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Le bestiaire. Lizzie cat-girl – Chapitre 1




Nous l’avions enfin, notre petit nid douillet, une ferme bretonne isolée dans les Monts d’Arrée.

La maisonnette était nichée aux pieds des montagnes, tout autour ce n’étaient que landes, ruisseaux et bocage, un vrai petit coin de paradis que nous avions eut pour une bouchée de pain.

Je mappelle Félix, le bien heureux en latin, et c’est vrai que je le suis, en compagnie de ma chérie, Aline.

Les premiers mois, nous les avions passés à retaper la demeure, abattre des cloisons, enduire de chaux blanche les murs, installer un poêle à bois et des toilettes sèches.

Nous sommes un peu écolos, mais sans plus, l’eau de pluie est récupérée et bientôt nous poserons quelques panneaux solaires sur le toit.

Nous travaillons à domicile, moi c’est l’informatique dans la gestion des réseaux externes de grandes entreprises.

Aline est couturière, elle élabore des costumes de théâtre, des déguisements.

Notre vie était simple, calme, saine, et merveilleuse.

Souvent ma douce venait me voir dans le bureau que je m’étais aménagé.

Elle prétextait quelques essayages des tenues qu’elle confectionnait et se livrait souvent à un défilé de mode devant moi.

Elle passait et repassait en marquise, en bonne sur, en robe médiévale…, tout était bon pour susciter mon envie.

Moi inévitablement je craquais, la défaisais de ses oripeaux et la prenais sans plus attendre.

Aline était câline, son truc à elle, c’était la levrette.

Elle adorait se positionner à quatre-pattes dans une indécence folle et attendait que je la pénètre.

Elle aimait me sentir derrière elle, les doigts enfoncés dans la chair de ses fesses. Mais ce qu’elle préférait par dessus tout, c’est quand je la caressais.

Mes mains glissaient sur sa tête, lissaient sa chevelure, puis descendaient sur son dos, ses hanches, le haut de son cul.

Là elle se faisait plus douce et s’offrait sans rougir.

Je sentais que c’était cela qui lui plaisait, son minou sinondait, elle restait immobile sur ma queue à se laisser cajoler.

Je coulissais en elle, ma bitte dans son conduit étroit, jécartelais ses muqueuses, je la forais du plus profond que je pouvais.

Je sentais sa mouille abondante m’inonder la tige, c’était une sensation tellement agréable…

Moi de la voir ainsi, offerte, soumise, cela m’émoustillait, alors la jouissance n’était jamais bien loin et je pouvais cracher ma semence en elle.

Une fois rassasiée, arrivait toujours le même cérémonial, elle glissait sur moi, toujours accroupie et s’attaquait au nettoyage de ma verge ramollie.

Je n’ai pas le souvenir de fellation avec elle, sa préférence était de me lécher.

Elle sortait timidement la pointe de sa langue et me pourléchait lentement, récurait chaque parcelle de foutre et de jus de sa baveuse gourmande.

Le gland, le prépuce, mon membre, puis mes bourses, tout était décrassé.

J’aurai tant aimé qu’elle me suce un jour, mais ses cajoleries étaient si exquises que je la laissais faire sans regret.

Elle aimait tellement cela, la saveur épicée de sa cyprine conjuguée aux restes de mon foutre.

C’était sa gloutonnerie à elle, chaque fois ce met faisait sa jubilation.

Inutile d’aller à la douche ensuite, quand Aline me nettoyait, la toilette était bien faite, plus rien ne souillait ma virilité…

Je pouvais reprendre tranquillement mes occupations.

Cette nuit nous avions fait l’amour, la soirée avait pourtant commencée sereinement.

Un plateau repas devant un DVD, Catwoman.

Une grosse daube hollywoodienne à laquelle je n’avais pas adhérer. Ma belle, elle, avait adoré.

Elle s’est extasié devant la tenue de lhéroïne, sûrement par déformation professionnelle.

Elle était pressée d’aller au lit, une envie incontrôlable de se faire prendre, impudique, imaginant déjà son cul tendu vers ma pine, et moi à lui dorloter l’échine tout en la bourriquant.

J’étais en nage, avachi sous la couette, ma tendre à mes côtés, immobile.

Elle reprenait peu à peu son souffle. Elle aussi était en sueur, inutile de se poser des questions, cette nuit encore, je l’avais parfaitement satisfaite.

Mon sperme achevait de s’écouler lentement de son vagin et auréolait le drap housse.

Aline s’était collée contre mon torse, la figure collée sur mes pectoraux, elle semblait d’humeur affectueuse.

Sa bouche était ouverte et d’un coup, ses lèvres glissèrent sur ma peau.

Elle se délectait de ma moiteur, de mes sécrétions.

Ma transpiration l’excitait, elle en buvait chaque gouttelette, s’abreuvait de mon sel et lentement descendait sous l’édredon à la recherche de goûts plus musqués, plus sauvages.

Inutile de lutter, Aline était ma lécheuse en titre, je la laissais faire, trop content.

Une fois terminé, elle était revenue se pelotonner contre moi.

« – J’aime quand tu sens fort après l’amour », me déclara t-elle.

« – Tu as quelque chose d’animal… », finit-elle par rajouter.

Sur le coup je n’y avais pas prêté plus d’attention, mais lorsque ma petite chérie à commencer à frotter délicatement sa joue sur mon poitrail, j’ai senti l’émotion me gagner.

Aline narrêtait pas ses frôlements sur ma peau.

Elle se frictionnait de plus en plus. Cette nuit elle était d’humeur féline, comme une chatte amoureuse.

Progressivement elle était remontée, la langue sortie tout contre mon visage.

Elle avait commencé à me déguster le menton, puis les joues, le nez, mes paupières…

C’était délicieux, irréel, d’une tendresse absolue, d’un raffinement rare.

J’avais finit par me redresser, puis par découvrir entièrement le lit.

Elle était là, à genoux, les bras tendus bien droit sur le matelas, dans une belle posture de minette en rut, dans une pause plus-que subjective.

Ma main avait fini par glisser sous son poitrail et s’était refermer sur sa poitrine, puis j’avais négligemment posé l’autre sur son dos.

je commençais à l’effleurer, d’abord timidement.

A chaque frôlement, Aline se courbait comme possédée par cette flatterie digitale. Dès lors, mes caresses s’accentuaient, de la tête jusqu’à ses fesses, flattant sa colonne vertébrale au passage.

Elle, se laissait faire docilement, conquise, profitant de tout mes délicats libertinages.

J’avais finit par m’enfoncer plus loin, dans sa raie, puis sur sa vulve.

Elle était détrempée comme jamais elle ne l’avait été, alors je poursuivais ma cajolerie, lui courtisant à la fois le dos et l’entrecuisse.

D’un coup, son dos se creusa, de violents soubresauts tendirent son arrière train.

Je la sentais se crisper sous ma paume, Aline était en train de jouir.

Ses convulsions étaient violentes, animales.

Elle ne pouvait plus s’empêcher de hurler de plaisir, alors, elle s’est écroulée sur moi, rassasiée et haletante.

Elle ne bougea plus pendant de longues minutes, lové sur mon thorax.

Je ne l’avais jamais vue comme cela, une vraie chatte en chasse.

Elle aussi semblait un peu perdue, décontenancée…

Il me fallait la rassurer et j’ai donc recommencer mes caresses, jusqu’à ce qu’elle s’endorme enfin, sereine.

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