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Première rencontre avec Clémentine – Chapitre 2




V

Clémentine m’avait prévenu qu’elle n’aurait pas cours le jeudi après-midi. Je pris donc mes dispositions pour pouvoir la retrouver en posant une demi-journée de congés. Cela tombait parfaitement, car ma femme n’était pas non plus à la maison cette semaine-là et nous aurions donc les lieux libres pour nous avec un peu de temps. Je l’attendis donc à la sortie du lycée, et fis quelques appels de phares en l’apercevant. Elle me vit également et se précipita vers la voiture. Elle était superbe encore une fois habillée avec une jupe mi-longue tombant sur ses genoux, des collants noirs légèrement transparents mettant parfaitement en valeur ses jambes fines. En haut, elle portait ce jour-là un t-shirt assez moulant laissant entrapercevoir le commencement de sa poitrine. Avec ses lunettes de fille sérieuse, rien ne laisse présager à quel point elle est salope, elle a faim de sexe. Mais moi, je le sais et sa vision accourant vers moi suffit à me provoquer une légère érection. Cette fille est tout bonnement magique. Elle entrouvrit la porte de la voiture arborant un sourire radieux, elle était donc également heureuse de me retrouver pour passer à nouveau quelques heures en ma compagnie.

— Bonjour Monsieur, me glissa-t-elle.

— Coucou ma belle, pose donc ton sac à l’arrière et monte vite.

Elle s’assit près rapidement côté passager, referma la portière et sans échanger un mot de plus vint plaquer sa bouche sur la mienne. Ce baiser fut passionné, comme deux amants que nous étions et qui ne s’étaient pas retrouvés depuis longtemps. Nos langues et nos salives se mêlèrent instantanément. Elle avait un goût de fraise ce jour-là. En même temps nous posâmes nos mains sur nos cuisses respectives. Je glissai la mienne sous sa jupe et la sienne remonta le long de mon pantalon. Alors que je caressai sa peau à travers son doux collant, je sentis ses cuisses s’ouvrir doucement à mon contact. De son côté, sa main était remontée vers mon sexe qu’elle entreprit de masser de ses petits doigts mutins. Du mien, je me mis à masser son entrejambe. Nos lèvres se détachèrent, mais restèrent unis par un fin filet de salive, je sentis son souffle et vis qu’elle prenait déjà du plaisir. Un léger gémissement vint confirmer cette impression.

— Je suis vraiment content de te retrouver jeune fille.

— Moi aussi Monsieur, vous m’avez manqué, j’ai beaucoup pensé à vous, dit-elle sans se départir de son sourire et sans retirer sa main qu’elle referma un peu plus sur mon sexe.

— Vraiment ? Mais j’en suis extrêmement flatté. Et que faisais-tu quand tu pensais à moi Clémentine ?

— Je me masturbais Monsieur, me répondit-elle en se mordant les lèvres après un petit silence.

— J’adore les petites branleuses dans ton genre. Il va falloir m’en dire plus maintenant. Raconte-moi la dernière fois.

Je mis la voiture en route, et aperçus que Clémentine rougissait, elle regardait devant elle quand elle commença son récit.

— C’était hier à la bibliothèque du lycée. Je venais de sortir d’un cours de sport et je portais un survêtement. Je m’étais assise seule dans un petit canapé en tissu, enfoncée en arrière et avais posé mon manteau sur ma taille et mes cuisses pour mieux me dissimuler. D’une main je tenais un livre que je faisais semblant de lire, tandis que mon autre main s’était glissée sous mon bas de survêtement. Je pensais à vous, à ce que vous m’avez dit quand on s’est vu en ville l’autre jour, ce que vous m’avez fait, la manière dont je vous ai sucé. J’étais excitée par ces pensées et par le fait de me toucher comme ça en public devant tout le monde, sans que personne ne le sache. Mon minou était tout mouillé et je commençais à le caresser en écartant les cuisses le moins possible. Je me sentais rougir, et j’ai dû me retenir pour ne pas gémir. Avec mon livre, je cachai mon visage et avec mon index je titillai mon petit bouton. Je faisais très lentement de petits mouvements circulaires sur mon clitoris qui est très sensible. J’adore toujours faire ça. En quelques minutes, j’ai fini par jouir silencieusement et en resserrant mes cuisses sur ma main.

— Très intéressant dis-moi, j’aime la manière dont tu évolues Clémentine.

— Oui je me sens devenir toujours plus salope, d’être toujours excitée.

— Ton histoire m’a fait bander petite coquine, il va falloir que tu t’occupes de ça.

Son regard se posa sur la bosse que formait désormais mon sexe sur mon pantalon. Sans un mot, elle posa ses mains sur ma braguette et la défit. Tout en regardant la route, je jetais quelques coups d’il vers le bas où je pouvais admirer ses doigts de fée s’affairer avec dextérité pour extirper mon sexe de mon boxer. Elle commença alors à me branler avec juste le bout de ses doigts. Un frisson de plaisir me parcourut.

— Cela ne vous gêne pas pour conduire ? me lança-t-elle comme un défi en accélérant progressivement le mouvement.

— Non ma chérie tu es parfaite, et comme nous sommes sur l’autoroute, tu vas même pouvoir faire mieux que ça. Je veux que tu me suces, et en même temps que tu branles ta petite chatte.

