Dans son demi sommeil, Yann apprécie les attentions dont il est l’objet, une main flattant son sexe a provoqué une raideur qui n’est pas que matinale. Une bouche est venue prendre le relais, une langue maintenant vient lui agacer le méat pendant qu’une main prend possession de ses bourses.

Jamais je n’ai été réveillé de cette façon, c’est le paradis !

Voyou ! J’espère que tu as des remords, hier soir tu m’as violée, fils indigne !

Violée !!! Je crois me rappeler que je n’ai pas eu besoin de te forcer !

Tais- toi, j’ai tellement honte. C’était merveilleux.

Honte !!! Pourtant tu aimerais bien recommencer, avoue-le ?

Oui c’est vrai !!! Mais j’aimerais cette fois être dessus. Tu veux bien ?

… … …

Lucette a déjà enjambé le bassin de Yann, à genoux elle tient le membre de son fils dans la main, elle se caresse avec, il est bouillant, elle le promène tout le long de sa fente parfois elle se soulève légèrement pour s’agacer le périnée. Elle est obligée de se concentrer pour ne pas l’absorber d’un seul coup dans sa chatte affamée. Elle poursuit ce manège en allant parfois jusqu’à l’anus étoilé. Yann a senti cette nouvelle cible, au passage il donne un coup de rein pour tenter de s’y introduire. ? Cochon ! En voilà des manières ?

Lucette reprends ses caresses en insistant sur l’entrée de sa chatte, les petites lèvres s’ajustent au gland, son sexe est détrempé il a faim, fléchissant les genoux elle absorbe la moitié de la tige puis la ressort et recommence à se caresser toute la fente des fesses au mont de Vénus.

Yann a du mal à retenir sa jouissance il se concentre sur les seins de Lucette, il lui martyrise les tétons, ils sont gros et durs, sa mère apprécie particulièrement lorsqu’il gratte les bouts avec ses ongles, le plaisir que cela lui procure la font perdre pieds, désormais à chaque passage sur sa chatte elle introduit la bitte plus profondément.

Chérie ! Je ne vais plus pouvoir tenir, je vais jouir.

Vas-y moi aussi je ne peux plus c’est trop bon.

Yann a pris sa mère par les hanches et lance son ventre en avant il a atteint le point de non retour, Lucette roule son bassin autour du pieu fiché dans son ventre, les yeux fermés elle jouit. Hagards ils s’effondrent sur le lit et mettent un long moment à retrouver leurs esprits. Les yeux dans les yeux ils se contemplent mutuellement.

Il va falloir que je me prépare, ton père ne va tarder à se lever.

Je vais retourner dans ma chambre, je vais prendre une douche et je te rejoins.

Ils se séparent après un dernier baiser, Lucette enfile un pyjama et se dirige vers la salle de bain Yann ses affaires sous le bras se faufile dans sa chambre, il est le plus heureux des hommes. Après une douche Yann enfile un survêtement et passe à la cuisine avaler un bol de café, son père est devant la télé pendant que sa mère nettoie la cuisine.

Je vais faire un peu de sport avec Steph, ne m’attendez pas pour le repas, nous irons manger une pizza.

? Tu nous abandonnes un Dimanche ? ? se plaignit sa mère.

Yann se dirige vers elle, après avoir vérifié que son père ne pouvait les voir il dépose un baiser sur les lèvres maternelles et en profite pour glisser ses mains sous la veste de pyjama il lui pince les deux tétons. ? Je serais tout à toi ce soir ! ? lui susurre-t-il à l’oreille.

En fin de matinée les deux copains sont attablés dans une pizzeria, ils ne sont pas mécontents de cette petite séance sportive.

Depuis ce matin tu as l’air d’être sur une autre planète, Yann je ne t’ai jamais vu comme çà.

C’est le bonheur ! Steph tu ne peux pas savoir ! Que du bonheur !!!

Dis-moi ! T’as fumé un joint ? Fais gaffe c’est de la saloperie !

Mais non !!! Je suis heureux !!! Ca y est enfin je ne suis plus puceau !

Quoi ? Tu charries ! Quand ? Où ? Qui ?

Véridique, je me suis fais une nana, ah putain quel pied !

Yann perdant toute prudence raconte à son pote comment il a conquis Lucette, avec Steph son meilleur pote ils se sont toujours tout dit. Steph est médusé, il boit les paroles de Yann.

