de la ferme. Un superbe berger allemand très gentil et très docile, daprès ses maîtres. A part le petit déjeuner que je préparais sur place, je prendrais mes repas au réfectoire du personnel.

Bien que séparée de la partie habitable, réservée aux propriétaires et à leur famille, je ne me sentais pas isolée car un réseau de téléphones interne nous reliait. Fille de la campagne, je nétais pas particulièrement peureuse, surtout que jaurais Wolf, le chien, pour compagnon.

Les vacances étant commencées, dans un premier temps jassurerai laccueil des « abonnés » et des touristes. Cela me permettait de me familiariser avec lactivité de la ferme, et de mieux connaître mes collègues de travail soit une secrétaire et deux hommes palefreniers en permanence et, pendant les vacances, des saisonniers, trois filles et trois garçons, étudiants dune vingtaine dannées, auxquels il fallait rajouter les moniteurs déquitation en horaire et nombre variables suivant les réservations. Nétant pas logé sur place, tout ce personnel arrivait le matin et repartait le soir.

En fin de journée, je me retrouvais seule. Bien que disposant dun poste de radio et dun téléviseur, en attendant lheure daller au lit, je me promenais au bord de la rivière en compagnie de Wolf. Très vite, nous avions sympathisé. Dune gentillesse et dune docilité exemplaire, cette « bête » était particulièrement intelligente. Elle « fraternisait » avec tous les animaux de la ferme mais était très agressive pour les intrus qui sapprochaient trop près de clôtures tels les cerfs, chevreuils et autres sangliers.

Entre la formation théorique et pratique, je nai pas vu passer les dix huit premiers mois de cette vie tranquille.

Disposant dun cyclomoteur, bien sur jallais au village. Bien sur, le week-end je retournais chez mes parents. Bien sur, je sortais, javais des copines et des copains. Bien sur, Sylvain, lun des jeunes saisonnier avait su me faire rêver. Mais, comme mes parents avaient demandé à mes « patrons » de veiller sur mes fréquentations, à la nuit tombée mon amoureux venait me rejoindre le soir au bord de leau, assez loin des habitations. Nous avons flirté quelques semaines avant davoir des relations plus intimes. Le soir ou jétais prête à franchir le pas et décidée à perdre ma virginité, Sylvain, particulièrement doux pendant ses caresses sest révélé être une véritable brute au moment de ma défloraison. Pendant plus de trois jours, jai eu mal. Nous avons rompu toutes relations et il est parti avant la fin de son contrat.

Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai prochainement.

Comme je lai dit, au cours de mes promenades de fin de journée, Wolf maccompagnait. Si nous étions vite devenus « amis », cest quil me rassurait. Quand je marchais, il gambadait à quelques pas de moi. Quand je masseyais, il venait me trouver pour avoir des caresses. Pour le « remercier » de sa présence, javais toujours une petite récompense à lui donner : un morceau de sucre, un biscuit, une biscotte ou autre chose. Il manifestait sa joie en voulant me lécher le visage tout en sautillant. Dans la pénombre, il marrivait de voir son pénis sortir, mais je ny prêtais pas une attention particulière.

Quand le temps était mauvais, je restais dedans à regarder la télé, ou à écouter la radio, à réviser mes cours. Wolf, qui avait la possibilité de circuler librement dans les couloirs du bâtiment venait gratter à ma porte. Je le faisais entrer. Si jétais assise sur une chaise ou sur le bord du lit, Wolf venait poser ses pattes avant sur mes genoux pour recevoir quelques caresses. Voulant me lécher le visage, je me penchais en arrière pour éviter les coups de langue. Wolf savançait au maximum, ses pattes avant de chaque côté de mon buste, son ventre sur mes cuisses. De temps en temps je sentais bien son pénis chaud et humide contre mes genoux. Je ny prêtais pas particulièrement attention jusquà ce quun soir je sentis des giclées humides entre mes jambes et du liquide couler.

Poussant un cri de surprise, je repoussais un peu violement le chien. Je vois son pénis pointu, rouge, gonflé complètement sorti, une boule à lentrée de son fourreau, quelques gouttes de sperme sécoulant encore

Jattrapais du papier absorbant pour essuyer mes jambes avant daller faire un brin de toilette.

En revenant, je retrouvais le chien qui me regardait dun air « penaud » et « triste ». Il avait compris quil avait fait une « bêtise ». Ne me laissant pas trop attendrir, je le chassais dehors et me couchais. Comme cela marrivait de temps en temps, je caressais mon corps pour me détendre et, inévitablement, une main soccupait de mes seins et lautre de mon entrejambe.