— Oui Monsieur tout ce que vous voudrez.

Je la vis alors remonter sa jupe au-dessus de ses hanches et écarter ses cuisses. Sous la transparence de son collant, je vis que ma petite salope ne portait pas de culotte. Elle assimilait donc vite les préceptes de son éducation. De ma main droite je vins frotter sa vulve et sentis son humidité déjà très présente. Immédiatement après je portais mes doigts à ma bouche qui s’emplit de l’arrière-goût de sa chatte. Ma bite se raidit un peu plus. Ses doigts remplacèrent les miens et elle se pencha sur le côté jusqu’à ce que ses lèvres se posent sur le bout de mon gland. De ma main libre, j’attrapai ses cheveux à l’arrière de sa tête que je poussais doucement vers le bas. Je sentis alors progressivement la douce chaleur moite de sa bouche envelopper ma queue. Ma main alors la tira à nouveau doucement vers le haut par les cheveux. Elle me laissait la guider pour imprimer le rythme que je souhaitais. Elle n’en restait pas passive pour autant car, pour accompagner chaque mouvement, elle utilisait sa petite langue pour venir titiller ou enrouler ma bite. Elle était également très affairée avec sa chatte. Elle avait ouvert ses cuisses de manière obscène et sans aucune retenue, une jambe posée sur le tableau de bord. Je suis persuadé qu’un camionneur qui aurait regardé vers nous au moment où je le dépassais, n’aurait rien raté du spectacle. Elle frottait sa chatte de plus en plus vite avec tous les doigts de sa main. Ma belle Clémentine était en chaleur et rien ne pouvait la calmer, si ce n’est assouvir son désir de sexe. J’essayais de rester concentré sur la route, heureusement rectiligne et peu encombrée, tout en continuant à guider sa bouche pompant ma queue. Comme sa bouche se dilatait, je poussais de plus en plus ma queue vers sa gorge. Elle finit par l’avoir entièrement en bouche, son nez écrasé sur mon aine. Je décidai alors de la maintenir ainsi quelque seconde puis de la remonter. Un flot de salive sortant de sa bouche dégoulina sur ma bite et sans lui laisser le temps de reprendre complètement sa respiration, je la fis plonger une nouvelle fois vers les abîmes de ma queue. Tout en continuant à se branler de plus en vite et fort, elle eut alors quelques relents à la limite du vomissement. Ma queue fut à ce moment inondée de sa salive et je relâchai la pression. Je vis qu’elle fut prise de spasmes et tout son corps se mit à trembler, elle venait de jouir ma bite au fond de sa bouche. Lentement elle sortit sa bouche de ma bite baveuse.

— Il va falloir que tu nettoies tout ça petite salope.

— Je suis désolée Monsieur je vais m’en occuper. Me dit-elle ses lunettes de travers, quelques larmes coulant sur ses joues.

Elle se remit alors à me sucer, cette fois-ci je la laissais faire. Elle aspira ma bite, l’excès de salive. Elle prit la base de ma queue dans sa main et se mit à branler au même rythme que le mouvement de bouche. Il ne me fallut alors pas longtemps pour exploser et décharger mes couilles au fond de sa gorge, sans la prévenir. Elle n’eut qu’un léger recul et continua doucement et tendrement à me sucer, ne perdant aucune goutte de chaque spasme de ma bite. Elle redressa la tête un filet de sperme à la commissure des lèvres. Je lui caressai doucement l’arrière de la tête. Elle avala tout, sans rien dire, et nettoya ma queue du bout de sa langue sans que je n’aie rien à lui demander. Elle était parfaite.

Nous allions alors sortir de l’autoroute et nous diriger vers chez moi. Cette après-midi s’augurait sous les meilleurs auspices.

VI

Je fis entrer Clémentine chez moi et la conduisis jusqu’au salon. Je m’assis dans le fauteuil et elle vint se camper juste devant moi debout.

— Je suis tellement heureuse que vous m’ayez conduite chez vous Monsieur.

— Moi aussi ma chérie je suis content de t’avoir avec moi et pour moi durant toute cette après-midi, je vais bien m’occuper de toi tu sais, lui répondis-je en caressant doucement l’intérieur de ses cuisses sous sa jupe.

— Vous me faites rougir Monsieur, me répondit-elle en se trémoussant sur ses jambes.

— Tu vois la table basse derrière toi, tu vas monter dessus et me faire une petite danse juste pour moi. Tu vas doucement retirer tous tes habits et ne garder que tes collants.

— Oh Monsieur j’adore danser vous savez.

— Il va falloir que ta danse soit convaincante jeune fille, je vais retirer mon pantalon et à la fin tu dois m’avoir fait bander.

— Je vais faire de mon mieux pour que vous soyez content.

