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L'étalon aiguille (Tome 2) – Chapitre 8




"Au bout de mes rêves"

Je m’effaçai pour la laisser passer. Elle passa la porte et s’arrêta, hésitante. Elle secoua la tête et  je crus un instant qu’elle allait faire demi-tour. Je lui pris la main pour l’entraîner dans l’escalier tournant qui menait aux chambres.

Au fur et à mesure que nous approchions du numéro 39, je sentais l’excitation monter en moi. Ma main tremblait lorsque je composai le code. Je poussai la porte et la laissai entrer la première.

Machinalement, elle jeta un coup d’il circulaire dans la pièce, mais dès que nos regards se croisèrent, nous nous jetâmes dans les bras l’un de l’autre.

Je sentis sa langue fouiller ma bouche, presque avec violence, tellement elle aussi semblait avoir besoin maintenant de s’abandonner à son désir. De mon coté, j’avais sans attendre passé mes mains sous son manteau et sa chemise. Je caressais son dos nu et ses fesses par-dessus sa robe. Elle fit glisser ses mains de ma nuque à mon dos, puis mon postérieur. Portés par notre excitation, nous gémissions tous deux à l’unisson.

Je cessai un court instant de la caresser quand elle fit glisser mon blouson au sol, puis je levai les bras pour l’aider quand elle m’arracha presque mon pull. Je me recollai contre elle aussitôt après et fis crisser sous mes mains le cuir du manteau qui gainait ses épaules. En même temps, je la couvrais de petits baisers, ou pour être tout à fait précis, j’embrassais tour à tour son cou, son manteau, puis je mordillais le lobe de son oreille, le col de cuir avant de lécher sa joue Elle faisait courir ses mains sur la peau de mon dos tandis que les miennes s’activaient sur le bas de sa robe. Nos deux bassins soudés bougeaient à l’unisson.

Je me décollai un instant et baissai le zip de ma braguette. Elle plongea alors ses doigts dans l’ouverture et sortit elle-même ma verge raidie de mon slip. Elle la prit en main et entama un mouvement de masturbation avant de la lâcher et de plaquer à nouveau son ventre contre le mien.

Au bout de quelques minutes de ces caresses incessantes, elle fit tomber au sol son manteau d’agneau et son chemisier de soie.

Je caressai ses seins à travers le cuir de la robe et elle fit mine de vouloir défaire le clip qui la tenait attachée sur sa nuque. J’interrompis son mouvement.

— Attends, Lydie ! Pas trop vite

— Mais je croyais que tu voulais

— Oui, je veux, mais Attends Laisse-moi faire. Et puis, pour tout te dire, j’aime tellement sentir le cuir de ta robe entre mes mains et tes seins ! Mais ne t’en fais pas, tout à l’heure, je saurai la déclipser Quand le moment sera venu Tout à l’heure

Je repris mes caresses et ma bouche vint bientôt mordiller et lécher à travers le cuir ses tétons raidis tandis que mes mains allèrent s’immiscer sous la jupe. Lydie la retroussa elle-même d’un mouvement brusque vers le haut. Mes doigts frôlaient sur ses fesses le satin de sa petite culotte tandis qu’elle en frottait le devant contre ma queue droite comme un "I".

— Attends, je t’en prie, si tu continues comme ça, je vais exploser !

Elle me répondit dans un souffle.

— De toutes façons, elle est déjà trempée, alors

Enfonçant ma main un peu plus loin encore par derrière elle tout en glissant un doigt par l’entrejambe, je constatai qu’effectivement, Lydie commençait à mouiller sérieusement. Je saisis alors délicatement l’élastique de la ceinture et fis descendre son slip jusqu’à ses genoux. Je lui fis passer l’obstacle du haut des bottes et achevai de le lui ôter. C’était une culotte shorty en polyamide satin rouge, ornée d’un petit motif de dentelle sur le devant, tout à fait à l’image de sa propriétaire : sexy, mais pas du tout vulgaire.