Depuis mon expérience désastreuse avec Sylvain, je navais pas rencontré dautres garçons. Cela ne mempêchait pas de me masturber. Surtout si, dans la journée, javais vu quelques chevaux ou poneys en érection, le pénis touchant presque le sol ou si javais monté. Les jambes écartées et le frottement de ma vulve sur la selle et mon clitoris contre le pommeau ; cela me procuraient une excitation si grande que le soir je me faisais jouir.

Ce soir là, tout en faisant monter ce plaisir solitaire, je ne pouvais mempêcher de repenser au sexe de Wolf. Dans ma mémoire, je le revoyais pointu, long, gros, raide, bien rouge. Introduisant un, puis deux, et enfin trois doigts dans mon vagin dégoulinant, jimaginais que cétais lengin de mon compagnon canin qui me remplissait. Très vite jéclatais dans un orgasme particulièrement puissant.

Le lendemain soir, Wolf ne sest pas manifesté Après avoir fait un tour dans le bâtiment pour vérifier si tout était en ordre et les portes bien fermées, je passais près de mon compagnon. Il est resté couché en me regardant de ses yeux tristes. Dune claque sur ma cuisse, je linvitais à venir me trouver. Dun bond, il me rejoint. Je maccroupis pour lui caresser la tête et lui dire que je lui avais pardonné sa « bêtise » de la veille. Il avait compris. Tout frétillant, il me suit jusque dans ma chambre. Métant assise sur une chaise, il na pas cherché à monter sur mes genoux pour me lécher la figure. Il sest assis sur son derrière et a posé sa tête sur mes cuisse. Tout en le grattant entre les oreilles et en caressant ses flancs, je ne pouvais détacher mon regard de son sexe. Au bout de quelques minutes, le bout de son pénis est sorti du fourreau. Me penchant un peu, je posais une main sur son sexe. Wolf a eu un mouvement de surprise, a regardé et ma laissé faire sans manifester dagressivité. Enhardie par ce manque de réaction « agressive » , je commençais à le « décalotter » un peu plus puis à le masturber. Plus jallais dans mes va et vient, plus le pénis sallongeait, plus il grossissait et plus le nud (knot en anglais), qui nétait pas sorti du fourreau, enflait. Au bout dun moment, Wolf se mit à gémir. Je continuais toujours à le masturber jusquà ce quil grogne en montant les dents. Je lâchais son sexe et il fit quelques pas pour séloigner de ma main restée pendante. Il se mit à lécher son pénis toujours sorti. Jai compris que cette masturbation lui avait fait mal. Très certainement, ce devait être la première fois que ça lui arrivait. Quand jai ouvert la porte, il est parti sans que je le lui demande. Cela mavait tout de même émoustillée. Je mallongeais, nue sur mon lit, et commençais à me caresser tout en pensant au moment que nous venions de passer. Je réalisais que Wolf avait eu mal à cause de son knot qui a gonflé emprisonné dans son fourreau.

Pendant quelques jours, je laissais mon compagnon tranquille. Un soir, après ma ronde dans le bâtiment, je rentrais dans ma chambre suivie de mon compagnon. Après le « rituel » des caresses amicales, je décidais daller prendre une douche. A la sortie, nue sous un peignoir, je masseyais sur le bord du lit. Jenroulais mes cheveux dans une serviette pour les faire sécher quand mon vêtement sest ouvert offrant une vue directe sur mon intimité velue à Wolf. A part lui, personne ne pouvant me voir, je restais donc dans cette position. La serviette fixée sur ma tête, mes mains ont commencé leur travail de décontraction sur mon corps. Bien sur, cela cest terminé par les caresses de mes seins et de ma vulve sous lil attentif de mon unique spectateur. Quand jai commencé à mouiller, des petits bruits de clapotis se sont produits sous mes doigts impudiques. Intrigué, Wolf sest approché pour voir, puis, un peu plus près pour sentir. Pour satisfaire sa curiosité, je retirais ma main et le laissais faire. Après avoir reniflé, dun coup de langue il a léché Cette langue, légèrement râpeuse, passant sur mes lèvres sensibles, ma projeté au bord de lorgasme. Instinctivement jai resserré mes cuisses les claquant contre la tête de mon chien qui, surpris recule. Revenu de ma surprise, des deux mains jécartais mes lèvres intimes et invitais, par le geste et la parole Wolf à venir lécher lintérieur de ma chatte enfiévrée. Il s est approché, a reniflé, mais na pas voulu lécher, certainement, de peur davoir dautres claques Un peu déçue, Je me suis « finie » à la main. Revenue au calme après cet orgasme un peu long à venir, le chien étant parti vers sa niche, je me suis couchée tout en réfléchissant de quelle façon jallais me faire lécher par mon chien. Un peu honteuse davoir de telles pensées lubriques, je voulais tenter lexpérience et savoir si le plaisir ainsi procuré pouvait être aussi intense que le prétendais la rumeur qui circulait dans le milieu équestre. En effet, il se disait que les dames, qui venaient faire de temps en temps quelques moments de chevauchée, avaient toutes un chien à la maison. Bien souvent de petite race, il leur permettrait de satisfaire leur désir de jouissance quelles avaient eu sur la selle. Dans un langage vulgaire, ces animaux étaient désignés sous le nom commun de « broutes chounes » ou « lèches minous »

