*** Partie 6 ***

Tyran

Deux semaines passèrent et lhiver approchait à grands pas. Le froid était plus présent, mais je me devais tout de même de porter des vêtements affriolants. Durant ces deux semaines en effet, mes profs de maths et de sport ne cessèrent de me baiser, souvent séparément mais parfois en même temps, réitérant avec la double-pénétration, que je commençais à trouver excitante. Jétais littéralement à leur merci, ils faisaient de moi ce dont ils voulaient. Ils me prenaient où ils voulaient, quand ils voulaient et comme ils voulaient. Du moins, tant que nous restions tous dans le secret: il ne fallait pas que notre relation sébruite ou soit découverte, sinon, tout le monde aurait des ennuis.

Ils étaient tous les deux dominateurs et adoraient me le faire savoir en me tringlant sauvagement et en mhumiliant comme une nymphomane peut lêtre. Je commençais à mhabituer à ces baises récurrentes et je ne pouvais bientôt plus men passer. Jaimais le sexe, et ces deux hommes, mon prof de maths particulièrement, me lavaient fait découvrir.

Seulement voilà: cétaient les vacances. Il ny avait pas de cours. Mes profs partaient tous deux en vacances loin dici, avec leurs familles respectives. Aucun deux ne me contacterait durant ces jours de repos.

Et après une semaine (sur les deux de vacances), lenvie de sexe revint rapidement. Seulement, je ne pouvais rien faire. Je navais envie de coucher quavec lun dentre eux, et avec personne dautres, encore moins un de mes camarades de mon âge.

Mes vacances de Noël se déroulèrent normalement. De la famille vint passer le réveillon avec nous. Je vis mes grands-parents ainsi que quelques oncles, tantes, cousins et cousines. Cela me fit oublier la monotonie des cours (heureusement éclairés par mes profs).

Trois jours après Noël, lors dune journée grisâtre, presque neigeuse, mes parents sortirent de lappartement pour aller faire des courses. Je mennuyais fermement, et les cadeaux offerts par ma famille ne moccupèrent pas vraiment. Laprès-midi allait être longue. Je décidais donc de faire plaisir à ma mère en nettoyant un peu lappartement.

Mes parents, un peu idiots, avaient poussé le volume du chauffage à son maximum, ce qui provoquait une chaleur assez importante dans lappartement. Je navais donc pas la moindre gêne ni réticence à faire le ménage dans une tenue légère: un long et vieux T-shirt appartenant à mon papa qui marrivait jusquaux cuisses, et cest tout. Pas de sous-vêtement. Quel intérêt, seule chez moi sans mes parents?

Le seul être vivant présent dans lappartement à part moi, cétait Tyran. Tyran, cétait mon chien. Un gros rottweiler imposant. Par gros, jentendais bien bâti et solidement musclé, pas obèse ni plein de graisse. Pourquoi ce nom? Parce quil était infernal ave ses congénères et les traitait avec méchanceté et agression. Mais il était en revanche adorable avec les humains. Il comprenait le rapport maître/esclave: les humains étaient ses maîtres et cétait clair dans sa tête. Je laimais beaucoup, jadorais lui faire des câlins quand jétais un poil plus jeune. Maintenant, je commençais à passer lâge. Mais mon amour pour lui ne sétait jamais envolé. Fort heureusement pour nous dailleurs, car un rottweiler était réputé dangereux et agressif. Mais Tyran démontrait chaque jour le contraire.

Cette journée-là, ma vision de mon chien allait se métamorphoser à jamais.

Javais passé une bonne partie de laprès-midi à nettoyer et récurer la maison. Un travail de femme, répétait souvent mon macho de père. Donner un coup de main à ma mère, qui plus est lorsquelle est absente et quelle ne le sait pas, lui fera une excellente surprise.

Seulement vêtue du T-shirt, javais lavé par terre, plier le linge, fait la vaisselle Il faut dire également que jétais plutôt en manque ces derniers temps, et jétais régulièrement excitée en pensant à mon prof de maths ou de sport.

Jétais en train de dépoussiérer la table basse du salon, baissée. Tyran arriva dans le salon, et aboya. Je me tournai vers lui et lui souris:

— Quy a-t-il, mon toutou?

Sa langue pendouillait sur le côté. Je le trouvais comique. Je détournais le regard et me replongeais sur mon activité de nettoyage. Je ne fis pas attention que mes fesses bougeaient de droite à gauche, suivant le mouvement de mes mains qui dépoussiéraient la table basse.

Quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis une immense masse seffondrer sur mon dos. Ce fut à peine si je réussis à me maintenir à quatre pattes.

Tyran avait presque sauté sur mon dos. Ses pattes avant étaient posées sur mes épaules, et je pouvais sentir son ventre poilu sur mon dos. Il était lourd.

— Tyran, que fais-tu? mexclamai-je, inquiète.

Jessayais de me dégager mais jétais bien trop faible, face à lui. Jeus terriblement peur quand je sentis quelque chose effleurer mes fesses et mes cuisses. Un long membre. Je compris instantanément: Tyran essayait de me pénétrer, me croyant une femelle à lui!

Jentrepris alors de me débattre fortement, mais le chien grogna. Je sentais sa bave couler sur mon cou: sa gueule en était trop proche. La situation était dangereuse.

Son sexe était dur, et tapait sans atteindre ma chatte. Il donnait des coups de boutoirs comme sil voulait menfiler.

Tyran grogna davantage. Jétais paniquée, je ne savais pas quoi faire. Ce fut pire quand, passablement énervé de pouvoir obtenir sa femelle, il magrippa le cou avec sa gueule et ses crocs. Paralysée par la peur et lapproche de la mort (sa morsure maurait coupé la tête), je ne bougeais plus un membre.

Maintenant immobilisée, je lui étais disponible. Mon chien sentit que je ne résisterais plus. Son sexe finit par arriver à atteindre ma chatte. Lorsque celui ci fut placé devant, il donna trois coups de boutoirs et sa bite atterrit au fond de mon vagin.

Je fus enfin enfilée par mon foutu clebs. Jhurlais de douleur. Sa bite était un monstre, mais sa fougue létait davantage. Javais à peine eu le temps dencaisser le choc de son gourdin dans ma chatte quil se mit en mouvement pour me labourer sauvagement.

Tyran me baisait come un fou. Il mécrasait douloureusement, son poids dépassant le mien. Sa mâchoire menaçait toujours de me briser la nuque, sa bave coulant légèrement sur mon cou. Son sexe, que dis-je, sa barre de fer, sactivait à toute vitesse dans mon vagin, me tringlant comme jamais. Cétait horrible, javais limpression quon mouvrait le ventre en deux. Et pire: cétait un chien, un animal, qui était responsable de cela.

Soumise à mon chien, je ne pensais à rien dautre que déviter de souffrir. Il était tellement vif que je croyais quil allait méclater la chatte. Il était clair que mon Tyran était doté dune grosse bite. Gâté par la nature, le clébard

Au début, jeus franchement mal. Mais avec les minutes qui passaient, la douleur finit par se retirer petit à petit, pour laisser place à un plaisir insoupçonné qui surgissait effroyablement vite. Je maperçus avec surprise que je commençais à gémir de plaisir sous ses violents coups de pine. Tyran avait voulu faire de moi sa femelle, sous un coup de chaud, et il y était parvenu. Maintenant, jétais sous lui et il me baisait comme mes profs ne lavaient jamais fait. Son sexe était très imposant et ramonait parfaitement bien mon vagin, malgré la douleur quil pouvait me faire endurer.

Dailleurs, Tyran, loin dêtre un chien idiot, sentit que jétais de moins en moins acharnée à lutter contre ce viol canin. Il me lâcha la nuque, libérant mon cou. Je sentis ma peur me quitter, pour ne ressentir plus que le sexe qui me démontait, centimètre carré par centimètre carré, la chatte. Le plaisir augmentait en flèche. Seul ce mandrin qui me besognait comptait, à présent.

Soudain, je sentis Tyran donner un coup plus fort et une douleur envahit mon vagin. Je compris quil avait réussi à passer sa boule. Désormais, il ne bougeait plus. Bien ancré dans ma chatte, Tyran attendait. Puis dun coup, sa bite éclata en flot de sperme. Il me remplissait la chatte de son foutre canin. Son liquide épais et chaud envahissait mon vagin et mon utérus, le remplissant entièrement. Tyran se farcissait sa femelle Le liquide chaud dans mes entrailles me fit jouir comme une folle, et jeus mon tout premier orgasme animal. Jéprouvai tellement de plaisir que jen oubliai même mon nom et le lieu où je me trouvais.

Au bout de quelques minutes, quand le bout de Tyran diminua en taille, il se retira de mon sexe et quitta mon dos. Je meffondrais sur le sol, épuisée, endolorie, et heureuse. Je me retournais sur le dos, et fixais mon chien. Jeus un hoquet de surprise.