Elle monta sur la table basse à peu près à cinquante centimètres de mes genoux. Elle commença doucement à faire onduler ses jambes, puis ses hanches et enfin l’ensemble de son corps. Elle faisait courir ses mains langoureusement le long de ses mollets en se penchant en avant, puis remontant sa jupe qu’elle souleva pour me laisser deviner sa chatte moulée dans ses collants comme une petite fille. Puis elle se retourna, se pencha en avant et de nouveau fit remonter sa jupe découvrant de superbes fesses bien arrondies que je n’avais encore pas pu bien admirer. Elle fléchit doucement ses genoux, faisant ainsi grossir son cul tout en le dandinant avec de petits mouvements du bassin. Elle avait déjà gagné, je commençais à bander à nouveau. En se redressant, elle fit tomber sa jupe à ses chevilles et d’un mouvement sec du pied l’envoya plus loin dans la pièce. Elle se retourna encore me faisant face à nouveau en collants et t-shirt. Toujours en ondulant, elle fléchit à nouveau, écartant ses cuisses qui s’ouvrirent sur sa vulve voilée par les collants. Elle finit à genoux cuisses écartées et pieds repliés sous ses fesses. À ce stade, ma bite était dressée. Son regard gourmand se posa sur elle, et elle passa sa langue sur ses lèvres voyant qu’elle avait gagné. Avec ses deux index, elle remonta doucement son t-shirt pour découvrir son nombril ornant son ventre plat de jeune fille. Puis elle porta un de ses index à la bouche, le suça en mimant une fellation et puis vint les poser sur ses tétons qui pointaient durs à travers son t-shirt. Il était évident qu’elle avait décidé de ne porter aucun sous-vêtement pour cette journée. Doucement elle retira son t-shirt, le fit tournoyer dans les airs avant de l’envoyer rejoindre sa jupe gisant dans un coin de la pièce. Sa poitrine tendue était sublime. Elle saisit ses seins dans chacune de ses mains et le resserra l’un vers l’autre tout en se penchant en avant. Il était difficile pour moi de me retenir de ne pas me toucher, ni la toucher. C’était purement exquis. Elle fit glisser ses doigts entre ses cuisses béantes les faisant doucement courir sur sa fente. Le collant était tendu à l’extrême, l’humidité grandissante de sa chatte finit de le fragiliser et il se déchira sous les frottements de ses doigts révélant des lèvres ouvertes et ruisselantes de mouille. Elle était là face à moi seins nus, reposant sur son petit cul, chatte ouverte dans ses collants, un index légèrement enfoncé dans sa bouche, l’autre indolemment posé sur sa fente. Une beauté pure.

— Tu peux être fière de toi Clémentine, regarde comme tu m’as fait bander.

— Merci Monsieur, je suis si heureuse de vous plaire.

— Je voudrais maintenant te voir fumer en te caressant, je suis certain que tu seras encore plus excitante.

— Mais Monsieur, je n’ai pas vraiment l’habitude de fumer vous savez ?

— Ne me fais pas croire que tu n’as jamais fumé jeune fille, et je suis même sûr que ce n’était pas du tabac.

— Si bien sûr, dit-elle en baissant la tête doucement.

— Eh bien maintenant tu vas fumer pour moi, je suis certain que tu vas adorer.

— Avec plaisir Monsieur, si c’est ce que vous voulez.

Tout en me parlant j’avais remarqué que son doigt titillait déjà son petit bouton. C’était parfait. J’ouvris un tiroir devant moi, en sortis un joint, que j’allumai dans ma bouche avant de venir le poser entre ses lèvres. Elle aspira une bouffée, je vis sa poitrine se gonfler et elle toussota un petit peu. Elle retira le joint de sa bouche et exhala un nuage de fumée, de son autre main elle commençait à se toucher.

— Tu aimes ma salope ?

— Hmm oui Monsieur c’est trop bon, je me sens si bien.

Sous l’effet du cannabis, de l’excitation, ses muscles se relâchaient, je le voyais, elle gémissait et continuait à fumer en massant sa petite chatte alternativement avec sa poitrine.

— Tu sais Clémentine, ce genre de choses se partage, ta petite chatte aimerait sûrement y goûter elle aussi.

— Vous avez raison Monsieur je vais lui en donner aussi un peu.

Joignant le geste à la parole, elle positionna le joint à l’entrée de sa vulve, le fit pénétrer légèrement. Je la vis contracter ses muscles et bout du joint se mit à rougeoyer. Je me levai et vins le lui retirer et une volute de fumée s’échappa de sa chatte, ce qui provoqua un grand rire de Clémentine. Je me mis à tirer dessus pour le finir, et profiter de ce goût unique mélange d’herbe et de mouille. Je vis alors Clémentine se pencher en avant et venir donner de petits coups de langue sur mon gland turgescent.

— Puisque tu veux ma queue, branle-moi, lui dis-je en lui donnant de petites gifles avec mon sexe.

Elle prit ma bite dans sa main droite et commença des mouvements d’avant en arrière, tandis que de son autre main elle enveloppa mes couilles et se mit à les caresser doucement. Après quelques minutes de ce traitement, sentant que j’allais venir, je l’attrapai par ses cheveux et rapprocha son minois de mon gland. C’est ainsi que j’éjaculai pour la première fois sur son beau petit visage. Plusieurs jets violents jaillirent subitement alors qu’elle contractait ses doigts autour de ma queue. Mon sperme vint s’étaler sur ses lunettes, son nez, le haut de ses lèvres et gicla jusque dans ses cheveux. Elle était sublime couverte de ma crème blanche qui dégoulinait à présent sur son visage et qu’elle essayait de récupérer avec sa langue quand elle passait à proximité de sa petite bouche de pute. Elle lécha consciencieusement le sperme qui recouvrait le bout de ses doigts et je la vis déglutir avec délectation.

