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Soumise à mon gendre – Chapitre 1




Soumise à mon gendre (partie 1)

Tout a commencé il y a sept ans alors que ma fille venait de rencontrer l’homme qui deviendra son mari…

et Mon Maître.

Rien pourtant ne me prédisposait à la soumission et mon mari n’en a jamais eu la moindre intention, ce d’autant plus qu’en bon intellectuel de l’enseignement religieux, il se faisait un point d’honneur à ce que la morale soit omniprésente dans notre foyer.

Je ne peux pour autant pas dire que je me sois ennuyée au lit puisque je ne connaissais rien d’autre.

Donc, pour en revenir à la rencontre avec mon gendre, ma fille nous l’a présenté à son retour des states où elle y a préparé son MBA. Il présentait bien, plein d’assurance du haut de ses 29 ans, alors que ma fille n’en avait que 23 mais toute aussi mûre que lui et toute aussi belle et toute aussi intelligente…

En deux mots : Un beau couple !

Il a tout de suite su se faire apprécier de mon mari de par son savoir vivre et son intellect…

Je me souviens encore mon mari dire à notre fille qu’il serait extrêmement difficile sur le choix de ses prétendants… Elle en a sans aucun doute tenu compte pour que le premier soit le bon.

Pour ma part l’enthousiasme fût plus modéré, car ce très bel homme me laissait à penser qu’il serait capable de faire souffrir ma fille et une femme ressent bien quand elle est en présence d’un homme dit « à femmes »…

Celui là en était manifestement un et dés le premier jour nos regards se sont compris :

je ne lui ferai pas la part belle et lui semblait déjà me répondre avec ironie que j’en serai bientôt heureuse.

Pour l’heure ma fille filait du bonheur et je n’en demandais pas plus.

Un an a passé en vivant quasi ensemble car ils habitaient une maison de famille attenante à la notre et bien que travaillant tous les quatre nous nous réunissions régulièrement au moment des repas du soir.

J’ai ainsi pris confiance, et peu à peu, j’ai baissé la garde, ne considérant pas ses sourires enjôleurs et ses compliments comme des tentatives de séduction mais comme faisant parti du personnage…

Il a pu ainsi, non seulement apaiser ma vigilance mais il a fini par attirer sa belle mère dans son jeu, restant aux limites de l’acceptable afin que personne ne s’en offusque.

Mes réticences ne servaient à rien… Je passais pour une rabat joie.

Ma fille de 6 ans plus jeune que lui, est pudique, mais je la sais informée des pratiques sexuelles les plus audacieuses que son futur mari n’hésitait pas à lui pratiquer, ce qu’elle me confiait, et je sais ainsi qu’il voulait la soumettre, mais qu’elle y était réticente.

Je pense qu’il savait que je savais…

Il rehaussait d’un sourire quand il sentait me voir lire dans ses pensées.

Il a instauré entre nous un dialogue sans parole qui se perfectionnait sans cesse et si je résistais, ses yeux rieurs semblaient m’inviter à en rire aussi.

Je comprenais qu’il s’appliquait à éveiller en moi un trouble auquel je tentais de résister mais qui manifestement s’amplifiait… Je savais son désir de soumettre ma fille et je lisais de mieux en mieux dans ses yeux son invitation à ce que je vienne la remplacer.

Consciemment ou inconsciemment il gagnait du terrain…

Je le sentais, ma libido lui répondait et je pense qu’il l’a vu très tôt…

Je me sentais attisée, suggérée, il avait trouvé la façon de le faire et je sentais les troubles du désir perturber ma lucidité.

Je ne me suis jamais soumise bien au contraire et pourtant il me susurrait sa domination et j’en étais réceptive malgré moi.

Le trouble n’a cessé de croître…

Au début je le retenais facilement avec ma froideur, mais tout doucement, avec une infinie délicatesse, ma froideur s’opposant à ses attentions, est devenue l’objet de reproche de ma fille et de mon mari qui me qualifiaient d’injuste envers lui qui n’exprimait que gratitude pour moi.

Ils ne voyaient rien…

Ce diable prenait pouvoir sur la mère et la femme,

Lui qui faisait grandir son pouvoir en moi,

Lui qui me faisait baisser les yeux en l’exerçant,

Lui qui m’a appris à comprendre ses intentions,

Lui qui m’a fait découvrir doucement le plaisir de Lui obéir,

J’apprenais son langage,

J’apprenais à être celle qu’il désirait.

Au fil du temps il a fini par m’inculquer ses pensées, me dicter ses attentes. Je devenais de plus en plus incapable de me soustraire à ses suggestions dominatrices pourtant exprimées sans un seul mot, juste des regards et des sourires si clairs qu’ils me faisaient fondre.

Je sentais en moi monter des sensations encore inconnues qui me rendaient fragile, fébrile, incapable de contenir une excitation croissante en sa présence. Je n’arrivais plus à lui parler comme au début, j’en devenais presque muette, j’étais sans cesse attentive à ses mots, à ses attitudes, j’attendais ses instructions muettes pour le servir en me métamorphosant peu à peu :

il aimait à que je porte des pantalons, il aimait que je me maquille que je garde les cheveux longs, que je mette en valeur mes formes.

Cette influence qu’il exerçait sur moi est devenue pour moi de plus en plus limpide et ce, sans que notre entourage s’aperçoive que ça venait de Lui.

