Je lui tendis les billets, elle me les arracha de la main et les déposa sur sa jupe. Puis, visiblement énervée par ma découverte, elle se retourna, les bras croisés, et me demanda hargneusement:
"Bon alors, qu’est-ce que tu veux maintenant?"
Je m’approchai d’elle en souriant, lui caressai doucement le bras en partant de l’épaule, et lui répondis:
"Doucement, t’excite pas comme ça, on a tout notre temps. Et j’ai bien l’intention qu’on en profite tous les deux maintenant, puisque apparemment ça ne te déplaît pas tant que ça."
Elle sembla perdre un peu de son arrogance, et fixa le sol à nouveau, tandis que je caressais des mèches de ses cheveux.
"Allez, va t’allonger sur le lit, et glisse tes mains derrière ta tête, pour faire ressortir tes seins."
Elle s’exécuta sans rien dire, et se mit à fixer le plafond. Je finis de me déshabiller entièrement, et je me dirigeai vers le lit.
"Tu sais Emma, je ne suis pas une machine. Tu m’as sucé comme aucune nana ne me l’avait jamais fait, alors j’ai besoin d’un petit peu de temps pour me reprendre. Je vais en profiter pour m’occuper un petit peu de toi."
Je continuais de me rapprocher tout en lui parlant. Rendu au pied du lit, je m’allongeai au dessus d’elle, entre ses jambes écartées et commençais par l’embrasser dans le cou, avant de descendre vers ses deux magnifiques seins.
"Je dis un petit peu, parce que vu comment ta chatte était humide, et vu l’état de tes jolis petits tétons, je ne pense pas que j’aurais besoin de te préparer beaucoup pour que tu prennes ton pied avec moi."
Je mordillais et léchais ses seins, puis laissais traîner ma langue sur son ventre, jusque son pubis. Ses tétons se dressaient fièrement, mais elle se bornait toujours à fixer le plafond. J’agrippai l’élastique de sa culotte noire de chaque côté de ses hanches, et la fis rouler jusqu’à ses pieds en un lent mouvement sensuel. Je remontais vers son sexe en déposant des baisers et coups de langue sur ses pieds, mollets, l’intérieur de ses cuisses. Une fois revenu en face de sa chatte, épilée façon ticket de métro, je lui insérai un doigt puis rapidement un deuxième. Elle était déjà bien excitée et agréablement chaude. Je fis coulisser mes doigts, puis à l’aide de ma main gauche j’écartai ses chairs pour dévoiler son clitoris. Je commençai par faire tourner un doigt autour avant de lui donner des caresses régulières.
"Qu’est ce qui t’a le plus excitée, Emma? Le fait de te faire payer pour du sexe? Ou alors de faire jouir ton grand frère dans ta bouche?"
Elle ne répondit pas et fixait toujours le plafond, mais maintenant j’entendais sa respiration, déjà saccadée, s’accélérer. Je posais alors ma langue sur son clitoris, d’abord par petites touches, puis par franches caresses. Elle se tendit soudain comme un arc et ne put retenir un profond gémissement. Je continuai mes caresses jusqu’à ce qu’elle se calme, puis je me redressai. Elle avait les yeux fermés et ses jambes étaient entièrement écartées, semblant m’attendre.
"Tu vois Emma, de te faire jouir et d’entendre tes gémissements de femelle en chaleur, ça m’a redonné de la vigueur. On va pouvoir passer aux choses sérieuses."
Je m’emparai d’une capote posée sur la table de nuit, la déroulai sur mon sexe maintenant tendu à bloc, et me repositionnait à genoux sur le lit, entre ses cuisses. Je lui massai un instant la chatte avec mon sexe, puis me présentai à l’entrée de l’antre des merveilles de ma petite sur. J’introduis mon gland, puis saisis ses jambes et posai ses mollets sur mes épaules. Je me penchai un peu, puis en agrippant ses hanches je la pénétrai jusqu’à la garde. Elle ne put retenir un petit cri, qui était très loin de la douleur. Je commençai mes va et vient amples dans sa délicieuse chatte chaude, trempée, et curieusement étroite au vus de ses nombreux partenaires précédents. Je la pilonnai de plus en plus fort, en pesant de mon poids sur ses jambes, et en lui prodiguant de temps à autre quelques massages du clitoris.