— Tu es très douée ma petite, je te félicite, tu as bien gagné une récompense et je vais m’occuper de toi.

— Merci Monsieur, je suis vraiment flattée et curieuse de ce que vous allez me faire, me répondit-elle en continuant à faire onduler le haut de son corps et en se touchant la poitrine.

— Tu vas commencer par te mettre à quatre pattes sur la table basse comme une petite chienne que tu es, puis tu vas te tourner pour que ton cul soit face à moi.

Elle s’exécuta immédiatement. À quatre pattes, elle cambra légèrement le dos en sur penchant en avant pour encore donner plus de volume à son cul auquel elle faisait décrire de petits cercles en faisant bouger ses hanches. À cet instant, elle n’était plus qu’une chienne en chaleur dont la chatte appelait une queue quelle qu’elle soit.

— Tu es vraiment une vilaine fille de me provoquer comme ça.

— Oui Monsieur, vraiment très vilaine, susurra-t-elle dans un gémissement.

Je commençai par lui donner une bonne claque sur chacune de ses fesses. À chaque fessée, elle répondait par un petit gémissement.

— Petite salope, mais on dirait que tu aimes ça.

— Monsieur, punissez-moi, je l’ai mérité.

— Si c’est ce que tu demandes, tu vas être servie.

Ma main prit alors plus de recul et vint frapper ses fesses avec plus de force. Les gémissements devenaient plus forts. Puis je réajustai mon geste pour ne plus fesser son cul, mais sa chatte protubérante. Les gémissements furent alors remplacés par un petit cri. Je recommençai à nouveau. Elle cria plus fort, et d’un mouvement réflexe, elle fléchit sur ses coudes, son front touchant désormais la table. Sa chatte était devenue écarlate.

— Monsieur vous me faites mal.

— Tu verras, jeune fille, que le plaisir n’en est que plus grand s’il a été précédé par un peu de douleur.

Je pris alors ses fesses entre mes mains pour les écarter. Je finis de déchirer complètement ce qu’il restait de ses collants et vins alors avec le bout de ma langue frôler ses lèvres intimes. Clémentine se contracta et ne put retenir un râle de plaisir. Elle était trempée et son jus coulait sur l’intérieur de ses cuisses. Le goût puissant de sa mouille sur ma langue m’excita et ma bouche vint se plaquer sur sa chatte. Je fis alors glisser ma langue de haut en bas tout le long de sa fente qui s’ouvrit laissant inonder ma bouche de sa mouille de salope. Je l’aspirais, la buvais sans retenue. Elle poussait de petits cris de plaisir de plus en plus vite alors que je la baisai avec ma langue qui la pénétrait désormais. Je finis par écarter ma bouche légèrement, et remontai un peu en tenant toujours ses fesses écartées pour venir à la rencontre de son anus étoilé. Je lui crachai dessus et donnai un petit coup de langue.

— Tu aimes ma petite Clémentine ?

— Hmm Monsieur oui, ne vous arrêtez pas, s’il vous plaît.

— Même ici ? lui demandais-je en massant du bout de mon index son petit trou du cul imbibé de ma salive

— Oui Monsieur, même ici…

— Tu n’es vraiment qu’une petite pute sans aucune limite.

— Je suis prête à tout pour vous satisfaire Monsieur, je veux être parfaite pour vous.

Je fis alors décrire à mon index de petits cercles concentriques sur son anus que je vis s’ouvrir doucement sous l’effet de la légère pression que j’exerçai manière croissante. Son cul laissa alors un passage dans lequel je m’engouffrai instantanément, et mon doigt s’enfonça dans son trou lui arrachant un nouveau petit cri. Il était tout serré autour de mon doigt, mais également bien humide et chaud. Cela laissait présager du meilleur pour y accueillir quelque chose d’autre que mon doigt, mais chaque chose en son temps. Son corps frémissait de plaisir. Ma bouche revint trouver sa vulve, alors que je doigtais son cul. Il ne lui fallut pas longtemps avant qu’elle jouisse, ayant perdu tout contrôle de son corps. Elle poussa un grand cri et plusieurs jets de mouille giclèrent dans ma bouche et sur mon visage. Comme elle jouissait, je lui enfonçai mon index au plus profond de son cul. Ses muscles l’abandonnèrent et elle s’effondra sur la table, dégoulinante de sueur et de mouille.

VII

— C’est bien ma belle je vois que tu as pris du plaisir, lui dis-je en laissant glisser mes mains sur la peau moite de son dos

— Oh oui Monsieur, merci.

— Tu as aimé que je m’occupe de ton petit cul ?

Mon doigt se posa sur son anus pour accompagner ma parole

Ses fesses frétillèrent et elle se retourna vers moi en souriant.

-Vraiment beaucoup Monsieur.

— Content de te l’entendre dire Clémentine. Et comme tu es très sage, j’ai préparé quelques cadeaux pour toi .

— Oh Monsieur, vraiment ? Vous êtes trop bon pour moi.

— Comme tu progresses dans ton apprentissage de chienne tu dois avoir quelques accessoires.

— Je suis si impatiente, me lança-t-elle en passant sa langue sur ses lèvres comme par défi.

Je me penchai sur le sac posé à côté de la table que j’avais préparé et en sortis un plug anal chromé se finissant sur un bijou en forme de cur couleur améthyste.