Je me suis mise à admirer son savoir faire pour me guider de la sorte

et susciter en moi un désir qui s’emparait peu à peu de tout mon être.

Avec patience, discrétion et tact il a su, sans même en dire un seul mot, me conduire au désir qu’il me soumette.

C’était devenu parfaitement clair entre nous. Un lien invisible me reliait à lui et il en augmentait la force en expérimentant son pouvoir sur moi, me faisant faire ce qu’il voulait de moi, en me guidant dans le choix de

mes tenues par des sourires ou des dédains.

Je devenais sa chose et je me contentais d’être attentive à ses désirs pour mériter ses sourires, pensant que l’excitation que j’en éprouvais n’était pas de nature à me rendre coupable dés lors que personne ne pouvait s’en apercevoir et encore moins s’en plaindre.

Je sais qu’à dater de ce moment je ne me suis plus comportée avec mon mari comme avant, reculant ses avances, ne jouissant que plus rarement, encaissant ses reproches sur mes tenues un peu plus féminine dont il se demandait à quoi ça pouvait servir et moi de lui répondre que ça me rassurait simplement d’être encore une femme, ce qui était vrai mais sans avouer la peur que j’éprouvais de ne pas recevoir le sourire de mon gendre en lui exposant discrètement le galbe de mes seins qu’il me fallait accentuer, ce qui ne manqua pas d’en étonner ma fille plus encore que mon mari, ou encore la naissance des dentelles de mes bas, ce qui aurait à coup sur fait l’objet d’un scandale si par mégarde je m’étais faite surprendre.

Une seule idée m’obsédait : sentir le plaisir de lui obéir…

A quelques jours de mes 48ans il est venu me voir seul dans mon bureau en ville et m’a demandé si j’accepterai de l’accompagner pour me faire choisir mon cadeau. J’en étais un peu prise au dépourvu mais j’acceptai en le questionnant tout de même sur la raison de sa démarche en l’absence de mon mari et de ma fille.

Habilement, il m’a répondu qu’il voulait me faire un cadeau tout personnel et que nous pourrions déjeuner ensemble pour en discuter sur le bien fondé de cette initiative.

Ce fut mon premier déjeuner en tête à tête avec lui et bien que la démarche ne prêtait pas à confusion, mon intuition de femme me mettait en alerte. Un brin de culpabilité m’envahissait, il le voyait et me tranquillisait, argumentant qu’il n’y avait rien de mal à ce que nous puissions partager exceptionnellement un repas en ville, ajoutant que pour lui c’était un véritable bonheur que de pouvoir enfin se parler plus librement, que nous avions des choses à nous dire, qu’il nous fallait nous rapprocher étant donné l’annonce de son mariage avec ma fille…

Tout était vrai !

Mais j’avais en fait peur de moi même…

Le repas a passé vite, presque trop vite, tant j’ai apprécié sa compagnie d’homme courtois, galant, attentionné, séducteur aussi, me complimentant sans cesse sur tout et il me fallait juguler son ardeur qu’il déjouait avec un humour qui excusait son audace.

Toujours est-il qu’à la sortie de ce repas il avait obtenu de moi que je taise cette rencontre jusqu’à ce que nous ayons choisi ensemble son cadeau.

Une semaine nous séparait de mon anniversaire et nous prenions donc date pour faire nos secrètes emplettes au surlendemain. Après midi libre tous les deux, nous déjeunerions ensemble avant de découvrir le mystère de ce cadeau dont il refusait de parler avant ce second déjeuner, prétextant que ces deux jours me laisseraient le temps de réfléchir si toutefois je ressentais la nécessité de me rétracter… Je me suis senti ainsi plus légère, plus libre de choisir, allégée d’une pression qui à la fois me faisait peur et stimulait ma libido avec une honte que je voulais absolument lui cacher.

Je sentais qu’il jouait de ma fragilité,

Il me montrait qu’il y prêtait attention,

Il exerçait son pouvoir sur ma libido avec précaution,

Il m’avait appris à Lui faire confiance, à me priver de ma peur,

Ce diable me privait même des armes de la peur pour lui résister.

Je sais qu’il savait déjà qu’il pouvait profiter de moi et que sans doute je mettais toute mon attention pour en détecter le moment, mais manifestement que ce n’était pas ce qu’il voulait. Il me conduisait à ce se soit moi qui vienne me donner à lui et qu’il ne ferait rien tant que je n’y serai pas préparée.

Quel toupet !

Aucun homme ne m’avait inspiré cette façon d’être une femme.

J’en éprouvais pourtant une admiration brûlante…

Et à la fois un profond dédain sur son aplomb et ça certitude à obtenir d’une femme qu’elle se donne à Lui, lui enlevant ainsi le seul pouvoir qui reste à la femme : celui de se refuser à un homme.

Pourtant à cette minute j’ai su que je ne saurai pas lui refuser ce qu’il voulait de moi…

Je venais tout juste de deviner ce que la soumission pouvait être : un fer brûlant venait de me traverser tant le désir de lui donner ce qu’il voulait me tentait.

