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Mme Girardin et la jeune fille – Chapitre 2




2- La Poupée

Les jours suivants, Mme Girardin narrêta pas de penser à cette fille. Elle repensait à ce quelle avait fait. Comment avait elle pu faire ça ? Elle avait limpression davoir fait un rêve, ce ne pouvait pas être la réalité.

Depuis sa rencontre avec Amandine, elle se sentait différente, elle se sentait constamment excitée. Le regard des hommes dans la rue, les frôlements, ses rêves, toutes ses pensées tournaient autour du sexe. « Je vais devenir folle ».

La propriété des Girardin était importante et comme beaucoup dexpatriés au Sénégal, ils avaient du personnel. Parmi ce personnel un jardinier dune vingtaine dannées, bien bâti. Mme Girardin avait plusieurs fois remarqué son regard sur elle qui la déshabillait. Elle le voyait souvent tourner pas très loin delle, comme par hasard, lorsquelle était en train de se dorer au soleil près de la piscine en maillot de bain. Le regard de cet homme la troublait profondément et à chaque fois détournait le regard, gênée.

Huit jours après sa rencontre avec Amandine, alors que Mme Girardin, vêtue de sa robe, était tranquillement en train de somnoler sur un transat, la sonnerie du portail dentrée retentie. Le Jardinier vînt lui annoncer quune jeune fille « toubab » du nom dAmandine était là.

Mme Girardin se mis à trembler. Le souvenir de ce quelle, dame respectable, avait fait était constamment présent dans ses pensées. Elle voulait oublier, effacer cet épisode, mais cette annonce de la présence dAmandine la ramena à la réalité, elle nosait bouger.

« Fais la entrer » murmura-t-elle.

Derrière ses lunettes de soleil qui cachaient ses yeux troublés, Mme Girardin vît apparaître Amandine. Elle était habillée simplement dun short et dun t-shirt, toujours sans soutien-gorge, un air de gamine effrontée. Mme Girardin eut du mal à avaler sa salive.

« Toujours en train de se la couler douce, Anne-Sophie je peux tappeler Anne-Sophie ? On est intime maintenant, pas vrai ? »

Anne-Sophie Girardin était devenue toute rouge : « oui,, je,je Je suis désolée pour lautre fois, je ne sais pas ce qui ma pris, je voudrais quon oublie tout cela tout ce qui sest passé »

« Tu rigoles, tu sais que tu mas donné beaucoup de plaisirs ? On peut dire que tu sais y faire » dit Amandine en promenant sa langue sur ses lèvres.

Le jardinier, non loin, en train de tailler un arbre, resta abasourdi par cette discussion, il nen revenait pas. Surtout que Madame avait lair extrêmement gêné, ce qui montrait que la belle « toubab » ne mentait pas. Madame lui jeta un sourire gêné.

« Jean, peux-tu aller devant la maison tailler les arbres, jai à parler avec cette jeune fille »

Amandine la coupa : « Mais non, il peut rester, ça ne gêne pas, nest ce pas Anne-Sophie ? ».

« Enfinnonje ne sais pas » parvint-elle à répondre.

« Ne vous inquiétez pas, Jean, restez, Anne-Sophie est daccord. »

Mme Girardin ne pu sempêcher dapprouver, au moins pour faire comme si elle décidait encore

« Anne-Sophie, tu devrais te mettre en maillot de bain avec ce soleil allez va vite, on va faire bronzette toutes les deux ».

Mme Girardin était décontenancée par laudace de cette jeune fille. Mais une torpeur lenvahissait dès quelle regardait ses yeux bleus métal qui la transperçaient. Elle ne put sempêcher dobéir comme une marionnette.

Elle monta dans sa chambre pour se changer. Deux types de maillots de bain : une pièce ou deux pièces. Mme Girardin avait toujours trouvé le deux pièces très osé. Mais à cet instant, elle nétait plus la même, elle tremblait. Cétait une autre personne : une femme vicieuse, exhibitionniste, dépendante du sexe Et puis, elle voulait faire plaisir à Amandine Elle descendit vers la piscine, le deux-pièces sur elle, comme dans un rêve.

Amandine était déjà installée dans le transat. Celle-ci la regarda arriver dun air amusé, la détaillant de haut en bas. Son soutien-gorge la serrait un peu, il était un peu trop petit. Vraiment, elle naurait jamais dû mettre ce maillot, quelle honte ! se disait-elle. Mme Girardin sassit sur le transat voisin.

Amandine fixait les seins dAnne-Sophie Girardin. Celle-ci avait du mal à respirer, ses pointes de seins durcissaient derrière le fin tissu, comme attirées par le regard bleu perçant, et commençaient à lui faire mal tellement ils étaient gonflés.

Le jardinier jetait des coups dil discrets sur les deux femmes : il navait jamais vu sa patronne habillée dune façon aussi impudique. On devinait nettement les pointes de seins que le fin tissu moulait.