"Putain Emma ce que t’es bonne. Ça te plaît de te faire limer par ton grand frère, petite cochonne?"
Sa seule réponse consista en une série de gémissements très expressifs.
"Vu comment tu m’as pompé, je vais pouvoir te baiser pendant un bon bout de temps comme une chienne. T’as l’air d’apprécier, hein?"
L’insulter et la dominer me procurait une excitation monumentale. Ma bite était dure comme du bois, et elle ne fut pas longue à jouir sous mes coups de boutoir. Quand elle eût repris son souffle, je la fis se mettre à quatre pattes, sur les coudes, la croupe bien redressée et son dos cambré, et je vins me positionner entre ses jambes.
"Oh Emma, depuis le temps que j’ai envie de te baiser en levrette, tu vas me prendre cher."
Je m’introduisis en elle d’un coup sec, ce qui lui arracha un nouveau cri, et la défonçais sans plus tarder. Je la chevauchais furieusement, et mes mains ne restaient pas inactives : tantôt j’agrippais ses deux magnifiques petites fesses rebondies, tantôt je caressai son clitoris et lui arrachais des cris de plaisir, j’alternais avec quelques fessées bien senties sur ses fesses blanches, ou encore j’englobais ses seins et les caressais, tout en la prenant à fond. Elle m’aidait en allant à la rencontre de mon pieux et en ondulant le bassin à chaque pénétration, me procurant un plaisir immense. Je me penchais et lui murmurais à l’oreille combien je trouvais qu’elle était bonne, le pied que je prenais à baiser ma petite sur, et quelle super baiseuse elle était. Visiblement mes paroles l’excitaient aussi, car elle eu deux nouveaux orgasmes. Lorsque son vagin se contracta pour la troisième fois autour de ma queue, je ne pus résister et larguai tout mon foutre en enfonçant ma bite tout au fond de sa chatte avec un râle rauque de plaisir, avant de m’écrouler sur elle, les mains toujours serrées autour de ses seins. Je l’embrassai dans le cou en lui donnant de petits coups de bite pour finir de décharger, puis me retirai avec un soupir de contentement. Elle ne disait rien, se contentant de rester allongée la tête dans l’oreiller.
J’allais dans la salle de bain pour me débarrasser de la capote et nettoyer un peu mon sexe, puis je revins dans ma chambre. Je la trouvais assise au bord du lit, toujours nue. Elle me dit en souriant:
"Mes billets, mon cher!"
Je lui rendis un sourire en coin et lui répondit:
"Je ne sais pas si je devrais te payer pour ça, après tout tu as pris ton pied. Il me semble que c’étaient mes désirs que tu devais satisfaire…"
Elle ouvrit la bouche, l’air stupéfaite, et avant qu’elle n’ait pu s’emporter, j’enchaînai :
"Ça va, je te fais marcher, voilà ton fric, tu l’as bien mérité."
Elle se remit aussitôt à sourire et tendit la main, paume vers le haut.
Je comptai 260 euros, qu’elle empocha avec le reste, et lui dit que j’avais besoin d’une pause avant la prochaine session, et qu’elle n’avait qu’à me retrouver dans le salon d’ici une demi-heure. Elle en profita pour prendre une douche tandis que j’allais regarder la télévision avec de quoi me restaurer un peu.
Elle débarqua pile à l’heure, entièrement nue, mais avec le sourire et un doux parfum flottant autour d’elle. Elle vint se lover contre moi et picora quelques biscuits. Puis elle m’embrassa dans le cou et me murmura à l’oreille:
"C’est l’heure de te faire sucer, en plus faut pas trop tarder les parents rentrent dans une heure."