Ce n’est pas passé inaperçu à ses yeux expérimentés et c’est avec élégance qu’il a, pour la première fois prononcé un mot sur le sujet :

Je sais ce que tu ressens Brigitte…

Prenons le temps…

C’est un chemin merveilleux mais très impliquant sur lequel je t’attends…

La question n’est pas de savoir si nous allons nous rapprocher mais plutôt de savoir comment je vais devoir t’y préparer et bien sûr que tu en sois parfaitement d’accord.

Il plantait là sa graine en moi et je ne savais pas encore qu’elle allait germer comme une liane qui enserrerait tout mon corps et mon esprit.

Dés le soir, de retour chez nous, autour de la table, j’ai senti le poids d’un interdit se faire sentir et j’ai hésité cent fois pour m’en libérer en divulguant notre repas « d’affaire ».

Mais ma bouche n’a pas pu…

Il me regardait sans cesse, attendant ma réaction, attendant de voir si j’allais me libérer par un aveu et ainsi refuser d’accepter de lui le partage d’un secret, d’une relation cachée.

Le repas fini nos regards ce sont croisés encore une fois…

Il me remerciait…

Je lui en voulais un peu mais quelque part je jouissais déjà de lui obéir.

Il m’avait faite passer un nouveau cap : accepter ma condition.

Ma nuit fût agitée.

Jamais je n’avais caché quoi que ce soit à mon mari et là j’allais le tromper avec mon gendre, j’en étais persuadée, j’en mouillais follement, je crois en avoir joui pour la première fois avec une honte immense, décuplée par un désir qui ne s’apaisait pas, bien au contraire et tiraillée par la terreur que cela puisse se voir sur ma figure.

Le lendemain j’en étais encore toute perturbée et il me fallait le voir pour tourner court à ce jeu qui me submergeait.

J’ai donc annulé le rendez-vous par un simple sms auquel il m’a répondu sur le champ par un « d’accord jolie maman » aussi simple et aussi rassurant que je l’espérais.

Le soir, à nouveau réuni autour du repas, son gentil sourire me demandait si j’allais parler de notre déjeuner et je sentais qu’il me demandait d’en garder le secret…

Comment faisait il pour se faire si bien comprendre ?

Comment faisait il pour influencer mes choix ?

Je n’en sais rien…

On se comprenait sans un mot…

Le résultat est que je cédais un soir de plus et que j’ai vu une nouvelle fois dans ses yeux cette étincelle de bonheur que je lui procurais.

J’en éprouvais du plaisir et de la honte…

Je lui en voulais car j’en mouillais de lui obéir…

C’est comme si je le sentais me contrôler en me tenant par la vulve.

Ma nuit suivante fût encore plus troublée par les remords…

Une excitation encore inconnue, la honte de son intensité, de son illégitimité, de cette envie incestueuse, d’être soumise car oui oui et reoui je brûlais d’envie d’être soumise, conduite, menée…

Je découvrais la folie de ce désir de servir un homme en lui offrant ma féminité sur un plateau, prête à lui obéir dans ses moindres envies dont je ne soupçonnais encore pas la nature mais que je tentais d’imaginer aux limites de ce que ma fille me rapportait :

fellation bien sûr dont je rêvais lui faire alors que je la refusais à mon mari, sodomie que je qualifie de sadomie tellement l’idée me ragoute et que là j’entrevois aussi positivement que ma fille me le relate, fist, bondage que ma fille refuse et que je me sens capable de lui offrir au vue de ce qu’internet en montre…

Au matin je regrettais d’avoir annulé notre second déjeuner…

Il me fallait en savoir plus sur tous ces mystères…

48ans et ma féminité qui se réveillait tel un incendie…

Pourquoi couperais-je court si tôt à une complicité qui en fait me procure le sentiment de vivre quelque chose en dehors de la routine. Après tout il ne s’agissait à ce stade que d’un déjeuner avec mon gendre et je n’avais rien à me reprocher de ce point de vue.

De retour au bureau, en prenant mon courage à deux mains, je me ravisais par un second sms disant :

annulation annulée ok ?

Et sa réponse fût : :-)…

comme si je le voyais en face de moi, un simple sourire,

ce sourire qui déjà me troublait bien au delà du raisonnable…

je sentais ma chatte palpiter…

lui donner ce qu’il veut, voilà ma destinée !

On se rejoignît à la même table…

c’était les premiers beaux jours de mai…

J’avais osé donner à ma tenue un petit brin de féminité à son attention car je le savais homme à apprécier ce geste et j’en fus complimentée bien plus que je ne l’espérais.

Je peux dire que ce repas fût « l’ouverture » de notre histoire car en l’acceptant je confirmais en face de lui que j’acceptais son jeu. Il ne manqua pas de le souligner et de m’en remercier en mettant en avant l’immense plaisir et l’honneur que je lui faisais de bien vouloir partager avec lui ce chemin qu’il considérait comme surlignée par ma tenue bien plus suggestive que celle portée habituellement…

Je me souviens avoir rougit tellement il a détaillé mes formes et lui d’ajouter que peut-être j’avais osé plus que ce qu’il pouvait voir de là où il se trouvait…

J’en fît l’aveu en rougissant comme une pivoine de porter des mi bas et un string, ce qui l’a fait sourire et me prendre la main pour me murmurer :

— allez enlever votre culotte et venez la mettre dans ma poche.

J’en était abasourdie et l’ai traité de fou…

Pourtant, pourtant…

Durant la suite du repas je n’ai pas cessé de modérer ses ardeurs, de lui répéter qu’il en faisait trop.

