Résumé des épisodes précédents :
Éléonora, de vieille famille noble espagnole se retrouve rapidement veuve après avoir eu un fils Ramon. Elle a comme homme de main, amant et mentor pour son fils un dénommé Jean spécialiste des arts martiaux. Après un voyage en Chine avec Jean, elle revient seule et lors d’une visite à une entreprise à Marseille, elle commet l’inceste avec son fils. À peine rentré, Éléonora reçoit un câble que sa famille la réclame avec son fils au château familial.
Là, le vieux marquis le nomme comme son héritier, mais en contrepartie, il lui demande d’assumer le droit de cuissage sur les futures épouses de son marquisat. Après une première fois réussie, lors d’un voyage suivant, il doit à nouveau procéder au dépucelage d’une jeune gitane, mais il change les règles et oblige au futur époux de montrer ses dispositions amoureuses à un comité formé de sa mère et sa future femme, épreuve qu’il réussit non sans peine.
Suite de l’histoire.
Dans la salle de bain, il y a une répétition de la dernière séance de cuissage. Après s’être déshabillées les trois et même Alphar s’est débarrassé de son peignoir, la jeune fille fait face aux deux autres femmes. Éléonora prend la main d’Alphar et la dirige vers la toison de sa promise.
Mets un doigt légèrement sur son sexe, tu sens comme c’est sec ? Maintenant sens ton doigt, enregistre comment est ta femme si elle n’est pas excitée.
Se lavant la main, Éléonora, fait la même opération et met son doigt aussi sous le nez d’Alvira.
Sens ton odeur quand tu n’es pas excitée.
Et sans attendre, elle met également son doigt dans sa moule pour l’imbiber aussi.
Sens maintenant la mienne qui vient d’être utilisée. Tu sens la différence d’odeur ? Fujimi fais lui aussi sentir la tienne, qu’elle ait une panoplie complète des odeurs féminines.
Mais pourquoi m’obliger à sentir ces odeurs ?
Si ton mari rentre et que sur son sexe tu sens une odeur féminine qui n’est pas la tienne, tu sauras à quoi t’en tenir. Du reste tu peux renifler sa queue, tu me diras si tu ne remarques rien.
Oui, il y a votre odeur et une autre plus masculine je dirais.
C’est juste, l’autre odeur, c’est son jus.
Bon maintenant, hop sous la douche et Alphar, c’est le moment de montrer tes qualités pour lui faire sa toilette pendant qu’on prépare le lavement rectal.
Pourquoi le lavement rectal ?
En principe tous les pucelages sont enlevés, devant et derrière, mais derrière, il faut toujours nettoyer avant l’usage, à moins de mettre un préservatif et encore, c’est mieux quand c’est reluisant, surtout si on fait une feuille de rose.
Une fois prête, les quatre se dirigent vers la chambre où Ramon les attend, bien bandé, comme le bois du même nom.
Viens mets-toi à côté de moi et toi Alphar vient de l’autre côté. Pour commencer, occupe-toi de sa poitrine comme tu l’as fait pour ma mère.
Quoi, il a fait avec votre mère ? s’indigne Alvira,
Heureusement qu’on l’a entrepris, il a pas mal appris ; c’est pour toi que ma mère s’est sacrifiée pour un peu l’éduquer.
C’est vrai Chérie, j’ai appris beaucoup de choses que j’ignorais cette après-midi, ce ne fut pas toujours facile, dit-il entre deux léchages des mamelons.
Tu permets, j’aimerais aussi les goûter dit Ramon qui se penche sur sa poitrine.
Les deux se mettent à téter comme des fous en pétrissant les seins. Rapidement Alvira se met à gémir en soulevant son bassin pour indiquer où il fallait continuer.
Tu ne veux pas goûter à sa fleur qui est encore vierge, dit-il à Alphar.
Oui, je veux bien, cela me changera d’avec ta mère, car quand je l’ai fait, il y avait mon sperme qui dégoulinait de sa crevasse.
Tu verras le goût change entre avant et après. Je goûterai bien aussi avant de procéder à la défloration.
C’est ainsi que les deux se relayèrent dans le léchage de cette moule toute fraîche, à tel point qu’elle s’ouvrait de plus en plus, appelant la bite.
C’est alors que quand Ramon dit à Alphar :
Vas-y, je crois qu’elle est fine prête à te recevoir.
Mais les trois passes précédentes lui avaient complètement asséché les couilles et pas moyen de faire durcir son sexe. Il restait mou de chez mou, plus mou qu’un caramel du même nom.
Je suis désolé, mais je n’arrive pas à bander pour le moment.
Mais je veux maintenant, râle Alvira, n’importe le quel.
Grand seigneur, Ramon lui demande :
Tu permets, de toutes façons, la première fois, c’est à risque.
Viens Alvira, je me mets sur le dos et tu t’enfiles comme tu le veux, à ta vitesse.
Elle se met dessus, marque un temps d’arrêt alors que le gland était presque déjà passé, elle grimace un peu et d’un coup elle s’empale sur cet épieu qui lui fait sauter son label de garantie. Elle reste un moment complètement immobile avec un rictus de douleur qui rapidement disparaît, lentement elle commence à avoir un mouvement chaloupé, se frottant contre ce membre fiché au plus profond d’elle. Elle monte les tours, le rythme devient de plus en plus soutenu jusqu’à ce qu’elle pousse un grand cri et s’affale sur les pectoraux de Ramon.
Ouah, cela a fait mal au début, mais après, quel plaisir. Si j’avais su que c’était si bon, je n’aurai pas attendu si longtemps pour convoler.
À ce moment-là, voyant sa future épouse prendre son pied avec Ramon, Alphar retrouve ses moyens et demande s’il peut aussi apporter sa contribution.