— Tu sais ce que c’est ?

— Hihi oui Monsieur, il est vraiment magnifique, je serais fière de le porter pour vous.

— J’y compte bien, en attendant suce-le salope.

Elle ouvrit la bouche et aspira la partie chromée du plug comme si elle gobait une madeleine. En la regardant faire j’enfonçai mon majeur dans son cul. Elle ferma les yeux de plaisir, elle était belle, tellement pute.

— C’est bien ma chérie, tu l’as assez sucé, il est prêt maintenant.

Je lui retirai le plug de sa bouche, comme une petite sucette, et vins en positionner la pointe sur son bel anus légèrement ouvert par le passage de mon majeur. Comme j’appuyai, elle releva doucement son cul et le plug s’enfonça dans ses entrailles. Je me relevai alors pour l’admirer, à genoux sur la table avec son plug enfoncé dans le cul. Je ne pus m’empêcher de lui donner encore une tape sur ses fesses.

— Tu es ma chienne Clémentine, tu es superbe.

— Hmm, Monsieur, je ne vis que pour vous servir désormais.

— Tu ne sais pas à quel point ces paroles t’engagent Clémentine, j’ai de grands projets pour toi.

— Vous me faites tellement de bien, je suis excitée en permanence à cause de vous.

— Oui Clémentine, tu ne connaîtras jamais plus de plaisir qu’avec moi, en m’obéissant. Si tu me déçois, tu perdras tout.

— Je ne vous décevrai pas Monsieur, je vous le promets.

— Je n’ai pas fini avec les cadeaux, j’en ai encore pour toi.

Elle me regarda alors avec curiosité, ses yeux azur pétillaient de plaisir et d’impatience. Je plongeai ma main une nouvelle fois dans le sac et en sortis un collier noir ciselé en dentelle.

— Monsieur, je ne mérite pas tant.

— C’est mon signe d’appartenance, ce collier tu le porteras avec moi, car tu es mienne maintenant.

Elle s’assit et releva ses cheveux pour que je lui mette atour du cou. Elle était visiblement heureuse et attendait la suite. Je pris dans le sac le dernier objet que j’avais pour elle aujourd’hui. Une laisse en forme de chaîne toute simple que je lui attachai à l’anneau de son collier.

— Maintenant je suis vraiment votre chienne Monsieur.

— Oui Clémentine et je vais pouvoir te promener à quatre pattes, descends de la table on va faire un petit tour.

Elle s’exécuta et se trouvait maintenant devant moi, nue au bout de ma laisse. Son dos était légèrement courbé vers le bas, son cul proéminent pointait fièrement vers le haut orné de son superbe bijou. Je lui fis faire quelques tours du salon, elle avançait sur une légère traction de la laisse et puis nous prîmes la direction de l’étage et je lui fis monter les escaliers toujours à quatre pattes. Dans les escaliers je vis son regard s’arrêter sur ma photo de mariage. Ma femme, 5 ans plus jeune que moi, de la même taille que Clémentine, est assez fine, blonde avec des yeux noisette, une poitrine plutôt généreuse. Bien évidemment la photo avait presque 20 ans maintenant, soit environ l’âge de Clémentine. Elle savait bien évidemment que j’étais marié, mais c’était la première fois qu’elle voyait ma femme, même s’il ne s’agissait que d’une photographie ancienne.

— Il s’agit de Magali, ma femme.

— Elle est très belle Monsieur.

— Merci Clémentine, je suis content que tu l’apprécies, j’aime beaucoup ma femme tu sais.

— Mais Monsieur si vous l’aimez beaucoup..

— Il y a de nombreuses façons d’aimer Clémentine, Magali et moi avons toujours eu une vie sexuelle assez libre. Un jour je pourrais te la présenter si j’estime que tu es digne d’elle.

— Oh Monsieur vraiment ?

— Cela te plairait Clémentine ?

— Oui Monsieur, je crois que cela m’exciterait beaucoup.

— Voilà qui est une idée intéressante, mais pour le moment tu es à moi et nous avons encore beaucoup de choses à faire tous les deux.

Nous reprîmes alors l’ascension des escaliers et je conduisis Clémentine, évoluant toujours à quatre pattes au bout de sa laisse, vers la salle de bain.

Je la fis s’installer à genoux dans la baignoire face à moi.

— Avant de poursuivre jeune fille je pense que tu as besoin d’une bonne douche, car tu as bien transpiré tout à l’heure. Mais, tu vas voir, il ne va pas s’agir d’une douche habituelle.

Je m’approchai alors d’elle en tenant ma bite entre le pouce et l’index de ma main droite. Son regard passait de mes yeux à mon sexe et je voyais qu’elle commençait à comprendre.

— Il m’a semblé que tu as bien apprécié le goût de ta pisse la dernière fois Clémentine, maintenant il va falloir passer à un autre stade et que tu goûtes la pisse d’un autre.

— Monsieur, vous êtes sûr ? répliqua-t-elle avec une petite moue.

— C’est un honneur que je te fais jeune fille, j’espère que tu vas l’apprécier à sa juste valeur.

— Oui Monsieur, je suis fière que vous me pissiez dessus.

— Voilà qui est mieux Clémentine, tu vas maintenant ouvrir ta petite bouche et essayer d’en avaler le plus possible au fur et à mesure que je vais pisser.