Son sexe, encore bandé, devait mesurer dans les 25cm au bas mot. Un véritable gourdin de chair! Mon regard descendit vers ma chatte: un épais liquide blanc en sortait. Il mavait tellement remplie quil ny avait pas assez de place dans ma chatte pour contenir tout ce foutre. Il y en avait tellement! Je navais jamais vu autant de sperme de ma vie, même quand mes deux profs se réunissaient pour me baiser ensemble.

Tyran était allé sinstaller dans le coin du salon et se léchait le sexe pour le nettoyer. Il commençait enfin à débander.

Consciente du bordel créé par cet acte, je me levais, un peu ankylosée dune telle baise, et fonçais sous la douche me nettoyer de ces souillures.

Une fois propre, je me rendis de nouveau dans le salon. Tyran sétait endormi sur le canapé. Jentrepris de nettoyer toutes les traces de mon viol, notamment la flaque de foutre que mon idiot de chien avait provoquée autour de mon bassin.

Puis je menfermais dans ma chambre, le cur battant la chamade, réfléchissant tout ce qui venait de se passer. Mon chien, Tyran, venait de me violer sauvagement dans le salon, alors quil était probablement en rut, et moi, en manque de sexe. Vu son poids et ma taille, il navait eu aucun mal à faire de moi sa femelle. Sa chienne, plus précisément. Jaurais pu être abattue Mais voilà, javais pris plaisir à ce viol et javais même eus un orgasme, chose qui arrivait rarement avec mes amants humains. Si on mavait parlé de zoophilie avant ce moment, jaurais trouvé cela sale et dégoûtant. Mais maintenant, javais une toute autre vision de la chose. Pour être honnête, je navais quune envie, cétait de recommencer!

Mes parents débarquèrent à ce stade de réflexion et je les rejoignis pour les aider à ranger les courses. Ma mère fut heureuse de mon nettoyage en règle de lappartement. Nous passâmes la fin daprès-midi en famille, mais seul Tyran occupait mes pensées. Tyran et son énorme mandrin. Tyran dormit tout le reste de la journée. Il leva une oreille seulement pour manger. Il me jeta à peine un regard, et je le pris plutôt mal, après ce quil mavait fait, ce salop!

Le soir, mes parents décidèrent daller au restaurant sans moi, en amoureux.

À peine furent-ils partis que je sortis Tyran de son sommeil. Je me mis directement à poil et dandinais du cul devant lui. Jétais tellement excitée par la situation que je mouillais comme une folle.

Tyran, réveillé, sentait que la femelle quil avait montée tout à lheure était disponible une nouvelle fois. Jeus le souffle coupé quand il mécrasa de tout son poids pour la seconde fois de la journée. Cette fois-ci, jattrapais son énorme mandrin de ma main, et le dirigeais vers ma chatte. Il ne lui fallut que quelques secondes pour menfiler et me labourer comme dans laprès-midi.

C’était vraiment incroyable, cette force et cette fougue qu’il avait pour me démonter le vagin. Rien à voir avec un humain, clairement! Son énorme sexe me ramonait parfaitement la chatte, sous tous les angles et chaque centimètre carré passait à la casserole

Il m’enserrait le ventre et le buste avec ses pattes, me montrant clairement que je lui appartenais et que je devais me soumettre à lui. J’étais sa chienne, son animal, et il me le faisait savoir.

Il me faisait enchaîner orgasme sur orgasme, je fondais littéralement de bonheur et de plaisir. J’en venais à lui crier de me sauter plus profondément!

— Baise ta maîtresse zoophile!

Il ne pouvait pas me comprendre, mais peu importait! J’aimais me faire dominer par mon Tyran.

Le temps n’avait plus grande importance, entre ses pattes. Je ne savais pas depuis combien de temps il me labourait les entrailles.

Et puis soudainement, il m’enfila sa boule dans la chatte, me faisant rendre encore plus chienne. Bien bloquée à l’intérieur de mon vagin, le mandrin de mon amant canin se mit alors à cracher une tonne de sperme au fond de mon utérus. Il m’avait déjà remplie comme une chienne précédemment, et il recommençait. Incroyable la quantité de foutre que ce chien pouvait emmagasiner et me léguer

Une fois pleine, et sa boule et son sexe ramolli, il se retira de moi, et je pus m’asseoir sur le sol. Je passai mes mains dans la mare de foutre qui commençait à prendre forme à cause de ma chatte ouverte. Je goûtai à son sperme: ce n’était pas mauvais.

Je me levai et repris une douche, satisfaite sexuellement.

Satisfaire surtout d’avoir découvert une nouvelle forme de sexualité très hard

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