T’as baisé ta mère ! Ah mon salaud ! Chapeau !

Elle est formidable, une vraie déesse.

Putain ce n’est pas à moi que cela arriverait, je bande pour la mienne, mais à chaque fois que je tente une approche je me suis fais envoyer sur les roses.

Ah bon ! Toi aussi tu as essayé ? Peut-être que le cul ne la branche pas ?

Non, je suis sur que c’est une chaude, en fouinant dans sa chambre j’ai trouvé un god dans sa table de nuit. Non c’est plutôt moi qui ne la branche pas !

Si elle est chaude comme tu le dis tu dois y arriver, faut lui forcer un peu la main !

Je voudrais te voir à ma place, tu t’en fous toi maintenant que tu as un cul à ta disposition mais moi, peau de zob.

Après avoir élucubré sur le moyen de se farcir Annick la mère de Steph les deux compères vont au cinéma voir ? L’âge de glace ?. A la sortie ils se séparent en se fixant rendez-vous pour le mercredi suivant pour une séance de ? baston ? un jeu que Steph a installé sur son micro.

Je vais monter un plan pour arriver à mes fins, il n’y a pas de raison que tu sois le seul à t’envoyer en l’air.

La classe Steph ! La classe !!!

Crétin ! Allez salut ! N’oublie pas mercredi à la maison.

Yann s’en retourne chez lui pas mécontent de l’effet qu’il a produit auprès de Steph, ? Je suis quand même verni ? pensa-t-il. De retour à la maison il retrouve Lucette qui s’affaire dans la cuisine, il lui vole un baiser.

Je n’ai pas vu la voiture du vieux con, il est déjà parti ?

Oui ! Parti, définitivement parti.

Qu’est ce qui lui a pris ? Il a trouvé une autre blanchisseuse ?

Lucette lui raconte que pendant le repas ils se sont pris la tête et que le ton a monté, Elle ne sait pas pourquoi mais dans la colère, elle lui a dit d’aller retrouver ses putes. Monsieur, vexé a fait sa valise et il est parti.

Demain je vais voir mon avocat pour entamer une procédure de divorce. Bon débarras !

Tu as raison ! Dans une maison il ne faut qu’un seul homme. Moi !

Vantard !

Quoi ?

Yann attrape sa mère et la couche sur la table, au passage une tasse vole en éclats. Une lutte s’engage sous les rires de Lucette qui se défend mollement, il la dépouille comme un lapin, la veste de pyjama grande ouverte montre une superbe poitrine qui s’évase. ? Arrêtes, tu es fou ? Yann prend les jambes de sa mère et les pose sur ses épaules de ses mains il lui malaxe les seins. ? Tu vas voir si je ne suis pas un homme ? Il baisse la culotte de pyjama ainsi que son survêtement. Le tableau est grotesque, Yann avec son futal sur les chevilles et sa mère qui n’a que le cul et la poitrine de dénudé les pattes en l’air. Yann ajuste sa bite et d’une seule poussée s’engloutit au fond du ventre maternel. ? Salaud, t’es un salaud ?

Le pantalon de Lucette le gène dans ses mouvements, il ne peut pas la baiser à fond. Une à une il débarrasse les jambes de cette foutue culotte et replace les jambes sur ses épaules, il a une vue superbe sur les seins et la chatte de sa mère il voit les grandes lèvres s’écarter au passage de son gland. De nouveau il est au fond, il se penche pour parfaire la pénétration, Lucette a pratiquement les genoux au niveau des épaules. ? Je suis encore souple pour mon âge ? se dit-elle, Yann la pioche à grands coups. Des deux mains elle se tient au rebord de la table, les coups de boutoir de son fils sont tels que son dos glisse et elle risquerait de tomber.

Doucement, va doucement, tu es un vrai soudard.

Tu es à moi, à moi ! Je t’aime.

Yann tempère ses ardeurs, il se redresse et prend un rythme de croisière à chaque coup il sort son membre entièrement, la chatte reste ouverte en attendant un nouvel assaut, avec son pouce il vient presser le clitoris, le bassin de Lucette ondule, Yann ajuste sa bite à l’oeillet bistre qu’il devine, il est souple et détrempé par les sécrétions du voisin d’au-dessus.

Non! Retires-toi de là! Je ne veux pas!

Laisse moi faire.