Je mis alors le bout de mon gland sur la lèvre inférieure de sa bouche entre-ouverte. Elle me regardait avec des yeux à la fois craintifs et excités par la situation. Un premier jet d’urine, assez faible, jaillit alors de mon sexe, Clémentine eut un mouvement de recul réflexe.

— Garde-la en bouche et avale.

Elle s’exécuta et je la vis déglutir doucement, puis sans que je le lui demande elle se remit bien face à ma bite et ouvrit à nouveau la bouche.

— Tu en veux plus salope ?

— Oui Monsieur, j’aime le goût de votre pisse.

— Il va falloir être plus polie que ça jeune fille.

— Pouvez-vous me pisser encore dessus s’il vous plaît Monsieur ?

— Mais bien sûr Clémentine.

J’avais très envie de pisser et il ne fallut plus attendre longtemps pour qu’un nouveau jet parte dans sa bouche, puis rapidement ma pisse se mit à couler en continu. Sa bouche se remplit progressivement et je vis qu’elle essayait d’avaler au fur et à mesure. Mais bientôt le débit devenait trop important pour qu’elle puisse suivre le rythme. Elle gonfla alors les jours pour augmenter le volume de sa bouche, mais ma pisse finit par déborder et couler sur son menton puis son cou jusqu’à rejoindre sa poitrine. Elle se mit alors à masser doucement ses seins en étalant sur elle ma pisse chaude. Cette salope était excitée et elle aimait ça. Je pris alors un peu de recul et lui arrosai le visage de manière plus large. Elle ferma les yeux pourtant protégés par le verre de ses lunettes et baissa un peu la tête, si bien que ses cheveux furent bientôt trempés de mon nectar jaune.

— Tu aimes la température de ta douche Clémentine ?

— Oh oui Monsieur, c’est parfait.

Ma pisse coulant sur son corps avait maintenant atteint son entrejambe. Une de ses mains, comme suivant le flot, se mit à caresser sa chatte, alors que de l’autre, elle continuait à masser ses seins dont les tétons pointaient ardemment. Tandis que le jet se tarissait progressivement, ma bite de manière inverse gonflait de plus en plus. Lui pisser dessus, la voir excitée à ce point me fit bander très violemment. Je tirai alors sur sa laisse pour tracter sa tête vers ma queue. Elle ouvrit la bouche instantanément et ma bite glissa entre ses lèvres au fond de sa gorge. Je lui attrapai les cheveux de mon autre main et la maintins comme ça quelques secondes jusqu’à ce qu’elle soit prise de relents. À nouveau sa salive inonda ma bite et des larmes coulèrent de ses yeux. Je dirigeai alors sa tête d’avant en arrière, glissant sur ma queue de plus en plus vite. Clémentine n’était pas complètement passive, et je la voyais masser frénétiquement sa chatte alors que je me branlais entre ses joues. Je finis par me retirer pour éjaculer à nouveau sur ses lunettes, son petit nez, et bien entendu un peu dans sa bouche qu’elle avait gardée entre-ouverte. Son corps se tendit dans un nouvel orgasme et elle s’effondra haletante à demi allongée dans la baignoire. Elle était belle dans cette pose lascive, souillée de sperme, de mouille et de pisse. Rapidement sa langue s’activa pour nettoyer le foutre qui recouvrait son visage. Elle avait encore faim de sperme et de sexe.

— Je n’arrive pas à croire qu’une jeune fille de ton âge puisse déjà être une si grosse salope. Prends une vraie douche maintenant pour bien te nettoyer et rejoins-moi dans la chambre en face.

VIII

Pour l’attendre je m’étais assis nu dans le fauteuil à l’angle de la chambre dont j’avais tiré les rideaux orangés. La lumière du soleil filtrant à travers le tissu rendait une lumière rougeoyante chaude et tamisée. J’entendis l’eau s’arrêter de couler dans la salle de bain. Bientôt, la silhouette de Clémentine apparut en ombre chinoise dans l’encadrement de la porte. Sur sa peau mal séchée perlaient encore les gouttes de la douche qu’elle venait de prendre. Je lui demandai de se mettre à genoux, elle s’exécuta et avança vers moi à quatre pattes. La voyant ainsi progresser dans la pièce, ses mamelles pendantes, son cul ondulant de droite à gauche à chacun de ses mouvements, je me remis à bander progressivement. Je voyais son regard fixer mon membre se raidir et j’aperçus subrepticement sa petite langue courir sur ses lèvres. Une vraie gourmande. À mes pieds je repris sa laisse et la redressa légèrement vers moi.

— Tu veux ma queue petite chienne ?

— Oui Monsieur, s’il vous plaît, je la veux.

— Tu la veux où ?

— Dans ma chatte Monsieur.

— Tu veux que je te baise jeune fille, mais il va falloir le mériter. Tu vas commencer par lécher mes pieds.

— Tout ce que vous voulez Monsieur.

Je relevai alors ma jambe droite et guidai la bouche de Clémentine vers mes orteils avec sa laisse. Elle prit mon pied délicatement entre ses mains et mis mon gros orteil en bouche. Elle le suça comme une petite bite, en l’aspirant et en donnant de petits coups de langue. Elle passa ainsi en revu tous les orteils de mon pied en prenant soin de bien lécher entre chacun d’entre eux. Tout en lui caressant la tête, je la félicitai. Elle se comportait comme une jeune chienne en chaleur.