Je me redressai ensuite en faisant glisser mon sexe en érection sur toute la longueur de sa cuisse, jusqu’à ce qu’il soit stoppé par son bas-ventre. Tout en restant debout, elle ouvrit ses cuisses et je m’introduisis alors en elle en exhalant un soupir de plaisir. Je savourais chaque seconde de cette lente intromission, je poussais lentement mais régulièrement pour la pénétrer plus profondément.

Quand je fus enfoncé en elle jusqu’à la garde, elle débloqua sa respiration et gémit tout bas.

— Oh oui, Sam J’ai envie de toi !

— Moi aussi, j’ai envie et ça fait déjà un bout de temps ! Depuis que je suis arrivé, pour être précis

— Comment ça?

— Ben oui, quand je suis rentré dans la salle, je t’ai vu danser et Et tu m’as fait craquer tout de suite. Ça fait à peu près trois heures que je rêve de "ça"

Tout en parlant, je faisais coulisser mon phallus dans le doux fourreau de son vagin. Je sentais le plaisir monter en moi au fil de mes va et vient.

Nous étions tous deux accrochés l’un à l’autre par les épaules. Lydie avait fermé les yeux.

Elle s’ouvrit plus encore en enroulant sa jambe bottée autour de ma taille. Malgré tous les efforts que je déployais "pour compter les moutons" comme on dit, je ne pus maîtriser plus longtemps mon excitation. J’accélérai soudain mes mouvements et éjaculai dans un gémissement de plaisir.

Elle m’embrassa sur la bouche avec tendresse et me dit :

— Et en plus, tu extériorises ton plaisir autrement qu’avec des grognements d’animaux ! C’est tellement rare, les hommes comme ça

— Oh, tu sais, moi, j’ai toujours refusé de la jouer "gros dur". D’abord, je n’ai ni le physique, ni la carrure, mais surtout, je cherche à cultiver la part de féminité qui est en moi. Comme en chaque homme, d’ailleurs, mais il y en a peu qui l’admettent. Ça te choque?

— Pas du tout ! Au contraire

— Et tu sais, je sais pas si il faut dire "malgré ça" ou "grâce à ça", mais, et je le dis sans vouloir me vanter, ça ne m’empêche pas "d’assurer".  Et j’espère bien te le prouver !

— Je ne demande que ça !

— En attendant c’est le moment, maintenant !

— De quoi?

— Que j’admire tes seins et que je les embrasse sans qu’ils soient couverts par ta jolie robe

Je détachai les deux fines lanières qui la maintenaient et fis passer le vêtement par dessus sa tête.

— Waôw ! Doublure toute en satin, j’aurais pu le parier ! J’étais sûr que tu étais du genre à ne porter que de la super qualité ! Elle doit valoir bonbon !

— C’est vrai que j’aime les beaux vêtements, et alors? Ton pantalon à toi, ça n’a pas l’air non plus d’être de la daube, non?

— Ça c’est vrai ! Mais ce n’est pas une critique, au contraire. Je voulais juste dire que je suis fasciné, le mot n’est pas trop fort, par la qualité de tes cuirs. Entre ton manteau et ta robe, je te jure, je craque !

— Merci.

— Oh putain, j’imagine comment ça doit être agréable de porter les habits que tu as ce soir ! Des bottes  d’enfer, une minirobe en cuir qui a une doublure si douce que ça me donne une envie folle de me caresser avec, et pour couronner le tout un maxi manteau qui traîne presque au sol, en agneau voilé s’il vous plaît ! C’est quoi ta taille?

— Tu es fou, Sam !

— Je sais, c’est que tout le monde me dit

Lorsque je passai mon avant-bras derrière sa cuisse pour la soulever du sol, elle poussa un cri de surprise avant d’enrouler ses deux jambes autour de mes hanches et de se pendre à mon cou en riant. La maintenant empalée sur moi, je réussis à me diriger vers le lit (heureusement proche). Contractant mes biceps et mes abdominaux, je pliais les jambes et la déposai en douceur sur le sommier.