Yann accélère ses manoeuvres sur le clito de sa mère, elle ferme les yeux pour se concentrer sur le plaisir qui monte, la bite est toujours en pression sur l’anus qui commence à s’évaser, le gland s’est introduit sans difficulté. ? Non ! Arrêtes tu vas me faire mal ! ? Sourd, Yann est sourd aux plaintes maternelles, le sphincter l’étrangle pourtant il poursuit son invasion. Cà y est, la moitié du membre est dans la place, Yann savoure sa victoire en marquant une pause.

Ordure! Salaud! Ca brûle!!! Sort de là!

Malgré ses jérémiades Lucette ne fait rien pour échapper au dard, cet enculage lui fait bouillir le sang. ? Je deviens une vraie salope ! ? se dit-elle, en relevant le bassin elle engloutit le reste de la tige et entame une cavalcade. Yann est surpris de l’audace de sa victime, il ne va pas pouvoir tenir longtemps, sa bite prise dans cet étau ouvre les vannes et arrose copieusement le boyau maternel.

C’est monstrueux, tu es un monstre !

Avoue que toi aussi tu as aimé !

Tais-toi ! Qu’elle honte !

Après cet assaut Yann aide Lucette à remettre de l’ordre dans la cuisine. Elle ramasse la tasse brisée ? C’est malin ! Une tasse pratiquement neuve ? Ils se regardent en éclatant de rire.

La soirée se passe tranquillement, ils savourent leur liberté, leur complicité de couple, ils prennent leurs douches ensemble, seuls quelques cris de Lucette dû aux agaceries de Yann troublent le calme de la maison. Une fois au lit, ils s’endorment comme deux tourtereaux.

Après l’épisode de la table, chaque les soirs les deux tourtereaux expérimentent de nouvelles postures dans de nouveaux endroits, pour l’instant ils ont essayé le dessus de la machine à laver, le capot de la voiture qui d’ailleurs garde une marque ondulée de leur passage.

Le mercredi suivant il se rend comme prévu chez Steph pour jouer, en marchant Yann se remémore la séance d’hier soir avec sa mère. En rentrant du bahut il a trouvé Lucette à genoux la tête dans un placard qu’elle s’affairait à nettoyer. La vue de cette croupe en mouvement met Yann dans tous ses états, en un tour de main il se retrouve en position pour pourfendre le tentateur, il retrousse la jupe et baisse le slip aussitôt il enfourne son sexe ? Non ! Arrêtes, ce n’est pas le moment ! ? Se plaint Lucette. Mais il est trop tard, Yann s’active et lime autant qu’il peut, sous l’effet des jambes écartées le slip de sa mère remonte et vient lui frotter le dessous des couilles il ne résiste pas et inonde le vagin.

Tout à ses pensées égrillardes, Yann se retrouve devant la porte de l’appartement de Steph, Après plusieurs coups de sonnette la porte enfin s’ouvre, Annick la mère de Steph a l’air surprise de le trouver là. Elle lui apprend que Steph est sorti avec un copain et qu’il ne rentrera que dans la soirée. Yann n’y comprend rien.

Quel con, il se fout de ma gueule !

Mais non ! Tu t’es sûrement trompé de jour !

… …

Tu ne vas pas quand même lui en vouloir pour si peu !

Yann observe Annick qui défend son chérubin, son coup de sonnette a du la déranger, elle a les cheveux en désordre et remarque que le chemisier est mal boutonné et il est partiellement sorti de la jupe, de plus le haut est largement ouvert et montre avantageusement une partie des seins. ? C’est vrai qu’à la place de Steph j’essaierais moi aussi de me la farcir ? pensa-t-il tout en continuant à reluquer les nichons.

? Veux-tu que je t’offre un café ?? propose Annick presque à contre coeur.

Bof ! Pourquoi pas, de toute façon mon après- midi est foutue!

Eh bien ! Ce n’est pas très gentil pour moi !

Non ! Non ! Je suis désolé, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire !

En suivant Annick dans le salon Yann peut observer une paire de fesses rebondies. Il s’installe dans un fauteuil du salon pendant que la maîtresse de maison prépare le café. Quelques instants après elle réapparaît encombrée d’un plateau, Yann remarque qu’elle n’a pas jugée bon de remettre de l’ordre dans sa tenue, Annick dépose le plateau sur la table basse, cela permet au visiteur d’avoir une vue plongeante sur le contenu du décolleté, il distingue très bien les deux seins lourds qui ballottent en l’absence de soutien-gorge.