Ramon qui sait que le matériel de camping d’Alvira est très sensible après le dépucelage, même si la zone du plaisir chevauche celle de la douleur, propose une autre suite.
Que dirais-tu qu’elle te fasse une fellation ou si tu veux qu’elle s’entraîne d’abord avec moi et ensuite avec toi. Elle pourra profiter pour sentir le goût et l’odeur de femme qui vient d’avoir son plaisir
Pourquoi pas.
Approchant son monstre des lèvres d’Alvira, il lui dit :
Je ne pense pas que tu puisses le mettre en entier dans ta bouche, mais essaye de le faire rentrer.
Attention, l’action des dents sur la chair dénudée n’est pas agréable. Voilà comme cela c’est mieux, tu peux avec le bout de la langue exciter l’extrémité de ma bite, essayer de l’introduire dans le trou qui est au sommet. Exactement c’est bien. Maintenant fais de même avec Alphar, je suis sûr qu’il va aimer.
Maintenant, il te reste ton dernier pucelage à prendre, mais d’abord, je laisse à Fujimi le soin de l’apprêter et ensuite Alphar le prendra, mais tu iras lentement et tu demandes si tu peux aller plus loin. Cela se fait en douceur.
Fujimi ressort la pine d’Alphar de la bouche d’Alvira qui la lâche à regret pour l’enduire de vaseline et les doigts encore bien plein de ce corps gras, elle met un doigt, commence à remuer, puis un deuxième, puis un troisième, toujours en remuant lentement, finalement regardant la bite d’Alphar et en la comparant avec ces trois doigts, elle se dit que c’est bon, il devrait pouvoir s’enfiler.
Quand Alvira, qui a trouvé la manière, plutôt assez ludique, de perdre le premier opercule, elle dit qu’on peut aussi faire la même chose pour la porte de service.
Mets-toi sur le dos, je vais moi m’enfiler à mon rythme.
Obéissant Alphar se place sur le dos et Alvira accroupie en dessus de son épieu descend tranquillement son entrée arrière jusqu’à toucher le bout du gland, les poils poisseux caressant l’extrémité de l’épieu qui va la pourfendre, elle continue à descendre lentement et finalement se laisse tomber en s’enculant jusqu’aux dents.
Aïe, fait-elle en grinçant des dents, c’est pire que devant, mais maintenant que c’est dedans, tu as intérêt à durer et à me faire voir le 7ème ciel, comme Ramon me l’a fait devant.
Ramon, sans complexe lui ajoute :
Tu sais, cela fait pas si longtemps qu’il a commencé, il faut être tolérante, au besoin, j’apporterai le complément nécessaire.
Non, tu me déchirerais le cul avec ton monstre antédiluvien et je ne pourrais plus chier longtemps. Il faut qu’il tienne !
À ce moment-là, Fujimi qui en connaissait un chapitre tire de sa boîte à malices, un cordon relativement élastique et le passe autour du pieu quand il ressort et serre en faisant un nud.
Voilà, tu n’as plus de soucis à te faire, même s’il jouit, il restera dur jusqu’à ce qu’on défasse le nud pour relâcher la pression.
Super, c’est vraiment trop bon, tu remplis comme il faut cet orifice et elle commence une cavalcade endiablée, montant et descendant comme un ressort affolé.
Se couchant sur le dos, Fujimi écarte les cuisses :
Viens Ramon, ce spectacle m’a échauffé, j’ai besoin de ta lance pour calmer l’incendie qui ravage mon ventre.
Bien volontiers mon amour, répond-il en se souvenant des préférences de Fujimi, il se met à genou avant d’enfiler son dard dans celle anémone sauvage, fleur qui l’absorbe sans coup férir.
Bien des coups de reins plus tard, les deux couples épuisés se reposent sur le dos, quand Fujimi a tout d’un coup une idée.
Il y a injustice, Ramon, tu as bien pu prendre son pucelage, mais moi, je n’ai même pas pu l’essayer, c’est tout ta mère qui en a profité.
Tu as vu dans quel état vous l’avez laissé entre toi, ma mère et sa future femme. Laisse-le un peu reprendre des forces.
D’accord, mais avant qu’il reparte, j’aimerais égaliser les choses et ainsi chaque fois ; surtout pour nous l’attacher définitivement et pas que tu deviennes trop macho.
Mais ma chérie, c’est un devoir auquel je ne peux pas vraiment échapper.
Tout à fait d’accord, de mon côté, je me sens aussi un devoir pour eux, afin qu’ils apprennent les bonnes manières, dit-elle avec un sourire malicieux.
C’est alors Alphar, émergeant d’un semi-évanouissement, d’un air un peu vaseux :
Je veux bien m’instruire, ta mère est délicieuse, mais ta future femme doit être encore meilleure et cela comblerait un sentiment de déshonneur, mais pour bien faire, laissez-moi recharger mes batteries.
Si tu insistes, mais alors je participerai également et tu risques d’avoir le cul alésé.
Vu la grosseur de l’engin, je suis déjà moins sûr de vouloir tenter l’expérience. Je ne vais plus pouvoir m’asseoir plusieurs jours.
Regarde ta future épouse, elle a l’air de bien s’en remettre et je suis sûr que si je lui demandais, elle en remettrait bien une tranche. C’est pas un problème sexuel, mais surtout une question de discrétion, tu pourrais crier partout que tu t’es farci la femme du marquis, ce que je confirmerai en ajoutant « en ayant le cul occupé par le dard du dit marquis. », ce qui évidement serait une contre-publicité.
Bon on reverra cela si je viens avec toi en France. Il faut d’abord que je me marie et que ma mère me laisse partir.