Le lendemain, la soumise se rendit à son travail comme à son accoutumé. Elle n’arrêtait pas de penser à la punition/gage de son maître, comment allait-elle faire pour avoir la main d’un homme sur son sexe cela lui semblait si irréaliste et si difficile à faire. Enfin elle se souvint qu’en début d’après-midi un livreur devait passer chez elle. Elle se dit que si celui-ci n’était ni trop vieux, ni trop moche, elle prendrait son courage à deux mains, lui demanderait au livreur de lui mettre la main sur sa chatte ; l’explication serait simple : un pari entre son homme et elle, cela passerait sûrement, enfin elle le pensait. Rien qu’à réfléchir à tout cela, la soumise sentit de la mouille perler sur sa chatte, depuis que le maître l’avait prise en soumise elle n’arrêtait pas de mouiller, cela lui plaisait beaucoup en même temps qu’elle ressentait une certaine honte.

De retour chez elle, elle s’habilla, d’une jupe courte et d’un chemisier bien ouvert sur ses seins nus, de sorte à aguicher le livreur qui ne tarderait pas à arriver, un certain trac envahit la soumise, son cur battait fort, sa respiration s’accélérait, le rouge aux joues montait, l’adrénaline montait également ce qui accentua la mouille sur sa chatte, qui était déjà bien trempée.

Le livreur arriva, lorsqu’il lui fit signer son bon de livraison la soumise, lui dit qu’elle avait fait un pari avec son homme qui consistait à prendre une photo de la main d’un homme sur son sexe, acceptait-il d’être cet homme ? Le livreur au début fut réticent, n’était-ce pas un piège ? La photo, ne serait-elle pas envoyée à son employeur ? La soumise le rassura, lui dit que non, que c’était juste entre son homme, lui et elle, il ne serait, en aucun cas, inquiété. Le livreur finit par céder, mettre sa main sur la chatte de la soumise qui prit une photo et l’envoya tout de suite au maître. Le livreur ne voulut pas en rester là, il titilla le clito de la soumise, puis la prenant par la tête le fit se pencher, elle comprit que celui-ci voulait qu’elle suce sa queue. Un peu dégoûté, mais ne pouvant y échapper, la soumise s’exécuta, au bout d’un temps qui parut une éternité à la soumise, le livreur cracha sa semence sur ses seins, le chemisier grand ouvert.

Une fois le livreur parti, la soumise regarda son portable, lut le message du maître :

— Alors cela t’a plu, il n’a rien fait d’autre ?

La soumise écrivit :

— Si maître, j’ai dû lui faire une fellation.

— Bonne, soumise, bonne salope, raconte.

La soumise raconta dans le menu détaillé comment elle avait obtenu la photo et fait la fellation au livreur.

— Bien. As-tu aimé ?

— Pas trop maître, sa queue n’était pas propre et il y avait plein de poils.

— Pas grave, tu vas vite y prendre goût, ma salope !! Maintenant, tu vas boire un litre d’eau, ne pas pisser, tu ne le feras que lorsque je te dirai de venir en cam, compris ?

— Oui maître, je dois boire un litre d’eau et ne pisser que lorsque tu me diras de venir en cam.

— Bien à tout à l’heure ma salope

La soumise, en vacant à ses occupations, bues le litre d’eau comme le lui avait demandé son maître. Au fur et à mesure, que passait le temps, l’envie de pisser devint de plus en plus pressante, la soumise s’efforçait de ne pas y pensait, mais cela fut de plus en plus difficile. Enfin, le message libérateur arriva :

— Prends un récipient, va dans ta douche et mets-toi en cam, vite !

La soumise trouva un verre mesureur, alluma son PC, se mit dans sa douche et appela son maître. Lorsqu’elle vit son maître, visage souriant, elle en fût heureuse et lui rendit son sourire.

— Bien, dit le maître, tu as été rapide. Maintenant, tu vas pisser dans ce verre, baisse la caméra que je puisse voir ta pisse sortir de ta chatte.

La soumise se mit en position, bien que l’envie soit présente, pisser devant son maître n’était pas évident, elle n’était pas très à l’aise. Finalement le jet de pisse sortit et elle remplit en bon tiers du verre.

— Montre-moi ce que tu as rempli, demanda le maître.

La soumise souleva le verre devant la caméra.

— Bois en maintenant.

Surprise, la soumise n’osa pas refuser, se rebeller. Elle prit le verre le porta à sa bouche, en grimaçant, et bu un peu de sa pisse. Elle fut étonnée de ne pas trouver cela désagréable.

— Alors, tu as aimé ma cochonne.

— Oui maître, ce n’est pas si désagréable que cela. C’est juste de l’eau salée.

— Tu deviens de plus en plus salope, j’adore.

— Je ne sais pas comment tu fais, mais tu arrives toujours à me faire faire des choses que je n’imaginerai pas faire. Je suis folle, j’ai honte.

— Tu n’es pas folle et tu n’as pas à avoir honte, tu t’ouvres, tu oses la sexualité que tu avais déjà en toi.

— Oui maître

— Que vas-tu faire demain après-midi ? Il me semble me souvenir que tu ne travailles pas.

— Je vais aller me balader en forêt sur l’un de mes chevaux.

— Je veux donc une photo de toi à poils à côté de ton cheval en forêt. Je veux te voir, toi, ton cheval et évidemment la forêt.

— Bien maître

— Tu as été une bonne soumise ce soir, en récompense, tu as le droit de jouir si tu le désires. Bonne soirée ma salope.

— Merci maître, bonne soirée également.

La soumise se coucha, essaya de dormir, mais les gages que lui avaient donnés le maître l’avait excité, comme le maître l’avait autorisée, elle se masturba. Elle commença par rouler son clitoris sous son doigt, mis un puis deux doigts dans sa chatte, remonta sur son clitoris roula encore son clitoris, l’excitation de l’après-midi aidant, la soumise poussa un cri de jouissance assez rapidement.

Le lendemain, ce n’est pas sans une certaine fébrilité qu’elle prépara son cheval et se mit en selle. En forêt, elle réfléchit à l’endroit le plus approprié pour faire son exhibition et se prendre en photo à côté de son cheval. Arrivée à l’endroit qu’elle avait choisi, elle descendit de cheval, se déshabilla, tout en le tenant, d’un tempérament calme son hongre ne bougea pas. Une fois dans la tenue d’Eve, elle prit son portable et fit plusieurs selfies. Elle se rhabilla rapidement, se mettre à poil en forêt ne l’avait pas rassurée, elle était sur ses gardes, la peur au ventre de se faire prendre. Une fois remise en selle, elle regarda les clichés, choisit celui qui lui paraissait être le mieux et l’envoya à son maître.

La réponse du maître se fit un peu attendre, rien d’étonnant à cela puisque lui travaillait. Un « gage validé » fini par arrivée, ce qui ravit la soumise, elle put ainsi continuer sa balade radieuse.

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