« Tu devrais retirer cet affreux soutien-gorge, histoire de faire bronzer ta poitrine si blanche.»

Mme Girardin rougit dun coup : « Mais je ne pourrais jamais. » murmura-t-elle « le gardien !?… »

Celui-ci continuait à tailler le même arbre, proche de la piscine, depuis quAmandine était rentrée.

La jeune fille sassit et se tourna vers Madame.

Elle recueillit une goutte de sueur au creux de la poitrine serrée dans le soutien-gorge, la porta à sa bouche dune façon terriblement suggestive. Ses doigts se portèrent sur la pointe des seins quils caressèrent délicatement à travers le tissu.

« Je suis sûre que tu peux être très obéissante ! » susurra-t-elle en la fixant dun regard sévère tout en continuant ses caresses.

« Nest ce pas ? »

Un léger murmure « oui » lui répondit.

« Attends, je vais taider, et puis ça te serre trop ce soutien, ça va te faire des marques ».

Elle dénoua les cordons attachés dans le dos de Mme Girardin et enleva délicatement le soutien-gorge, fit glisser très lentement le tissu sur les tétons durcis de « Madame ».

Elle était devenue comme une poupée, incapable de faire le moindre mouvement pour empêcher ce qui allait se passer. La honte, lexcitation extrême la paralysaient.

« Voilà, Madame est obéissante mais ces pointes sont toutes dures, Madame seraient-elle excitée ? ». Elle tremblait, chaque effleurement déclenchait en elle une onde de plaisir. Tout son corps attendait avec impatience les moindres gestes de la jeune fille.

Amandine toucha doucement les pointes, caressa les pourtours, en souriant.

« Regardes-moi quand je te touche ! Pas la peine de faire la mijaurée »

Elle tritura doucement les mamelons. Mme Girardin respirait difficilement, perdue dans le regard de la jeune fille.

« Nonje »

« On dirait que Madame aime ça, serait-elle sensible des seins ».

Amandine pinça plus durement la pointe des seins, sa « poupée » grimaçait mais ne bougeait pas, le regard fixe, comme rêveur.

Mme Girardin était rouge de honte. Ce nétait pas possible, cétait un cauchemar. Elle ne pouvait bouger, comme paralysée par lhumiliation. Des élancements de plaisirs partaient de sa poitrine et se répercutaient dans tout son corps. Elle aurait voulu se défendre, lempêcher de la toucher mais elle ne pouvait pas, et ce plaisir qui grandissait si imposant, jamais elle navait ressenti ça.

Amandine pinçait maintenant extrêmement fort les mamelons tout en les tournant, la douleur serait insupportable si elle nétait pas couverte par un plaisir intense, décuplé par cette même douleur.

« Aïe, vous me faites mal !!!» dit-elle comme pour se déculpabiliser.

« Je ne veux pas tentendre, tu aimes ça nest ce pas quon fasse mal à ta grosse poitrine ?! »

Amandine giflait maintenant la poitrine de Mme Girardin, laissant des marques rouges. Les tapes se transformaient en claques de plus en plus fortes. Les seins se balançaient sous les coups. Après une cinquantaine de claques, ses mains se firent plus douces. Elle caressa doucement les tétons.

« Cest bien, tu es une grande poupée obéissante. Tu vas jouir, nest-ce pas ? »

Elle vint derrière le transat de Mme Girardin, colla sa joue contre la sienne tout en lui prenant les seins.

« Làaa, ma grande salope aux gros nichons, laisses toi faire. Dis-moi que tu es ma chose. »

«mmmmh Je suis votre choseaaah.. jen peux plus.»

Amandine alternait les caresses autour des pointes et les pincements douloureux tout en lui chuchotant dans loreille combien « Madame » était vicieuse. Elle lui lécha doucement le cou.

« Vas-y, je tautorise à avoir ton plaisir, vilaine fille ! »

Sa « poupée » nen pouvait plus, elle serrait ses cuisses de façon spasmodique, elle allait jouir, de façon intense, démesurée par rapport à ce quelle avait déjà connu. Amandine serra dun coup les pointes de seins dune façon très violente. Madame se crispa, se tendit de tout son être et mouilla dun coup toute sa culotte, haletante. Elle ne put réprimer un cri de plaisir.

« Eh bien, Madame se laisse aller, jai rarement vu quelquun jouir comme ça, rien quavec les seins. Tes quand même une sacrée vicieuse ! Et tout ça devant ton jardinier !»

Madame reprit ses esprits, rouge écarlate, nosant même pas porter le regard dans la direction du jardinier. Elle prit le soutien-gorge et cacha rapidement ses seins.

Amandine se leva.

« Bon, je te laisse te remettre, la bronzette est finie. Puis jai pas que ça à faire. Aller, à bientôt ma vicieuse poupée ! ».

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