C’était peine perdue, il en ajoutait à chaque fois que je voulais le freiner : il y allait de ma beauté, de ma féminité, de ma sensualité, de ses regards sur moi devenant toujours plus gourmands même si la pudeur l’obligeait à rester discret quand ils se portaient sur mes seins ou mes hanches et pire mes cuisses et même mon mont de venus dont il aurait soit disant deviné le galbe.

J’en étais effarée qu’il puisse oser me dire tout ça avec autant de facilité, lui qui s’était toujours tu.

Je me surprenais à en sourire et en rire.

Bref, un repas aussi joyeux que le premier et j’entrais délibérément dans la voie qu’il me suggérait.

Ca ne me disait pas ce qu’il avait l’intention de m’offrir et ce n’est qu’au moment du café que nous abordions le sujet à mon initiative, je crois, en lui demandant quel cadeau pouvait justifier de se voir en dehors de notre cadre familial.

Là, je dois dire que je m’attendais à quelque chose d’intime que je m’apprêtais à refuser.

Soyons clair !

Je me doutais bien que son cadeau devait avoir un rapport avec cette année écoulée avec tant de proximité et durant laquelle il avait exercé sur moi son emprise muette mais tout à fait consciente.

Je ne pourrais jamais oublier ses mots :

— Brigitte, nous ne sommes pas des enfants, bien que j’aurais aimé l’être avec vous, nous avons vous et moi établi un lien qui nous lie. Dites le s’il vous plait, osez cet aveu, nous sommes entre nous et je peux ainsi poursuivre ce que je veux vous avouer à mon tour, car rien n’aurait de sens sans que vous le confirmiez. Faites moi ce cadeau avant le mien.

J’ai eu chaud, je me suis mise à trembler, je balbutiais des débuts de phrases sans trouver ce que je devais dire

ou ne pas dire jusqu’à ce qu’il m’interrompe par :

— Juste « oui » Brigitte…

dites juste un tout petit « oui »…

j’entendrais en lui que tout ce que nous avons vécu et partagé dans nos non dit et nos secrets, était bien réel…

Nous sommes là tous les deux parce que vous le voulez autant que moi je le désire aussi…

et là, maintenant, notre rencontre, notre lien, notre secret est bien réel…

Dites juste « oui », juste un tout petit « oui » pour me permettre de poursuivre.

Tremblante je lui ai donné ce « oui »…

Je n’étais pas innocente. Je savais qu’après ce simple « oui », auquel il m’eut été impossible d’ajouter quoique ce soit, je lui avouais bien plus qu’une complicité. Je lui avouais tout simplement que j’acceptais qu’il me soumette, je lui ouvrais les voies de sa domination, je lui dévoilais son pouvoir sur les parties les plus intimes ma chair, je lui disais ni plus ni moins que j’étais prête à ce qu’il me possède.

J’étais tentée par la découverte de cette excitation si nouvelle pour moi, et confiante par le tact avec lequel il savait m’inculquer ces sensations, mais bien sûr encore peureuse d’entrer dans ce chemin dont je connaissais pas l’issue.

« oui », ce « oui » était lâché, ce « oui » qui déjà régulait mon souffle comme si ma respiration aussi était sous son contrôle, un « oui » que je sentais vibrer dans tous les atomes de ma féminité que je croyais connaître et maîtriser.

Il continua en me prenant la main :

— Merci jolie maman, c’est incroyable et merveilleux…

je veux vous conduire, vous mener, vous guider et vous soumettre avec délicatesse…

Mon souffle était court…

Je ne pouvais l’interrompre…

Je jouissais de son emprise…

Il le sentait et en profitait…

Mes seins durs et tendus vers lui…

Ma chatte que je sentais couler entre mes cuisses…

J’étais à sa merci…

Oui jolie maman, je vais vous posséder, vous aller me servir, vous aller jouir d’obéir, vous êtes en train de perdre votre contrôle et me le confier mais en sachant que je vais en prendre soin…

— Thierry, repris-je, s’il vous plaît, je vous en conjure, arrêtez, arrêtez…

Vous savez maintenant, n’est-ce pas là l’essentiel ?

Nous allons gâcher notre belle famille si nous allons plus loin.

— Oui Jolie maman, je ne ferais rien que vous ne vouliez m’offrir…

soyez en rassurée…

— Merci Thierry… Merci… Vous m’offrez déjà tant… Si vous pouviez savoir ce que je vis grâce à vous…

— Je le sais Jolie Maman… Je le sais… là, maintenant… ressentez moi plus profondément en vous…

faites moi monter entre vos reins… cherchez à m’offrir la place plus intime dans votre vagin.

Je rougissais comme une petite fille

— Allez y… je vous observe… je sais… faites le là maintenant… obéissez à votre Maître…

J’allais jouir sur une terrasse de café sans même qu’il me touche, ses yeux dans les miens, ma main crispée sur la sienne, des soupirs sortaient du plus profond de ma gorge.

— Thierry, thierry, thierry…

— Oui jolie maman… jouissez c’est un ordre… obéissez

— Thierry, thieerrryyy…

— Oui jolie maman… devenez ma propriété… mon objet sexuel… asservie à mon sexe… que vous allez vénérer… sucer… ouverte… écartelée… dilatée… remplie… étreinte… soumise… soumise jolie maman… soumise parce que votre fille ne le veut pas et que votre mari ne sait vous le faire… écartez jolie maman… laissez entrer la bite de votre gendre et guidez la à l’endroit le plus intime de votre chatte.