Vous êtes magnifique ! Steph a de la chance d’avoir une mère aussi bien foutue !

? En voilà des manières ! Veux-tu bien te taire ! ? dit-elle, alors que dans son fond intérieur elle n’est pas mécontente que ce gamin la trouve à son goût.

? Est-ce que je dois considérer cela comme un compliment? ? demanda-t-elle.

Si c’est vrai ! Vous êtes canon !!!

Tu es gentil, mais je ne crois pas que c’est une façon de parler à la mère de son copain.

? Je le dis comme je le pense ? dit Yann en allant s’asseoir sur le canapé près d’Annick.

Tais-toi ! Tu n’étais pas bien dans le fauteuil ? Tu n’oserais pas me draguer tout de même !!!

Yann se penche sur la belle et lui dépose un baiser dans le cou. ? Tu es fou ! Cesses ces bêtises ? Il reprend ses baisers au hasard, il embrasse les yeux, les oreilles puis enfin la bouche. ? Sois raisonnable ? Il n’écoute rien, il ose même plonger une main dans le chemisier et va triturer un téton. Une gifle atterrit sur sa joue mais cela ne ralentit pas ses ardeurs il a défait deux boutons et maintenant les nichons sont à l’air. Annick ne fait rien pour cacher ses appâts, elle regarde Yann d’un air coquin.

Tu me prends pour qui ? Pour une putain ?

Tu es super bandante ! Je ne te plais pas ?

Mais si ! Tu es mignon ! Mais enfin, tu es trop jeune. Et qui t’a donné le droit de me tutoyer ?

Laisse moi te caresser ! S’il te plait ! Tu n’en as pas envie !

Tu es fou ! Tu abuses de ma faiblesse. C’est vrai que j’aimerais que tu t’occupes de moi mais ce n’est pas possible. A moins que !!!

Que ? Que Quoi?

Promets de ne rien dire à Stéphane. Si tu promets, alors je veux bien, mais juste des petits bisous sur les seins. Il y a si longtemps que l’on ne c’est pas occupée de moi !

Yann a déjà dégagé le chemisier des épaules il plonge sur les nichons qu’il couvre de baisers, il suce les bouts, les mordillent, Annick lui a pris la tête et la presse contre sa poitrine ? Doucement ! Tu es un petit sauvage ! ? Il l’embrasse pour la faire taire, les lèvres s’ouvrent sur la pression de sa langue. Le baiser ressemble à un combat, il en profite pour plonger sa main sous la jupe, aucun rempart ne protège le sexe de la belle, les doigts de Yann trouvent tout de suite le clitoris, il le masse avec le pouce, la chatte est gluante de sécrétions. Annick essaie d’arrêter cette main ravageuse, elle sait que rapidement elle va perdre pied.

Salaud ! Tu avais promis ! Enlèves ta main !

Tais-toi ! Tu en meures d’envie, tu mouilles comme ce n’est pas possible. Ho la salope ! Et tu n’as même pas de culotte ! Putain tu me fais bander comme un âne !

C’est monstrueux tu me parles comme si j’étais une roulure!

? Regarde ! Regarde comme je bande ? dit-il en sortant sa queue.

Oh non ! J’avais dit juste les seins sois raisonnable !

Yann prend la main d’Annick et la pose sur sa bite. ? Elle n’est pas belle, tu la trouve pas assez grosse ? ? Annick entoure le membre de ses doigts, ne pouvant résister à la tentation elle commence à masturber cette tige dressée. ? Tu es un voyou ? Yann lui prends la tête et la force à engloutir la totalité du sexe. ? Suces la bien ! Putain toi tu es une sacrée chaude ! Vas-y pompe ! Après je vais te la mettre, tu vas voir ?

Annick suce cette queue offerte, elle ne se pose plus aucune question et profite de l’instant, il y a si longtemps qu’elle n’a pas fait l’amour, d’habitude elle se contente d’artifice acheté dans un sex-shop pour satisfaire ses ardeurs, alors l’occasion est trop belle, les mains de Yann sur ses seins plus ce sexe qu’elle pompe avec frénésie la font revivre. Elle sait que Yann n’aura pas trop de mal pour arriver à la sauter elle n’attend que çà d’ailleurs !

? Viens, je veux te baiser dans ta chambre ? dit-il en se relevant et la tirant par la main.

Ah non ! Tu ne vas pas quand même oser ? Me baiser! Oh! Espèce de goujat!