Appuyant ensuite mes genoux contre le matelas et mettant à profit cette faculté mystérieuse autant que bienvenue qui me permettait de ne pas débander, je redressai le torse et me remis à la pistonner. La vue imprenable que j’avais ainsi sur mon phallus qui semblait comme englouti par son sexe exacerbait encore mon excitation.

Elle poussa un nouveau gémissement et resserra l’étau de ses jambes dans mon dos. Je sentais le cuir de ses bottes caresser mon dos.

— Oh oui, Lydie ! Oh, j’aime ça, sentir tes bottes contre ma peau Continue, je t’en prie !

— Tu aimes ça, et moi, ça ne me déplaît pas, alors pourquoi s’en priver?

Entrant à fond dans mon jeu, elle amplifia plus que de raison les mouvements de son bassin pour finir par me caresser la moitié du dos avec ses genouillères.

— Et est-ce que tu voudrais pouvoir aussi les lécher et les embrasser?

Joignant le geste à la parole, elle écarta alors largement ses cuisses et vint poser le creux de ses genoux sur mes épaules. Je répondis dans un souffle "Pa ni problem au contraire !" avant de m’exécuter avec ravissement, mais sans pour autant cesser mes va et vient dans son ventre.

En tirant sur mon cou, je pouvais atteindre le haut de la tige ou bien, à l’opposé, le tiers supérieur de son mollet. Je prenais un réel plaisir à faire courir mes lèvres et ma langue sur le cuir.

Je sentis soudain son corps commencer à se raidir à l’approche de l’orgasme. Je laissai l’excitation me submerger et les mouvements de mon bassin se firent de plus en plus violents tandis que je lui disais :

— Oui, ça me plaît de les lécher. Et je sui prêt à faire bien plus encore, surtout si ça t’aide à grimper plus haut Mais dis-moi que tu me les prêteras tout à l’heure Dis-le moi ! Tu ne m’as pas dit ta taille, mais je suis prêt à parier qu’on fait la même Je veux mettre tes bottes, je veux qu’on se souvienne longtemps de cette nuit toi et moi, je veux devenir toi, je veux

Elle n’eut pas le loisir de me répondre et nous poussâmes un cri à l’unisson en jouissant en même temps

Je déposai à nouveau un baiser sur l’intérieur de ses deux genoux et écartai délicatement ses cuisses pour les reposer sur le matelas avant de m’allonger sur elle.

Contrairement à ce qui s’était passé en début d’après-midi où mon érection semblait "éternelle ou presque", je sentis ma verge commencer à ramollir. Lydie s’en rendit compte également et elle appuya ses mains sur mes fesses comme pour me retenir encore en elle. En même temps, elle enfonçait sa langue tendue au plus profond de ma bouche, comme pour mon montrer à mon pénis ce qu’elle attendait de lui.

Tout en l’aspirant aussi fort que je le pouvais afin d’accentuer les sensations, ce désir "d’échanger les rôles", de "devenir" ma partenaire afin de pouvoir ressentir ce qu’une femme vit lors de l’acte d’amour recommençait à m’obséder.

De fait, cet artifice, associé aux habiles contractions de son périnée, nous permit d’obtenir un léger sursis. Je commis alors l’erreur de me croire à nouveau capable de la besogner, mais Popaul avait perdu de sa superbe et ne se montra pas capable de rendre un nouvel hommage à Virginie !

Je "rendis" sa langue à Lydie et m’allongeai à ses cotés.

— Dis-moi, Sam C’est quoi ce trip?

— Quel trip?

— Attends, j’ai pas rêvé ! Tu m’as dit deux fois en moins d’une demi-heure que tu voudrais porter mes bottes et mes vêtements.

Elle était étendue, nue à l’exception de ses genouillères noires. Tout en déboutonnant la ceinture pour rentrer ma verge ramollie dans mon pantalon -dont je ne m’étais toujours pas défait-, je commençai à lui répondre.