Elle m’enleva mon tee-shirt, puis rapidement je baissai le short et le boxer que j’avais remis pour traîner dans la maison. Toujours agenouillée sur le canapé à côté de moi elle me mordillais l’oreille. Je posai ma main derrière sa nuque et la dirigeait fermement vers ma queue dressée, mais pas encore totalement dure. Elle me prit en bouche sans hésiter, et remonta ses cheveux, côté gauche, pour que je puisse profiter du spectacle. Déjà sa langue avait entamé son ballet démoniaque autour de mon chibre. Je ne fus pas long à retrouver une dureté d’acier trempé, et je lui appuyais alors fermement sur la tête pour lui imprimer un rythme soutenu. Elle montait et descendait le long de ma bite suivant les pressions de ma main sur son crâne, lèvres solidement serrées sur ma tige, et alternait les pompages digne d’un aspirateur avec des jeux de langue divins. Je profitai un moment du spectacle puis me mis à regarder la télé à nouveau, tout en lui caressant les cheveux, la laissant sucer d’elle même. Je me contentais de profiter de la délicieuse gâterie dont elle me gratifiait. Je laissais traîner ma main droite sur son corps, pétrissant seins, fesses, selon mon envie.
Au bout d’une dizaine de minutes j’écartais les jambes et lui demandais de venir s’agenouiller devant moi pour continuer sa fellation. Elle se laissa couler lascivement et me reprit aussitôt en bouche, me tétant le gland avec savoir-faire et plaisir évident. Elle utilisa alors beaucoup plus sa langue, ce qui m’excita particulièrement. Après quelques instants je lui demandais de se redresser et je me relevai du canapé, mon sexe tendu flottant alors à quelques centimètre de sa bouche. Elle levait les yeux vers moi et souriait, ce qui lui donnait un air salope qui me procura beaucoup d’effet.
"Emma, j’ai très envie de me finir en te baisant la bouche. Alors sois gentille, met les mains derrière ton dos, et ouvre ta jolie petite bouche de suceuse."
Elle suivit mes ordres et déclara :
"J’ai hâte de sentir mon grand frère se vider les couilles dans ma bouche."
"Mon dieu…", soupirai-je, avant de lui repousser ses cheveux vers l’arrière et je contemplai son visage de jeune fille.
Je saisis alors sa tête à deux mains puis avançai ma queue jusque sa bouche grande ouverte.
Je la pénétrais en douceur, savourant le plaisir de glisser le long de sa langue jusqu’à rentrer la quasi totalité de mon sexe, sans qu’elle bronche. Elle poussa même un "mmh" de plaisir, pour me provoquer, quand ma bite fut entièrement rentrée. Je commençai alors mes va et vient, d’abord lents, en tenant fermement sa tête. Puis j’accélérai graduellement, en me déhanchant de plus en plus fort. Elle subit mes assauts sans rien dire, se contentant de remuer la langue régulièrement pour augmenter mon plaisir. Je lui parlais de temps à autre, pour lui dire à quel point je la trouvais salope, quelle bonne suceuse elle était, et qu’elle allait me vider jusqu’à la dernière goutte. Je continuais de baiser sa bouche jusque l’orgasme, qui me fit me déverser dans sa bouche chaude en plusieurs coups de bite. Elle ne me quitta pas des yeux pendant toute la durée de mon éjaculation, qu’elle avala entièrement, et prit ensuite un malin plaisir à soigneusement nettoyer mon sexe, très sensible après ces trois orgasmes. Une fois qu’elle le laissa enfin reposé, elle déclara dans un sourire :
"Miam".
Je me laissai alors tomber sur le canapé, et la gratifiai d’un "Wahou! J’avoue, Emma, niveau sexe tu assures." Elle vint me rejoindre sur le canapé et nous nous caressâmes distraitement quelques instants. Vingt minutes avant que les parents ne reviennent, je lui donnai le reste de son fric, et on nettoya les quelques traces qui auraient pu nous trahir, puis je pris une douche réparatrice. Sous l’eau, je réfléchis à cet après-midi délicieusement chaude, et je décidai de ne pas en rester là.
A suivre…