Malgré cela elle le suit dans la chambre, Yann découvre le lit défait et aperçoit un godemiché sur la table de chevet. ? Elle en veut la salope ? se dit-il. En un tour de main il se retrouve nu comme un ver, allongée sur le lit Annick l’attend avec impatience.

Viens ! Viens me baiser comme tu dis !

Sans fioritures Yann la pénètre de toute sa longueur, les yeux fermés Annick vient croiser les jambes autour de la taille de son jeune amant, ses talons en appui sur les fesses de Yann essaient d’accentuer la pénétration, pendant quelques temps Yann suit les impulsions des talons pour labourer sa compagne. Annick déjà chavire, elle en avait trop envie ? Oh oui ! Oh oui ! ? Ses jambes se dénouent, Annick sourit satisfaite de ce plaisir un peu trop rapide mais tellement attendu. Yann continue de la piocher, il accélère le rythme il n’en revient pas d’être arrivé si facilement a ses fins. Il baise la mère de son meilleur pote, c’est le pied. Mais il sent que l’apothéose approche, Annick a repris ses esprits et son ventre vient à la rencontre de ce sexe qui va de nouveau lui donner du plaisir. Cette fois c’est ensemble qu’ils atteignent la jouissance.

Repus, ils restent allongés sur le dos chacun savourant le moment, Annick flatte gentiment le sexe de son compagnon, elle sait, elle devine qu’il ne faudra pas grand-chose pour que cet instrument repart à l’assaut de sa citadelle.

Yann tu es un amour ! Je ne me rappelais plus que c’était si bon !

C’est meilleur qu’avec ton gode ?

Tais-toi, à mon âge on a encore des besoins.

Rien ne vaut une bonne vraie bite ! Tiens je vais te la remettre mais en levrette, on dit que l’on gagne quelques centimètres !

0h ! Ce n’est pas nécessaire, tu es drôlement bien monté pour ton âge !

Annick se positionne à quatre pattes elle est prête à accueillir son impétueux compagnon, Yann à une superbe vue sur ce postérieur qu’il admirait quelques temps auparavant, il se positionne et s’engouffre d’une traite, ses mains cramponnées aux hanches pour parfaire la pénétration.

Alors ! A ton avis tu as combien de centimètres en plus ?

Ho Oui ! Je te sens loin, tout au fond ! Tu es un amour, on va se faire un gros plaisir !

Yann lime sa monture en profondeur, sa rigidité a de nouveau atteint son maximum, le cul de la belle danse devant lui, en son centre l’oeillet palpite, Yann sait déjà qu’il ne lâchera pas sa proie avant de l’avoir visité. Sur la table de chevet le gode laisse deviner des traces douteuses. ? Elle devait être en train de se bourrer le cul lorsque j’ai sonné à la porte ? pensa Yann.

Dis donc ! Quand je suis arrivé ! Tu étais en train de t’envoyer en l’air ? Et madame apprécie tous les plaisirs à ce que je vois ! Devant ! Derrière ! Tout est bon !

Mon dieu ! Tais-toi ! Soit gentil, occupes-toi bien de moi !

T’inquiète pas je vais m’occuper de ton cul tu vas voir !

Sans trop d’inquiétude Annick attend, sa tête est enfouie dans l’oreiller elle ferme les yeux pour se concentrer sur les sensations que lui procure ce type de pénétration, lorsqu’elle est seule son godemiché fini invariablement dans son cul, elle en a honte mais c’est plus fort qu’elle. Pour le moment elle est attentive à la progression de son compagnon, elle sent le gland sur son anus. Yann ne fait pas dans la dentelle, aucune préparation, il y va direct, le cul d’Annick en a vu d’autre. La corolle s’évase pour laisser passer le gland qui s’enfile d’une traite au fond du boyau.

Oui ! C’est merveilleux ! Vas-y ! Bien à fond !

Putain ma salope ton cul est un écrin à bites, pas trop serré juste ce qu’il faut, tu es une reine !