— Thierry, thieerrryyy… je jouiii.. je jouiiii…Aaaaahhhh… c’est fou… vous êtes fou…

— Oui jolie maman… obéissez encore et aller vous rafraichir aux toilettes en n’oubliant surtout pas le tout premier ordre que votre Maître vous a donné………….. la culotte…

Si vous refusez de la ramener dans la poche de votre Maître, vous prenez le risque qu’il disparaisse à jamais…

chuuuutttt ne dites rien et filez aux toilettes

Quelle audace !

Je m’exécutais totalement trempée…

Jamais j’aurai pu croire possible de jouir dans de telles conditions…

Je me rafraichi… j’urinais en constatant l’état de ma petite culotte

car je mouille abondamment au point d’en avoir honte…

Je pensais à l’ordre de Mon Maître encore sous son emprise et dans la fébrilité de mon orgasme…

Je mis ma petite culotte dans mon sac…

Je sorti des toilettes…

je me suis rendu à notre table et en passant à côté de mon gendre je lui ai mis dans la poche de sa veste.

Il a attendu que je sois à nouveau assise et dans un sourire il l’a prise,

elle dépassait à peine de ses doigts et l’a porté à son nez pour l’humer profondément en fermant les yeux…

Je ne pouvais rien faire pour l’en empêcher et je regardais partout si quelqu’un le voyait, j’étais écarlate, mais j’en riais, il me rendait heureuse de sa folie.

Venons en au cadeau, poursuivit il en rangeant ma culotte dans sa poche intérieure et en ajoutant : côté coeur

— Jolie maman, je veux que vous portiez sur vous la marque de votre engagement à être soumise par votre gendre et que cette marque soit vue de tous mais que seuls vous et moi en sachions la signification…

Plus tard, quand vous le mériterez et le désirerez vous pourrez porter une marque plus significative que vous serez fière d’arborer mais commençons doucement.

— A quoi pensez-vous mon gendre ?

— A rien en particulier car il faut que ce signe vienne de vous, que vous le sentiez exprimer le lien que vous avez choisi d’établir avec votre Maître et à ce sujet il vous faut commencer à le dire en commençant simplement par une première fois : Oui Maître

— Sans rechigner je répétais : Oui Maître

en souriant de ce mot qui me faisait presque rire.

— Voulez vous que je vous aide avec quelques idées ?

Une chaine ventrale ou à la cheville, un ras du coup, un anneau, un piercing, votre sexe entièrement épilé…

— Certainement pas un piercing…

— On répond : s’il vous plait pas de piercing Maître

J’ai presque ressenti de l’autorité et me suis sentie comme une petite fille ayant fauté.

Je me reprenais donc penaude en ressentant bien l’excitation de ma soumission devant son autorité :

— S’il vous plaît Maître, pas de piercing.

Je ne saurai l’expliquer ni à mon mari ni à ma fille. Comprenez moi Maître…

— Parfait Brigitte… Tu es encore mieux que ce que j’espérais…

tu es une excellente élève et je pense que tu vas donner beaucoup de plaisir à Ton Maître pour qu’il s’intéresse à ton dressage…

tu aimes déjà obéir n’est-ce pas petite salope ?

J’étais choquée de ce mot si inattendu dans sa bouche mais l’autorité qu’il exerçait à cet instant sur moi m’interdisait de me soustraire à sa directive…

et puis c’était tellement vrai…

je me sentais mouiller à nouveau…

alors j’entrais à nouveau dans son jeu.

— Oui Maître.

— Oui tu aimes obéir… ou oui tu es une petite salope jolie maman ?

— oui j’aime obéir Maître…

— Comment !!!! C’est tout !!!!… tu mouilles comme une salope non ?

je tremblais sous l’emprise de son autorité…

l’excitation me transperçait…

tout mon corps semblait se tendre vers Lui…

— oui Maître… je suis une petite salope Maître

— On dit : oui je mouille Maître

il me faisait dire des horreurs qui me faisait mouiller comme une folle

j’en était totalement ébahi de pouvoir ressentir autant d’excitation sur

ce que je considérais comme de la vulgarité.

— oui je mouille Maître

— et à te voir rougir c’est non seulement vrai mais en plus tu as honte de mouiller ta jupe et ta chaise Jolie Maman…

Ne bouge pas et obéit en grosse pute que tu es…

et réponds…

La gorge nouée, tremblante, dominée, je puisais dans mes dernières forces pour lui répondre en sentant mon ventre se liquéfier…

Cette fois j’entrais dans son jeu mais j’osais formuler ce que je ressentais

— Salaud thierry… tu es un salaud… oui je suis tout ce que tu voudras… dresse moi salaud… fait moi devenir ta putain… je suis trempée… ma jupe doit l’être aussi… ma veste la cachera à peine Mon Maître… pitié… faites moi quitter cet endroit… emmener moi où vous voudrez… je vous obéirai mon gendre…

— Magnifique Brigitte… rassures toi je vais mettre mon manteau sur tes épaules et personne ne verra que tu as tâché ta jupe… On ira jusqu’à ma voiture et tu vas me sucer sans que je te le redemande… de là j’irai t’acheter une jupe et ensuite on ira choisir ton cadeau… tu as le temps de réfléchir.