Un soir, quand jai voulu tenter à nouveau lexpérience, assise sur le bord du lit, seulement vêtue de mon peignoir, je me suis caressé jusquà ce que ma jouissance coule entre mes lèvres vaginales. Jattirais le chien entre mes jambes et, malgré mes encouragements, il refusait de lécher. Ayant prévu ce risque déchec, javais mis à portée de mes mains le tube de lait concentré qui me servait à préparer mon petit déjeuner. Jen mets une goutte au creux de ma main que je présente sous la truffe du chien. A peine senti, une langue gourmande vient la lécher. Je recommence et obtient le même résultat Jen mets une goutte sur ma cuisse. Il sapproche, hésite, sapproche un peu plus, renifle et lèche. Je recommence en me rapprochant un peu plus de mon triangle poilu. Mis en confiance, Wolf me suit et, à peine déposé, dun coup de langue nettoie la place. Jen arrive à mettre du lait sur mes poils pubiens et je frotte afin de bien les faire coller. Contre toutes attentes, la réaction du chien est instantanée. Ce nest pas un mais une bonne dizaine de coups de langue qui ont été nécessaires pour nettoyer la place. Plus il léchait, plus je mouillais. Plus je mouillais, plus je rajoutais du lait. Plus il y avait de mélange, plus il léchait. Cela a duré quelques minutes. Ma jouissance a été si intense que jai eu au moins trois orgasmes coup sur coup avant darriver au bord de la défaillance. Le calme revenue, mon chien a eu droit à un supplément de biscuits en récompense et des caresses encore plus amicales que dhabitude

Laissant passer quelques jours de repos entre chacune, nous avons recommencé ces séances de léchage. Wolf avait compris quels étaient mes désirs quand il me voyait assise, cuisses écartées, le tube de lait à la main. Je croyais avoir atteint le summum de la jouissance par ces pratiques. Mais, un soir, tenant mes petites lèvres écartées, jy déposais un peu de lait juste en haut, la ou elles ce rejoignent, sous mon clitoris.

Quand la langue gourmande de mon ami canin est passée par là, cest une véritable décharge électrique que jai reçue. Mon corps a été entièrement parcouru par des frissons. Je me suis cambrée, raidie, et je crois bien que jai perdu connaissance pendant quelques secondes tellement cela était fort, intense Heureusement que, surpris par ma réaction, Wolf a arrêté de lécher.

Le calme revenu et sachant quel effet cela me produisait, voulant recommencer, mon bouton damour était devenu si sensible que cela devenais douloureux. Obligée darrêter, chacun de nous a regagné son couchage pour une bonne nuit de « récupération ».

Peut-être certaines lectrices ou lecteurs se poseront la question de savoir si mon chien prenait du plaisir à ces séances de léchage. Je peux vous dire que oui. En plus des caresses, des paroles dencouragement et des friandises que je lui donnais, javais remarqué que son pénis sortait de plus en plus de son fourreau. Si cette vue mapportait un supplément de jouissance, cela me confortais dans lidée que si mon chien bandait cest quil avait du plaisir.

Il marrivait aussi, parfois, de le masturber jusquà ce quil éjacule en faisant attention que le knot soit bien hors de son fourreau. Jamais Wolf na essayé de se soustraire à mes manipulations. Quand javais du sperme sur les doigts ou les mains, au début, jallais me laver. Un soir, jy ai goutté. Si ce nétait pas franchement bon, je ne peux pas dire que cétait mauvais. Depuis, me léchant les doigts, je my suis habituée et je commence à apprécier

Poursuivant ces relations avec mon chien, je voulais aller plus loin, jusquà ce quil me prenne comme une vrai chienne. Ce fantasme est devenu réalité. Ce sera le sujet de ma prochaine histoire

Bonne lecture,

Véronique,

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