A chaque coup Yann décule entièrement, le passage du gland dans le rectum lui procure de formidables bouffées de plaisir. Il ralentit le rythme il veut profiter pleinement de l’instant, l’image que lui renvoie le miroir de l’armoire augmente la salacité de la scène, dans la glace il voit ce cul que son braquemart pénètre. A sa grande surprise il distingue aussi Steph qui se tient dans l’embrasure de la porte, il est entièrement à poil et s’astique la bite tel un singe. Yann marque un temps d’arrêt puis replonge dans l’antre de la mère du branleur. Il voit Steph s’approcher un doigt devant la bouche pour indiquer à son pote de se taire, Yann reprend sa chevauchée et se lance dans une cavalcade effrénée, Steph en profite pour grimper sur le lit et vient se placer tout contre son pote. Annick absorbée par le changement d’allure n’a rien suspecté.

Steph est fasciné par la vue des fesses de sa mère, cette masse de chair qui vient au-devant des coups de boutoirs hante ses rêves depuis longtemps, il va enfin pouvoir s’abîmer dans les entrailles maternelles. Son membre est devenu douloureux tant la tension est extrême, il a l’impression que son gland va exploser tel un bouchon de champagne. D’un coup de coude Steph avertit son copain que le moment est venu de lui laisser la place. Yann bon prince obtempère et sort de l’anus qui reste béant. Ses mains restées aux contacts des hanches d’Annick présentent la cible à son voisin fébrile. Sans toucher le corps de sa mère Steph s’introduit de toute sa longueur, il n’en revient pas, il est en train d’enculer sa mère, même dans ses phantasmes il n’avait osé l’imaginer. Annick a sentie qu’il se passait quelque chose dans son dos, elle ne comprend pas à quoi joue son partenaire, d’impatience elle rouvre les yeux et aperçoit dans le reflet de la glace son fils qui s’agite comme un forcené. Horrifiée, d’un bond elle tente de désarçonner son cavalier.

Non ! Oh non ! C’est monstrueux ! Stéphane, je t’en supplie ! Arrête !

Oui ! Oh oui ! C’est merveilleux ! Maman je t’aime !

? Soit sympa ! Cela fait tellement longtemps qu’il bande pour toi, laisse-le te donner du plaisir ? commenta Yann tout en lui triturant les tétons.

Vous êtes des ordures !

Laisse-moi faire maman, je veux te faire jouir, tu vas voir.

… … …

? Tu devrait être contente d’avoir un fils qui ne veut que ton bonheur ? ajouta Yann qui maintenant lui branle le clitoris.

Bande de salauds, vous abusez de ma faiblesse !

Quoi ! Elle n’est pas bonne la bite de ton fils ?

Tais-toi ! C’est de la folie !

Annick n’arrive plus à réfléchir, elle est anéantie, malgré tout elle sent son corps vibrer et le plaisir commence à annihiler sa volonté. Yann a perçu le changement, avec sa queue il tapote ses joues et quémande un gâterie, Annick ne résiste pas longtemps, elle engloutit le sexe quémandeur et s’agrippe à lui comme à une bouée de sauvetage. Steph est ravi de voir sa mère pomper la bite de son copain, il sait qu’il a gagné. Il sort de l’anus et plonge dans la chatte, elle est onctueuse un vrai délice. Il sent qu’il ne pourra pas tenir longtemps, il s’active tel un soudard et brusquement se déverse à grands jets, Annick sent le sperme l’envahir, elle engoule plus profondément la bite de Yann qui a son tour lui inonde le palais.

Fiers de leur forfait, les deux garçons sont maintenant allongés de chaque coté d’Annick, ils récupèrent en attendant une nouvelle joute. Annick ne sait que penser, elle évite d’ailleurs de réfléchir à ce qui vient de se passer, ses sens lui ont fait abdiquer toute volonté, ses mains flattent machinalement les membres de ses deux pourfendeurs. Steph reprend rapidement de la vigueur et se presse amoureusement contre sa mère.

Viens sur moi, viens j’ai encore envie de toi !

Tu es fou, tu devrais avoir honte, qu’est-ce qui va se passer maintenant.

On va s’aimer ! Allez viens !

Annick enjambe le corps de Steph et engloutit cette trique qui l’a déjà fait jouir, elle s’active rapidement et à nouveau des frissons lui parcourent l’échine, elle s’affaisse sur le torse de son fils et quémande un baiser.

Yann assis sur le lit regarde tendrement les ébats du couple, il est ravi d’avoir contribué au rapprochement de ces deux êtres qui se cherchaient sans oser se l’avouer. Discrètement il quitte le lit et remet ses vêtements, sans bruit il quitte l’appartement et va rejoindre sa raison de vivre.

Lui aussi est amoureux, tout comme Steph son amour c’est sa mère !

Bustylove.

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