La voiture était à quelques pas fort heureusement et je m’engouffrais dedans contente d’être libérée de la probabilité d’être vue dans cet état.

— Merci thierry… tu es un salaud mais je vais t’obéir car je n’ai jamais autant ressenti ce besoin…

quant au cadeau je t’obéirai aussi même si je dois pour ça affronter ma fille et mon mari…

c’est là la plus belle preuve que je puisse te donner pour te montrer ma détermination à ce que tu me soumettes…

je crois pouvoir être en capacité de t’offrir ce que tu cherches…

Jamais je n’ai eu autant honte de moi mais cette honte de ce que tu m’obliges à faire est paradoxalement une merveilleuse source de jouissance…

Tu es vraiment un salaud mon gendre…

Mais je t’aime dans ce que tu fais de moi…

Alors continue, dresse ta belle mère salaud, elle va t’obéir et tu le sais…

Et sans un mot de plus je me suis mise à le sucer avec un soulagement inexplicable…

J’y prenais un plaisir infini et encore inconnu de sucer un sexe d’homme, le sexe de mon gendre, incestueusement résignée et prête dés la première fellation à ne pas retirer ma tête qu’il caressait ou tenait plus ou moins fermement…

Je m’appliquais à donner le meilleur en l’écoutant grogner, enfonçant sa queue dans ma gorge.

— Tu es une chienne jolie maman…

Ma bite t’adore déjà…

je vais m’arrêter et tu vas me sucer les couilles et la raie des fesses

je continuais de le sucer jusqu’à ce que la voiture s’arrête, il descendit son pantalon, puis passa sur les places arrières en relevant ses cuisses pour m’offrir ses couilles et la raie de ses fesses.

Je n’ai pas rechigné un seul instant allant entre ses cuisses lui gober ses belles couilles lisses, lui lécher la raie des fesses qu’il m’écartait pour que j’aille jusqu’à son anus, sa queue dans une main que je masturbais avec délectation…

Je ne sais par quelle magie je me suis transformée instantanément pour éprouver autant de plaisir à satisfaire un homme mais là je me sentais bien, je savais ce qu’il aimerait et j’obéissais à ses attentes les plus audacieuses avec une excitation qu’il me fallait lui montrer en mettant ma chatte à la porté de ses doigts.

— tu mouilles comme une chienne jolie maman…

tu es une vraie pute…

j’aime que tu fasses cocu ton mari…

ta fille c’est de la rigolade à côté de toi…

tu vas me faire le plaisir d’une éjaculation en te masturbant.

Quel salaud !

Que c’était bon d’être ainsi menée par un homme beau, entièrement épilé, directif et si sur de lui…

Ma langue approchant son anus il écarta ses fesses pour que je le lèche et je le fit sans la moindre réticence.

Je lui ouvrais l’anus et enfonçais ma langue.

Plus j’entendais ses râles, plus j’y mettais de l’ardeur.

Ses doigts fouillaient ma chatte qui dégoulinaient littéralement et je lui obéissais en me masturbant le clitoris…

Je jouissais en continu comme jamais cela ne m’était arrivé et il hurlait que je gicle :

— Lâche toi, gicle salope, pisse, éjacule salope…

tu n’es qu’une grosse truie brigitte alors active toi et pisse, éjacule salope, fait sortir ton jus de ta chatte, vas-y sale pute… masturbe toi plus vite plus fort…

J’en devenais folle, je mouillais sous ses insultes les plus crues, sans vraiment comprendre ce qu’il entendait par éjaculer, mais je me concentrais sur ce qu’il disait et puis du plus profond de moi est venue une vague inconnue, inouïe, submergeante, qu’il a senti venir avec mon ventre qui s’est soulevé, frottant mon clito de toutes mes forces et lui ayant introduit mon anus d’un doigt…

— la, la, laaaaaa… vas-y salope, vas-y salope… tu n’es qu’une grosse putain… fait le cocu ton mari vas-y salope…

— HHHhaaaaaaaaaaaa ouiiiiiiiii oooouiiiiii ouiiiiiiiiii ouiiiiiiii…

J’en ai crié, pleuré, hurlé, tellement la violence de l’orgasme était intense, inpensable, incroyable…

ma chatte giclait sa mouille dans un orgasme puissant et délirant.

— Maintenant c’est toi qui prend ma place et qui écarte tes cuisses…

tu es trop bonne ma putain…

l’inceste c’est vraiment génial non…

— Oui mon chéri…

— Lâche toi maman… redit moi encore « salaud » ou baise moi…

— Baise moi thierry… tu as raison… tu connais la femme… dresse là mon chéri… fais en ce que sais faire…

tu es un salaud… tu as raison ta belle mère devient pute et tu sais lui faire aimer cocufier son mari… salaud…

tu es un salaud… baise moi… baise moi thierry… baise moi

— Voilà maman, tu y es, tu vois, tu avais tout ça en toi et je suis venu seulement t’aider à le faire sortir…

oui c’est ça écarte toi bien les cuisses que je puisses venir te bouffer la chatte et le cul.

— Oui… ouiiii Mon Maître…

— Masturbe toi dés que tu peux et cette fois je veux que tu m’arroses…

est-ce bien clair maman ?