— Très bien salope je crois que tu as bien mérité ta récompense maintenant. Tu vas te retourner en restant à quatre pattes, que je vois ton cul.

Elle fit demi-tour sur elle-même et me présenta sa croupe ornée de son bijou toujours enfoncé dans son anus. Sa chatte humide était bien visible et je pouvais voir ses lèvres luisantes de désir. Elle se mit alors à exécuter de petits mouvements circulaires avec son bassin.

— Monsieur je suis désolée, mais je crois que jai envie de faire pipi

— Et tu crois que c’est le moment pour ce genre de choses.

— Je suis vraiment désolée, mais ça m’est arrivé tout d’un coup.

— Tu es vraiment une vilaine fille.

Je mis un genou à terre et me positionnai derrière elle. Ma main s’abattit alors sur ses fesses. Elle poussa un petit cri. Je la fessais finalement jusqu’à ce que sa peau se mette à rougir. Ses cris étaient un mélange de légère douleur et de plaisir.

— Monsieur je ne peux vraiment plus me retenir, laissez-moi y aller.

— Non jeune fille tu n’iras nulle part tu vas pisser ici, dans cette position comme une chienne que tu es.

— Oh Monsieur, c’est tellement honteux, je vais tout salir.

Je me mis alors derrière elle et posai mes mains sur chacune de ses fesses. J’avançai mon gland à quelques millimètres de l’entrée de sa chatte, légèrement en contrebas. Clémentine ne mentait pas quand elle disait qu’elle ne pouvait plus se retenir et très rapidement un petit filet de pisse jaillit de sa vulve et arrosa mon sexe tendu. Au contact de la pisse chaude, celui-ci tressauta et vint frapper sa chatte. La pisse se mit alors à couler de manière régulière et je me mis alors à faire des mouvements d’avant en arrière en faisant glisser ma bite sur le bas de chatte, frottant son clitoris, et le long de son ventre, jusqu’à ce que le mien vienne écraser ses fesses. Je sentis sa pisse inonder ma queue, mouiller le bas de mon ventre et couler sur le haut de mes cuisses. Je la pris par sa laisse et tira sa tête en arrière. Je me redressais légèrement et positionnai maintenant ma queue en face de sa fente toujours pisseuse. Au contact de mon gland ses lèvres s’ouvrirent en je la pénétrai doucement alors que sa pisse coulait toujours. Elle poussa un profond gémissement de plaisir. Avec ma queue à peine entrée, le flot s’était tari. Je me retirai et un jet de pisse plus important reflua alors. Je recommençai ainsi plusieurs fois jusqu’à ce que finalement la vessie de ma jeune chienne se trouve vidée. J’enfonçai alors ma bite en elle complètement très progressivement. Elle glissa sans difficulté le long de son vagin trempé et je ne m’arrêtai que lorsque mon ventre toucha ses fesses. Je sentais la douceur et la chaleur de sa vulve sur la peau de ma bite bien enserrée en elle. Je me mis alors à glisser dans sa chatte d’avant en arrière de plus en plus vite, arrachant à chaque va-et-vient des gémissements de plus en plus forts. Mon ventre venait claquer contre son cul et mes couilles contre son clitoris. Je lâchai alors sa chaîne pour attraper ses cheveux, la tirer en arrière pour la redresser et l’embrasser à pleine bouche. Nos langues et nos salives se mélangèrent alors que je continuais à la pistonner dans un bruit de succion dû à la mouille qui coulait à flot de sa chatte de pute. Puis je la relâchai et elle s’effondra sur ses avant-bras. Je me recourbai alors sur elle et vins agripper ses seins par le bout des tétons que je me mis à tirer vers le bas. Je la baisais violemment quand je décidai d’arrêter, sentant que nous ne pourrions pas continuer beaucoup plus longtemps sans jouir. Je me retirai alors de son fourreau de velours.

— Hmm Monsieur, pourquoi vous arrêtez-vous, continuez s’il vous plaît.

— Tu aimes que je te baise petite salope ?

— Oui j’aime Monsieur, baisez-moi encore comme une pute que je suis.

— Il faut apprendre à gérer ses orgasmes Clémentine, et cela n’en sera encore que meilleur.

Je me mis alors à caresser ses fesses avec ma queue ruisselante de mouille mélangée de pisse. Je me penchai en avant pour venir écarter ses fesses et attraper son bijou anal entre mes doigts. Je le fis délicatement tourner en tirant vers le haut. Clémentine gémit en trémoussant son corps et cambrant son dos. Le plug finit par sortir libérant son anus qui resta ouvert quelques secondes avant de commencer à se refermer. Son trou noir était prêt à recevoir plus maintenant. Je fis couler alors de la salive sur son étoile et l’étala du bout de mon index de manière circulaire en en faisant entrer un peu dans son cul.

— Qu’allez-vous faire Monsieur ? demanda-t-elle avec une pointe d’inquiétude dans la voix.

— Je vais baiser ton petit cul Clémentine, je vais t’enculer.

— Oh non Monsieur, vous allez me faire mal, je suis vierge du cul vous savez.