— Je vais être tout à fait franc avec toi, Lydie : oui, c’est sérieux ! Je t’ai dit tout à l’heure que je cherchais à cultiver la part de féminité qui est en chacun de nous, et peut-être que je vais trop loin, mais, oui, je voudrais essayer tes bottes, et oui, je donnerais cher pour enfiler ta robe et ton manteau ! Et tu veux que je te dise quel est mon fantasme absolu?

— Vas-y Dis.

— Et bien, je voudrais pouvoir changer de sexe avec ma partenaire pour savoir ce que ça fait "quand on est de l’autre côté du miroir" !

J’eus à peine le temps de terminer ma phrase que je sentis une douleur fulgurante me traverser le bas-ventre avant qu’elle n’irradie tout mon corps. J’avais la sensation d’être devenu une séquence de morphing vivante ! En même temps que je cherchais ma respiration, j’entendis Lydie pousser un cri.

Tout cela ne dura en fait que quelques instants, mais ces secondes là me parurent bien longues ! Je me sentis soudain "tout chose", mais ce n’était rien, comparé à ce que je découvris lorsque je rouvris les yeux : à mes cotés était étendu un homme à la peau café au lait et au regard hébété. Il était nu et présentait la particularité d’avoir aux pieds une magnifique paire de genouillères en cuir noir mat à talons de neuf centimètres !

Je secouai la tête comme pour me sortir d’un cauchemar. C’est alors que je sentis sur mes épaules la caresse de ce qui semblait bien être des cheveux. Je portai mes mains à mon cou et découvris ainsi que c’étaient effectivement bien des cheveux, mes cheveux. Je commençais à peine à me demander par quel miracle ils avaient pu pousser d’une dizaine de centimètres en dix secondes que mon regard se bloqua sur ma poitrine. Le peu de poils qui l’ornait habituellement avait disparu, "remplacé" si j’ose dire par une paire de seins.

Il me fallait me rendre, nous rendre à l’évidence, j’étais devenu une femme, et l’homme à coté de moi ne pouvait donc être en toute logique que Lydie !

Il, enfin, elle, semblait à son tour prendre conscience de la réalité.

— Sam? Dis, c’est toi? Oh putain, mais c’est quoi, cette voix que j’ai? Putain, mais qu’est-ce qu’il se passe? Tu peux m’expliquer?

— Et bien Je crois que mon fantasme s’est réalisé !

— Ah oui, comme ça ! D’un coup de baguette magique !!!

— En fait, je crois qu’il faudrait plutôt dire de "braguette" magique.

— Arrête de faire des gags à deux balles, c’est vraiment pas le moment !

— Je ne déconne pas, je te jure. Je crois que ce coup-ci, c’est bien la preuve !

— Alors explique-moi. Parce que, moi, j’aimerais bien comprendre comment je me retrouve avec une paire de couilles et toi une paire de seins d’un coup de "braguette magique", comme tu dis !

— Et bien, je ne sais pas comment c’est possible, mais je crois que ce pantalon en cuir que j’ai acheté ce matin a des pouvoirs particuliers. Il semblerait que tous mes fantasmes se réalisent dès lors que je pense à quelque chose en touchant la braguette de mon pantalon.

— Tu me prends pour une conne?

— Ni pour une conne, ni pour un con, d’ailleurs.

— Ça, c’est très fin, bravo

— Excuse-moi. N’empêche que j’ai eu trois expériences depuis ce matin, et la seule explication, satisfaisante à défaut d’être rationnelle, c’est celle-là : c’est à cause du pantalon.

— Arrête, Sam. C’est pas possible, c’est n’importe quoi !

— Ça surprend, ça oui, mais je te jure que c’est vrai, c’est la seule explication je te dis D’abord, il y a eu Sabrina. J’avais le pantalon dans un sac en plastique et je le caressais en pensant que j’aimerais bien "passer un moment avec elle", et vingt minutes plus tard, je suis chez elle.

— Ça ne prouve rien, ça veut juste dire qu’elle aussi elle avait envie !

— Ah oui, et alors comment tu expliques ça? A un moment, elle baisse ma braguette et hop, je tombe pile poil sur son fantasme à elle et je lui permets de le réaliser.