— oui mon chéri… oui Mon Maître…

Il se mit à me bouffer la chatte et le cul.

Il m’écartait les fesses pour mieux me sodomiser de sa langue j’ai commencé à ressentir la vague revenir avec la sodomie.

Dés qu’il a pigé que je jouissait à nouveau il s’est redressé pour me prendre par le cul mais cette fois avec sa queue épaisse, tendue, dure comme un sabre…

— je vais te prendre par le cul salope et tu vas te masturber

— oui mon amour… va doucement

— ne t’inquiète pas…

son pieu appuyé sur ma rose je me masturbais en le regardant

— vas-y maman… fais le cocu… il ne sait pas te baiser…

— oui thierry… oui oui salaud…. encule moi… encule ta mère… salaud… salaud

— tu y es maman… tu n’es qu’une grosse pute et tu vas me jouir dessus pour bien le faire cocu ce connard…

c’est un connard ma chatte…

vas-y écarte… fait lui des cornes géantes…

là je t’encule… je vais là où tu lui a toujours refusé d’aller…

ta fille me l’a dit maman…

prend la bite de ton gendre dans le cul que je puisse le remplir de mon sperme.

— Oui… oui… ouiiii thierry… je viens…

encule moi aussi fort que ma fille salaud…

vas-y encule moi…haaaa…. viens…hhaaaa….oui thierry doucement…haaaa… oh ouiiii… ouiiii… encore…

encore… c’est ça écarte moi bien… oui oui ouiiiiiiii…. baise moi salaud… baise moi comme une putain… baise moi thierry… Fais moi faire cocu mon mari… vas-y salaud… soumet moi…

— HHHaaaaaaaa…. hhaaaaa… hhaaaaaaaa…. yéééééééééééééé….

salope….putain… j’éjacule… jouiiiiii sale chienne

en sortant sa bite de mon cul il vint la mettre sur ma figure et j’ouvrais la bouche pour recueillir son sperme.

Épuisée je n’ai pas réussi ma seconde giclée mais j’en savais l’existence et je me faisais forte d’en retrouver le chemin avec l’aide de Mon Maître.

Après lui avoir lavé la queue avec ma bouche en bonne chienne soumise, je me suis revêtue mais sans culotte et la jupe souillée de ma mouille et de son sperme.

Je le sentais encore présent dans mon conduit anal et je lui étais reconnaissante de m’avoir ainsi dépucelée…

Personne d’autre que Lui n’avait obtenu de me déflorer par là et de mon côté je ne savais pas que j’allais en jouir autant…

C’était un sentiment troublant que de se regarder dans les yeux d’un homme qui vous a sodomisée.

Une fois les esprits revenus en place, l’idée du cadeau refit surface.

— une jupe et le cadeau en vitesse car l’après midi est bientôt morte et il ne faut pas arriver en retard si tu veux me garder comme gendre disait il en se marrant.

Alors as tu choisi ?

— Non thierry… je te l’ai dit ce sera ce que tu veux…

je suis prête à te suivre…

je ne suis pas une gamine et je sais ce que je veux…

si toi tu veux me dresser et me soumettre je t’obéirai sans discuter

— vrai ?

— Oui salaud… ta belle mère est à toi et tu en fait ce que tu veux.

— Vrai de vrai ?

— Oui oui et re oui petit salaud…

ça te plait de m’entendre te le dire hein ?

— Oui et tu vas recommencer encore en t’appliquant car si tu es vraiment motivée on va brûler les étapes…

Je vais te faire devenir la propriété de ton Maître mais pour ça il te faudra accepter toutes les clauses de ta soumission et bien sûr te faire tatouer la chatte du motif de ton choix en y ajoutant une couronne puisque c’est la marque de ton Maître.

— Waaaoooo…. :-)…

ça mérite réflexion mais je ne suis pas contre thierry…

ça te surprend ?

— Non pas vraiment car se sont en général les femmes de forts caractères qui veulent s’engager dans cette voie.

— Ah !!!… je suis ce genre de femme alors

— A ton avis

— Oui… mais pas avec toi…

— Non… moi je suis ton salaud de Maître qui va te dresser à devenir sa putain docile et soumise…

c’est bien ce que tu veux et si oui redis le encore pour que je choisisse ton cadeau en conséquence

— oui thierry, je veux que tu deviennes Mon Maître et je t’obéirai…

— écarte… offre ta chatte de chienne quand tu parles à Ton Maître

applique toi…

montre moi ta détermination…

je ne veux pas d’une merde timorée…

applique toi salope

Ces mots me giflaient mais je ne pouvais qu’obéir et en ressentir une excitation décuplée

— oui Maître…

il arrête à nouveau la voiture

met deux doigts dans ma chatte

— continue et applique toi…

empale toi et continue…

— salaud… salaud… tu es un salaud mon gendre…

un bon salaud qui a bien mis sa belle mère à sa botte…

dresse moi thierry…

continue…

il enfonce ses doigts

— Soulève toi que je te prenne le cul aussi… et continue

— oui thierry…

tu me rends folle…

HHaaaaaa…. ouiiiii encule moi…

je veux rentrer chez moi souillée, baisée, sans culotte, humilier mon mari par ton sperme encore dans ma chatte…

hhaaaaa baise moi… hhhaaaaa baise moi ordure…

tout tout tout ce que tu veux tu entends…

tout thierry c’est clair…

hhaaaa

je me masturbe, il m’encule

— Je ferai de toi ma putain jolie maman…

je pourrais même te donner à mes amis sans même que tu puisses rechigner sous peine de perdre à jamais ton Maître.