— Il faut un début à tout, jeune fille. Vu la salope que tu es, je suis sûr qu’une fois que tu auras essayé tu ne pourras plus te passer d’avoir une bite dans le cul.

Je lui enfonçai alors mon majeur profondément dans son anus.

— Tu vois Clémentine, ton cul est prêt, il est resté ouvert et attend la suite.

— Mais votre queue est si grosse Monsieur.

Je me redressai alors derrière elle et positionnai mon gland sur son petit trou. En appuyant doucement avec mon pouce sur le haut de ma queue, je vis son anus enduit de salive s’ouvrir doucement et mon gland humide de mouille s’enfoncer à l’intérieur. Clémentine retint un petit cri et se mit à respirer plus vite. Petit à petit je fléchis mes jambes et libéra le poids de mon corps pour enfoncer très doucement ma queue dans son cul. Clémentine ne put cette fois empêcher un cri de sortir de sa bouche tout du long que ma queue s’enfonça en elle par son anus. Puis, toujours aussi doucement je fis le trajet inverse pour sortir jusqu’à ce qu’il ne reste que mon gland en elle. Elle respira. À nouveau je m’enfonçai plus facilement, plus rapidement. Le cri de Clémentine devint gémissement. Son cul tout serré était un délice pour ma queue. Je la sortis complètement. Son anus resta bien ouvert. Puis à nouveau, je plongeai en elle, dans ses entrailles. Clémentine, écrasée au sol s’appuyait sur son avant-bras gauche tandis que sa main droite était venue remonter entre ses cuisses pour frotter son clitoris.

— Tu aimes être enculée petite salope.

— Oh oui Monsieur j’aime ça.

— Tu ne veux plus que j’arrête maintenant, tu veux que je baise ton cul.

— Non, continuez je vous en prie, baisez mon cul oui.

C’est bien ce que je fis, ma queue glissant dans son cul désormais béant, mes couilles claquant sur sa chatte trempée que cette salope ne cessait de caresser en même temps. Après plusieurs va-et-vient je sentis l’orgasme monter en moi. Ma queue s’enfonça alors au plus profond de son cul et prise de plusieurs spasmes violents successifs, elle libéra plusieurs jets de sperme. Le foutre chaud emplissant son anus, déclencha bientôt l’orgasme de Clémentine qui jouit violemment en éjectant plusieurs jets de mouille qui vinrent s’écraser sur mes couilles et mes cuisses. Quand je la relâchai, elle se laissa tomber à plat ventre sur un sol souillé d’un mélange de mouille et de sa propre pisse. Ma queue sortit de son cul qui resta encore bien ouvert. La paroi de son anus était toute rouge et bientôt alors que son petit trou se refermait, il éjecta tout doucement un filet blanc de sperme qui coula entre ses fesses avant de rejoindre les lèvres de sa chatte. Elle était éreintée, terrassée de plaisir, d’émotions. Moi aussi.

Je la pris alors dans mes bras délicatement pour la relever et la porter jusqu’à la douche. Elle me souriait, elle était simplement heureuse. Tout doucement je la lavai, la frottant du bout de mes doigts. Son corps était devenu très sensible. Je la séchai enfin avant de la porter à nouveau pour la déposer sur le lit. Je me couchai alors à ses côtés. Nous nous enlaçâmes et nous embrassâmes tout simplement. Pour nous remettre de nos émotions, je sortis un nouveau joint, l’allumai, tirait une bouffée et lui fis passer. Je l’observai alors voyant sa poitrine et ses seins se rehausser à chaque inspiration avant de redescendre à chaque fois qu’elle rejetait la fumée. Elle était belle comme ça dans cette lumière à peine réelle de la chambre. L’après-midi, que Clémentine était censée avoir passé en étude touchait à sa fin, et avec elle notre aventure du jour.

— J’ai encore passé un excellent moment avec vous Monsieur.

— Moi aussi ma chérie. Tu es une véritable petite princesse, tu es parfaite.

Comme la première fois, je sortis un billet de 100 euros que je déposai entre ses deux seins.

— Merci Monsieur, il me tarde déjà la prochaine fois.

— Je sais petite coquine. Tu sais ce que j’aimerais ?

— Non Monsieur ?

— Venir te baiser chez toi.

— Chez moi, mais ce n’est pas possible, il y a mon frère et mes parents.

— Ton frère à quel âge Clémentine ?

— Comme moi, nous sommes des faux jumeaux.

— Intéressant, cela. Tes parents ne sont pas toujours à la maison pour autant.

— Mon père pas souvent, il se déplace beaucoup, mais ma mère ne travaille pas

— Il me semble que tu m’avais dit que tu avais quelques difficultés en mathématiques ?

— Oui c’est vrai, ce n’est pas vraiment mon point fort, confessa-t-elle.

— Alors tu aurais peut-être besoin d’un professeur particulier à domicile.

— Hihi je vois où vous voulez en venir, ça pourrait être très excitant tout cela.

— Nous allons y réfléchir Clémentine. En attendant, n’oublie pas de repartir avec ton plug.

Nous nous embrassâmes encore langoureusement, puis nous rhabillâmes et je raccompagnai Clémentine à l’arrêt de bus le plus proche pour qu’elle rentre chez elle, la tête déjà pleine d’idées pour notre prochaine rencontre.

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