— – quoi, son fantasme?

— De faire l’amour avec un homme qui aurait mis ses vêtements à elle.

— Alors là, c’est vrai que je ne vois pas du tout comment toi, tu as pu lui faire réaliser ce type de fantasme Me fais pas marrer, elle avait le même que toi, c’est une coïncidence, c’est tout !

— Et pour Céline alors?

— Quoi, Céline. Qui c’est Céline?

— C’est ma boulangère. C’est pas la première fois que j’ai eu envie de faire l’amour avec elle et

— Ben dis donc, comme on dit dans le Sud, "t’es un pointu", toi !

— Attends, laisse-moi finir, puisque tu veux tout savoir. Bref, j’arrive ce midi à la boulange et je touche ma braguette en pensant que j’aimerais me la faire en même temps que je porte ses bottes, je

— Décidément !

— Laisse-moi finir, merde ! Je fantasme sur le fait de rester à lui faire l’amour deux heures sans débander, et tout ce à quoi j’avais pensé s’est déroulé exactement comme je l’avais rêvé. Je te passe les détails, mais tiens, c’est comme si j’avais écrit le scénario d’un film ! Un mec qui reste pile deux heures sans débander un seul instant, c’est une coïncidence, ça? Même les blacks qui nourrissent justement bon nombre de fantasmes ou de jalousies débiles, je suis sûr qu’ils ne tiennent pas deux heures. Et puis, pour terminer, il y a toi.

— Comment ça, il y a moi?

— Et bien, quand je t’ai raconté mon "fantasme absolu", tu n’as peut-être pas remarqué, mais j’avais la main sur ma braguette parce que je rengainais mon nécessaire trois pièces Alors? Qu’est-ce que t’en dis? Hein?

— J’en dis que Non C’est pas possible Je cauchemarde, je vais me réveiller

Au bout de quelques minutes, Lydie finit par admettre la situation.

— Alors, je récapitule. Ton pantalon "mâââgique" nous a fait échanger nos sexes tous les deux, c’est ça?

— Ben oui

— Et ça va durer jusque quand?

— Alors ça, je n’en ai pas la moindre idée !

— Non, parce que, si j’ai bien compris, tu voulais qu’on échange les rôles et qu’on remette le couvert, c’est bien ça?

— Oui.

— Donc, c’est peut-être pour ça que je commence à bander. Putain, ça fait drôle !!!

"Elle" s’arrêta un moment et contempla sa verge qui commençait à gonfler de manière prometteuse.

— Eh ! Mais attends. Si ça doit durer, il vaudrait mieux que je me trouve un nouveau prénom ! Je n’ai pas la chance d’avoir un prénom "mixte", moi ! Alors, voyons Marcel? Georges? Gérard? En tous cas, n’importe quoi sauf Simon ! Alors, qu’est-ce que tu proposes "Samantha"? Tiens, et pourquoi pas "Eddy"?

— C’est vrai que phonétiquement, ça ressemble un peu à Lydie !

— C’et pas con comme idée, hein? Bon, allez, c’est adopté. A partir de maintenant, appelle-moi Eddy

Il se redressa complètement avant de s’asseoir à califourchon sur mes tibias. Tout en commençant à dégrafer le premier des trois boutons de la ceinture de mon pantalon de cuir, il me dit :

— Voyons voir ce que tu portes là-dessous, ma belle

Ses mains se posèrent sur mes hanches et il m’obligea à soulever un peu les fesses pour me dévêtir.

— Bof ! Pas vraiment sexy ton slip. Dis, ils ne font pas les mêmes pour filles?

— Excuse-moi, mais je ne savais pas que j’allais me retrouver dans cette situation lorsque je me suis habillé en sortant de ma douche. Ceci dit, vu ce que tu portes aux pieds, à ta place, je ne la ramènerais pas trop sur ce terrain là. Tu vois ce que je veux dire?

— Bing ! Sam, one point ! J’enlève mes bottes

Il fit glisser la fine fermeture éclair le long de ses mollets et posa soigneusement à plat les deux genouillères l’une après l’autre avant d’ôter ses mi-bas et de se repositionner au dessus de moi.