— Oui thierry… je serai ta putain…

haaaaa…. vas-y… encule moi… encule ta mère… j’accepte tout thierry.

— vas-y salope jouit encore une fois avant de rentrer…

c’est trop tard pour ta jupe et ton cadeau…

tu vas devoir rentrer comme ça…

joui sale pute…

je te mettrais ensuite du sperme dans ta chatte qu’il te faudra garder cette nuit…

— ouiiiiiiii…..ouiiiiiii….ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii…. salaud, fumier, ordure…

ouiiiiii je vais obéir…. oh oui salaud… oui oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii….

je giclais encore de sa perversité à remplir sa belle mère et me faire garder son sperme en moi devant mon mari…

— Quelle belle giclée salope…

écarte bien que je te remplisse le vagin Brigitte…

tu vas bien le cocufier ton connard…

Soulagée par ce nouvel orgasme que je n’avais pu expulser une demi heure avant, je riais de bonheur et lui disais :

— tu exagères quand même non ?

c’est de ton beau père que tu parles.

— Non salope… c’est un cocu donc un connard

J’étais choquée mais l’excitation me faisait accepter et même le suivre…

qu’était il capable de me faire vivre ?

autant de perversité à laquelle je m’offrais, soumise, éprise, et dont il profitait à sa guise…

Avec le soupçon de conscience qu’il me restait je tentais encore :

— c’est ton beau père quand même…

— écarte bien brigitte que je te remplisse de mon sperme

— oui salaud vas-y

— tu vois que c’est un connard… regarde sa femme est une putain

— tu n’es qu’un salaud parce que tu sais que je suis à croc de ta domination…

— Aller Brigitte on fait un test simple pour que tu puisses le sauver…

tu écartes c’est un connard…

tu resserres c’est un mec chanceux… Alors ?

Inpensable cette façon de me faire porter la responsabilité de sa perversité mais quelle jouissance de lui obéir de sentir le désir de Lui obéir passer au dessus de ma morale…

— Tu es pire qu’un salaud…

Et j’écartais les cuisses avec un plaisir inouï

— vas-y baise moi ordure…

— tu vois… et en plus tu mouilles… ça t’excites

— ouiiii tu as raison salaud… vas-y baise ta putain…

— fais le cocu brigitte

— arrête thierry… pas ça s’il te plait… c’est mon mari

— mais tu mouilles brigitte…

tu en crèves d’envie

dis le

dis le salope

regardes toi…

— ouii ouiiiiii ouiiiiiiii vas-y vas y

— c’est un connard alors ?

aller dis le…

— c’est un connard… baise moi… salaud… ordure…

ouiiiiiiiiiii oooohhh ouiii mon amour… enfile moi… entre ta bite… souille moi…

fais moi devenir une chienne… la tienne…

— redis le que c’est un connard et jouis c’est un ordre pour bien souiller son nom de cocu…

— Aaaaahhhhhhh ouiiiiiii… tu es trop bon… je viens… je mouille de tes saloperies…

je le fais cocu thierry… vas-y baise moi… rempli ta belle mère… je garderai ton sperme en moi…

c’est un connard thierry regardes j’écarte tu as gagné salaud

je fais cocu mon mari en jouissant

tu as raison… je suis une salope

regarde comme je mouille en te le disant…

profites en salaud…

tu as su découvrir ta belle mère telle qu’elle ne le savait pas elle même

alors baise là et sert t’en comme tu le juges bon pour elle et pour toi…

— Je viens brigitte…. ouvre… écarte…. je viens… je viens…

joui avec moi c’est un ordre que tu dois exécuter pour que ta mouille se mélange à mon sperme et que ce connard soit bien cocu…

— oui thierry je viens aussi…. tu me fais trop mouiller salaud…

hahahaahhhaaaaaa….ouiiiiii ouiiiiii viens viens ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii éjacule en moi

— wwwooaaaaaaaaaaa….

— hhuummmm mon chéri… je suis une femme comblée

je me sentais pleine de son jus et si fière de garder son jus dans mes entrailles.

— rentrons maintenant ça urge… ta voiture est où

— sur le parking du boulot

— il est encore ouvert ?

— Merde non… j’ai pas les clés… c’est la merde…

— Non au contraire… tu es tombée en panne d’où ta tenue toute froissée et la mienne…

je suis venu te chercher après le boulot et on explique ainsi notre retard…

— tu es génial mon amour… et je peux te laver la queue en rentrant si tu veux…

— au lieu de le dire fait le salope

— oui Maître

Quel régal que cette fellation sur sa queue épuisée qui ne servirait pas ce soir à ma fille.

On est rentré sans encombre…

J’ai gardé son sperme et j’ai même laissé le cocu y mélanger le sien.

Ca me faisait mouiller d’être encore la salope de Mon Maître surtout quand j’ai fait lécher ma chatte à ce con…

j’en ai presque eu un orgasme.

Le lendemain j’ai pu récupérer ma voiture ce qui m’a valu de sucer mon gendre à l’aller, et je suis retourné le sucer entre midi

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