— Mais tu vois, Sam, pour tout te dire, ce que j’avais l’intention d’enlever c’était plutôt ça !

Il tira d’un coup sec sur mon slip et contempla longuement la toison qui ornait mon pubis. Un frisson me parcourut lorsqu’il  posa sa main à plat dessus.

— N’aies pas peur

— Je Je n’ai pas peur !

— Je ne te crois pas. Tu trembles !

— OK, j’admets, je me sens un peu comment dire?

— Comme une collégienne?

— C’est ça, si tu veux Mais toi, ça ne te fait pas drôle?

— Non, enfin Pas trop !

Je ne pus réprimer un gémissement de plaisir quand son majeur commença à titiller mon clitoris. Eddy embrassa fiévreusement mes seins et sa langue qui tournoyait sur mes tétons fit monter en moi une nouvelle vague de plaisir en moins d’une minute. Sentant à quel point ses caresses m’électrisaient, il calma un peu le jeu, puis se rallongea sur le coté en frottant sa verge contre ma cuisse.

Au fur et à mesure que l’excitation le submergeait à son tour, il mordillait ma peau en soufflant de plus en plus fort. Il se remit alors sur le dos et saisissant ma main, il la posa sur son phallus gonflé.

— Sam, tu veux bien me branler? Allez, oui, vas-y ! Branle-moi, comme toi tu te branlais à l’époque où tu avais encore une queue

A ma grande surprise, je ne me sentis en fait pas du tout gênée de le faire : maintenant, j’étais devenue une femme, je n’étais plus un mec, même travesti, et il me paraissait, disons "naturel" qu’en un tel moment, une femme masturbe un homme sans arrière-pensée. Je fis donc coulisser ma main sur sa hampe de plus en plus vite, tant et si bien qu’il ne tarda pas à inonder son ventre de son sperme.

Il s’était forcé à garder les yeux ouverts pour regarder le liquide blanchâtre jaillir de son gland. Il laissa retomber brutalement sa tête sur l’oreiller.

— Je voulais voir autant que ressentir ce que ça faisait C’est vrai, quoi ! Après tout, c’est la première fois de ma vie que j’éjacule !

— Et alors, ça te fait quoi Eddy?

— C’est cool ! J’aime assez, je dois dire Mais bon, maintenant, il faut que j’essuie ça.

Il se leva et se dirigea vers le cabinet de toilettes. Je sursautai en l’entendant pousser un grand cri.

— Qu’est-ce qu’il se passe? Tu t’es blessé?

— Non, je viens juste de me voir dans la glace ! Tiens, toi aussi, viens voir

A mon tour, je me levai et le rejoignis. Effectivement, ça faisait un choc ! Je me découvris deux petits seins hauts plantés, un ventre plat orné d’une toison un peu clairsemée. Au niveau du visage, le changement était tout aussi radical : les pommettes étaient à présent un peu plus marquées et mes lèvres s’étaient affinées. Quant à mes cheveux, s’ils avaient gardé leur couleur naturelle (châtain clair), ils avaient poussé jusqu’à descendre sur mes épaules.

— Alors, qu’est-ce que je t’avais dit ! Ça surprend, hein?

— Ça oui ! Ça surprend

Pendant que je retournai m’asseoir sur le rebord du lit, il saisit un gant et le passa sous l’eau chaude pour nettoyer le sperme qui commençait à couler sur ses cuisses. Puis il me rejoignit avec un drôle de sourire quelques instants plus tard.

Ce n’est que le lendemain midi, avec le recul du temps, que je réalisai qu’à ce moment précis, quelque chose venait de changer dans son regard

— Ça me fait trop bizarre pour marcher, ce machin qui pend entre mes jambes ! Tu crois que je vais pouvoir m’y habituer?

— Parce que tu comptes rester comme ça longtemps?

— Ben, je sais pas, mais tu l’as dit toi-même, on ne sait pas combien de temps ça va durer !

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